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    TOTAL : Un résultat net ajusté record de 12,59 milliards d'euros


    Total a dégagé un résultat net ajusté record de 12,59 milliards d'euros, en hausse de 5%, en 2006. Le dividende va être augmenté de 15% à 1,87 euro par action. La compagnie pétrolière reste confiante pour l'avenir. Elle attend notamment une hausse de 6% de sa production d'hydrocarbure cette année.



    Nouveau résultat record pour Total en 2006. La compagnie pétrolière a dégagé, l'année dernière, un résultat net ajusté de 12,59 milliards d'euros, en hausse de 5%, soit 5,44 euros par action (en hausse de 7%), " tirant parti de l'environnement pétrolier, malgré les pressions sur les coûts et la baisse de 5% des productions ". En données part du groupe, le résultat net ressort à 11,77 milliards d'euros, en repli de 4%.

    Le résultat opérationnel ajusté des secteurs d'activité a atteint 25,16 milliards, en progression de 7%. Par secteur, le résultat opérationnel a progressé de 10% dans l'amont à 20,31 milliards d'euros, tandis qu'il baissait de 7% dans l'aval à 3,64 milliards d'euros. La branche chimie a pour sa part vu le résultat opérationnel ajusté progresser de 6% à 1,21 milliard. Le chiffre d'affaires annuel a lui progressé dans le même temps de 12% à 153,80 milliards d'euros. La production d'hydrocarbures a baissé de 5% à 2,35 millions de barils équivalent pétrole, en raison notamment de la baisse des prix, pour 2%, et des arrêts de production dans la région du Delta du Niger.

    Fort de ce nouveau résultat record, Total va augmenter son dividende de 15% à 1,87 euro par action, offrant un rendement de 3,5% sur la base d'un cours de 53,35 euros.

    Sur le seul quatrième trimestre, le résultat net ajusté de la compagnie pétrolière a baissé de 10% à 2,74 milliards d'euros, dépassant néanmoins les attentes des analystes qui tablaient sur un recul plus marqué de 12,8% à 2,66 milliards. Le résultat d'exploitation des secteurs d'activité a, lui, reculé de 14% à 5,45 milliards d'euros, pour un chiffre d'affaires de 36,43 milliards (-6%). La production d'hydrocarbure a baissé, au quatrième trimestre, de 2% à 2,4 millions de barils équivalent pétrole. Enfin, la marge de raffinage européenne a nettement baissé à 22,8 dollars par tonne, contre 28,7 au trimestre précédent et 45,5 un an plus tôt.

    Très attendues, les perspectives de Total sont plutôt rassurantes, tranchant avec la prudence affichée par les autres compagnies pétrolières en matière de production. Le groupe table ainsi sur une augmentation de plus de 5% par an en moyenne des productions d'hydrocarbure entre 2006 et 2010, dont une croissance de 6% en 2007. " Au-delà de 2010, le portefeuille de projets de Total offre une forte visibilité, notamment grâce aux nombreux succès de l'exploration engrangés ces dernières années et aux nouveaux grands projets dans le GNL et les huiles lourdes ", indique le groupe dans son communiqué. Un optimisme que l'on retrouve logiquement dans les propos de Thierry Desmarest, désormais président du conseil d'administration du groupe, aux Echos : " En s'y prenant bien, l'entreprise peut voir sa production progresser pendant encore 20 ans ", estime-t-il, attribuant la baisse actuelle de cette production à la surchauffe des industries pétrolières et parapétrolières qui ralentit les projets. Thierry Desmarest a passé hier les commandes de la direction générale de Total à Christophe de Margerie.

    Quant à l'environnement pour 2007, Total le juge toujours favorable " avec des prix du pétrole brut et du gaz relativement élevés et des marges de raffinage européennes comparables au niveau moyen observé en 2006 ".


    Les résultats annuels publiés aujourd'hui par Total sont supérieurs aux attentes. La compagnie pétrolière poursuit sa politique de distribution généreuse. Elle rassure surtout sur ses perspectives de production. Nous maintenons notre conseil d'achat avec un objectif de 63 euros.



