Citation de : yebta93 (au 05-09-2011 14:40:07)
Tu balances des choses comme ça sans avoir aucune idée de ce qu'il y a derrière. Tu devrais peut être modérer tes dires
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/09/05/97002-...
Citation de : yebta93 (au 05-09-2011 14:40:07)
Tu balances des choses comme ça sans avoir aucune idée de ce qu'il y a derrière. Tu devrais peut être modérer tes dires
Citation de : Foudre (au 05-09-2011 14:34:34)
Citation de : Foudre (au 04-09-2011 16:41:40)
Autre document sur le malaise du système bancaire. l'Institut de la finance internationale (IIF), le puissant lobby bancaire mondial, a "calculé que le taux moyen de provisionnement qui était nécessaire pour la dette grecque était 21%".
C'est sur ce taux que le directeur général de la Caisse des dépôts communique pour affirmer que les banques ont bien provisionné le risque grec. Or, chacun sait que le défaut grec ira bien au-delà de 35%, voire bien au-delà de 50%, et que ce ne sera qu'une étape, car la Grèce est structurellement insolvable. Les rentrées fiscales ne se font pas et l'économie est en récession. Le provisionnement des banques n'est qu'une fiction par rapport à la réalité.
On nous maintient dans une illusion de maitrise d'une situation ingérable.
La déclaration de Josef Ackermann vient à point confirmer ce message. Les banques ont des placards remplis de cadavres.
Le président du directoire de Deutsche Bank, Josef Ackermann, a également souligné que certaines banques européennes ne survivraient pas si elles devaient réévaluer la dette souveraine de leurs comptes au prix du marché.
"C'est enfoncer une porte ouverte que de dire que beaucoup de banques européennes ne survivraient pas si elles devaient réévaluer la dette souveraine de leurs comptes au niveau du marché", a-t-il ajouté.
On sait que BNP, Crédit Agricole et Société générale en font partie, et ne sont pas les seules.
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