Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Ads
Réduire
diaboliquement chinois ...
Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • diaboliquement chinois ...

    "Dans les faits, les Chinois ont réussi à faire en sorte que les Japonais achètent des dollars à leur place. Honnêtement, certain on du mal à donner tort aux Japonais: ils sont confrontés à un grave problème de déflation" alimentée par la baisse du prix des importations"

    preuve que les chinois n'ont plus aucune confiance dans
    l'USD !
    c'est aussi un moyen de mettre les nippons sur une pente
    de faiblesse et d'avoir a moyen terme une suprématie dans
    toute cette zone géographique ...

  • #2
    Diabolique : la Chine dresse l'euro et le yen contre le dollar, et rafle la mise !
    par Isabelle Mouilleseaux
    Mardi 21 septembre 2010

    Historique ! ce qui ce passe en ce moment sur les devises.

    Pékin est en train d'amadouer les Américains, de détruire l'euro et le yen, pour empocher les bénéfices de la dépréciation du dollar sur les marchés internationaux ! Du Sun Tzu à la puissance machiavélique...

    Suivez bien mon raisonnement. Il va vous permettre de comprendre les grandes forces en présence, et la stratégie chinoise pour les mois et les années à venir.

    Un pays à deux moyens de créer de la richesse
    ▪ Soit sa consommation intérieure est forte et tire la croissance (c'est le modèle américain et français : 70% de leur PIB vient de là).

    ▪ Soit c'est la demande extérieure (les exportations) qui crée la croissance (c'est le modèle japonais, allemand et chinois).

    Les modèles assis sur la consommation interne sont au bord de l'asphyxie
    Sachant que :

    ▪ Les Etats occidentaux sont surendettés ;

    ▪ Et que les ménages exsangues sont pris en étau entre le chômage qui atteint des sommets, la retraite à préparer et les dettes à rembourser ;

    Inutile de vous dire que les modèles de croissance assis sur la consommation intérieure sont au bord de l'asphyxie.

    Conséquence : tous les pays cherchent la croissance à l'extérieur, via l'exportation
    L'OMC prévoit une hausse de +13,5% du commerce mondial en 2010. Jamais, absolument jamais nous n'avions vu une telle progression des échanges internationaux depuis 1950 !

    En clair et sans décodeur : le gâteau est énorme, et l'objectif numéro 1 des Etats va être d'en rafler la part la plus grande possible.

    Le commerce international est un formidable accélérateur de croissance du PIB ; il va se transformer en champ de bataille géant.
    Et à votre avis : comment fait-on pour doper ses exportations ?
    On se rend compétitif !

    Et pour se rendre compétitif, le moyen le plus rapide et le moins douloureux est encore de déprécier sa monnaie par rapport à la monnaie des compétiteurs.

    Ainsi, vos produits sont moins chers par rapport à ceux des concurrents, et vous raflez les commandes sur les marchés internationaux. C'est aussi simple que cela.

    Euro, yen, dollar, yuan : même combat. La course folle à la dépréciation commence...
    Tous les Etats s'engouffrent dans la stratégie de dépréciation monétaire. La course folle à la dépréciation commence...

    ▪ Pourquoi croyez-vous que la Banque centrale japonaise intervient sur les marchés des changes à coups de milliards de dollars pour lutter contre la hausse de son yen ?

    Pour sauver ses exportateurs et sa croissance !

    ▪ Pourquoi croyez-vous que les Etats-Unis crient haro sur la Chine dont le yuan est surévalué par rapport au dollar ?

    Parce qu'Obama a comme objectif de doubler les exportations américaines en 5 ans (et freiner les importations en provenance de Chine). La croissance américaine passe par la dépréciation du dollar et l'appréciation du yuan.

    ▪ Pourquoi croyez-vous que l'Allemagne affiche un taux de croissance annualisé de 9% l'an au second trimestre ?

