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  • Citation de : Mr le 9 (au 04-02-2008 21:11:20)

    La SEC, le gendarme de la bourse américaine a ouvert une enquête préliminaire sur des ventes d'actions de la Société Générale par un administrateur américain de la banque, rapporte lundi le "Wall Street Journal" sur son site Internet, en citant des source proche du dossier.

    L'enquête de la Securities and Exchange Commission (SEC) porte sur la vente d'actions Robert Day, ainsi que deux associations caritatives qui lui sont liées, d'après des sources proches du dossier. Ces ventes ont été réalisées quelques jours avant l'annonce d'une perte de 7 milliards d'euros, dont 4,82 milliards d'euros imputés au seul trader Jérôme Kerviel.

    Par ailleurs, le procureur de Brooklyn a ouvert une enquête pénale en relation avec la banque, selon l'une de ces sources, qui n'a pas précisé l'objet de cette enquête.

    Robert Day, président de la Trust Company Of The West (TCW), filiale de Société Générale Asset Management, la branche de gestion d'actifs de la banque, ainsi que des fondations caritatives qui lui sont liées, ont vendu pour environ 140 millions d'euros d'actions Société Générale deux semaines avant que le conseil d'administration ne soit informé des pertes massives subies par la banque.

    L'enquête américaine prolonge celle déjà menée en France sur Jérôme Kerviel, l'opérateur de la Société Générale. Les ventes d'actions de l'administrateur américain et des fondations ont été mises au jour par l'Autorité française des marchés financiers (AMF) dans le cadre de cette enquête. AP






    on nous aurait menti? ou bien certains ont compris plus vite que d'autres ce qui se tramait au sein de la SG?

    Commentaire


    • Citation de : lesauveur (au 05-02-2008 10:48:34)

      on nous aurait menti? ou bien certains ont compris plus vite que d'autres ce qui se tramait au sein de la SG?




      Dans les conseils d'administrations, ils se font pleins de confidences qui ne sont pas écrites dans les journaux...

      Et un jour Robert Day a entendu un truc pas trés sympa sur la socgen qui l'a poussé à partir en courant...

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      • Samedi 19 janvier : depuis plusieurs heures, les responsables de la salle des marchés de la Société générale tentent en vain de joindre sur son téléphone portable le trader Jérôme Kerviel. Celui-ci est aujourd'hui soupçonné d'avoir fait perdre 4,9 milliards d'euros à la banque. Mais ce samedi-là, ces responsables viennent juste d'avoir la confirmation, comme ils le soupçonnaient depuis la veille, qu'il a réalisé une énorme transaction, fictive, pour un montant de 30 milliards d'euros. Ils veulent des explications au plus vite. Ils finissent par recevoir un SMS inquiétant du jeune trader parti en week-end à Deauville : "Je ne peux pas vous répondre. Il n'y a pas de réseau."




        "Là, on s'est dit que ça puait vraiment", raconte au Monde, sous couvert d'anonymat, un des responsables des middle et back-offices de la banque qui ont coordonné, durant le week-end des 19 et 20 janvier, les opérations ayant permis de découvrir la fraude. Un peu plus tard, M. Kerviel finit par appeler. Une conférence téléphonique est organisée. "On a joint la Deutsche Bank, censée être ta contrepartie sur tes opérations de forwards, lui demande-t-on. Ils ne sont pas au courant. C'est une transaction fictive ?" Réponse de Jérôme Kerviel, selon la Société générale : "Oui c'est vrai, c'est fictif. Mais j'ai inventé cette opération pour ne pas faire apparaître le gain de 1,4 milliard d'euros que j'ai réalisé en 2007. Je voulais vous faire la surprise. J'ai découvert une martingale sur le contrat à terme sur le Dax (l'indice boursier allemand), en jouant sur les horaires d'ouverture du marché."

        Au sixième étage de la tour de la Société générale, à La Défense, c'est la stupeur. "Le trader qui ment pour cacher qu'il a fait un gain de 1,4 milliard d'euros, il n'existe pas", lâche notre témoin. On demande à M. Kerviel de rentrer au plus vite de Normandie.

