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  • #61
    Les Bourses européennes ont terminé en net rebond mercredi, aidées par un nouveau repli de l'euro et par l'annonce par Metro et LafargeHolcim de dividendes en hausse.

    À Paris, l'indice CAC 40 a terminé en hausse de 1,51% (72,71 points) à 4.892,99 points. Le Footsie britannique a pris 0,96% et le Dax allemand 2,15%, tandis que l'indice EuroStoxx 50 a progressé de 1,54% et le FTSEurofirst 300 de 1,43%, effaçant leurs pertes des deux premiers jours de la semaine.

    A la clôture en Europe, les grands indices américains affichent de légers gains, de 0,1 à 0,2%, après la publication d'indicateurs qui tendent à confirmer une reprise modérée de l'économie américaine, et donc l'hypothèse d'un relèvement des taux de la Réserve fédérale dès le mois prochain.

    Après deux séances de repli, les inquiétudes suscitées par la chute d'un chasseur-bombardier russe, abattu mardi par les forces turques près de la frontière syro-turque, semblent être passées momentanément en arrière plan.

    Tous les indices sectoriels sont dans le vert à l'exception de celui des ressources de base qui a perdu 1,32% dans le sillage des matières premières.

    Aux valeurs individuelles, le cimentier franco-suisse LafargeHolcim a pris 4,29% et le distributeur allemand Metro 5,81% après avoir tous deux relevé leur dividende.

    L'euro, est brièvement passé sous la barre des 1,06 dollar, au plus bas depuis sept mois, avant de se stabiliser autour de 1,0617 dollar, en réaction à une dépêche de Reuters évoquant de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire envisagées par la Banque centrale européenne (BCE), parmi lesquelles une ponction progressive sur les liquidités déposées par les banques et l'amplification du programme d'achats de titres en cours..

    A l'inverse, le dollar, dopé en outre par une forte hausse des commandes de biens durables et projets d'investissement des entreprises américaines en octobre, a atteint ses plus hauts niveaux en huit mois face à un panier de devises de référence.

    Les rendements des obligations allemandes et françaises à deux ans, déjà largement en territoire négatif, ont plongé à de nouveaux plus bas record. L'écart entre les rendements à deux ans américains et allemands est passé à son plus haut niveau en neuf ans, de 134 points de base.

    Une vision totalement nouvelle des situations macroéconomiques est necessaire
    Régulièrement les marchés changent de comportement ( arrivée internet, cfds, etc... )
    Une interdépendance particulière est désormais à l'oeuvre entre les politiques monétaires et les indices, par le biais et de la monaie et du jeu obligataire

    la dimension conflictuelle, est elle aussi devenue plus récurente
    Timing and conviction preparedness is everything
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    " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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    • #62
      test

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      • #63
        "Maintenant que la Fed est derrière nous et qu'il ne reste plus que quelques séances avant Noël, nous pourrions assister au traditionnel rally de fin d'année. La nouvelle année devrait encore une fois être assez volatile car les marchés vont commencer à anticiper la prochaine hausse de taux", note Philippe Gijsels, responsable de la recherche chez BNP Paribas Fortis Global Markets.

        La Fed a relevé ses taux mercredi pour la première fois en près de 10 ans en exprimant sa confiance dans le fait que l'économie américaine avait désormais largement surmonté les conséquences de la crise financière de 2007-2009.

        La banque centrale a souligné que cette hausse de taux était une première étape d'un resserrement "progressif" de sa politique monétaire et qu'elle surveillerait avant tout l'inflation avant de décider d'un nouveau relèvement des taux.

        Le ton très accommodant de la présidente de la Fed, Janet Yellen, a rassuré les investisseurs, qui avaient par ailleurs déjà largement anticipé la hausse de taux. En revanche, l'absence de précision sur la prochaine hausse de taux, Janet Yellen étant restée très floue sur le sujet, limite les gains du dollar.