    Parce que l'euro a connu une chute libre au premier semestre, ce qui a dopé ses exportateurs et son PIB. La croissance de la zone euro a été sauvée par la chute de l'euro ! Comme disait Joséphine : Pourvou que ça dour...

    ▪ Pourquoi croyez-vous que Pékin refuse de franchement relever son yuan largement sous-évalué, et toujours lié au dollar ?

    Parce qu'elle aussi a besoin d'exporter pour soutenir sa croissance. Et qu'elle veut le leadership sur le commerce international.

    Tout le monde veut la même chose. Mais la Chine à une longueur d'avance
    La Chine la joue très fine. Avec une stratégie très impressionnante : amadouer les Américains, détruire l'euro et le yen, et empocher les bénéfices de la dépréciation du dollar sur les marchés internationaux. Rien que ça.

    Je m'explique.

    La Chine déclare la guerre au yen, avec tacite consentement des Etats-Unis !
    Le yen grimpe, malgré les efforts de la Banque centrale japonaise pour contrer le mouvement.

    Le yen grimpe parce que la Chine veut voir le yen grimper : elle s'est mise à acheter du yen (obligations d'Etat nippones), contre le dollar.

    Conséquence ?

    1. Les Américains apprécient ! Leur dollar baisse, c'est bon pour leurs exportations. L'équipe Obama va enfin pouvoir dire aux Américains que ses efforts pour "amadouer la Chine et son yuan" ont porté leurs fruits.

    N'oubliez pas : les Américains ont tenté de relancer leur économie par tous les moyens. "4 000 milliards de dollars injectés dans le système économique et financier américain pour n'obtenir que 200 milliards de dollars de PIB supplémentaires", nous dit Philippe Béchade.

    Tout a échoué. La seule arme qui leur reste est la baisse du dollar. Croyez-moi, ils laisseront faire, sourire en coin.

    2. Les Japonais sont piégés : ils ne peuvent rien contre les 2 400 milliards de dollars de réserves chinoises. Même s'ils sont assis (de mémoire) sur quelques 1 000 milliards de dollars eux aussi...

    Pire : alors que la Chine peut acheter des obligations japonaises pour faire grimper le yen, les Japonais ne peuvent pas acheter des obligations chinoises pour contrebalancer la tendance ! La réciprocité n'existe pas. La Chine se bat contre le Japon avec des armes dont celui-ci ne dispose pas.

    Situation hautement insupportable pour tout nippon qui se respecte ! La Chine peut détruire l'économie japonaise à petit feu et rafler la mise sur le continent asiatique. Tranquillement. Le Japon est pieds et poings liés. Désarmé.

    3. Le yuan, lié au dollar (via le "peg") se déprécie avec le dollar. Tout bénéfice pour la Chine !

    Summum de l'hypocrisie : la Chine va réévaluer un tout-petit-petit peu son yuan contre le dollar. Pour définitivement "bâillonner" les Etats-Unis.

    Mais le cette réappréciation sera tellement minime par rapport à la dépréciation du dollar et l'appréciation du yen que cela ne gênera en rien la Chine sur les marchés internationaux.

    Pas de doute : La guerre des monnaies est ouverte.

    Grave dégât collatéral calculé : la Chine va faire grimper l'euro
    Ce qu'il faut absolument comprendre, c'est que chaque Etat pilote sa monnaie.

    La Fed pilote le dollar ; Pékin le yuan ; la Banque centrale japonaise son yen.

    Et l'euro ?

    Et bien justement : il n'est piloté par personne !

    Conséquence : il évolue au gré des décisions prises par les trois autres Etats clés. Livré aux flux et reflux des marchés.

    L'équation qui tue :
    Réfléchissez un instant.

    La Chine veut faire baisser le dollar, et par conséquent le yuan.

    La Chine veut faire monter le yen.

    Sachant que l'euro/dollar et l'euro/yen sont, avec le dollar/yen, les trois parités les plus travaillées de la planète, que va-t-il à votre avis se passer ?

    Je vous le donne dans le mille : l'euro va automatiquement grimper. Mécaniquement.

