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  • biotrade
    a répondu
    La course folle de l'économie américaine
    10/12/2021 | 19:41
    Washington (awp/afp) - Des offres d'emplois pléthoriques, mais encore beaucoup de chômeurs, une croissance soutenue, mais menacée par une inflation record, des millions de doses de vaccin anti-Covid, mais l'ombre des variants Delta et Omicron, la reprise est tortueuse aux États-Unis.
    Certaines statistiques sont indéniablement bonnes, illustrant la capacité de rebond de la première économie du monde.
    Ainsi, 18,5 millions d'emplois ont été recréés depuis avril 2020 quand le taux de chômage a culminé à 14,7% après la paralysie de l'économie pour contenir la propagation du nouveau coronavirus.
    Le taux de chômage est en baisse constante. Mais à 4,2% en novembre, il est encore supérieur aux 3,5% enregistrés en février 2020, quand il était à son plus bas niveau en 50 ans.
    Avec des aides massives qui ont gonflé l'épargne des ménages -le stock d'épargne excédentaire était encore de 1.321 milliards en octobre - certains Américains ne sont pas pressés de retourner au travail.
    Des millions d'autres, essentiellement des personnes non qualifiées des secteurs des services, démissionnent chaque mois, attirés par des emplois aux salaires plus généreux, assortis de primes et d'avantages sociaux. Si bien que la confiance des consommateurs américains s'est améliorée en décembre, les employés à bas salaires s'attendant à de nouvelles augmentations.

    Croissance soutenue
    Mais pour les employeurs, le marché du travail est devenu un casse-tête, en particulier pour ceux du secteur de l'hôtellerie et de la restauration, ainsi que de l'éducation, confrontés à une pénurie de main d'oeuvre sans précédent freinant leur potentiel de croissance.
    Les travailleurs se tournent vers des emplois proposés par les grands groupes du e-commerce tels qu'Amazon.
    Résultat, dans certaines écoles du pays, des enseignants sont en burn-out et faute de bras, des établissements publics ont commencé à renvoyer une fois par semaine les enfants à la maison, au grand dam des parents et au risque d'entraver la productivité et la croissance du pays.
    L'économie américaine avait connu en 2020 sa pire récession depuis la Seconde Guerre mondiale. Cette année, elle a certes regagné du terrain, mais la folle allure du début d'année a laissé place à une croissance mesurée.
    Après une expansion du Produit intérieur brut de 6,4% au premier trimestre en rythme annuel, le PIB a bondi de 6,7% au deuxième trimestre quand la campagne de vaccination contre le Covid battait son plein et que les consommateurs étaient optimistes quant à l'avenir.
    Mais une résurgence de la pandémie à la fin de l'été et à l'automne avec l'apparition du variant Delta a tempéré la croissance: 2,1% au troisième trimestre.
    Désormais, c'est l'émergence d'un nouveau variant, Omicron, qui obscurcit l'horizon économique.

    Des prix au plus haut depuis 39 ans
    Outre la pandémie, l'inflation galopante est aussi une menace pour la croissance américaine.
    La hausse des prix s'est élevée à 6,8% le mois dernier comparé à novembre 2020, après +6,2% en octobre, selon les données du département du Travail. C'est la plus forte hausse jamais enregistrée depuis juin 1982.
    Les Américains paient tout plus cher: de la nourriture, aux vêtements en passant par les voitures, l'essence, les produits électroniques ou les billets d'avion et restaurants.
    Et la hausse de leurs salaires ne compense pas complètement le niveau d'inflation, au risque de freiner la consommation, moteur historique de la croissance aux États-Unis.
    Le président Joe Biden avait promis le mois dernier d'inverser la courbe des prix, mais la tâche s'avère plus difficile que prévu.
    Par ailleurs, les chiffres publiés vendredi vont encore compliquer l'adoption au Sénat de son plan "Build Back Better", "reconstruire en mieux".
    D'un montant de quelque 1.800 milliards de dollars, il prévoit des réformes sociales ambitieuses -comme la scolarité dès trois ans- et des mesures pour lutter contre le changement climatique.
    Selon l'administration Biden, il s'agit de réformer l'Amérique en profondeur.
    Mais les républicains, et même certains démocrates, soutiennent qu'avec une inflation si élevée, ce n'est pas le moment d'adopter un projet de loi aussi massif.
    La Chambre des représentants avait approuvé mi-novembre le projet de loi. Les dirigeants démocrates du Sénat ambitionnent de le faire adopter avant Noël. Sans certitude après des mois déjà de psychodrame politique.
    afp/rp
    © AWP 2021

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  • 1388
    a répondu
    https://www.lesechos.fr/industrie-se...n-mars-1370853