        "La hausse des taux aux Etats-Unis était inévitable. La Fed aurait pu choisir une augmentation de 10 à 15 points de base, elle a choisi d'agir fortement avec un relèvement de 25 points de base, envoyant ainsi le message que l’économie américaine est en bonne santé et solide", écrit Saxobank.
        donc à suivre fort, inflation, chômage, dépense conso, stock

        et on s'assoie royalement sur le petrole....
        jusqu'à preuve du contraire
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        • #64
          JANVIER 2016

          QQs bons chiffres des USA, avec Petrole demi teinte, + de stock raffinés, moins de petrole brut

          Ce jour, Europe


          04:30 ZAR Business Confidence (Dec) 79.6 82.7
          05:00 EUR French 10-Year OAT Auction 0.95%
          05:00 BRL IGP-DI Inflation Index (MoM) (Dec) 0.44% 0.43% 1.19%
          05:00 EUR Business and Consumer Survey (Dec) 106.8 106.1 106.1
          05:00 EUR Business Climate (Dec) 0.4 0.4 0.4
          05:00 EUR Consumer Confidence (Dec) -6.0 -6.0 -5.9
          05:00 EUR Consumer Inflation Expectation (Dec) 3.6 3.7
          05:00 EUR Selling Price Expectations (Dec) -3.0 -0.7
          05:00 EUR Services Sentiment (Dec) 13.0 13.0 12.8
          05:00 EUR Industrial Sentiment (Dec) -2.0 -3.0 -3.2
          05:00 EUR Retail Sales (YoY) (Nov) 1.4% 2.0% 2.4%
          05:00 EUR Retail Sales (MoM) (Nov) -0.3% 0.2% -0.2%
          05:00 EUR Unemployment Rate (Dec) 10.5% 10.7%
          Pas géant, not too bad
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          • #65
            Start of Result season


            Linde, gaz industriels

            Données financières (€)
            CA 2015 18 004 M
            EBIT 2015 2 284 M
            Résultat net 2015 1 222 M
            Dette 2015 8 081 M
            Rendement 2015 2,70%

            CA 2016 18 312 M
            EBIT 2016 2 349 M
            Résultat net 2016 1 360 M
            Dette 2016 7 445 M
            Rendement 2016 2,90%

            PER 2015 18,82
            PER 2016 16,80
            VE / CA 2015 1,74x
            VE / CA 2016 1,67x
            Capitalisation 23 217 M
            125, deb rebond ? retenue 127

            E.ON electricite et gaz
            CA 2015 110 523 M
            EBIT 2015 3 816 M
            Résultat net 2015 -2 527 M
            Dette 2015 11 235 M
            Rendement 2015 6,33%

            CA 2016 110 513 M
            EBIT 2016 3 804 M
            Résultat net 2016 1 473 M
            Dette 2016 10 694 M
            Rendement 2016 6,18%

            PER 2015 -
            PER 2016 10,58
            VE / CA 2015 0,25x
            VE / CA 2016 0,24x
            Capitalisation 16 106 M
            8 €
            vilaine config, pas trop en forme, terrible chapeaux de 8.5 à 9, bien baissier possible, pas haussier facile
            Bryan Garnier réitère sa recommandation 'achat' et sa valeur intrinsèque ('fair value') de 19 euros sur Engie, à l'occasion de la mise en place de la nouvelle organisation interne du groupe énergétique, nouvelle organisation que le broker voit d'un bon oeil.
            Engie : Bryan Garnier salue la nouvelle organisation. | Zone bourse

            Deutsh Luftansa
            CA 2015 32 003 M
            EBIT 2015 1 801 M
            Résultat net 2015 1 531 M
            Dette 2015 4 067 M
            Rendement 2015 3,41%

            CA 2016 32 733 M
            EBIT 2016 1 900 M
            Résultat net 2016 1 236 M
            Dette 2016 3 757 M
            Rendement 2016 4,27%

            PER 2015 4,62
            PER 2016 5,38
            VE / CA 2015 0,34x
            VE / CA 2016 0,33x
            Capitalisation 6 931 M
            PER FAIBLE, 15, hausse + supports, blocage tempo

            COMMERZBANK
            CA 2015 9 797 M
            EBIT 2015 2 525 M
            Résultat net 2015 1 011 M
            Dette 2015 -
            Rendement 2015 2,26%

            CA 2016 9 772 M
            EBIT 2016 2 537 M
            Résultat net 2016 1 234 M
            Dette 2016 -
            Rendement 2016 3,51%

