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  • Sauvons le soldat Euro

    Toutes les mesures semblent envisageables sauf la sortie de la Grèce de l'Euro

    Résultats dans la soirée manifestement
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  • #2
    Quelques titres ce soir ....

    Merkel et Sarkozy réconciliés, la Grèce sauvée

    Les banques françaises ne veulent pas d'une taxe "dette grecque"

    "Une solution durable" pour la Grèce se profile
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    • #3
      Sommet euro : "la course à l'abîme continue" (Mélenchon, FG)

      Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, a estimé jeudi à l'issue du sommet de la zone euro que la "la course à labîme continue".

      "Adopté sous la férule de la BCE et des banques privées, cet énième plan de sauvetage européen ne règlera aucun problème, ni à long terme ni à court terme", a jugé M. Mélenchon.

      Pour lui, "le caractère antidémocratique de lUnion Européenne saggrave", car "ce plan a été préparé sous le contrôle de la Banque centrale en présence de Jean-Claude Trichet qui en a été informé avant même les chefs dEtat européens" et "a été adopté en présence de dirigeants des grandes banques (BNP Paribas et Deutsche Bank) invités à siéger au Conseil Européen parmi les représentants des gouvernements".

      M. Mélenchon juge que l'UE "saffiche sans retenue comme une oligarchie politico-financière".

      Par ailleurs, "la décision de baisser les taux dintérêt imposés à la Grèce, lIrlande et le Portugal donne raison à ceux qui comme moi ont dénoncé leur montant trop élevé".

      Ce plan écarte "la seule solution efficace pour casser la spéculation en refusant toujours que les Etats se financent directement auprès de la Banque centrale européenne".

      Enfin, juge-t-il, "la contribution promise du secteur privé est factice. Le projet dune taxe sur les banques a été écarté. Les quelques mesures annoncées sont floues et non contraignantes".

      "En persévérant dans lerreur, les dirigeants européens aveuglés emmène la zone euro dans le mur", conclut M. Mélenchon.

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      • #4
        Sommet européen : "colmatages provisoires à une crise sans précédent"

        Ségolène Royal, candidate à la primaire socialiste, a estimé jeudi que ce sommet européen "n'apporte que des colmatages provisoires à une crise sans précédent".

        "Ce 23ème sommet européen n'apporte que des colmatages provisoires à une crise de l'euro sans précédent, qui va bien au-delà du problème de la dette de la Grèce", a déclaré l'ex-candidate à l'Elysée.

        "Les conclusions de ce sommet sont à court terme et n'engagent aucune reforme de structure comme si les dirigeants européens étaient tous prisonniers des échéances électorales et n'avaient pas le courage d'agir, une fois de plus", a ajouté la présidente de Poitou-Charentes.

        "En effet l'accord final reporte à plus tard les deux questions fondamentales pour l'avenir de l'Europe : la lutte contre la spéculation financière et la relance économique de la zone euro", a estimé Mme Royal.

        "Des solutions durables existent pour sortir de la crise à condition que s'impose une vraie vision de l'Europe", fait valoir Mme Royal.

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        • #5
          Grèce : l'impulsion de Sarkozy "décisive" (Copé)

          Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a qualifié jeudi de "décisive" l'impulsion de Nicolas Sarkozy "pour sauver la Grèce, l'Europe et protéger les Français".

          Saluant l'accord trouvé par les dirigeants de la zone euro, "sous l'impulsion décisive du président Sarkozy", M. Copé écrit dans un communiqué que "le président de la République a une nouvelle fois fait preuve de sa réactivité, de sa capacité de rassemblement, d'entrainement et de sa détermination pour sauver la Grèce et l'ensemble de la zone Euro".

          "L'enjeu était majeur, poursuit-il, si la zone euro laissait tomber la Grèce, c'est l'Europe toute entière qui se serait effondrée, et les Français en auraient payé le prix. Sauver la Grèce, c'est protéger les Français".