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    • Citation de : ParisBrest



      Fort de ce nouveau résultat record, Total va augmenter son dividende de 15% à 1,87 euro par action, offrant un rendement de 3,5% sur la base d'un cours de 53,35 euros.





      Malgré une année 2006 qui a sousperformé le CAC 40, TOTAL m'offre un rendement de 5,57% pour un PR de 33,53 €.

      MERCI TOTAL

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      • L'année 2006 s'est effectivement soldée par une dérive latérale mensuelle.
        et matérialisée par une baisse de la volatilité.



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        • Christophe de Margerie dénonce l'idée d'une "supertaxation" des profits pétroliers
          Le nouveau directeur général de Total, Christophe de Margerie, a estimé mercredi que l'idée d'une "supertaxation" des profits pétroliers réclamée par certains était "une erreur".

          "Demander une supertaxation en France est une erreur" parce qu'elle "ne pourrait qu'aggraver la situation et rendre Total moins compétitif par rapport à ses concurrents", a-t-il estimé sur Europe-1, en prédisant néanmoins que cette taxation "n'aura pas lieu". Lors d'une conférence de presse, le DG sortant Thierry Desmaret a dénoncé cette proposition, "à cheval entre le dogmatisme et le populisme".

          M. De Margerie a assuré que Total, qui a annoncé mercredi 12,5 milliards d'euros de bénéfices en 2006, payait ses impôts selon le droit en vigueur "en priorité dans les pays où nous faisons nos revenus". L'association de consommateur UFC-Que Choisir, qui soutient cette taxe, conteste les affirmations de Total selon qui seulement 5% de ses profits sont réalisés en France et avance une estimation de 20%.

          Le Parti socialiste a affiché son intention de créer une taxe exceptionnelle sur les "superprofits" des compagnies pétrolières. AP


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          • Buffet, LCR et Dupont-Aignan pour taxer les profits de Total

            Les candidats à la présidentielle Marie-George Buffet (PCF) et Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République) ainsi que la LCR se sont prononcés mercredi pour une taxation des profits de Total, qui a annoncé un bénéfice record de 12,5 milliards d'euros pour 2006.

            http://www.boursorama.com/international/detail_act...

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              • Total: le porte-parole de Sarkozy contre une taxe exceptionnelle

                Xavier Bertrand, porte-parole de Nicolas Sarkozy pour la campagne présidentielle, s'est déclaré mercredi opposé à l'instauration d'une taxe exceptionnelle sur les profits des grandes entreprises, en réaction aux bénéfices records de Total.


                http://www.boursorama.com/international/detail_act...

                ;

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                • http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&nu...

                  Procès de l'Erika : après avoir mazouté les oiseaux, Total veut noyer le poisson
                  Le procès de la marée noire consécutive au naufrage de l'Erika, le 13 décembre 1999, s'est ouvert le 12février. Les plaignants sont essentiellement les associations représentant les communes situées sur les 400km de côtes polluées par les 30 000 tonnes de fioul lourd lâchées par l'épave.

                  Pour tenter de diluer sa responsabilité, Total a mobilisé une armée d'hommes en robes aussi noires que le fioul, mais offrant certainement de meilleurs états de service que le navire poubelle qu'était l'Erika. Ainsi le procès portera-t-il non seulement sur la responsabilité de Total, mais aussi sur la validité des certificats de navigation, la réputation de l'armateur, la rapidité de réaction des sauveteurs, voire la compétence du capitaine.

                  Mais Total était parfaitement averti de tout cela, depuis l'état du navire jusqu'à celui de la mer, depuis l'expérience de l'équipage jusqu'aux salaires qui lui étaient versés. La plus grande société privée française et cinquième groupe pétrolier au monde sait pertinemment à qui il confie ses cargaisons, dans quelles conditions, à quel prix et avec quelle marge de sécurité. On peut même supposer qu'il ne confie pas sa cargaison la plus précieuse, la vie de son PDG, à la première compagnie aérienne «low cost» venue, mais à des appareils et des équipages offrant toutes les garanties!