            PER 2015 10,14
            PER 2016 8,20
            Capi. / CA 2015 1,11x
            8.5, pas beau du tout reb. CT poss., très vilain ( double gap )

            Bayerische Motoren Werke (BMW)
            CA 2015 90 979 M
            EBIT 2015 9 497 M
            Résultat net 2015 6 143 M
            Dette 2015 736 M
            Rendement 2015 4,14%

            CA 2016 94 119 M
            EBIT 2016 9 699 M
            Résultat net 2016 6 379 M
            Trésorerie 2016 77,8 M
            Rendement 2016 4,08%

            PER 2015 8,84
            PER 2016 8,54
            VE / CA 2015 0,60x
            VE / CA 2016 0,57x
            Capitalisation 53 927 M
            - 13 % en 5 jours, 82, assez vilain, suspendu middle of nowherre, accélération baissière majeure vient d'avoir lieu, 79 voire 76 pas forcément idiot, rebond toléré, mais pas trop sous 87, grosse zone Rhs
            C1 touchée, semble break down ETE en cours, 79 alors en vue

            BASF, ACH! Chimical !
            CA 2015 71 288 M
            EBIT 2015 7 140 M
            Résultat net 2015 4 427 M
            Dette 2015 12 734 M
            Rendement 2015 4,53%

            CA 2016 63 860 M
            EBIT 2016 7 160 M
            Résultat net 2016 4 521 M
            Dette 2016 11 334 M
            Rendement 2016 4,70%

            PER 2015 13,01
            PER 2016 12,79
            VE / CA 2015 1,00x
            VE / CA 2016 1,09x
            Capitalisation 58 489
            PER raisonnable, evolution attendue, vers 63.8, forme ETE KCée pas claire, si oui, 59, belle cible validé, possibilité rebond entières, surtout si >> 645 vers 67

            DAX
            poss accélération vendeuse en arrivée, pas forcément décisive, 9916 VIP, rappel de 9427, niveau Epaule ETE décrite en cible
            9800 semble offrir egalement un support poss., valide >> 10200 si echec belle conf. ( pensée bris epaule/ETE possible, voire privilégié actuellement par forme d'extrapolation perso ) 10 300 100 400 n'offrent guère de meilleure guaranties, presque les mêmes en fait
            10 500 10 600 forts bloquants


            CONCLUSION
            apparemment, on ne va pas s'en sortir comme çà, il faut etudier encore qqs poids lourds HEIDELBERGCEMENT offre encore perspectives, en 70 last chance saloon 68.4. si des lourds comme çà lâchent, first etape, le cou
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            • #66
              ALCOA

              Le producteur de métaux, qui donne traditionnellement le coup d'envoi de la saison des résultats trimestriels à Wall Street, a annoncé une perte au T4 de 500 millions de dollars, soit 39 cents par action, à comparer à un bénéfice net de 159 millions de dollars (11 cents par action) un an plus tôt.

              En excluant les charges pour fermetures de sites et impôts, Alcoa aurait dégagé un bénéfice de 65 millions de dollars (4 cents par action), soit supérieur au consensus de 2 cents par action. L'action progressait de 2% dans les échanges d'après-Bourse.

              Alcoa a annoncé la semaine dernière la fermeture définitive de sa fonderie de Warrick, à Evansville dans l'Indiana, dernière réduction de capacité en date aux Etats-Unis face à la chute des cours du métal blanc.

              Les cours de l'aluminium ont chuté de 18,6% en 2015 sur le London Metal Exchange et évoluent actuellement autour de 1.460 dollars la tonne, pas loin d'un plus bas de six ans et demi, en raison du ralentissement de la demande en Chine, le premier consommateur mondial.

              Alcoa compte également fermer deux fonderies dans l'Etat de Washington d'ici la fin mars.
              Ils on un deal avec General motors.
              11 à 4, plus de -60%, si on reste optimiste
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              • #67
                C'est party , Frst 2016 results season
                INTEL, happyness
                Intel Corp's strong quarterly profit beat was overshadowed by concerns about slowing revenue growth in its highly profitable data center business, sending its shares down about 5.6 percent in after-market trading.
                74 vs 63, dans comme ou làalà çà va pas !!
                La marge brute a en revanche diminué de 1,1 point comparativement au quatrième trimestre précédent à 64,3%.

