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  • http://www.pro-at.com/analyse-bourse/technique-EUR...

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    • Merci

      Citation de : ParisBrest (au 28-09-2007 17:52:01)

      http://www.pro-at.com/analyse-bourse/technique-EUR...


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          • Citation de : ParisBrest (au 28-09-2007 10:10:42)



            POST DU 17.11.06





            Bien que je l'avais anticipée, je n'ai pas joué la baisse du pétrole et au contraire je cherche à accumuler sur des multiples de 5 (50 - 45 - 40) , sans trop me focaliser sur les graphiques.


            POST DU 30.03.07






            POST du 28.09.2007









            Toujours plus haut...




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            • C'est beau!




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              • total short à surveiller

                double top sur tendance bear...

                surveiller cassure de la neck ligne

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                • Les volumes sont constants, sa risque d'être compromis ....
                  Cliquez pour agrandir

                  ... Mais le MACD croise la ligne de cou a la baisse
                  pas d'indication particulière sur le RSI

                  Commentaire


                  • Tout le monde a touché son accompte sur dividende ??
                    Toujours un grand moment d'émotion

                    Visiblement vous êtes nombreux à l' avoir aussitôt réinvesti dans FP...




                    ...alors ne me dites pas que vous en aviez besoin pour faire le plein d'essence!

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                    • Proposition de dividende 2007 à 2,07 euros par action,

                      en hausse de 11% (23% en dollars3)

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                      • AFP le 13/02/2008 18h32
                        Total a dégagé d'importants bénéfices en 2007 grâce à la flambée du brut


                        Total a dégagé comme attendu d'énormes bénéfices en 2007 grâce à la flambée des prix du brut et s'est distingué de ses concurrents par une hausse de sa production, seule manière à ses yeux de répondre à la demande voire de modérer la hausse des prix.

                        Le groupe pétrolier a dégagé en 2007 un bénéfice net ajusté, chiffre de référence du secteur, de 12,203 milliards d'euros, en baisse de 3% par rapport au record de 2006 de 12,585 milliards.

                        Total a été pénalisé par la faiblesse du dollar, alors que le groupe français dépense en euros et vend son pétrole en dollars.

                        Ce bénéfice reste cependant le plus gros enregistré en 2007 par une entreprise française, et atteint un record en dollars, en hausse de 6% à 16,723 milliards de dollars.

                        Non ajusté, soit avec les éléments exceptionnels, il augmente de 12% et dépasse les attentes des analystes, à 13,181 milliards d'euros.

                        Le marché n'a pas été surpris par ces résultats, si bien que l'action Total a terminé en baisse de 0,10% à 49,45 euros dans un marché en hausse de 0,30%.

                        Ce sont "les meilleurs résultats parmi les majors", s'est félicité le directeur général de Total, Christophe de Margerie.

                        Comme ses concurrents, Total a profité de la flambée des prix du baril de brut, qui ont frôlé à New York les 100 dollars fin novembre, avant de franchir ce seuil début janvier. Si bien que son bénéfice du quatrième trimestre a bondi de 14%.

                        Le quatrième groupe pétrolier mondial (avec l'américain Chevron) s'est en revanche distingué des autres "majors" en augmentant sa production de 1,5% à 2,391 millions de barils par jour, alors que ses concurrents ont tous accusé une baisse en 2007.

                        La hausse a été portée par "la montée en puissance" du champ de Dalia en Angola, et "les démarrages réussis" des projets Rosa en Angola et Dolphin au Moyen-Orient. Elle se poursuivra de manière "significative" en 2008, même avec un baril à 80 dollars, grâce à ces projets et aux ventes de gaz naturel liquéfié, selon Total.

                        Total a aussi confirmé sa prévision d'une hausse de sa production de 4% par an en moyenne sur 2006-2010.

                        Augmenter la production est essentiel aux yeux de Total pour répondre à une demande croissante en énergie, voire juguler la hausse des prix, mais reste une gageure quand toute hausse de prix du brut se traduit par une perte en volume dans les contrats de partage de production et quand certains Etats nationalisent leurs ressources pétrolières.

                        "Ce qui manque sur le marché, ce sont des capacités de production. Ce n'est pas un problème de réserves", a souligné le patron de Total, qui prévoit aussi d'augmenter de près de 19% ses investissements en 2008, à 19 milliards de dollars.

                        La CGT a demandé que Total, au lieu de "privilégier" l'exploration production, "investisse dans l'ensemble de ses raffineries françaises" pour préserver l'emploi.

                        "Les prix du pétrole resteront élevés" et "ce n'est pas avec les marges à la pompe qu'on va régler le problème" mais en parvenant à "plus d'énergie produite", a expliqué M. de Margerie, alors que les records du brut engendrent régulièrement une polémique en France sur les prix des carburants.

                        L'association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui accuse Total, premier distributeur de carburants en France, de ne pas suffisamment modérer ses prix à la pompe, a réclamé mercredi une "contribution citoyenne" des groupes pétroliers pour compenser "l'inflation continue" du prix des carburants.

                        M. de Margerie a assuré que Total avait "tenu ses engagements" à modérer la hausse des prix des carburants, comme il s'y était engagé en novembre lors d'une table ronde au ministère de l'Economie.

