Certains analystes ( Macro économie ) craignent plutôt une récession qu'un emballement.
pas forcément idiot, quand on sait que le cycle US économique est constitué de ces fameuses récessions, à tort combattue ( ? n'avançons pas ici de théorie du complot, mais à qui le crime a-t-il profité, in fine ?? ) par greenspann, avec les rlsts que l'on sait ( crash économique mondial 2008 )
La forme de cet individu est sûrement peu recommandable, mais je pense que dans le fond, il n'a pas forcément tort.
La problématique vient de son côté immature dans le comportement et la gestion des affaires de l'état
La deuxième problématique, c'est que les US se sont laissés endetter massivement, et que la Chine est leur principal pourvoyeur. Si elle n'achète plus les emprunts d'état, ou s'amuse à des jeux complexes possibles que je ne connais pas, que va-t-il en être du $ ?
et on s'incline devant Mr Christopher Dembik
pas forcément idiot, quand on sait que le cycle US économique est constitué de ces fameuses récessions, à tort combattue ( ? n'avançons pas ici de théorie du complot, mais à qui le crime a-t-il profité, in fine ?? ) par greenspann, avec les rlsts que l'on sait ( crash économique mondial 2008 )
Corollaire de cette absence de risque inflationniste, le resserrement monétaire de la Réserve fédérale (Fed) ne devrait pas constituer une réelle problématique pour les marchés, estime Christopher Dembik.
"Il ne devrait pas y avoir de resserrement monétaire plus accentué que prévu", estime-t-il. D'autant que la question qui commence à se poser concerne surtout la solidité de la croissance américaine, ajoute-t-il.
"On a un très net ralentissement de l'économie américaine qui devrait s'amorcer", prévient l'économiste. "La dynamique n'est pas aussi bonne que ce que l'on pourrait croire et la réforme fiscale ne devrait pas changer la donne".
Il met en particulier en avant l'indicateur "Credit impulse" de Saxo Bank, qui mesure le flux de nouveaux crédits en pourcentage du PIB uniquement émis par le secteur privé, et qui ressort en contraction pour les Etats-Unis.
"Le 'Credit impulse' a une corrélation très importante avec des indicateurs fondamentaux pour l'économie américaine, comme la consommation domestique et l'investissement. Une baisse du 'Credit impulse' devrait s'accompagner d'une baisse de la consommation et de l'investissement d'ici la fin 2018 ou le début 2019", explique Christopher Dembik.
Selon l'économiste, l'aplatissement de la courbe des taux accompagné d'un indice 'Credit impulse' négatif ont permis de prédire les cinq dernières récessions aux Etats-Unis. (Blandine Hénault, édité par Patrick Vignal)
"Il ne devrait pas y avoir de resserrement monétaire plus accentué que prévu", estime-t-il. D'autant que la question qui commence à se poser concerne surtout la solidité de la croissance américaine, ajoute-t-il.
"On a un très net ralentissement de l'économie américaine qui devrait s'amorcer", prévient l'économiste. "La dynamique n'est pas aussi bonne que ce que l'on pourrait croire et la réforme fiscale ne devrait pas changer la donne".
Il met en particulier en avant l'indicateur "Credit impulse" de Saxo Bank, qui mesure le flux de nouveaux crédits en pourcentage du PIB uniquement émis par le secteur privé, et qui ressort en contraction pour les Etats-Unis.
"Le 'Credit impulse' a une corrélation très importante avec des indicateurs fondamentaux pour l'économie américaine, comme la consommation domestique et l'investissement. Une baisse du 'Credit impulse' devrait s'accompagner d'une baisse de la consommation et de l'investissement d'ici la fin 2018 ou le début 2019", explique Christopher Dembik.
Selon l'économiste, l'aplatissement de la courbe des taux accompagné d'un indice 'Credit impulse' négatif ont permis de prédire les cinq dernières récessions aux Etats-Unis. (Blandine Hénault, édité par Patrick Vignal)
La forme de cet individu est sûrement peu recommandable, mais je pense que dans le fond, il n'a pas forcément tort.
La problématique vient de son côté immature dans le comportement et la gestion des affaires de l'état
La deuxième problématique, c'est que les US se sont laissés endetter massivement, et que la Chine est leur principal pourvoyeur. Si elle n'achète plus les emprunts d'état, ou s'amuse à des jeux complexes possibles que je ne connais pas, que va-t-il en être du $ ?
Washington vise les groupes technologiques chinois en représailles à la politique de Pékin qui contraint les entreprises américaines à renoncer à leurs secrets technologiques si elles veulent opérer dans le pays.
Washington accuse par ailleurs la Chine de vol de propriété intellectuelle.
La Chine affiche un excédent commercial de 375 milliards de dollars vis-à-vis des Etats-Unis.
Washington accuse par ailleurs la Chine de vol de propriété intellectuelle.
La Chine affiche un excédent commercial de 375 milliards de dollars vis-à-vis des Etats-Unis.
Le dollar a accéléré ses pertes face à l'euro mercredi après une réunion de la banque centrale américaine (Fed) qui a maintenu sa prévision de trois hausses de taux d'intérêt cette année et s'est montrée prudente concernant l'inflation.
?? ( Cf Dembik )
"La prise de parole du président, Jerome Powell, (lors d'une conférence de presse) a été moins ferme qu'on aurait pu l'anticiper"
Elle a en revanche revu à la hausse la cadence prévue pour l'an prochain, à trois hausses.
"La prise de parole du président, Jerome Powell, (lors d'une conférence de presse) a été moins ferme qu'on aurait pu l'anticiper"
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