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  • #61
    Agé d'une trentaine d'années, Jérôme Kerviel est le trader soupçonné d'être à l'origine de la fraude qui a coûté 4,9 milliards d'euros à la Société générale, a-t-on appris de sources proches de la banque.

    Lorsque l'on sait que l'on parle de 100.000 € comme 100 K

    Avec un nom comme KERVIEL il était prédestiné à la bourse. En effet avec KERVIEL on fait un jeu de mot style : effet de LEVIER en K € ou K olossale comme dirait l'Allemand

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    • #62
      Quelque chose ne tourne pas rond. Comment perdre 4.9 milliards d’euros sans lever le moindre soupçon?

      Par hypothèse :le trader fou (TF) a traité sur les dérivés et en particulier sur les indices internationaux.
      -Performance globale du marché : - 25% (en étant large puisque pour obtenir cette variation j’ai pris le point haut et le point bas du principal indice européen, le DJES50).
      -Effet de levier : X10 (c’est l’effet de levier sur ce type de marché).

      Engagement = E (en millions d’euros)
      E = 4 900 / 10 X 4
      E= 1 960

      Pour perdre 4.9 milliards, il faut un engagement (ou déposit pour les initiés) de près de 2 milliards d’euros. Une simple question : Comment le TF a-t-il pu engager un tel déposit et surtout régler les appels de marge astronomiques (quotidiens ou presque) sans lever le moindre soupçon ? En effet, les appels de marge sont des paiement de cash ou des cessions de titres réelles !

      Si UNE personne peut détourner 5 milliards d’euros, combien TOUT UN RESEAU peut-il détourner, 100, 200 , 1 000 milliards d’euros ?

      C’est une PERTE pour la SG, mais c’est forcément un GAIN pour la somme des contreparties ayant traité face à la SG. C’est la raison pour laquelle, le marché ne peut pas s’écrouler avec ce genre de nouvelles (rien à voir avec la crise des subprimes).
      Il ne faut pas non plus blâmer le TF, le plus grand coupable dans cette histoire, c’est peut-être les dirigeants de la SG qui n’ont pas su instaurer un vrai organe de contrôle. Je ne vais pas non plus le féliciter. Simplement, je trouverais juste que les traders qui bénéficient de bonus, puissent aussi recevoir des malus en cas de pertes. Il est anormal que pour un job qui relève du pile ou face (n’ayons pas peur des mots) on puisse gagner autant d’argent lors des bulles et ne rien risquer à leur éclatement.

      Ne soyons pas dupes, ceci n’est qu’une péripétie en comparaison avec ce qui va suivre, il faut s’attendre à des pertes encore plus vertigineuses. Ca fait froid dans le dos. Il y a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond.

      Sur le monde.fr : http://www.lemonde.fr/web/eco/depeches/0,14-0@2-3234,7-439@39-34039104,0.html?NAV1=DEP&NAV2=DEPECHES

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      • #63
        Citation de : Mr le 9 (au 24-01-2008 16:57:25)

        Agé d'une trentaine d'années, Jérôme Kerviel est le trader soupçonné d'être à l'origine de la fraude qui a coûté 4,9 milliards d'euros à la Société générale, a-t-on appris de sources proches de la banque.

        Lorsque l'on sait que l'on parle de 100.000 € comme 100 K

        Avec un nom comme KERVIEL il était prédestiné à la bourse. En effet avec KERVIEL on fait un jeu de mot style : effet de LEVIER en K € ou K olossale comme dirait l'Allemand






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        • #64
          Citation de : Roque (au 24-01-2008 11:11:14)

          Bonjour lubava,

          Tu arrives de Mars ?

          A+



          Bonsoir, Roque

          ça se voit autant?

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          • #65
            Voici le PDG de la SG après la nouvelle





            Dure réalité

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            • #66
              Mais comment peux-tu penser une 1/2 sec à la responsabilité de celui que tu nommes le "TF", sans l'aval de la haute direction ? Et + ht encore ! Il est aux ordres, oui .... C'est un fusible, pour la com...
              Les communiqués de presse ne sont là que pour amuser la galerie.

              Cliquez pour agrandir

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              • #67
                Le vrai prix de la SG :

                capitalisation boursière hier :

                36 872.22 M€ soit 30 milliards après pertes.

                dilution de l' ak 18.33% (5.5 sur 30)

                il reste 24.6 milliards à diviser par le nombre de titres et on obtient 42.78 euros.

                Il faut encore payer la connerie en terme d'image et de confiance.