                        Alors que l'ONG des Amis de la Terre a qualifié de "très mauvaise nouvelle" une hausse de la production "à l'heure de l'urgence écologique et climatique", M. de Margerie a promis de devenir un groupe "propre", grâce à une "montée en puissance" de nouvelles ressources, comme le gaz, l'énergie solaire, ou le captage du CO2.

                        Il n'a pas exclu de se lancer dans un autre projet nucléaire après le partenariat conclu avec les groupes français Suez et Areva pour proposer deux réacteurs EPR aux Emirats.

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                        • Citation de : ParisBrest (au 29-10-2007 15:57:48)

                          Citation de : ParisBrest (au 28-09-2007 10:10:42)



                          POST DU 17.11.06





                          Bien que je l'avais anticipée, je n'ai pas joué la baisse du pétrole et au contraire je cherche à accumuler sur des multiples de 5 (50 - 45 - 40) , sans trop me focaliser sur les graphiques.







                          J'ai un peu délaissé le suivi de ce produit...d'avenir!!






                          Pourtant nous avons allègrement dépassé les 100% sur les plus bas de janvier 2007....sans trop d'inquiétude à vrai dire...



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                          • Tout va bien...

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                            • PRIVATISATION - A contre-courant, l'Etat mexicain souhaite ouvrir le capital de sa société pétrolière aux privés. La gauche se mobilise.

                              Une marée humaine s'est déversée dimanche sur le centre de Mexico. Par dizaines de milliers, les habitants de la capitale mexicaine ont convergé sur la place du Zocalo pour défendre «leur» compagnie pétrolière Pemex. A contre-courant de la Bolivie, du Venezuela ou de l'Equateur, qui viennent de renforcer leur contrôle sur l'or noir, le gouvernement de Felipe Calderon propose une privatisation partielle de Petroleos Mexicanos (Pemex), entreprise symbole de la Révolution mexicaine. La manifestation avait été convoquée par le Mouvement pour la défense du pétrole, formé notamment par la coalition de partis soutenant Andrés Manuel López Obrador, ancien maire de Mexico et candidat malheureux à l'élection présidentielle de 2006.


                              Parlement assiégé

                              Vêtus de blanc ou en tenues d'ouvriers du pétrole, les manifestants ont défilé sans incident sur les principales avenues du centre avant d'assister à un meeting sur le Zocalo.

                              La marche faisait suite à une autre mobilisation intense au coeur de la capitale. Durant seize jours, des «brigades» composées de femmes ont bloqué l'accès au Parlement mexicain. Une action résolue qui a permis d'arracher aux partis de droite un «grand débat national» sur la réforme des hydrocarbures.
                              Pour l'heure, le projet est étudié en commission sénatoriale. La consultation devrait ensuite durer quelque deux mois. La gauche exige qu'elle soit ensuite sanctionnée par un référendum.

                              Troisième fournisseur US

                              Sixième producteur mondial de pétrole, le Mexique et sa société Pemex attisent la convoitise de nombreuses majors, en ces temps de raréfaction de l'or noir et alors que les Etats se montrent toujours plus réticents à abandonner le contrôle de leurs réserves. Avec ses onzièmes réserves prouvées, et une importante capacité de raffinage, Pemex représente l'une des plus belles promises sur le marché. L'affaire est d'autant plus sensible que la proximité géographique fait du Mexique le troisième pourvoyeur des Etats-Unis.
                              Nationalisée en 1938 par le fameux président Lázaro Cárdenas, Pemex est demeurée longtemps intouchable aux yeux de nombreux Mexicains. Son caractère public est d'ailleurs inscrit dans la Constitution mexicaine.
                              Il aura fallu trois ans consécutifs de baisse de la production pour que le gouvernement ose s'attaquer de front au dossier, justifiant l'ouverture de Pemex aux privés par le besoin d'investissements urgents.


                              Soixante milliards

                              L'argumentation est balayée par la gauche, qui dénonce une mise en scène comptable visant à faire accepter une réforme pétrolière préparée de longue date. Les opposants à la privatisation rappellent que, chaque année, Pemex verse plus de 60 milliards de dollars à la caisse publique, soit plus du tiers des revenus publics nationaux.

                              Surtout, met en garde M. López Obrador, le Mexique perdrait sa maîtrise des secteurs stratégiques que sont «l'exploration, le forage, le raffinement, la pétrochimie, le transport, les oléoducs et le stockage de produits pétroliers».

                              Chávez pointe son nez

                              A demi-mot, il accuse M. Calderon – ancien ministre de l'Energie – de vouloir brader la souveraineté mexicaine et d'offrir cette manne «à des personnes privées nationales et étrangères».

                              Le refus du président mexicain d'étudier les propositions du Brésil et du Venezuela semble confirmer que les acheteurs sont d'ores et déjà désignés. En effet, Lula da Silva et Hugo Chávez ont tous deux proposé d'associer leurs compagnies publique et parapublique à Pemex, afin de l'aider dans son développement, tout en la maintenant dans la sphère publique. Sans obtenir de réponse. I

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                              • Citation de : ParisBrest (au 10-05-2008 14:41:12)



                                Tout va bien...






                                Tout va toujours très bien...



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