          "Avec cet accord, l'Europe donne un signal important: la zone euro est forte, solidaire et unie, elle ne se désagrégera pas face aux attaques des spéculateurs", estime-t-il.

          M. Copé "salue aussi le couple franco-allemand qui a pris toutes ses responsabilités pour défendre une ligne commune et jouer son rôle de garant de la stabilité de la zone euro".

          M. Copé "salue" encore l'initiative franco-allemande pour améliorer la gouvernance économique de la zone euro.

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          • #6
            Dette grecque : Aubry (PS) se réjouit d'un accord mais il faut "bâtir le gouvernement de l'euro"

            Martine Aubry, candidate à la primaire "citoyenne", s'est réjouie jeudi de l'accord entre les leaders de la zone euro pour "trouver une solution au financement de la dette grecque" mais le problème reste "entier": "bâtir le gouvernement de l'euro".

            "Je me réjouis qu'un accord ait été finalement trouvé à Bruxelles entre les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone Euro pour trouver une solution au financement de la dette grecque. Nous le devions au peuple grec, nous le devions à l'Europe", a estimé dans un communiqué la première secrétaire du PS en congé de ses fonctions.

            "Des prêts européens à long terme de quinze à trente ans, des taux dintérêts abaissés à 3.5%: ce sont les conditions nécessaires, à défaut dêtre suffisantes, dun redressement des finances publiques grecques", fait valoir la dirigeante socialiste.

            "Je me réjouis aussi que le secteur privé ait été mis a contribution, même s'il a fallu pour ce faire offrir des garanties coûteuses pour l'Europe et la Grèce", ajoute-t-elle.

            "Le coeur du problème reste toutefois entier: bâtir le gouvernement de l'euro. L'Europe est passée près d'un désastre - l'implosion de la monnaie unique par insuffisance d'action politique face à la spéculation".

            "Il est inacceptable que les agences de notations pèsent à ce point sur les choix qui concernent un demi-milliard d'habitants. Il est temps de doter la zone euro d'un gouvernement moderne, démocratique et efficace", assure Mme Aubry qui rappelle que les socialistes européens et français "réclament depuis longtemps une taxe prélevée sur les transactions financières".

            "Une telle option vaudrait mieux que les contorsions auxquelles on a été conduit aujourdhui pour impliquer le secteur privé dans le financement de la dette grecque".

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            • #7
              Nouveau plan d'aide de près de 160 milliards d'euros pour la Grèce :


              Le Président Nicolas Sarkozy à Bruxelles le 21 juillet 2011
              © AFP Eric Feferberg

              La zone euro a annoncé jeudi soir à l'issue d'un sommet de crise un deuxième plan d'aide de près de 160 milliards d'euros pour la Grèce, qui risque toutefois de provoquer un défaut de paiement du pays, inédit dans l'histoire de l'Union monétaire.

              "Le plan fait à peu près 160 milliards d'euros", a déclaré le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi à la presse à l'issue d'un sommet crucial pour l'avenir de la monnaie unique.

              Le montant de ce second sauvetage, qui doit permettre à Athènes de tenir jusqu'à mi-2014, est bien supérieur aux chiffres qui circulaient précédemment, proches du premier plan décidé en urgence mi-2010 de 110 milliards d'euros.

              Cet accord doit permettre de réduire le fardeau de la colossale dette grecque qui s'élève actuellement à 350 milliards d'euros et asphyxie le pays.


              Angela Merkel à Bruxelles le 21 juillet 2011
              © AFP John Thys

              Dans le détail, environ 109 milliards d'euros doivent venir de prêts de l'Europe et du Fonds monétaire international, le reste, 49,6 milliards d'euros, d'une contribution du secteur privé créancier de la Grèce, banques, compagnies d'assurance et fonds d'investissement. Soit 158,6 milliards d'euros au total.

              Sur ce dernier montant, une partie viendra d'une "contribution volontaire" des banques créancières de la Grèce et une autre consistera en un rachat de dette grecque sur le marché.