                Sur le plan de l'activité, Intel a bénéficié de la vigueur des ventes d'objets connectés, lesquelles ont grimpé de 6% et de 7% sur l'ensemble de l'exercice. Celles-ci ne représentent cependant que 6% des revenus totaux, a rappelé Aurel BGC dans une note.

                Autre bonne nouvelle: les ventes de processeurs pour PC ont affiché une belle résistance, ressortant stables sur les 3 derniers mois de l'année à 8,8 milliards de dollars.

                Celles de processeurs pour les data centers se sont en revanche révélées décevantes à 4,3 milliards de dollars, contre 4,43 milliards prévus par le marché.

                Enfin, en termes de perspectives, Intel cible un chiffre d'affaires compris entre 14 et 14,1 milliards de dollars au titre du trimestre en cours, contre 13,89 milliards escomptés par les analystes. La marge brute ajustée est quant à elle prévue autour de 62%.
                et

                en fait çà va très bien à part çà :
                revenue of $4.31 billion in the fourth quarter ended Dec. 26, missing consensus estimate of $4.42 billion,

                JPMorgan, happyness
                Intel Corp's strong quarterly profit beat was overshadowed by concerns about slowing revenue growth in its highly profitable data center business, sending its shares down about 5.6 percent in after-market trading.

                JPMorgan Chase & Co (JPM.N) ended the year with a better-than-expected quarterly profit, helped by cost cuts and a smaller legal bill, and expressed confidence about its businesses in 2016 despite a grim start for stocks and energy prices.
                Best Buy pas cool
                Best Buy lowers sales outlook after holiday sales drop | Reuters
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                • #68
                  ..
                  Un porte-parole de la BCE a dit dimanche que celle-ci s'inquiétait auprès de certaines banques de la zone euro du niveau élevé de leurs créances douteuses et sollicitait des informations à ce sujet. Fin 2014, le stock de créances douteuses de la zone euro atteignait 932 milliards d'euros, soit 9,2% de son PIB, selon les dernières estimations du Fonds monétaire international (FMI).

                  Cet élément est l'un parmi d'autres cités par les traders pour expliquer le coup de bambou du secteur bancaire européen aujourd'hui mais ces derniers n'ont pas de diagnostic tout fait. Ils s'accordent toutefois sur le fait qu'un manque de liquidité du secteur amplifie sa faiblesse.

                  Un courtier remarque que le marché est nettement porté à la vente sur le secteur bancaire européen, seuls les fonds spéculatifs se positionnant pour racheter à bon compte. Un autre observe que la faiblesse du secteur bancaire est amplifiée par une grosse position à découvert sur les options de l'indice Stoxx 600 des bancaires.
                  Elles sont suivies de Casino, qui descend de 8,44%, après que Standard & Poor's a menacé au cours du week-end de reléguer en catégorie "spéculative" la note de crédit du distributeur français.
                  bon, il faut savoir que Casino vient d'entreprendre 1 vente d'actif en Asie qui pourrait renflouer une bonne partie de sa dette
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                  • #69
                    bon çà c mieux

                    6.8 pour la Chine, en ligne.
                    Stupides tous ces gens qui attendent une croissance perpétuelle !! j'arrête pas d'halluciner devant la bêtises des plus grandes têtes pensantes politiques et economiques

                    Si vous faisiez de même, vous vous feriez engueuler, et à juste titre, de ne pas profiter d'une situation positive pour organiser le départ vers le prochain cycle.
                    L'Allemagne devrait penser dès aujourd’hui à l'atterrissage de l'économie chinoise ; elle aurait déjà du commencer à y penser, en fait.
                    C vrai que le monde va trop vite pour l'humanité, qui aime une stabilité et un conservationniste.
                    Trop vite pour l'industrie, machine lourde, trop vite pour l'économie de fond, qui a besoin de temps, comme toute chose, pour porter ses fruits, trop vite pour les peuples, dépassés, et s'accélérant encore en termes de recherches et innovations.
                    Je suis ingénieur d'études, mais je crois qu'il faut un temps pour tout, et donc un temps pour développer, entériner, et un temps pour s'arrêter et profiter du spectacle du travail accomplit.
                    Plus personne n'en a le loisir, le maçon saute d'une maison à l'autre, le chercheur d'un projet à l'autre, les gens d'une chaîne télé à l'autre, d'un site touristique à l'autre, etc... etc....