        Personne, parmi les responsables de la salle des marchés - tous mathématiciens de haut niveau, diplômés de Polytechnique ou de Centrale - ne croit à cette histoire de martingale. La cellule de crise constituée la veille pour tenter de démêler l'écheveau des transactions de M. Kerviel se met au travail, passe au crible toutes les opérations que le trader a effectuées en 2007. En guise de "martingale", Jérôme Kerviel a pris d'énormes positions spéculatives sur les contrats à terme d'indices boursiers européens, qui ont fait ressortir, fin décembre 2007, un gain pour la banque de 1,4 milliard d'euros.

        Car le jeune trader, au moins sur ce point, dit vrai. Les positions cachées qu'il a mises en place à partir de mars 2007 et qu'il a dénouées fin décembre ont bien été gagnantes. "A 5 heures du matin, on pensait qu'il avait gagné 1,4 milliard d'euros, et on était dévastés, on était tous atterrés, confie notre témoin. Le fait que la position de M. Kerviel ait été gagnante ne changeait rien pour nous. On était conscients qu'il avait mis en péril la banque par ces opérations cachées. On se demandait tous comment Jérôme Kerviel avait pu déjouer tous les systèmes de contrôle. Nous étions conscients d'être confrontés au plus grand cas de rogue trading de l'histoire."

        Samedi, en fin de journée, M. Kerviel arrive dans la salle des marchés. "Il était normal, un peu intimidé quand même de voir tous ses chefs réunis." Il est aussitôt interrogé, raconte le même responsable : "Quand on lui posait une question sur un fait précis, il l'admettait, disait la vérité pendant deux ou trois minutes, avant de repartir dans des explications confuses et des mensonges. Il se fermait comme une huître. Il était par exemple incapable de se souvenir des pertes qu'il avait fait subir à la banque : 2,2 milliards d'euros fin juin 2007. Il ne se rappelait que ses gains, lui qui savait négocier âprement ses bonus." Un médecin de la banque est appelé. Il raccompagne M. Kerviel jusqu'à la station de taxi. Celui-ci rentre dormir chez lui, dans son appartement de Neuilly-sur-Seine.

        Dimanche matin, Jean-Pierre Mustier, le patron de la salle des marchés, arrive avec des croissants. Pendant toute la nuit, plusieurs dizaines de personnes ont travaillé pour tenter de reconstituer les transactions fictives et réelles de M. Kerviel en 2007. Mais ses dirigeants ignorent encore tout de celles qu'il a faites en 2008. Le pire est à venir...

        A 9 heures, M. Kerviel revient. "Tu as fait quelque chose en 2008 ?", lui demande-t-on. "Oui, mais c'est rien", répond-il. Quelques heures plus tard, on sait ce que représente ce rien. En quinze jours, M. Kerviel a accumulé des positions spéculatives colossales sur les contrats boursiers européens, pour 50 milliards d'euros, plus importantes encore qu'en 2007. Au 7e étage de la tour, la "batterie" à laquelle il appartenait, avec sept autres "arbitragistes", avait une limite d'exposition au risque à ne pas dépasser : 125 millions d'euros. Cette fois, les positions de M. Kerviel sont perdantes. Il a parié sur une hausse des indices, alors que les marchés boursiers, en raison de la crise des subprimes, ne cessent de dégringoler. Vendredi 18, à la fermeture des places européennes, les positions de M. Kerviel sont perdantes de 2,7 milliards d'euros !

        C'est la catastrophe, la banque est en danger. Les assistants traders de Jérôme Kerviel sont en larmes. La décision est prise de déboucler dès le lendemain les opérations de M. Kerviel. Elles vont se solder par une perte de 6,3 milliards d'euros. Si l'on y retranche le gain de 1,4 milliard d'euros de 2007, on arrive à la somme astronomique de 4,9 milliards.

