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Lors des deux dernières années, que s'est-il passé ?
Suite à la pandémie du (de la) Covid19, au niveau mondial, les vannes du Ciel se sont ouvertes en grand, avec, en France, le "Quoi-qu'il-en-coûte".
Cette dérégulation a été le maître du marché, des marchés ! Résultats :
la monnaie, un fluide comme les autres ?
Maintenant, essayons de voir ces phénomènes par le biais d'une analogie et considérons l'échange et la circulation de la monnaie sous l'aspect de la dynamique des fluides et du cycle de l'eau au niveau planétaire.
Les nuages naissent de l'évaporation des océans et se condensent en eau, revenant en pluie fine ou torrentielle qui se déverse sur terre, arrose et enrichit les sols fertiles et/ou entretenus et préparés, ou, au contraire lessive les terres arides avant de retourner en mer par les ruisseaux, les rivières puis les fleuves. Sur son chemin, des récipients, digues ou levées de terre diverses vont faire faire obstacle, de façon temporaire ou permanente, et créer des réservoirs naturels ou non, citernes et barrages, lacs, …
Mais tous les aspects du cycle de ce fluide ont-ils été pris en compte ?
Des effets secondaires ont été passé sous silence :
Il convient de distinguer les phénomènes climatiques de la météorologie et d'y inclure les matières connexes telles que la géologie et les sciences des matériaux.
Revenons aux circuits financiers :
Une planche à billets devenue folle risquant de donner un retour de manivelle tout comme l'injection de cristaux d'iodure d'argent aidant à déclencher la pluie ont elles la prétention d'influer sur la finance ou le climat ?
Il faudrait poser la question, non pas aux économistes, plutôt spécialistes en cacophonie qu'en économie mais aux scientifiques purs et durs.
Car, et c'est là que je voulais en venir, les phénomènes passés sous silence et cités plus haut portent un nom :
la transition de phase et la percolation
et il s'agit là des recherches menées par Hugo Duminil-Copin, Médaille Fields 2022.
Alors demandons-lui à quoi vont aboutir les expérimentations conduites par nos banques centrales !
Et pour l'avenir ?
Pour ma part, et par analogie, je rapproche :
Avons-nous réussi à contraindre ou à réguler la circulation et le comportement de l'eau ?
Non, alors bienvenue à :
la percoflation
phénomène temporaire ...
et je n'ai pas parlé de la mémoire de l'eau ( cf. M. Jacques Benveniste)
NB – Définitions
Percolation : Traversée lente d’un milieu, comme des sédiments, par un liquide ou plus rarement un gaz. Elle se fait majoritairement sous l’effet de la pesanteur, donc de haut en bas.
Après s’être infiltrées dans le sol, les eaux de pluie peuvent par exemple percoler jusqu’à rejoindre une nappe phréatique (source : Futura-Science)
transition de phase : transformation physique d'un système d'une phase vers une autre, induite par la variation d'un paramètre de contrôle externe (température, champ magnétique...)
Suite à la pandémie du (de la) Covid19, au niveau mondial, les vannes du Ciel se sont ouvertes en grand, avec, en France, le "Quoi-qu'il-en-coûte".
Cette dérégulation a été le maître du marché, des marchés ! Résultats :
- Les entreprises ont vu la manne tomber du ciel, elles ont, pour la plupart, conservé leurs salariés sans réaliser de chiffre d'affaire, stocké ces réserves providentielles ou se sont simplement maintenues à flot ;
- Dans la crainte de lendemains qui déchantent, les particuliers ont accumulé leur épargne de façon disproportionnée, ils n'ont guère pu assouvir leurs pulsions consommatrices que via le e-commerce, mais l'ensemble des autres circuits se sont trouvé figés.
la monnaie, un fluide comme les autres ?
Maintenant, essayons de voir ces phénomènes par le biais d'une analogie et considérons l'échange et la circulation de la monnaie sous l'aspect de la dynamique des fluides et du cycle de l'eau au niveau planétaire.