                    en relisant, je me demande si ce n'est pas pour çà que plus grand monde ne fait de bon travail, entre les pressions de timing, et le fait qu'on n'a pas le temps d'apprécier son boulot

                    Plusieurs autres indicateurs publiés en même temps que les statistiques du PIB suggèrent cependant que la deuxième économie mondiale s'est essoufflée en décembre malgré une année de mesures de soutien gouvernementales.

                    La production industrielle a augmenté le mois dernier de 5,9% en rythme annuel, soit une hausse inférieure aux attentes, après une augmentation de 6,2% en novembre.

                    Les ventes au détail ont grimpé de 11,1% en décembre par rapport à décembre 2014, mais moins que la hausse de 11,3% attendue par les marchés et que celle de novembre (+11,2%).

                    Les investissements en actifs fixes ont augmenté de 10,0% en 2015 par rapport à 2014, ce qui là encore est en deçà du consensus.

                    Lundi, la statistique des prix immobiliers avait fait état d'une hausse de 1,6% en décembre 2015, nouveau signe de l'amélioration du marché du logement, qui représente environ 13% du PIB.

                    Mais il subsiste un énorme excédent de maisons invendues qui implique que le secteur reste déséquilibré et qu'une véritable reprise n'est pas anticipée cette année.
                    Les données publiées mardi confortent l'hypothèse d'un ralentissement en douceur de l'activité chinoise, sans signe d'atterrissage brutal.
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                    " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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                    • #70
                      C'est party , Frst 2016 results season
                      INTEL, happyness


                      74 vs 63, dans comme ou làalà çà va pas !!
                      et

                      en fait çà va très bien à part çà :


                      JPMorgan, happyness
                      Intel Corp's strong quarterly profit beat was overshadowed by concerns about slowing revenue growth in its highly profitable data center business, sending its shares down about 5.6 percent in after-market trading.



                      Best Buy pas cool
                      Best Buy lowers sales outlook after holiday sales drop | Reuters

                      Deutsche BANK, çà! c'est fait !
                      Deutsche Bank a annoncé mercredi soir qu'elle s'attendait à dégager une perte nette record de l'ordre de 6,7 milliards d'euros sur l'année 2015, en raison de dépréciations, de coûts de restructuration et de charges liées à des litiges.
                      "C'est la première perte annuelle depuis 2008, ce qui est navrant", a dit John Cryan mercredi, dans une lettre au personnel.
                      Total (FP.FR)
                      devrait publier un résultat net ajusté proche de 10 milliards de dollars en 2015, en baisse par rapport aux 12,8 milliards de dollars de l'exercice précédent
                      Les analystes anticipent un résultat net ajusté de 9,97 milliards de dollars pour Total en 2015, en baisse de 22% sur un an, selon FactSet.
                      Goldman posts smallest profit in four years; revenues top estimates | Reuters
                      Goldman Sachs Group Inc reported its smallest quarterly profit in more than four years as a $5 billion legal settlement from the financial crisis added pain to an already tough three months
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                      • #71
                        la BCE ce jour, avec Draghi

                        Les turbulences sur les marchés financiers et les inquiétudes suscitées par les pays émergents, Chine en tête, conduiront la Banque centrale européenne (BCE) à revoir sa politique monétaire en mars, a annoncé jeudi son président Mario Draghi, alimentant l'espoir de nouvelles mesures de soutien dans moins de deux mois.
                        "Au commencement de la nouvelle année, les risques baissiers se sont encore accrus dans un contexte d'incertitude renforcée sur les perspectives de croissance des économies émergentes, sur la volatilité des marchés financiers et de matières premières et sur les risques géopolitiques", a-t-il expliqué.