                On sort à moins de 40 euros bien pesé

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                • #68
                  Citation de : sbsamy (au 24-01-2008 22:46:17)

                  Le vrai prix de la SG :

                  capitalisation boursière hier :

                  36 872.22 M€ soit 30 milliards après pertes.

                  dilution de l' ak 18.33% (5.5 sur 30)

                  il reste 24.6 milliards à diviser par le nombre de titres et on obtient 42.78 euros.

                  Il faut encore payer la connerie en terme d'image et de confiance.

                  On sort à moins de 40 euros bien pesé


                  bonsoir sbsamy,

                  en général,30% de baisse maxi dans 80% des cas. ,les 42= obj le +bas de l'élargissement.

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                  • #69



                    Pas besoin de détecteur de mensonge, pour savoir depuis quand les actionnaires majoritaires connaissaient la situation de leurs engagements dans la crise des subprimes.

                    Faut quand même pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages.

                    Et chez eux, personne n'est au courant qu'un trader bidouilleur engage, tout seul, dans son coin, plusieurs dizaines de milliards d'€, dans de la spéculation foireuse ?

                    Je leur confierai pas les noisettes de mon écureuil.


                    File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

                    On y arrivera !

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                    • #70
                      Citation de : sbsamy (au 24-01-2008 22:46:17)

                      Le vrai prix de la SG :

                      capitalisation boursière hier :

                      36 872.22 M€ soit 30 milliards après pertes.

                      dilution de l' ak 18.33% (5.5 sur 30)

                      il reste 24.6 milliards à diviser par le nombre de titres et on obtient 42.78 euros.

                      Il faut encore payer la connerie en terme d'image et de confiance.

                      On sort à moins de 40 euros bien pesé




                      On s'oriente vers une fusion BNP-SG j'en suis maintenant convaincu!

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                      • #71
                        Citation de : Yoyotte (au 24-01-2008 20:22:26)

                        Mais comment peux-tu penser une 1/2 sec à la responsabilité de celui que tu nommes le "TF", sans l'aval de la haute direction ? Et + ht encore ! Il est aux ordres, oui .... C'est un fusible, pour la com...
                        Les communiqués de presse ne sont là que pour amuser la galerie.

                        Cliquez pour agrandir




                        Je suis sceptique. En Droit il y a 2 visions des choses : la forme et le fond.
                        Sur le fond : je crois qu'on nous dit peu ou prou la vérité, même si cela parâit ubuesque.
                        Sur la forme : Je n'y crois pas. Quand j'entends parler de poses d'un montant de 40 milliards, c'est tout simplement impossible car le volume moyen sur les dérivés organisés s'élèvent à environ 75 milliards d'euros/jour, mais c'est la somme de TOUTES les opérations faites sur la planète. Il ne faut pas confondre le marché des stocks/equitys avec le forex qui est un marché bien plus énorme. Je pense que le montant des engagements était plus faible, inférieur à la perte, mais révéler au grand public qu'une banque peut perdre plus d'argent qu'elle n'en engage dans une transaction peut faire peur.

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                        • #72
                          AOF le 28/01/2008 09h44
                          SOCIETE GENERALE : Citigroup passe à Vendre

                          (AOF) - Le broker américain Citigroup a abaissé sa recommandation sur le titre Société Générale, à Vendre, contre Achat auparavant, a-t-on appris de sources de marchés.

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                          • #73
                            SG -7% : vae victis

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                            • #74
                              lE figaro "extrait"