    En résumé :
    Maintenant, vous savez comment la Chine à l'intention de faire d'une pierre quatre coups : dégommer ses trois adversaires et remporter le pactole du commerce international, impressionnant démultiplicateur de croissance.

    La Chine pourrait bien réussir un coup de maître. Car les bénéfices de la dépréciation du dollar iront directement dans sa poche. Et pas dans celle des Américains... contrairement à ce qu'ils croient.

    Mon avis sur les grandes tendances à venir ?
    Si Pékin s'obstine dans sa stratégie, l'euro devrait grimper. Et le dollar baisser.

    Le yen va-t-il poursuivre sa hausse ?

    Attendez. Les Japonais ont encore deux armes pour inverser la tendance et faire baisser leur yen : le quantitative easing, et l'exportation de yens à l'étranger (il faut faire sortir du pays l'excédent d'épargne). C'est à leur portée.

    Et si l'aversion au risque continue à se dissiper, ce serait un poids supplémentaire dans la balance pour contrer la stratégie chinoise.

    La bataille ne fait que commencer...

    A plus court terme, voici que faire :
    ▪ Jouez la hausse de l'EUR/USD :

    "Techniquement, la paire teste actuellement la résistance à 1,3140/1,3150", nous dit à l'instant Jérôme Revillier, rédacteur de FxProfitTrader. "En cas de franchissement, la paire devrait aller tester 1,3260 puis 1,3500 qui correspond à la zone de retracement des 50% de la baisse initiée depuis fin 2009."

    ▪ Sur le yen :

    Mon ami Vincent Ganne, stratégiste chez IGMarkets, confirme :

    "A court terme, le yen devrait encore pouvoir baisser légèrement. "Les paires USD/JPY et EUR/JPY n'ont pas encore atteint leurs résistances majeures. Mais le potentiel de progression n'est pas très important (Cette analyse converge avec la configuration du GBP/JPY avec une cible à 136,30 yens)".

    "Mais à long terme, c'est la conjonction de ces résistances majeures qui laissent peu d'espoir au scénario d'une dépréciation du yen", nous dit Vincent. "86,58 yens pour un dollar, 115 yens pour un euro et 136,30 yens pour une livre sterling sont une véritable épée de Damoclès, un couvercle difficilement franchissable à court terme".

    A la question "le yen a-t-il fait ses points hauts ?", l'analyse technique répond par la négative. Pour le moment..."

    Voilà. A vous de jouer !

    En attendant, restez à l'écoute.

    Isabelle Mouilleseaux

    Commentaire


    • #3
      zaime bien son nom à la journaleuse....

      Commentaire


      • #4
        Citation de : doudou13010 (au 22-09-2010 20:12:54)

        zaime bien son nom à la journaleuse....




        !!!!!!!!!!
        Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé,
        alors seulement vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas.
        Proverbe Amérindien

        Commentaire


        • #5
          Citation de : cmoi14 (au 22-09-2010 20:17:01)

          Citation de : doudou13010 (au 22-09-2010 20:12:54)

          zaime bien son nom à la journaleuse....




          !!!!!!!!!!




          Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé,
          alors seulement vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas.
          Proverbe Amérindien

          Commentaire


          • #6
            Citant une décision du Conseil d'Etat, les médias officiels rapportent que le programme, qui a été mis en place depuis un an, s'appliquera désormais à la facturation et au règlement des importations et exportations avec tous les partenaires commerciaux de la Chine.

            Jusqu'à présent, les seuls territoires concernés par l'initiative étaient Hong Kong et Macao ainsi que les Etats membres de l'Association des pays du sud-est asiatique (Asean).

            "C'est une initiative très positive dans la perspective de la transformation du yuan en monnaie internationale", explique Wu Zhifeng, économiste à la China Development Bank.

            Les entreprises établies dans 20 provinces chinoises sont désormais autorisées à utiliser le yuan pour leurs échanges commerciaux. Jusqu'à présent, seul un petit nombre de sociétés à Shanghai et dans quatre villes dans la province de Guangdong avaient cette possibilité.

