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    En hebdo
    Plusieurs supports potentiels sur prix : support noir, RET90, Boll inf (boll phase4)
    Support sur MACD également
    Objectif Résistance violette environ 51.50 mais avec mme150 (jaune) à 49.50 et mm200 (rose) plongeante actuellement et au dessus de la résistance violette.
    Je surveillerai donc surtout support noir et MACD
    En dessous MACD en journalier


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    • DEPUIS 9H08; LE SIGNAL DE PUISSANCE RELATIVE NPOUS DIT DE VENDRE .LES AUTRES AUSSI

      Le" Marché" ,et/ou la recherche du"PLAISIR",même combat

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      • Rebond apparent sur MM20 mais 2 phénomènes d'action/réaction sur 43€ qui pourrait empêcher les cours d'aller plus loin dans leur correctif haussier

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        • UT JOUR
          MACD + RSI
          (je surveille aussi STPMT , mais graph brouillon)
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          Je surveille également UT2JOURS que j'affectionne particulièrement

          UT HEBDO
          Support enfoncé sur MACD mais pas sur prix
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          UT MOIS
          test de fourchette +ou- LT,
          Boll phase1 (B+51.4 et B-33.8), RSI et STPMT sur support (mois en cours, rebond mois prochain) ?
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          A suivre...

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          • ALERTE !

            Info passée en catimini sur le site Bourso

            AFP le 01/08/2011 à 18:50

            Boursorama veut fermer toutes ses agences, rapatrier les effectifs au siège :

            La société de courtage et de banque en ligne Boursorama, filiale de Société Générale, prévoit de fermer la totalité de ses 12 agences et de rapatrier leur personnel au siège, a-t-il indiqué lundi dans une présentation mise en ligne sur son site.



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            • http://www.reuters.com/article/2011/08/20/us-franc...

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              • Merci FCE. Avec une info pareil d'un dirigeant de grande banque, on peut s'attendre à ce que les marchés continuent de swinguer la semaine prochaine !

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                • Société générale et...systémique !


                  Lundi pour la société générale ....;
                  qu'est ce qui va le plus plomber ses cours :
                  la nécessité de sincérité comptable vis a vis de l'annonce du gouvernement grec selon laquelle sa dette est "incontrolable" ?
                  le dépot de plainte dont elle fait l'objet pour le dossier subprime aux states ?
                  ou l'autre dossier qu'on a pas le droit de citer pour le moment ?
                  ce qui explique d'ailleurs que les -22% en séance n'était pas un simple hasard malheureux!!!!
                  on ne sait pas mais ca va être sportif avec ou sans vadeur !

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                  • "En date du 31 décembre, les quatre premières banques françaises (BNP Paribas, Crédit Agricole, BPCE et Société Générale) avaient prêté près de 300 milliards d'euros à des institutions, des entreprises et des particuliers établis en Grèce, en Irlande, au Portugal et en Espagne.

                    En comparaison, les 12 plus grandes banques d'Allemagne ont prêté 174 milliards d'euros à des entreprises et à des particuliers de ces pays, a analysé le Wall Street Journal.

                    Les banques les plus vulnérables ont commencé à radier une partie de leurs prêts. Mercredi, le deuxième groupe bancaire d'Allemagne, Commerzbank, a effacé la quasi-totalité de ses profits du deuxième trimestre avec une charge de 760 millions d'euros.

                    Quelques jours plus tôt, le 3 août, la Société Générale a radié 395 millions d'euros, soit le cinquième (21%) de ses obligations d'État grecques.

                    La deuxième banque de France est parmi celles qui dépendent le plus de la disponibilité du financement à court terme, selon les analystes de la Royal Bank of Scotland, cités par l'agence Bloomberg. Voilà pourquoi le titre de la Société Générale a été le plus sévèrement puni, selon RBS. À 23 euros, cette action a perdu 47% de sa valeur depuis le début mai.

                    Ce financement est toujours accessible, contrairement à la crise financière de 2008. Toutefois, le taux interbancaire au jour le jour vient de grimper, signe de la nervosité des banques qui sont plus réticentes à se prêter de l'argent entre elles.

                    «Les Français et les Allemands ne se gênent pas pour traiter les Grecs et les Portugais d'alcoolos, mais ils ont l'air d'oublier que c'était eux, les barmans de la fête», note Angelo Katsoras, analyste géopolitique associé à la Financière Banque Nationale.