        Comment tout cela a-t-il été possible ? "Les systèmes de contrôle ont fonctionné, mais il a su produire des faux, c'est l'auteur d'un hold-up qui a utilisé tout un panel de techniques pour éviter les contrôles." Il avait su nouer des relations avec tous les gens des middle et back-offices, ce qui lui permettait d'être au courant des contrôles. Il n'était pas rare que le trader boive une bière avec eux au café d'en bas, le Valmy. Une incongruité, dans un monde aussi hiérarchisé que celui des salles de marchés. "Il leur envoyait des courriels, raconte le témoin, où il racontait ses vacances. On peut penser a posteriori que ces contacts étaient intéressés." M. Kerviel a-t-il recruté un complice ? Une enquête interne est en cours, à la Société générale, où l'on n'exclut pas cette possibilité. Devant les policiers, le trader a assuré qu'il avait bénéficié d'une certaine complaisance de sa hiérarchie directe. "Je suis certain qu'il ment, affirme le témoin, l'enquête interne le démontrera." Pour les responsables de la banque, le trader était surtout "malin". Au point d'être élu "trader le plus sympa" par les gens du back-office. "Il savait attirer la compassion, poursuit le témoin, après la mort de son père, il avait gardé un an un costume de deuil." En décembre 2007, un de ses chefs lui avait demandé de prendre des vacances. "Je ne peux pas partir à cette date, c'est l'anniversaire de la mort de mon père", avait-il répondu. Son chef avait accepté le report de ses congés. "Merci de ta compréhension", avait remercié M. Kerviel. Prendre des vacances, c'était aussi accepter le risque que les contrôleurs internes puissent découvrir sa chère "martingale".

        Gérard Davet, Pierre-Antoine Delhommais et Anne Michel
        Article paru dans l'édition du 05.02.08.

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        • JK totalement coupée de la réalité...

          Une partie de la faute provient du management me semble-t'il:

          J'ai le sentiment, vu de l'extérieur, que seule la performance est encouragée, par exemple par la voie des primes...

          D'où des prises de risques inconsidérés, ou carrèment "iréelle" dans ce cas précis...

          Je me souviens d'un reportage sur un chantier navale en chine.
          Tous les matins, le chef redonnait toutes les instructions de sécurité avant le début du travail...
          Il reprenait les instructions de sécurité de base, même pour les salariés qui étaient là depuis 10 ans déjà...
          tous les matins...

          Et si à la SocGen, tous les matins on rappelait au trader les règles de bases du trader, et surtout on leur rappelait que l'argent qu'ils misent ce n'est pas le leur...
          Peut-être que ce genre "d'accident" ne serait pas arrivé, ou alors pas avec des montants si pharaonique...

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          • L'augmentation de capital de SocGen fixée à 47,50 euros/action
            Reuters
            Reuters - il y a 27 minutes

            PARIS (Reuters) - La Société générale a annoncé lundi un prix de 47,50 euros par action pour son augmentation de capital de 5,5 milliards d'euros destinée à consolider sa solidité financière après l'annonce d'une perte de trading record.
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            Dans un communiqué, la banque indique que l'opération se fera avec droits préférentiel de souscription pour ses actionnaires, quatre droits permettant de souscrire à une action nouvelle, ce qui conduira à la création de 116.654.168 actions nouvelles.

            Le prix représente une décote de 38,9% par rapport au cours de l'action Société générale vendredi en clôture et conduit à une dilution du capital de 19,9%.

            La période de souscription s'ouvrira le 21 février, jour de la publication des comptes 2007 officiels de la banque, pour s'achever le 29 au soir.

            La Société générale ajoute que, selon des données non auditées, son bénéfice net, part du groupe, 2007, s'élève à 947 millions d'euros, soit au-dessus de la fourchette 600 à 800 millions d'euros annoncée le 24 janvier.

            Elle actualise dans le même temps ses objectifs, tablant à l'horizon 2009 sur un coefficient d'exploitation compris entre 60% et 62% et un rendement des capitaux propres compris entre 19% et 20% et ce, sur la base d'un ratio Tier one en normes Bâle 1 de 8% à fin 2008, ramené progressivement à 7,5% à fin 2010.

            L'objectif de taux de distribution de 45% du bénéfice net est confirmé.