            Selon les économistes, le but de cette expérimentation est d'habituer progressivement les pouvoirs publics et les partenaires étrangers de la Chine à cette utilisation accrue du yuan, davantage en adéquation avec son poids économique et financier croissant sur la scène internationale.

            "La première étape pour créer une monnaie internationale consiste à l'utiliser dans les paiements commerciaux", explique Ding Zhiujie, professeur à l'Université de commerce international et d'économie de Pékin.

            La Chine conserve une réglementation stricte en matière de capitaux, la devise nationale ne pouvant être utilisée que pour des échanges commerciaux et des investissements officiels.

            Les dirigeants du pays ne font cependant pas secret de leur volonté de donner un rôle international à la devise. La facturation d'un plus grand nombre d'échanges commerciaux en yuan est un premier petit pas vers une devise librement échangeable et convertible

            Commentaire


            • #7
              pour le dernier paragraphe ...

              John Naisbitt, un futurologue américain et l'auteur du best-seller "Megatrends" a indiqué mardi 21 septembre que les débats sur la réévaluation de la monnaie chinoise sont à "90% politiques et [à]10% économiques".

              Naisbitt s'est ainsi exprimé lors d'un séminaire organisé par le Centre chinois pour les échanges économiques internationaux.

              Il a affirmé que la Chine est devenue un bouc émissaire pour les problèmes domestiques des Etats-Unis et de l'Union européenne.

              Les pressions pour apprécier le yuan (la monnaie chinoise) s'accentuent. Il y a une semaine, 93 députés américains ont signé sur une lettre demandant aux dirigeants démocrates au sein de la Chambre des Représentants des Etats-Unis de voter un projet de loi défavorisant la Chine.

              Ce projet de loi permettrait au Département du Commerce américain d'imposer les droits compensatoires et anti-dumping aux "importations nuisibles de tout pays qui sous-évaluent de manière persistante leur monnaie".

              D'un côté, les Etats-Unis se plaignent de la faible valeur du yuan; de l'autre, ils bloquent les exportations de produits de haute-technologie vers la Chine, a constaté Naisbitt.

              A propos de la compétitivité chinoise à l'avenir, Naisbitt a noté que la Chine avait fait un énorme effort pour passer de l'imitation à l'innovation grâce à des politiques d'accompagnement.

              Il a prévu que le pays dominerait dans le futur des secteurs tels que les nanotechnologies, les biotechnologies, la robotique et les technologies de l'information.


              Agence de presse Xinhua 2010/09/23

              Commentaire


              • #8
                Alors que le 11e plan quinquennal touche à sa fin, plusieurs provinces chinoises commencent à réaliser qu'elles ne pourront pas tenir les objectifs énergétiques fixés, et prennent des mesures de dernière minute pour sauver la face.



                En juillet, la Chine est devenue le plus gros consommateur mondial d'énergie Le terme du 11e plan quinquennal chinois (2006-2010) approche à grands pas : dans moins de quatre mois, les provinces devront rendre leurs copies à Pékin, qui vérifiera leur cohérence avec les objectifs fixés.

                Et si les performances économiques ne seront pas un problème pour beaucoup, il risque d'y avoir des retardataires au niveau énergétique.

                Le 11e plan avait, en effet, fixé comme objectif une réduction de 20% de l'intensité énergétique (la quantité d'énergie utilisée par point de PIB) sur 5 ans.

                Mais selon le Bureau National des Statistiques, seul Pékin et Tianjin ont pour l'instant atteint ce but.

                Globalement, selon la Commission Nationale de Développement et de Réforme, l'intensité énergétique du pays a diminué entre 2006 et 2009 de 14,38% seulement.

                22 heures de coupure tous les trois jours

                C'est pourquoi, quelques mois avant la date fatidique, plusieurs province ont brusquement tenté de redresser la barre, en imposant des restrictions draconiennes, notamment sur l'utilisation de l'électricité.