                    «Le danger, c'est que quelqu'un se lasse et arrête de jouer dans ce stratagème à la Ponzi», dit Angelo Katsoras.

                    Bref, à regarder ce qui se passe actuellement en Europe, les observateurs sont pris de vertige. Un vertige qui n'est pas sans rappeler cette phrase-choc du film français La haine, sur une société qui se désintègre. Jusqu'ici, tout va très bien..." extraits de Sophie Cousineau
                    LA PRESSE

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                    • Citation de : doudou13010 (au 04-09-2011 10:10:02)


                      «Le danger, c'est que quelqu'un se lasse et arrête de jouer dans ce stratagème à la Ponzi», dit Angelo Katsoras.



                      C'est la prise de conscience qui va servir de détonateur. Le système financier mondial n'est qu'une vaste planche à billets qui se nourrit des derniers prêteurs crédules.
                      Il n'y a qu'à regarder le cas de l'Italie, le pays emprunte à 5.5%, pour une dette qui représente 120% du PIB, mais n'a qu'une croissance de LT du PIB à seulement 1%. C'est un schéma à la Ponzi. Le coût de la dette croit beaucoup plus vite que le PIB.
                      Sur le papier le rendement est intéressant, mais comme on est remboursé avec de la monnaie de singe, c'est un leurre. Le capital est forcément en danger. C'est ce que veut dire Karoras, lorsque plus personne ne voudra prêter, les autres perdront tout, et cela va forcément arriver.

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                      • Autre document sur le malaise du système bancaire. l'Institut de la finance internationale (IIF), le puissant lobby bancaire mondial, a "calculé que le taux moyen de provisionnement qui était nécessaire pour la dette grecque était 21%".
                        C'est sur ce taux que le directeur général de la Caisse des dépôts communique pour affirmer que les banques ont bien provisionné le risque grec. Or, chacun sait que le défaut grec ira bien au-delà de 35%, voire bien au-delà de 50%, et que ce ne sera qu'une étape, car la Grèce est structurellement insolvable. Les rentrées fiscales ne se font pas et l'économie est en récession. Le provisionnement des banques n'est qu'une fiction par rapport à la réalité.
                        On nous maintient dans une illusion de maitrise d'une situation ingérable.

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                        • Selon la BRI les prêts des banques Françaises aux cinq pays européens les plus fragiles représentent trois fois leur capitalisation boursière. Et les engagements des quatre principaux établissements bancaires français représentent plus de 2,5 fois le PIB français, avec des fonds propres particulièrement faibles.

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                          • Le président de la Fédération bancaire française (FBF), François Pérol, reconnaît l'existence de tensions sur le refinancement des banques françaises pour leurs opérations en dollars.

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                            • Citation de : Foudre (au 04-09-2011 16:41:40)

                              Autre document sur le malaise du système bancaire. l'Institut de la finance internationale (IIF), le puissant lobby bancaire mondial, a "calculé que le taux moyen de provisionnement qui était nécessaire pour la dette grecque était 21%".
                              C'est sur ce taux que le directeur général de la Caisse des dépôts communique pour affirmer que les banques ont bien provisionné le risque grec. Or, chacun sait que le défaut grec ira bien au-delà de 35%, voire bien au-delà de 50%, et que ce ne sera qu'une étape, car la Grèce est structurellement insolvable. Les rentrées fiscales ne se font pas et l'économie est en récession. Le provisionnement des banques n'est qu'une fiction par rapport à la réalité.
                              On nous maintient dans une illusion de maitrise d'une situation ingérable.


                              La déclaration de Josef Ackermann vient à point confirmer ce message. Les banques ont des placards remplis de cadavres.


                              Le président du directoire de Deutsche Bank, Josef Ackermann, a également souligné que certaines banques européennes ne survivraient pas si elles devaient réévaluer la dette souveraine de leurs comptes au prix du marché.

                              "C'est enfoncer une porte ouverte que de dire que beaucoup de banques européennes ne survivraient pas si elles devaient réévaluer la dette souveraine de leurs comptes au niveau du marché", a-t-il ajouté.


                              On sait que BNP, Crédit Agricole et Société générale en font partie, et ne sont pas les seules.

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                              • Tu balances des choses comme ça sans avoir aucune idée de ce qu'il y a derrière. Tu devrais peut être modérer tes dires

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