              La participation des banques dans un plan d'aide de ce type est une première au sein de l'Union monétaire et pourrait déboucher sur un défaut de paiement de la Grèce, même de courte durée. Il est question de "quelques jours", selon un diplomate.

              Cette exigence d'impliquer à tout prix le secteur privé provenait de l'Allemagne. La chancelière Angela Merkel estime qu'elle ne pourra, sans cela, convaincre son opinion publique de prêter de nouveaux fonds aux pays européens en difficulté.


              Sommet de la zone euro sur la Grèce
              ©

              Cette question a été à l'origine d'un rude bras de fer ces dernières semaines entre Berlin, soutenu par les Pays-Bas et la Finlande d'une part, la Banque centrale européenne, la France et de nombreux pays d'autre part. Ces différends ont alimenté la nervosité des marchés et créé des turbulences qui ont failli emporter l'Italie à son tour dans la tempête de la crise de la dette.

              "Nous avons décidé de soutenir la Grèce en tant que membre de l'euro et de la zone euro. C'est un engagement déterminé", a assuré le président français Nicolas Sarkozy après dix heures de discussions avec ses partenaires européens.

              "Nous sommes conscients des efforts demandés aux Grecs, l'ensemble des pays de la zone euro ont décidé d'être à leur côté, on ne peut abandonner un membre de la zone euro à partir du moment ou celui-ci s'engage dans un programme de réforme", a-t-il ajouté.

              Après avoir hésité, le FMI a finalement décidé de participer au nouveau plan d'aide à la Grèce, qui succèdera au premier décidé au printemps 2010, qui ne suffit déjà plus.


              Le Premier ministre grec George A. Papandreou (G), le président du Conseil européen Herman Van Rompuy (C) et le président de la Commission européenne José Barroso à Bruxelles le 21 juillet 2011
              © AFP Georges Gobet

              Ces annonces visent à rassurer les marchés et éviter une contagion de la crise aux pays les plus fragiles de la zone euro. Ce qui signerait probablement l'arrêt de mort de l'Union monétaire dans sa forme actuelle. Les Bourses européennes ont nettement grimpé dans la journée, en anticipant une conclusion positive du sommet. L'euro s'est fortement apprécié face au dollar, repassant au-dessus de 1,44 dollar. Wall Street a également clôturé en hausse.

              Problème: les solutions trouvées pourraient toutefois déboucher sur un défaut de paiement de la Grèce, brisant ainsi un tabou au sein de l'Union monétaire.

              Jusqu'ici fermement opposé à cette solution, le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a salué jeudi soir le nouveau plan d'aide, le jugeant "crucial" pour stabiliser l'économie grecque. Il n'a toutefois pas exclu un défaut de paiement de la Grèce, qu'il avait rejeté jusqu'ici.

              "Nous faisons valoir nos arguments, nous ne sommes pas toujours entendus", a-t-il reconnu.

              Après des semaines de tergiversations, le couple franco-allemand a débloqué la situation en se mettant d'accord mercredi soir sur les moyens d'aider la Grèce. Le compromis entre Paris et Berlin a servi de base au projet d'accord trouvé

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              • #8
                La dette grecque réduite de 26 milliards d'euros d'ici fin 2014

                BRUXELLES - La Grèce va voir sa dette publique de quelque 350 milliards d'euros réduite de 26 milliards d'euros d'ici fin 2014 grâce au nouveau plan d'aide décidé jeudi, a annoncé le Premier ministre grec Georges Papandréou.

                La réduction est d'environ 26 milliards d'euros pour la période, a-t-il declaré à la presse à l'issue d'un sommet des dirigeants de la zone euro à Bruxelles.

                Ces 26 milliards d'euros représentent 12% du Produit intérieur brut national.

                En outre, le pays va bénéficier d'échéances plus importantes pour rembourser les nouveaux prêts promis par l'Europe et de taux d'intérêt plus avantageux, qui vont réduire le service de la dette.

                Cela permettra à la Grèce d'avoir accès aux marchés plus tôt que prévu jusqu'ici pour emprunter elle-même, ce qui lui est interdit actuellement, a-t-il dit. Cela donne un répit à la Grèce et à la zone euro, a-t-il ajouté.