                  Total a donc affrété en toute connaissance de cause, pour une seule livraison, l'Erika, pétrolier à bout de souffle, muni de certificats douteux et servi par un équipage de hasard. Puis il a exigé un départ immédiat malgré le mauvais temps. Ce n'était pas de l'imprudence mais un risque calculé. Exactement le même que celui que prend n'importe quel capitaliste en laissant en fonctionnement des machines dangereuses. Le profit immédiat que le propriétaire escompte vaut bien, selon lui, le risque d'accident encouru par les travailleurs...

                  Malgré sa responsabilité évidente, fruit non pas du hasard mais d'une politique assumée, il n'est pas du tout certain que le groupe pétrolier soit condamné à réparer les dégâts. Car s'il a fallu plusieurs catastrophes pour imposer que les nouveaux pétroliers aient une double coque (mais les vieux naviguent toujours) et qu'ils soient régulièrement inspectés (mais il y a peu d'inspecteurs), il y a longtemps que les grandes sociétés sont dotées d'une double et même triple coque judiciaire, fournie et entretenue régulièrement par l'État lui-même.

                  Paul GALOIS


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                  • http://tf1.lci.fr/infos/france/justice/0,,3393962,...


                    Total refuse de payer pour les dégâts de l'Erika




                    Malgré l'annonce d'un bénéfice record en 2006, le groupe pétrolier a refusé avec vigueur mercredi de verser quoi que ce soit aux parties civiles.

                    Le président sortant de Total, Thierry Desmarest, a souligné la responsabilité de la société italienne de classification du bateau, le Rina.

                    - le 14/02/2007 - 21h25


                    Total a redoublé de vigueur mercredi au tribunal de Paris pour rejeter toute responsabilité dans le naufrage de l'Erika, d'autant que les parties civiles, en mal d'indemnisations, guignent ses profits record pour 2006. La troisième audience s'est en effet ouverte quelques heures après l'annonce par le groupe pétrolier d'un bénéfice 2006 à 12,58 milliards d'euros, le plus gros jamais enregistré par une entreprise française. Pour autant, le groupe n'entend pas reverser la moindre miette aux 70 parties civiles, collectivités bretonnes en tête, qui attendent du procès des indemnisations pour les dégâts de la marée noire de décembre 1999, dont le total dépasserait le milliard d'euros.

                    Hors audience, la députée PS du Finistère Marylise Lebranchu a dit "se mettre à la place du citoyen qui a subi de plein fouet la marée noire" et apprend les résultats financiers du groupe. "Ça l'interroge encore plus fortement quand les bénéfices sont aussi importants", a commenté l'ancienne garde des sceaux. Pour sa part, en présentant les résultats financiers, le président sortant de Total, Thierry Desmarest, a pointé du doigt la responsabilité de la société italienne de classification du bateau, le Rina, également prévenue : "Nous pensons que le Rina, en certifiant ce bateau dans un état dans lequel il n'était pas en fait et il le savait, a une responsabilité particulière".

                    Affréteur, armateur, gestionnaire : qui est responsable ?

                    L'avocat de Total, Me Daniel Soulez-Larivière, a enfoncé le clou en début d'audience, d'autant que le tribunal avait pris connaissance la veille d'une note interne dans laquelle le groupe s'inquiétait dès 1998 de ses responsabilités d'affréteur en cas de catastrophe maritime. Le "vetting", c'est-à-dire l'inspection des navires par les compagnies pétrolières, ce n'est pas "faire le travail des sociétés de classification" qui autorisent ou pas, après inspection, le bateau à prendre la mer, a-t-il insisté. Auteur de cette note interne et également prévenu en tant qu'ancien directeur des affaires juridiques du service trading/shipping de Total, Bertrand Thouillin a souligné que la compagnie n'avait pas "pour vocation à intervenir dans le suivi de l'exploitation et de la structure (du bateau) qui relève des compétences de sociétés de classification".