                        "Il sera par conséquent nécessaire de revoir et éventuellement de reconsidérer l'orientation de notre politique monétaire lors de notre prochaine réunion, début mars lorsque de nouvelles projections par les équipes macroéconomiques seront disponibles."

                        Ces propos ont renforcé les anticipations par les marchés de mesures supplémentaires de soutien à l'issue de la prochaine réunion de politique monétaire, le 10 mars.
                        WARNING, quand ils attendent, çà veut dire qu'ils en veulent.

                        d'ailleurs
                        "M. Draghi a clairement ouvert la porte à des initiatives dès la prochaine réunion en mars. Il a employé un ton préoccupé à propos de l'évolution de la situation mondiale et de son impact sur une inflation déjà anémique", a commenté Joe Manimbo, analyste senior de Western Union Business Solutions."
                        Mario Draghi a reconnu jeudi que les taux d'inflation devraient rester "très bas voire négatifs dans les prochains mois".

                        En dépit des turbulences des dernières semaines sur les marchés financiers, liées en grande partie au ralentissement de la croissance chinoise, il s'est montré relativement confiant dans la solidité des banques de la zone euro.

                        "Jusqu'à présent, nous avons observé qu'elles restaient assez résistantes", a-t-il dit. "Nous n'avons pas observé de risque d'instabilité comparable à celui que nous avions observé pendant la période précédant la crise."
                        Ton rassurant ?
                        A la limite du Lénifiant
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                        • #72
                          26 janvier
                          La dynamique de fond qui a entraîné les marchés vers les bas ne cesse pas pour autant avec les promesses de Draghi.

                          Le retour des prix bas du pétrole, le reflux de la chine, l'avancée excessive et je pense la situation géopolitique provoquent ce jour un reflux important des cours.
                          ces cours sont et restent dans une dynamique d'hésitations maximales

                          Les Bourses européennes ont ouvert en net repli mardi, plombées comme les marchés asiatiques et américains par la rechute des cours du pétrole, qui tend à confirmer les inquiétudes des investisseurs concernant la croissance mondiale.
                          L'espoir de voir la Réserve fédérale américaine freiner sa politique de hausse des taux dans le contexte actuel et la Banque du Japon renforcer son programme d'injection de liquidités apportent un maigre soutien à la tendance. Les deux banques centrales tiennent des réunions de politique monétaire cette semaine. La Fed publie un communiqué mercredi et la Banque du Japon vendredi.
                          La Réserve fédérale américaine tient une réunion de politique monétaire demain. L'occasion pour l'institution de rassurer les opérateurs, dans un contexte de fortes turbulences boursières, estime Sylvain Loganadin, analyste DailyFX pour FXCM.

                          Les marchés chinois ont cédé en fin de séance à un mouvement de panique déclenché par la nouvelle glissade du pétrole. La Bourse de Shanghai a perdu 6,38%, à son plus bas niveau en 14 mois. Les actions chinoises ont perdu 22% depuis le début de l'année dans l'inquiétude sur la croissance et la confusion sur la politique de change de la banque centrale.
                          Concernant ce point précisément, je pense que la relative inexpérience de la Chine en matière de comportement d'un marché sur le long terme a contribué à la démultiplication des mouvements, tant de bulle que de dégonflement.
                          CEPENDANT une bulle reste ce qu'elle est, à savoir un hyper excès du marché dans le sens de la hausse.
                          Sa fin se fait toujours avec beaucoup de dégâts, la majorité des intervenants finissant par perdre de l'argent.
                          cet argent n'est ensuite plus disponible dans le circuit financier, mais il reste les dettes.


                          La publication de ce jour, par siemens, de résultats probants

                          Siemens bondit de 4,6% et se distingue ainsi comme seule valeur dans le vert sur le DAX de Francfort, au lendemain de la publication des résultats trimestriels de bonne facture et accompagnés d'un relèvement d'objectif.

                          Le conglomérat industriel allemand déclare ainsi tabler sur un bénéfice par action compris entre six et 6,40 euros sur l'ensemble de l'exercice en cours, à comparer à une fourchette cible précédente qui allait de 5,90 à 6,20 euros.
                          l met en avant de grosses commandes dans le domaine énergétique, telles qu'une centrale électrique pour 1,6 milliard d'euros en Egypte et un parc éolien offshore pour un milliard au Royaume Uni, ainsi que de nombreux contrats en mobilité.
                          peut-elle contrebalancer ceux des banques ?