                Le nouveau plan d'aide annoncé jeudi soir à l'issue d'un sommet de la zone euro est financé en partie par une contribution des créanciers privés du pays, banques, compagnies d'assurance et fonds d'investissement. Ces derniers ont accepté un perte sèche de 21% de la valeur actuelle de leurs titres, selon un document interne à la zone euro.(©AFP / 21 juillet 2011 23h18)


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                • #9
                  Grèce: des banques de l'IIF promettent 54 milliards d'euros sur trois ans

                  WASHINGTON - Des banques et assureurs créanciers de la Grèce ont promis jeudi de contribuer à hauteur de 54 milliards d'euros sur trois ans, et 135 milliards d'euros sur dix ans, à un nouveau plan d'aide pour ce pays, a annoncé l'Institut de la finance internationale (IIF).

                  Cette association d'institutions financières a indiqué dans un communiqué publié à Washington, faire une offre en vue d'apporter à Athènes un financement de 54 milliards d'euros de mi-2011 à mi-2014, et un total de 135 milliards d'euros de mi-2011 à fin 2020.

                  L'IIF a énuméré une liste de 30 institutions financières volontaires, dont 22 (bien: 22) de l'Union européenne, trois suisses, une canadienne, une koweïtienne, une péruvienne, une sud-coréenne et une turque.

                  Le programme offre un ensemble d'instruments nouveaux aux investisseurs afin de mobiliser une participation volontaire de leur part, avec un objectif d'un taux de participation de 90%, a indiqué l'association.

                  Nous sommes prêts à participer à un programme volontaire d'échange de dette et à un plan de rachat de dette conçu par le gouvernement grec, a expliqué l'IIF.

                  Il y aura quatre moyens de participer pour les détenteurs d'obligations grecques.

                  Soit ils décident de garder la valeur faciale de leurs titres de dette, et dans ce cas ils peuvent les échanger contre un nouvel instrument avec une maturité de 30 ans, ou alors attendre qu'ils arrivent à maturité pour réinvestir dans cet instrument.

                  Soit ils acceptent une décote sur la valeur faciale de leur titre, et dans ce cas ils peuvent les échanger contre des instruments sur 15 ans, ou ils choisissent des instruments sur 30 ans.

                  Les instruments sur 30 ans, adossés à des obligations émises par le Fonds européen de stabilité financière (FESF), offrent des garanties plus solides que ceux sur 15 ans, adossés à des emprunts de la Grèce au FESF.

                  Selon les projections de l'IIF, les banques et assureurs devraient répartir leur participation à parts égales (25% à chaque fois) entre ces quatre possibilités.

                  Le profil de la Grèce en tant qu'emprunteur sera considérablement amélioré avec le programme d'échange et de réinvestissement en allongeant les maturités des obligations détenus par le privé de 6 à 11 ans en moyenne, s'est félicité l'IIF.

                  Quant au rachat de dette, a précisé l'IIF, son montant sera déterminé après des discussions supplémentaires impliquant le pays et ses partenaires.

                  Avec cette offre, la communauté mondiale des investisseurs fait un pas en avant en reconnaissant les défis uniques à laquelle est confrontée la Grèce, a indiqué le directeur général de l'IIF, Charles Dallara, cité dans un communiqué.

                  Les nouveaux instruments créés pour l'occasion sont selon l'IIF adaptés aux besoins d'Athènes. Ils sont structurés de manière à ce que les bénéfices pour la Grèce soient les plus forts dans les premières années du programme, (de façon à ce qu'elle rembourse) à mesure qu'elle retrouvera un accès aux marchés mondiaux de capitaux, a estimé l'association.

                  La Grèce est incapable depuis le printemps 2010 d'emprunter à moyen et à long terme sur les marchés, les investisseurs exigeant d'elle des taux d'intérêt beaucoup trop élevés. Selon les projections du FMI, elle ne pourra pas y revenir avant 2014.