                    Au fur et à mesure que le tribunal s'enfonce dans les complexes structures de propriété et de gestion du navire, avec moult sociétés offshore, l'armateur Giuseppe Savarese et le gestionnaire Antonio Pollara minimisent leurs responsabilités. "J'ai toujours confié les tâches techniques à des tierces personnes car je n'ai pas les qualifications", dit l'armateur. Dans une bataille de chiffres avec le président du tribunal, il s'est défendu mercredi d'avoir été financièrement aux abois au moment du drame, argument développé par l'accusation qui lui reproche d'avoir utilisé l'Erika à outrance pour le rentabiliser. Quant au gestionnaire, certes la société Panship où il travaillait avait passé contrat pour gérer le navire et cela incluait notamment le service technique. "Mais, dit-il, je n'étais que président du conseil d'administration, à qui je devais référer. Les bateaux appartenaient aux armateurs, pas à moi, ce n'est pas moi qui commandais".

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                    • http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-867260@51-865997,0.html


                      Procès "Erika" : une note contredit la défense de Total
                      LE MONDE | 14.02.07 | 15h14 • Mis à jour le 14.02.07 | 15h14


                      Tout est parti de ce mot-là, "vetting". "Du verbe "to vet", ausculter, soigner", a expliqué le président Jean-Baptiste Parlos, qui avait décidé de lui consacrer une bonne partie de l'audience, mardi 13 février.

                      C'est que le mot tient une large place dans l'examen de la responsabilité des acteurs de la catastrophe de l'Erika, tel qu'il s'est ouvert devant la 11e chambre correctionnelle de Paris. Il vaut à Bertrand Thouilin, ex-directeur juridique de Total, d'être le seul salarié du groupe à comparaître en son nom propre pour "pollution" et "complicité de mise en danger d'autrui" au côté de son entreprise poursuivie des mêmes chefs comme personne morale.

                      A la barre, l'homme s'attarde sur les conséquences que la guerre du Kippour, en 1973, a fait peser sur les compagnies pétrolières lorsque le président l'interrompt. "Oui, mais le "vetting" ?" Le prévenu renâcle. M. Parlos insiste. "Et alors, le "vetting" ?" On y vient enfin. Dans la langue particulière du transport pétrolier, explique M. Thouilin, ce mot désigne l'activité de contrôle technique et d'évaluation des navires mise en place par les affréteurs. "Le but était d'assainir le marché et d'assurer la sécurité maritime", dit-il.

                      L'explication ne satisfait que partiellement le président qui constate que le recours, par Total, à cette activité de contrôle au début des années 1990 succède à plusieurs graves accidents maritimes dans lesquels des compagnies pétrolières étaient en cause, au premier rang desquels celui de l'Exxon Valdez. "N'existerait-il pas un lien entre ces catastrophes et le développement du "vetting" ? s'enquiert-il. Je vais vous rappeler ce que vous en disiez vous-même."

                      Du dossier, le président extrait alors un document saisi dans les jours qui avaient suivi le naufrage de l'Erika, en décembre 1999, au siège de la compagnie pétrolière. Il s'agit d'un long article signé de l'ancien directeur des services juridiques et publié dans un journal interne en 1998. M. Parlos en détache chaque mot.

                      "PRÉMONITOIRE"

                      "Même en l'absence de texte, la responsabilité d'un affréteur peut toujours être recherchée sur le terrain délictuel ou quasi délictuel pour faute ou négligence dans le choix du navire", écrivait Bertrand Thouilin. "Il y a une tendance générale des juges à mettre en cause la responsabilité des "donneurs d'ordre" en matière de transports", expliquait-il en évoquant l'épisode récent d'un accident maritime à Marseille "dans lequel nous avons dû faire face à une enquête très serrée de l'expert judiciaire".

                      "En cas de sinistre majeur, il faut prendre garde aux tentations de la "deep pocket" : dans un milieu où il y a beaucoup d'intervenants insolvables, le risque est grand de voir les juges se livrer, en l'absence de texte, à des contorsions juridiques pour mettre en cause celui qui dispose de la puissance économique et qui peut faire face aux réclamations, c'est-à-dire le propriétaire de la cargaison", poursuivait le texte.