            Yann Le Guernigou

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            • sbsamy
              l'un des communiqué ajoute pertes liées au Subprimes... + 500 000 soit 5.5 milliards. A ce rythme de 500 000 millions par quinzaine, elle va vite faire faillite lol !

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              • Du nouveau sur la santé mentale du trader que le monde entier nous envie:

                http://www.tradingsat.com/actu-bourse-53423-GLE.html

                Commentaire


                • Lorsque statutairement l'on fait signer un "code de conduite" aux tradeurs et qu'aussitôt après chacun d'entre eux s'aperçoit que ce n'est pour la banque qu'une façon de se couvrir elle, que l'on rémunère les gens "à la tête du client" ou en dépit de la logique, comment s'étonner que règne une atmosphère pourrie, propice à des comportements irrationnels?

                  S'il était rare de demander une expertise pshychiatrique sous n'importe quel prétexte de la part de la Justice, par exemple à la simple demande de la partie adverse, ça se saurait.

                  De là à en conclure aussitôt, comme inquisiteur déchaîné, avant ladite expertise que l'accusé est ceci cela, "vous voyez bien que c'est une preuve", en contradiction avec les assertions précédentes, il y a un monde.

                  Je rappelle à ceux qui se trouveraient accusés de la rage avant d'être jugés qu'il n'y a pas forcément lieu d'accepter une expertise pshychiatrique à tous les coups.

                  Tout dépend, on peut y avoir intérêt, mais moi je dirais que là-dessus non plus, la mentalité de notre Justice n'y incite pas encore pour le moment, car l'affaire d'Outro n'a pour le moment, à mon avis, encore rien modifié de ce côté.

                  "Ce n'est pas parce qu'il y a un expert, un juge qui ont pu se tromper que tous les experts et tous les juges sont défaillants, car croyez-nous, la quasi totalité fait bien son boulot, et t'as qu'à y croire, et tout ça, tout ça!"

                  Eh ben si, tant qu'il n'y aura aucun garde-fous, n'importe qui peut se faire attraper par n'importe lequelk de ceux qui en ont le POUVOIR!

                  Un ami qui avait été "sommé" de se faire ainsi "expertiser" en parlait devant moi à un autre ami, médecin généraliste.

                  Comme j'avais parfaitement connaissance de sa situation et de la bassesse des manoeuvres du camp d'en face, je suis intervenu dans la conversation alors que l'on ne me demandait pas mon avis, voyant que le copain médicos ne savait pas trop quoi répondre.

                  J'ai dit: tu refuses et puis c'est tout, je ne vois pas pourquoi tu accepterais et qu'implicitement l'on en déduise que tu as peut-être un biais, que tu te sentirais ne serait-ce qu'un peu, hésitant. Tandis qu'en claquant d'entrée la porte, c'est fini, passons à la séquence suivante je vous prie.

                  Le médecin a écrit une lettre pour témoigner de l'excellente santé de notre copain et roulez jeunesse!

                  Vous n'avez pas idée de la perversion des inquisiteurs quand ils sont emmerdés pour trouver ce dont ils ont besoin pour vous attraper, qui leur permette d'aller vers leur objectif sans idée d'instruire "à décharge". Je vous conseille de ne pas leur donner le moindre doigt même s'ils font les plus belles risettes, car même si vous étiez fautifs en quelque chose, dites vous bien que vous l'êtes moins qu'eux, vu les méthodes qu'ils emploient.

                  "Nous sommes intègres, c'est scandaleux!"

                  "C'est ça, va coucher, cerbère, sinon je t'envoie toi, à l'asile!"

                  Bien sûr que le tradeur d'exception est en faute, puisqu'il a accepté de bosser dans un système d'entreprise complètement perverti, ainsi que ses petits collègues.

                  Mais que lui seul ramasse une sanction tandis que les autres sont encouragés à continuer comme si de rien n'était, NON!

                  Et jusqu'à présent, je ne vois aucun début d'examen de l'implication des véritables responsables de l'entourloupe généralisée, et il y a eu assez d'affaires "milliardaires" qui se sont soldées par des tours de passe-passe de la Justice ou des autorités qui d'ailleurs ont accentué les pertes que CA SUFFIT COMME CA!