                  (©AFP / 21 juillet 2011 23h29)


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                  • #10
                    les agences de notation seront sans pitié, c'est un défaut, partiel, technique, volontaire ou tout ce que vous voulez mais ça reste un défaut

                    faudra voir les csq du déclenchement des CDS ou pas

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                    • #11
                      Il reste encore quelques médias qui disent les choses. Pas bcp, mais il en reste.

                      Plan pour la Grèce : un gros sparadrap qui ne changera rien

                      Par Pascal Riché | Rue89 | 22/07/2011 | 01H08

                      A lire les commentaires qui ont suivi la clôture du sommet européen, ce jeudi soir, la Grèce, l'euro et l'Europe seraient enfin sauvés. « La zone euro éteint l'incendie grec » clame Le Figaro. « L'impulsion de Nicolas Sarkozy a été décisive », flagorne Jean-François Copé.

                      Un tel optimisme me semble très prématuré, compte tenu du plan proposé. Sa partie « dure », c'est un nouveau renflouement de la Grèce par l'Union européenne et le FMI. Ils vont prêter, sur plus de quinze ans, une centaine de milliards d'euros. Voilà pour la solidarité européenne.

                      http://eco.rue89.com/2011/07/22/plan-pour-la-grece...

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                      • #12
                        1ère réaction



                        12:50 - Fitch: baisse des taux, allongement maturités peuvent aider la Grèce (DowJones)

                        12:50 - Fitch: ces mesures peuvent rétablir la solvabilité de la Grèce (DowJones)

                        12:48 - Fitch: la Grèce sera placée en "défaut sélectif" à la clôture (DowJones)


                        Europe / Eco : Fitch va placer la Grèce en "défaut restreint" 22/07/2011 12:47

                        Des trois principales agences, c'est Fitch Ratings qui a dégainé la première après l'annonce du plan européen de soutien à la Grèce. Le bureau d'études estime que l'accord signé hier "constitue une étape importante et positive vers la sécurisation de la stabilité financière de la Zone Euro". Cette réponse "davantage unifiée" et "cohérente" de la Zone Euro relâche la pression à court terme, signale Fitch, qui estime cependant qu'en l'absence de reprise économique pérenne et générale dans la région, ainsi que d'assainissement des finances publiques et de réformes structurelles, de nouvelles périodes d'instabilité financière ne sont pas à écarter, tandis qu'une pression négative perdurera sur les notations souveraines européennes.

                        Le nouveau programme d'aide à la Grèce constituera, selon l'agence, un événement de crédit de "défaut restreint" (RD, pour "Restricted Default"). Dans la terminologie de Fitch, un échange de produits financiers par de nouveaux produits offrant des conditions moins favorables en cas de tensions sur l'émetteur constitue un événement de défaut. Conformément à ce qui avait été annoncé en juin, l'agence va placer la note grecque en catégorie "Défaut Restreint" et assignera la catégorie "défaut" aux obligations d'Etat grecques à la date de clôture de la période d'offre d'échange de la dette. Fitch assignera ensuite de nouvelles notes "post-défaut" une fois l'événement initial de défaut aura été soldé par l'émission de la nouvelle dette. La nouvelle notation sera en tout état de cause dans le bas de la catégorie spéculative.

                        "Fitch considère que la nature de l'engagement du secteur privé dans le nouveau plan financier de soutien pour la Grèce constituera un événement de défaut restreint. Cependant, la réduction des taux d'intérêt et l'extension des maturités offriront potentiellement à la Grèce une fenêtre d'opportunité pour restaurer sa solvabilité, en dépit de l'énorme défi auquel le pays fait face", a résumé David Riley, patron de la recherche souveraine chez Fitch.

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                        • #13
                          La semaine à venir s'annonce chargée :
                          Réunion de l'Eurogroupe lundi et mardi, comité de politique monétaire de la Banque centrale européenne jeudi...
                          Les Européens sont une nouvelle fois sollicités pour essayer de stabiliser la zone euro.
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