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  • Envoyé par arnaud11 Voir le message

    Oui mais surtout dans le derrière des bears...
    C' est à la fin de la bataille les vainqueurs et les vaincues...
    "Évitez les gens négatifs, ils ont toujours un problème pour chaque solution."

    Albert Einstein.

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    • Envoyé par Ducos Voir le message

      C' est à la fin de la bataille les vainqueurs et les vaincues...
      Vainqueurs peut-être mais dans quel état?

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      • Envoyé par arnaud11 Voir le message

        Vainqueurs peut-être mais dans quel état?
        Les vaincues (les bullishs pour moi), se retireront et il restera plus de contrepartie pour une glissade sans douleur

        Mais quelque soit le gagnant, il est vrai que ça va laisser des plumes...
        "Évitez les gens négatifs, ils ont toujours un problème pour chaque solution."

        Albert Einstein.

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        • Il va bientôt être temps de vendre la nouvelle , quelle qu'elle soit








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          • Envoyé par Ducos Voir le message

            Les vaincues (les bullishs pour moi), se retireront et il restera plus de contrepartie pour une glissade sans douleur

            Mais quelque soit le gagnant, il est vrai que ça va laisser des plumes...
            Il suffit de parler de baisse pour qu'elle arrive.

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            • ça va mieux Arnaud ? mais méfiance, les algos sont juste partis boire un café...

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              • pour les bears, le billet hier soir de Fiorentino...

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                  • 16:30 USD Stocks de pétrole brut 7,069M 1,203M -8,647M

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                      "Évitez les gens négatifs, ils ont toujours un problème pour chaque solution."

                      Albert Einstein.

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                      • L'administration Trump a déclaré l'an passé une guerre commerciale au nom de l'Amérique d'abord. Elle s'est traduite par des vagues successives de tax - 06/03/2019 20:17




                        L'administration Trump a déclaré l'an passé une guerre commerciale au nom de "l'Amérique d'abord". Elle s'est traduite par des vagues successives de taxes douanières supplémentaires allant de 10 à 50% sur l'équivalent de 283 milliards d'importations américaines.

                        Pourtant, les Etats-Unis ont enregistré un nouveau déficit commercial record. Pourquoi les taxes sont-elles restées sans effet ?

                        - Le déficit commercial, qu'est-ce que c'est ? -

                        Le déficit commercial d'un pays se produit quand le volume d'importations est supérieur à celui des exportations. Concrètement, le pays achète plus de biens et services au reste du monde qu'il n'en vend.

                        Les Etats-Unis accusent un déficit commercial chronique depuis près d'un demi-siècle. En 2018, celui-ci a atteint 621 milliards de dollars (+12,5%), un record.

                        Et le seul déficit des biens (hors services) avec la Chine s'est élevé à 419,16 milliards de dollars, un record aussi.

                        - Pourquoi les consommateurs sont-ils un élément déterminant? -

                        La croissance économique américaine est traditionnellement tirée par la consommation des ménages. Or les consommateurs ont bénéficié d'un pouvoir d'achat plus important avec une baisse des impôts décidée par l'administration Trump.

                        Et l'appétit insatiable des consommateurs pour les marchandises importées de Chine ou d'ailleurs s'explique par le fait que ces produits sont souvent moins chers.

                        Les entreprises, qui ont, elles aussi, bénéficié de la baisse des impôts, augmentent leur rentabilité en achetant à l'étranger des produits moins chers que les produits domestiques.

                        - Quel est le rôle du dollar? -

                        Le taux de change du dollar est un élément clé dans la mesure où un dollar fort rend les produits étrangers plus compétitifs pour les consommateurs américains. Les entreprises américaines ont, elles, plus de mal à vendre à l'étranger leurs produits, plus chers.

                        L'an passé, les produits chinois ont certes été surtaxés mais ils ont bénéficié d'un taux de change favorable qui a maintenu leur compétitivité.

                        - Quid du lien entre croissance et déficit? -

                        Les statistiques sont là pour l'illustrer: quand la conjoncture est bonne, le déficit s'accroît. Quand la croissance bat de l'aile, le déficit commercial diminue car les Américains consomment moins, faisant chuter les importations.

                        En 2009, le déficit commercial avait ainsi plongé de 45,8% au moment où la croissance économique des Etats-Unis était en berne, dans le sillage du déclenchement de la crise financière à l'automne 2008.

                        A contrario, le déficit s'est fortement creusé l'an passé alors que l'économie américaine a tourné à plein régime, avec une croissance frôlant les 3% et un chômage historiquement bas.

                        © 2019 AFP

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                        • La croissance de l'économie mondiale n'atteindra que 3,3% en 2019 à cause des tensions commerciales et des incertitudes politiques, prévoit l'OCDE, qu - 06/03/2019 15:42



                          La croissance de l'économie mondiale n'atteindra que 3,3% en 2019 à cause des tensions commerciales et des incertitudes politiques, prévoit l'OCDE, qui tablait encore sur 3,5% en novembre, dans son dernier rapport publié mercredi.