                      Enfin, concluait le directeur juridique, "l'histoire des catastrophes pétrolières a largement démontré que l'impact médiatique d'un accident peut porter un préjudice fatal à l'entreprise : la règle médiatique est souvent plus impitoyable que la règle de droit". "Je pense que nous sommes nombreux à attendre vos explications sur cette note", indique le président. "C'était... disons... prémonitoire !", souffle Bertrand Thouilin, en s'efforçant aussitôt de dissiper les interprétations fâcheuses de sa plume.

                      "Il ne s'agit absolument pas d'une note d'instruction, mais d'information purement interne, une sorte d'article pédagogique destiné aux affréteurs", explique-t-il. "Le juriste que vous êtes a bien conscience que, dans cette enceinte, tout ce que vous avez écrit a du poids", insiste le président. "Mais je ne pensais pas du tout aux responsabilités d'ordre pénal !", réplique le prévenu.

                      Le vice-procureur, Laurent Michel, semble goûter l'épisode qui met à mal la stratégie de défense de Total, réfutant toute responsabilité dans la catastrophe de l'Erika : "Je ne relève qu'un point inexact dans votre note. C'est que vous seriez jugé selon des "contorsions juridiques". Je voudrais vous rassurer sur ce point, monsieur."

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                      • http://ile-de-groix.info/article.php3?id_article=10230


                        Procès Total : Quelle était la nature de la cargaison ?
                        mercredi 14 février 2007 - 18:22

                        L’émission « Pièces à conviction » de France 3, du 26 janvier dernier, a rappelé qu’un laboratoire indépendant, Analytika, avait dès janvier 2000, affirmé que le produit arrivé sur le littoral n’était pas du fioul n°2, mais une substance très proche des boues de forage..../...
                        « Depuis l’émission de France 3, des dizaines de personnes nous appellent chaque jour pour évoquer des problèmes de santé », explique Rossano Pulpito, président de l’Assocation des bénévoles de l’Erika (ABE).
                        « Mon fils a effectué son service militaire dans l’armée de l’air à Orléans à l’époque où l’Erika s’est échoué, peut-on lire sur le site de l’ABE . L’armée l’a envoyé quinze jours nettoyer sans masque les plages de l’ile de Groix. Peut-il bénéficier d’un suivi médical approprié sachant qu’il se rend régulièrement chez une dermatologue maintenant pour des problèmes de peau ? ».../...
                        L’ABE, et le Collectif anti-marées noires de Saint-Nazaire et du littoral recensent « tous ceux qui ont été au contact des hydrocarbures, dans le but d’exiger une étude épidémiologique, ainsi qu’un suivi médical des personnes concernées ».
                        Les deux associations n’ont pas souhaité se porter parties civiles au procès de l’Erika, parce qu’elles estiment que la toxicité du pétrole de l’Erika ne sera pas directement évoquée à l’audience. Elles ont décidé en revanche de porter plainte, à la fin du mois de février, contre les préfets concernés par la marée noire et contre Total. Pour ce faire, elles ont saisi les tribunaux de grande instance de Quimper, Vannes, Saint-Nazaire, Sables-d’Olonne et de la Rochelle. « Les autorités se devaient de nous prévenir du caractère cancérigène de ce produit », concluent-elles.

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                        • Citation de : ParisBrest

                          Citation de : ParisBrest



                          Fort de ce nouveau résultat record, Total va augmenter son dividende de 15% à 1,87 euro par action, offrant un rendement de 3,5% sur la base d'un cours de 53,35 euros.





                          Malgré une année 2006 qui a sousperformé le CAC 40, TOTAL m'offre un rendement de 5,57% pour un PR de 33,53 €.

                          MERCI TOTAL




                          Oui, MERCI TOTAL

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                          • Total vise une rentabilité à 20% à long terme (Margerie)
                            Le nouveau directeur général du groupe pétrolier français Total, Christophe de Margerie, a estimé que la rentabilité actuelle du groupe, à 35%, n'est "pas tenable", mais qu'elle devrait se maintenir au dessus de 20% "de façon pérenne", selon le site internet du Figaro.

                            http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_...

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