                          deutsche bank

                          La banque allemande traverse actuellement une passe difficile et a fait état d'une perte avant impôt de 700 millions d'euros hors restructurations et litiges, alors que le consensus ciblait un bénéfice de 800 millions. Les résultats sous-jacents sont 'décevants tant en termes de revenus que de coûts', souligne l'intermédiaire.
                          et de deutshe post ?

                          Deutsche Post-DHL dévisse de 3,4% et sous-performe donc la tendance à Francfort (-1,3%), miné de par une dégradation d'opinion chez Credit Suisse de 'surperformance' à 'sous-performance', avec un objectif de cours ramené de 32,7 à 20,57 euros.

                          Le bureau d'études réduit de 7% son estimation de profit opérationnel pour 2016, à 3180 millions d'euros, un niveau inférieur de 8% au consensus, principalement à cause d'une moindre contribution de la division express avec un risque accru sur les changes.
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                          • #73
                            Johnson & Johnson

                            Le bénéfice par action ajusté s'est établi à 1,44 dollar, contre un consensus de 1,42 dollar.

                            Pour 2016, Johnson & Johnson dit anticiper un bénéfice par action ajusté compris entre 6,43 et 6,58 dollars contre un consensus de 6,38 dollars.

                            Juste avant Johnson & Johnson, DuPont a également publié des ventes inférieures aux attentes en raison du renchérissement du dollar.
                            les économiste attendaient une baisse circonstancielle des revenus sur le S&P ; 5% si ma mémoire ne m'abuse
                            Ce chiffre est donc très positif.

                            celui là pas mal non plus

                            3M a bien terminé l'année, avec des résultats du quatrième trimestre supérieurs aux attentes du marché.

                            Le groupe a fait état ce mardi avant l'ouverture de Wall Street d'un bénéfice par action (BPA) de 1,66 dollar sur la période, soit 15 cents de moins qu'au terme des 3 derniers mois de l'exercice précédent.

                            Hors exceptionnel, le BPA s'est cependant élevé à 1,8 dollar, sensiblement au-dessus de la prévision moyenne des analystes de 1,63 dollar.
                            (Reuters) - Procter & Gamble a annoncé mardi avoir renoué avec la croissance organique de ses ventes sur les trois derniers mois de 2015, grâce à la hausse des prix et au recentrage de son portefeuille de marques.

                            Le numéro un mondial des produits de grande consommation a également publié un bénéfice meilleur qu'attendu, grâce à des réductions de coûts. A Wall Street, l'action P&G gagnait près de 3% à la mi-séance, une performance supérieure à celle de l'indice S&P du secteur.

                            Procter & Gamble a accéléré la hausse de ses prix au cours des derniers trimestres, une stratégie qui a payé en termes de chiffre d'affaires même si elle freiné les volumes.
                            Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action (BPA) ressort à 1,04 dollar, alors que les analystes financiers l'attendaient en moyenne à 98 cents.
                            avec Procter, on frise l’excellent ; en effet nous voyons ici une augmentation des prix, lors que un pb majeur était la désinflation

                            LE DOLLAR FORT FREINE LE CHIFFRE D'AFFAIRES

                            Le directeur financier du groupe, Jon Moeller, a quant à lui déclaré vouloir atteindre cette année, donc avec un an d'avance, l'objectif d'une baisse de 25% à 30% des coûts hors fabrication.

                            Il a assuré que l'appréciation du dollar ne découragerait pas P&G d'investir, précisant que le budget médias devrait augmenter d'au moins 10% au second semestre.
                            Sur le trimestre octobre-décembre, le dollar fort a amputé le chiffre d'affaires de 9% et cet impact devrait être de 7% sur l'ensemble de l'exercice 2016, contre 5% à 6% prévu initialement.