                          L'Organisation de coopération et de développement économiques explique ce nouveau coup de frein par "la hausse des incertitudes politiques, des tensions commerciales persistantes et une diminution continue de la confiance des entreprises et des consommateurs".

                          La croissance a été révisée à la baisse dans presque toutes les économies du G20, en particulier pour la zone euro où elle se limiterait à 1%, contre 1,8% encore projetés au trimestre dernier.

                          Pour 2020, la croissance de la zone euro est prévue à 1,2%, soit également un coup de rabot de 0,4 point de pourcentage par rapport aux dernières prévisions.

                          "Avec une croissance nettement affaiblie, les créations d'emplois dans la zone euro pourraient être divisées par deux à 2 millions d'euros pour les années 2019-2020, alors que les créations nettes étaient d'environ 4 millions pour les années 2017-2018", a expliqué Laurence Boone, économiste en chef de l'OCDE, lors d'une conférence de presse à Paris.

                          Au sein de la zone, le ralentissement est particulièrement brutal cette année pour l'Allemagne (-0,9 point à 0,7%) et l'Italie (-1,1 point à -0,2%). La France s'en sort mieux (-0,3 point à 1,3%) car son économie est moins dépendante des exportations.

                          Mais "si l'Allemagne s'affaiblit, cela a un impact dans toute la zone euro", a souligné Mme Boone, ajoutant que c'était également vrai pour l'Italie.

                          - Brexit dur -

                          Pour rétablir la confiance, l'OCDE conseille aux gouvernements de la zone euro de libéraliser leurs marchés, en particulier dans les services, afin d'augmenter la productivité. Pour les pays dont l'endettement public ne dépasse pas 80% du PIB, c'est à dire notamment l'Allemagne, l'organisation recommande en outre des baisses d'impôts pour soutenir la demande.

                          Le Royaume-Uni voit quant à lui sa croissance anticipée ramenée à 0,8%, contre 1,4% prévu auparavant. Mais c'est encore sans compter avec les effets d'un Brexit sans accord, une perspective de plus en plus réelle à mesure qu'approche le 29 mars, date de sortie prévue de l'UE.

                          L'OCDE souligne que "si le Royaume-Uni et l'Union européenne venaient à se séparer sans accord, la perspective serait significativement plus faible" pour la Grande-Bretagne: son produit intérieur brut (PIB) se trouverait amputé de 2% au cours des deux prochaines années, par l'effet de l'application des droits de douane de l'Organisation mondiale du commerce (OMC).

                          - Risque chinois -

                          A la suite de tarifs douaniers adoptés notamment par les Etats-Unis, le commerce mondial a déjà "fortement ralenti", et "les nouvelles commandes mesurées dans de nombreux pays continuent à décliner", note encore l'OCDE.

                          Déjà, les seules barrières érigées en 2018 "pèsent sur la croissance, l'investissement et les niveaux de vie, en particulier des ménages à faibles revenus".

                          L'organisation souligne aussi que l'activité planétaire est particulièrement exposée à un ralentissement qui serait plus prononcé que prévu en Chine, où elle projette une croissance de 6,2% cette année (contre 6,3% en novembre dernier) et de 6% en 2020 (inchangé).

                          "Les tensions commerciales pèsent de plus en plus sur les exportations et la production industrielle" dans la deuxième économie mondiale, constate l'OCDE.

                          La dette accumulée par les pays émergents et en particulier par la Chine est aussi source d'inquiétude car "une grande partie de cette dette doit être remboursée ou refinancée au cours des trois prochaines années", a souligné Mme Boone, qui a rappelé que la dette des entreprises non financières en Chine s'élevait à 155% du PIB, "ce qui est colossal".

                          L'organisation a simulé l'effet qu'aurait sur l'économie mondiale un ralentissement chinois plus fort qu'anticipé: une chute de deux points de la croissance du PIB en Chine amputerait la croissance mondiale de 0,4 point de pourcentage.

                          "Si la Chine éternue, nous allons tous nous enrhumer", a résumé la cheffe économiste de l'OCDE. Le Japon, les autres pays d'Asie orientale, les producteurs de matières premières ainsi que l'Allemagne en seraient particulièrement affectés.

                          L'Inde, dont la croissance devrait atteindre 7,3% cette année, l'Indonésie (5,2%) et l'Afrique du Sud (1,7%) ne font pas l'objet d'une révision par rapport aux prévisions d'automne, tandis que l'Argentine reste en récession mais avec une perspective un peu moins sombre (-1,5% contre -1,9%). Enfin, l'économie brésilienne devrait voir sa reprise s'accélérer à 1,9% en 2019 puis à 2,4% en 2020, après seulement 1,1% l'an dernier.

                          © 2019 AFP

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                          • le graph de la page 256 réactualisé
                            la hausse semble bien stoppée

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                            • Bonjour,

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