                              Un sujet toujours tabou dans la banque
                              A.-S. C.
                              15/10/2007 | Mise à jour : 13:33 | .
                              Interrogé par l'Ifop, 86 % des salariés se déclarent favorables à la transparence quant à leur propre salaire au sein de leur entreprise. Si les commerciaux n'hésitent pas à afficher leurs gains, fussent-ils supérieurs à ceux de leur n + 1, le phénomène reste tout de même extrêmement tabou dans la banque. Une cadre de la Société générale confirme : « Dans la salle des marchés, on sait par oui dire qui gagne plus que son boss, ou, surtout, plus que Daniel Bouton. Il s'agit en général des heureux traders, sur les marchés dérivés actions (pour BNP Arbitrage et SGCIB Deai ou Calyon) mais je n'ai pas leurs noms en tête. » Plus de 11 millions par an Faute de noms, on garde des records de bonus en tête, assure un ancien de l'ENSAE passé par une grande banque. Lui, doublait simplement son salaire en bonus, pour atteindre 46 000 euros bruts. Mais il se souvient qu'un jour à Londres - où les salaires sont encore plus élevés qu'à Paris en salles de marché -, « dans une banque, les actionnaires s'étaient révoltés contre la direction après avoir appris qu'un trader star avait empoché plus de 30 millions d'euros. Ils ne supportaient pas de voir ainsi des bénéfices enlevés aux actionnaires. » Si les traders les plus riches restent, de fait, difficiles à identifier, surtout quand ils arrivent, tout jeunes, à des bonus de plus de 180 000 euros, ou même, pour les meilleurs de Paris, à 1 ou 2 millions d'euros en rémunération annuelle, les plus gros salaires de la banque finissent toutefois par s'humaniser d'un visage au fur et à mesure qu'ils montent dans la hiérarchie. En gagnant une importance statutaire, portés par la croissance des marchés financiers, les jeunes loups de la finance des années 80 ne peuvent plus se cacher, relève Olivier Godechot, chercheur du Centre d'études de l'emploi, diplômé de l'École normale supérieure et de l'Ensae. À la Société générale, la BNP ou LCL, en 25 ans, « le montant des dix plus grosses rémunérations a été multiplié par 25, pour atteindre 6 millions d'euros en moyenne au début des années 2000 », résume-t-il. Des noms reviennent régulièrement, dont on peut penser qu'ils gagnent pas loin, si ce n'est plus que leur patron. Christophe Mianné, centralien de 43 ans, qui pilote les dérivés actions à la Société générale. Jean-Pierre Mustier, X-Mines, devenu directeur général adjoint en charge de la banque de financement et d'investissement de la même banque. Membre du comité exécutif, il aura perçu au titre de 2005 une rémunération globale de 11,28 millions d'euros, dont 2,11 millions de fixe, soit bien plus que Daniel Bouton, qui, au titre de 2005, a perçu 3,3 millions d'euros, dont 2,3 de variable. Marc Litzler, directeur général délégué Calyon France (groupe Société générale), aura, lui touché un fixe de 600 000 euros, mais aussi et surtout un bonus garanti de 3,4 millions d'euros, ce qui le place également au-dessus du grand chef. À un détail près : on n'inclut pas les stock-options, outil de rémunération à plus long terme actuellement controversé, souvent réservé au PDG, voire à quelques très hauts dirigeants. On parle de bonus sonnants et trébuchants, de cash, si bien qu'à y regarder de plus près, il arrive que le PDG soit tout de même gagnant, sur une plus longue durée. Qu'il performe ou pas, puisque, en France, l'attribution des stock-options ne dépend pas de critères de performance. Même les actions gratuites, distribuées à certains cadres, le sont plutôt sur des critères de présence, contrairement à leurs vieilles cousines anglaises, les « performances shares », au nom explicite.

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                              • #75
                                J'ai une recommandation à la vente bien argumentée !
                                de la part de la Citi qui est une bonne référence.

                                Cercle Finance le 28/01/2008 11h30
                                Société Générale: Citigroup dégrade de 'achat' à 'vendre'.
                                (Cercle Finance) -


                                Citigroup indique avoir dégradé sa recommandation sur le titre Société Générale de 'achat' à 'vendre', avec un objectif de cours réduit de moitié (de 130 à 65 euros).

                                Le bureau d'études revient en détail sur l'annonce de pertes de 4,9 milliards d'euros dans les activités de trading, de nouvelles dépréciations d'actifs au titre de son exposition aux segments des créances obligataires CDO et des 'monoliners' américains et d'une augmentation de capital de 5,5 milliards d'euros.

                                'Nous ne croyons pas qu'il s'agisse d'un événement exceptionnel et nous nous attendons à ce que la branche de banque de financement et d'investissement (CIB - environ 24% des profits du groupe) soit sévèrement affaiblie dans un avenir proche, avec des conséquences dépassant les risques de court terme et les limites de l'activité de trading', expliquent les analystes.

                                Citigroup dit ne pas s'attendre à ce que l'actualité du groupe s'améliore dans l'immédiat, envisageant même de nouvelles annonces de dépréciations.

                                'En se penchant sur l'historique des cours de la Société Générale, il apparaît que l'actuel niveau de valorisation n'est pas sans précédent et nous pensons - compte tenu de la probabilité que l'environnement bancaire se détériore avant de s'améliorer - qu'il y a peu d'éléments susceptible d'empêcher le titre d'atteindre des niveaux encore plus bas', résume le bureau d'études.

                                Citigroup indique avoir abaissé de 50% ses précisions de résultats pour la branche d'environnement et de financement CIB pour les exercices 2008 et 2009, ce qui l'amène à revoir ses perspectives de BPA de respectivement 31% et 36% sur le groupe pour les deux exercices.

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