                            CQFD, l'Euro faible en plus associé à de l'energie pas chère devrait sauf pbs annexes ( attaques massives des nihilistes barbares et troubles géopolitques qui pourraient s'y rattacher ) profiter fort à la vieille Europe. ( c'est l'expression consacrée, à comparer avec la "jeune Chine " )
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                            • #74
                              WallStreet : la FED anhile l'effet positif du rebond du baril

                              La FED a Fed a indiqué qu'elle surveillait de près 'les développements économiques et financiers mondiaux' (et donc la volatilité, voir la vulnérabilité des marchés) et que de futures hausses de taux restent subordonnées au retour de l'inflation sur une trajectoire pouvant la mener vers l'objectif des 2%... et cela n'en prend pas le chemin.
                              Sauf peut être dans le secteur immobilier où le prix médian des maisons vendues aux USA ressort à 289.000$, en hausse de +6% sur 1 an.

                              Plus spectaculaire encore, les ventes de logements neufs ont grimpé de +10,8% par rapport à novembre et elles explosent de +14,5% sur l'ensemble de l'année 2015 (soit 544.000 ventes en rythme annuel alors que le consensus tablait sur 500.000).
                              La chute du Nasdaq s'explique pour une bonne part par le plongeon de -6,5% d'Apple

                              Facebook viendra peut-être mettre un peu de baume au coeur de Wall Street avec des trimestriels de très bonne facture.
                              Facebook annonce 79 cents de profit par titre (soit 1Mds$ de bénéfices, du jamais vu) et un chiffre d'affaire de 5,84Mds$, surpassant le consensus de 75 cents par titre et de 5,67Mds$ de C.A.

                              Déception en revanche pour eBay qui publie un profit en baisse à 43Cts par action contre 59Cts (et 50Cts hors exceptionnels).

                              eBay revendique 162 millions d'abonnés contre 159 millions et anticipe un bénéfice compris entre 43 et 45Cts pour un chiffre d'affaire de 2,05 à 2,10Mds$... ce qui déçoit : le titre chutait de -10% hors séance à 23,8$.
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                              • #75
                                Les marchés actions chinois ont de nouveau terminé en forte baisse jeudi, à leur plus bas niveau depuis plus d'un an, victimes d'un mouvement de vente panique en toute fin de séance.
                                -2.6 %

                                Facebook a fait état mercredi d'une hausse plus marquée que prévu, de 51,7%,

                                Le réseau a dégagé un bénéfice net de 1,56 milliard de dollars (1,43 milliard d'euros), soit 54 cents par action, contre 696 millions (25 cents/action) un an auparavant.

                                Hors éléments exceptionnels, le résultat par action ressort à 79 cents alors que les analystes financiers avaient anticipée 68 cents et un chiffre d'affaires de 5,37 milliards de dollars,

                                Deutsche Bank a annoncé jeudi une perte avant impôt de 1,15 milliard d'euros dans son segment banque d'investissement au quatrième trimestre, en raison d'un net tassement de l'activité du trading obligataire et du poids des frais de litiges.

                                Les revenus de la banque d'investissement ont chuté de 30% durant le trimestre dans un marché difficile, a précisé la première banque allemande.

                                Cette dernière pâtit comme ses homologues de taux d'intérêt ultra-bas, de la chute des prix pétroliers et de la prudence des investisseurs face au ralentissement de la croissance de la Chine, mais les analystes estiment que sa performance en termes de revenus semble en deçà de celle de ses concurrentes américaines.

                                Les comptes définitifs de Deutsche Bank montrent qu'elle a enregistré une perte annuelle de 6,8 milliards d'euros, dont 2,1 milliards d'euros sur le seul quatrième trimestre, en raison de dépréciations, de coûts de restructuration et de charges liées à des litiges.

                                Au contraire, une baisse des coûts a permis à des établissements tels que Citigroup, Bank of America, JPMorgan Chase et Morgan Stanley d'annoncer une hausse des profits trimestriels ces derniers jours.

                                L'action Deutsche Bank a chuté de près de 37% depuis que Cryan a pris les rênes du groupe le 1er juillet. Elle est indiquée en baisse de 1,3% jeudi, selon les données du courtier Lang & Schwarz, tandis que l'indice Dax est prévu en recul de 1,1%.

                                explosion des seuils bas du dax ?
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                                " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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