                  On se fout du doigt du petit breton, on veut voir la lune pas cachée, monsieur le chevalier-sauveur de la Satiété Généralisée!

                  Et si le jeune est malade, eh bien croyez bien qu'il n'est pas le seul dans ce cas, ça aussi, c'est certain!

                  On a beau être ingénieur, ça ne protège pas de tout, la preuve, c'est pourquoi je préfère qu'on n'essaye pas de mettre cette jolie cape pour causer du pays, ça ira beaucoup mieux.

                  D'ailleurs les ingénieurs c'est très mal payé, de nos jours, alors je ne vois pas pourquoi la foule se prosternerait pour ceux qui ont remplacé les ouvriers spécialisés, et encore, dans l'estime générale.

                  Eh oui, maintenant c'est pas comme avant, un ingénieur. Tu le prends, tu le jettes, il obéit et puis c'est tout, ce n'est plus la crême des hommes, on lui dit de faire n'importe quoi d'absurde, chiche!

                  Et après, une fois foutu dehors, il ouvre un blog où il s'étonne de la vie, où il donne ses impressions sur la société que la Pédagogie n'avait pas pensé à lui enseigné à l'Ecole-des-Rêves-z'Enchantés".

                  "Ohhh?"

                  "Ah mais si, chacun son tour!"

                  Sauf qu'il paraît qu'on va cruellement en manquer, à l'embauche, pour 2008, alors peut-être Alcatelle va en réembaucher certains, pas encore trop vieux après les avoir viré à trente deux ans, il y a quinze ans, s'ils ne font pas la tête.

                  "De ce côté-là, ça ne risque pas, ce sont des gens très conciliants!"

                  "Tant mieux, je suis content pour eux, mais tu n'oublieras pas de leur préciser que maintenant c'est deux fois moins payé, hein?"

                  "Aucune importance, du moment qu'ils retrouvent un semblant de fierté vis-à-vis de leur entourage!"




                  On ne va pas dire que c'est le cas le plus courant, mais que ça n'existe pas, faut le dire vite.

                  Alors de là à enfoncer un collègue sous prétexte qu'il "déshonore la profession", là encore il ne faut pas se précipiter, surtout si c'est pour défendre bien pire.

                  J'espère que les guichetières et petits employés n'en sont pas encore arrivés là, mais gare à la contagion, partout, et qu'on ne me vante pas notre "culture française d'entreprise", ou alors vraiment sous forme d'exception.

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                  • kerviel, l'arbre qui cache la forêt

                    et une condamnation pour la Société Générale

                    ils sont sur tous les fronts

                    blanchiment , délit d'initiés

                    http://www.lepoint.fr/actualites-societe/la-societ...

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                    • Société Générale

                      Pour répondre à arsneufe et son analyse BNP,
                      Je propose de combattre le mal par le mal!
                      Shorter SocGen par ses propres Warrants

                      Commentaire


                      • rectification,59.95 et 0.26€

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                        • Et voilà,cloture à 59.31 (-3.09%) et produit à 0.27/0.28
                          Le trend est donc bien baissier à TCT-2 ou 3 jours-swing
                          A demain

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                          • Salut Jerôme non zut BUDFOX
                            en effet, rien n'est sur sauf les impots

                            Commentaire


                            • Citation de : BUDFOX (au 28-07-2008 15:38:41)

                              Pour répondre à arsneufe et son analyse BNP,
                              Je propose de combattre le mal par le mal!
                              Shorter SocGen



                              Bien joué Budfox, merci pour ton soutient sur le short
                              Pas pu suivre mais j'aurais bien traité GLE aussi..
                              a+

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                              • GLE :

                                En hebdo
                                Le macd fait un bas A puis il fait un deuxième plus bas B qui n’est pas confirmé par le macd.
                                Le macd repasse au dessus de sa moyenne.

                                En journalier :

                                MM20 est haussière, le marché est donc haussier et le parabolique est en dessous des cours, la tendance secondaire est aussi haussière.
                                Le macd est haussier

                                Conclusion : c’est un trend journalier haussier et non baissier.

                                Commentaire

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