                Au Zhejiang et au Jiangsu, deux provinces industrielles, des coupures d'électricité sont effectuées depuis cet été, et plusieurs provinces ont édicté des règles similaires.

                Le district de Anping, au Hebei, a imposé une coupure d'électricité de 22 heures tous les trois jours, s'appliquant indifféremment aux entreprises, aux habitants et aux bâtiments publics.

                Selon le Guardian, même les hôpitaux et les feux de signalisation étaient concernés.

                Mais après de nombreuses plaintes, le district a subit des critiques du gouvernement central, lui reprochant une approche "non-scientifique", et a adouci la mesure.

                Selon le Global Times, d'autres provinces tentent actuellement de faire baisser la consommation d'électricité en en augmentant le prix.

                Un défi considérable

                Ces mesures de dernière minute sont loin de régler le problème de fond, qu'elles mettent au contraire en lumière. La recherche d'efficacité énergétique, primordiale pour la Chine si elle veut transformer son économie et son modèle de développement, est un défi à long terme.

                Au niveau central, les mesures sont d'ailleurs loin d'être inexistantes, puisque le gouvernement investit de plus en plus dans les énergies vertes, prend des mesures incitatives, telles que des réductions fiscales pour les entreprises peu polluantes, etc.

                Cet été, Pékin a même ordonné la fermeture d'un peu plus de 2000 usines polluantes, peu sécurisées ou énergiquement inefficaces.

                "Nous atteindrons ces objectifs, même si cela induit un ralentissement de la croissance du PIB", a affirmé le premier ministre, Wen Jiabao dans une conférence de presse tenue récemment à Tianjin.

                Pourtant, selon les observateurs, les objectifs énergétiques du plan quinquennal ont été en partie compromis par les investissements massifs de l'Etat dans des infrastructures polluantes, destinés à relever le pays de la crise économique.

                La difficulté du défi posé à la Chine en matière d'énergie augmente parallèlement à la croissance de son PIB.

                L'année dernière, la Chine est devenue le pays le plus consommateur d'énergie au monde, le premier marché automobile mondial, et le plus gros émetteur de gaz à effet de serre, dépassant en ces trois points les Etats-Unis

                Commentaire


                • #9
                  elle tisse sa toile ....

                  Le président malien Amadou Toumani Touré et le ministre chinois des Communications et des Transports, Li Shenglin, envoyé spécial du président Hu Jintao aux festivités du cinquantenaire de l'indépendance du Mali, ont procédé jeudi à Bamako à l'inauguration d'un hôpital offert par la Chine au Mali.

                  L'établissement, baptisé Hôpital du Mali, occupe une superficie bâtie de 7000 mètres carrés et a été construit par l' entreprise chinoise QILU.

                  Financé pour 4,8 milliards de francs CFA par le gouvernement chinois, l'établissement est un hôpital ultra moderne construit dans le cadre de l'exécution des 8 mesures définies lors du sommet de Beijing en 2006 du forum sur la coopération sino-africaine.

                  Le Mali a donc bénéficié de ces mesures avec notamment la construction de deux écoles rurales construites, l'annulation des dettes, la réduction des taxes d'importation des produits maliens en Chine, l'augmentation du nombre du quota de bourses d'étude aux étudiants.

                  "L'inauguration de cet hôpital a lieu non seulement à l' occasion du cinquantenaire de l'indépendance du Mali, mais aussi à la veille du cinquantenaire des relations diplomatiques entre nos deux pays", a déclaré l'ambassadeur de la Chine au Mali, Zhang Guoqing.