Les nuages naissent de l'évaporation des océans et se condensent en eau, revenant en pluie fine ou torrentielle qui se déverse sur terre, arrose et enrichit les sols fertiles et/ou entretenus et préparés, ou, au contraire lessive les terres arides avant de retourner en mer par les ruisseaux, les rivières puis les fleuves. Sur son chemin, des récipients, digues ou levées de terre diverses vont faire faire obstacle, de façon temporaire ou permanente, et créer des réservoirs naturels ou non, citernes et barrages, lacs, …
Mais tous les aspects du cycle de ce fluide ont-ils été pris en compte ?
Des effets secondaires ont été passé sous silence :
- sous l'effet de la température, l'eau peut interrompre son cycle naturel, geler ou s'évaporer, voire se sublimer directement de glace en vapeur d'eau ;
- selon la nature des terres, s'infiltrer dans les sols à travers les sols et les roches perméables et prendre des chemins aléatoires avant de réapparaitre là où on ne l'attendait pas.
Il convient de distinguer les phénomènes climatiques de la météorologie et d'y inclure les matières connexes telles que la géologie et les sciences des matériaux.
Revenons aux circuits financiers :
- L'épargne des particuliers s'apparente à l'utilisation de seaux, de citernes ou de réservoirs individuels destinée à pallier les aléas de la météorologie financière tout comme la trésorerie des entreprises, seuls les volumes diffèrent avec pour objectif d'irriguer de simples jardins, des exploitations agricoles ou d'immenses domaines privés par les digues ou barrages.
- Les particuliers et les entreprises raisonnent dans un cadre de court terme, avec des objectifs personnels et l'espoir de tirer un bénéfice ou de survivre face à une météo peu prévisible ou de générer de l'électricité par l'usage de conduites forcées.
- Les banques centrales et autres fonds monétaires s'essaient au pilotage de ce flux, s'imaginant aux manettes de la régulation du climat et/ou tentant de le prévoir 2 ans à l'avance, jouant à l'apprenti sorcier.
Une planche à billets devenue folle risquant de donner un retour de manivelle tout comme l'injection de cristaux d'iodure d'argent aidant à déclencher la pluie ont elles la prétention d'influer sur la finance ou le climat ?
Il faudrait poser la question, non pas aux économistes, plutôt spécialistes en cacophonie qu'en économie mais aux scientifiques purs et durs.
Car, et c'est là que je voulais en venir, les phénomènes passés sous silence et cités plus haut portent un nom :
la transition de phase et la percolation
et il s'agit là des recherches menées par Hugo Duminil-Copin, Médaille Fields 2022.
Alors demandons-lui à quoi vont aboutir les expérimentations conduites par nos banques centrales !
Et pour l'avenir ?
Pour ma part, et par analogie, je rapproche :
- la percolation de ces phénomènes de résurgence d'un fluide là ou on ne l'attend pas :
- la transition de phase, que nous avons tous sous les yeux et depuis longtemps, tant au niveau de quelques 195 nations de cette planète, que des entreprises et des circuits mafieux :
Avons-nous réussi à contraindre ou à réguler la circulation et le comportement de l'eau ?
Non, alors bienvenue à :
la percoflation
phénomène temporaire ...
et je n'ai pas parlé de la mémoire de l'eau ( cf. M. Jacques Benveniste)
NB – Définitions
Percolation : Traversée lente d’un milieu, comme des sédiments, par un liquide ou plus rarement un gaz. Elle se fait majoritairement sous l’effet de la pesanteur, donc de haut en bas.
Après s’être infiltrées dans le sol, les eaux de pluie peuvent par exemple percoler jusqu’à rejoindre une nappe phréatique (source : Futura-Science)
transition de phase : transformation physique d'un système d'une phase vers une autre, induite par la variation d'un paramètre de contrôle externe (température, champ magnétique...)
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