                  Le diplomate a rappelé les propos tenu par le président Hu Jintao lors de sa visite d'état effectué en février 2009 au Mali : "Durant les 50 ans écoulés depuis l'établissement de relations diplomatiques grâce aux soins attentionnés des dirigeants de plusieurs générations de nos deux pays, les relations sino- maliennes ont résisté aux épreuves du temps et aux aléas internationaux et l'amitié sino-malienne s'est enracinée profondément dans les esprits des deux peuples. Sur le plan politique, les deux pays entretiennent des relations d'amitié sincère, marquées par le respect et la confiance mutuels et s' accordent des soutiens sur les questions qui touchent à leurs intérêts fondamentaux et préoccupations majeures respectifs. L' amitié sino-malienne se distingue comme modèle dans la coopération Sud Sud".

                  L'inauguration de l'hôpital du Mali marque, a dit l'ambassadeur, une toute nouvelle étape de la coopération sanitaire sino-malienne. Car avec la construction de cet hôpital, la mission médicale chinoise, dont la prochaine promotion arrivera en juin 2010, se concentrera dans cet hôpital. Ils ne vont plus travailler comme depuis 40 ans dans les trois hôpitaux de Kati, de Markala et de Sikasso, mais uniquement dans ce nouvel hôpital du Mali.

                  "C'est pour mieux unir les efforts de la mission chinoise, pour rendre plus performant leur travail, pour mieux faire fonctionner les équipements fournis par la Chine, pour élever considérablement le niveau de traitement dans ce nouvel hôpital et une coopération plus étroite dans le domaine de la santé. Le Mali est le premier pays de l'Afrique de l'Ouest qui entame ce nouveau type de coopération sanitaire avec la Chine", a indique son excellence Zhang Guoqing.

                  Le président de la République du Mali a conclu la cérémonie en rendant un vibrant hommage au peuple chinois et aux autorités chinoises. Le président Touré a salué et remercié son excellence Hu Jintao, président de la Chine pour tout l'intérêt que la Chine accorde au Mali. "Depuis 1960, nos deux pays ont cheminé de façon constante ensemble. Et la Chine a toujours été présente sur tous les chantiers de développement du Mali. Aucun domaine n'a été négligé, de l'industrialisation à la santé, en passant par l' agriculture, l'éducation et les infrastructures", a souligné le président malien.
                  MALIMali : inauguration d'un hôpital malien financé par le gouvernement chinois

                  LE 23.09.2010 À 16:35 - MODIFIÉ LE 23.09.2010 À 20:04 | © 2010 CHINE NOUVELLE

                  Commentaire


                  • #10
                    Actuellement " ce soir ou jamais " sur france 3
                    aborde le sujet chinois ....

                    Commentaire


                    • #11
                      toutes les occasions sont bonnes ...
                      http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_...

                      Commentaire


                      • #12
                        Citation de : OBjection (au 03-10-2010 10:14:06)

                        toutes les occasions sont bonnes ...
                        http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_...



                        Les Chinois sont des gens sérieux qui donnent une bonne leçon aux Européens.
                        Ils soutiennent les Grecs, mais ils ne se bornent pas à leur filer du pognon et "démerde toi..." Ils se préoccupent de développer l'économie grecque et la leur puisqu'ils ont obtenus des commandes, notamment celle de 4 navires par des armateurs grecs.
                        La Grèce a un besoin pressant de stimuler son économie et ses exportations et on peut supposer que la Chine est en mesure de dynamiser l'économie d'un tel pays.

                        Bien sur c'est le loup dans la bergerie...
                        Est-ce un pacte gagnant-gagnant?... Pour la Grèce et la Chine surement. Mais les Chinois ne sont pas des philantropes. Leur but est d'obtenir des commandes en Grèce, dans les Balkans et en Europe. Donc de faire concurrence à nos exportateurs...

                        Commentaire


                        • #13
                          sur la crise, on pense toujours avoir tout lu, et non :

                          http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/...

                          Commentaire


                          • #14
                            Bonjour,

                            Une chose à ne pas oublier. La Chine ne peut pas voir le dollar se dévaluer de manière importante, la majeure partie de ses reserves de changes étant en dollar.

                            Commentaire


                            • #15
                              http://www.marianne2.fr/Comment-la-Chine-a-pique-l...

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X