    "
    Covid : un vaccin Pfizer adapté au variant Omicron attendu en mars


    Le vaccin contre le Covid-19 développé par Pfizer et BioNTech est « toujours efficace » après « trois doses » contre le variant Omicron, selon les deux entreprises. Elles espèrent néanmoins pouvoir rendre disponible un vaccin spécifique d'ici mars, « au cas où une adaptation serait nécessaire ». "

    ....d'ici là , il aura encore muté

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  • 1388
    a répondu
    cac

    si le Tasi est precurseur , rachat de shorts lundi

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  • phg
    a répondu
    Tout va bien, comme à l'habitude, avec ce journal-eau tiède.
    Les abonnés n'ont pas besoin de somnifère.

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  • 1388
    a répondu


    Variant Omicron : les patients souffrent de « symptômes légers » pour l’instant, selon une médecin


    Une médecin sud-africaine, qui a traité une trentaine de patients Covid contaminés par le nouveau variant Omicron, dit n’avoir constaté pour l’instant que des convalescences sans hospitalisation.
    ......etc

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  • 1388
    a répondu
    https://www.zerohedge.com/markets/ve...hegos-collapse

    Un JPMorgan "très surpris" calcule les dégâts causés par l'effondrement des Archegos ...

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  • polux35
    a répondu
    Jusqu'ici en effet :
    certains gérants commencent à évoquer la chose . Ils osent en parler.
    certains parlent même de bulles ici ou là .
    de nouveaux outils fleurissent : de plus en plus douteux.
    les taux et l'inflation : les nouveaux challenges
    Pour l'instant les résultats des entreprises sont bons
    (retour de la conso mondial important sous peu semble évident : mais : 1 DEJA DANS LES COURS 2 INFLATIONISTE (controle ou pas de 'inflation?);

    WAKE UP DE L'OR SOON AMA . (divergence rsi : daily weekly et cours : proche) en passant

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  • biotrade
    a répondu
    Taux : la dégradation de l'obligataire devient plus alarmante

    16/02/2021 | 19:28
    La dégradation des marchés obligataires s'accélère à lesure que les indices boursiers enchaînent les records absolus (ou les plus hauts depuis 1 an dans le pire des cas).

    La secousse devient sérieuse avec de nouveau +5Pts de base sur nos OAT à tout juste -0,106%.
    Les Bunds s'en sortent juste un peu mieux avec +4Pts à -0,344%, les BTP italiens sont entre les 2 avec +4,5Pts (vers 0,575%)... mais cela commence à chauffer pour les Bonos espagnols avec +9,5Pts à 0,2970%.
    Et cela ne se passe pas mieux outre-Manche avec +5,5Pts à 0,627% (contre à peine 0,15% début janvier et 0,07% fin juillet 2020).

    La dégradation des marchés de taux n'a qu'un lointain rapport avec la publication du PIB 'CVS' de la zone Euro : il s'est contracté de 0,6% (et de -0,4% dans l'UE) par rapport au trimestre précédent, selon l'estimation rapide d'Eurostat, qui s'avère meilleure que la première (-0,7% et -0,5% respectivement).

    Ces reculs succèdent au fort rebond du troisième trimestre (+12,4% dans la zone euro et +11,5% dans l'UE) et aux plus importants reculs depuis le début des séries temporelles en 1995 au deuxième trimestre (-11,7% dans la zone euro et -11,4% dans l'UE).
    Ainsi, sur 1 an, le PIB a globalement diminué de 6,8% dans la zone euro et de 6,4% dans l'UE.
    En revanche, l'indice ZEW reflétant le sentiment des investisseurs allemands ressort à 71,2 points contre 61,8 le mois précédent, et bien au-dessus du consensus de 60... mais c'est le Bund qui en fait s'en sort le mieux alors que c'est en Allemagne qu'est paru le chiffre le plus vigoureux.

    Cela commence à ressembler à une alerte rouge aux Etats Unis où les T-Bonds se dégradent de +9Pts de base à 1,285%, sa pire 'marque' depuis le plongeon du 15 mars 2020 (le '10 ans' US est même allé chercher 1,2920% ce mardi).
    Rappel: le T-Bond affichait 0,91% de rendement le 31/12/2020 et 0,505% le 2 août 2020.

    Difficile de relier cette flambée du T-Bond à la publication d'un indicateur mineur comme l'indice Empire State de la Fed de New York -aussi vigoureux soit'il- qui s'inscrit en hausse de neuf points ce mois-ci pour s'établir à +12,1 (contre 3,5 en janvier), un plus haut depuis plusieurs mois, alors que le consensus anticipait un gain nettement moins fort (score de 6).

    Copyright (c) 2021 CercleFinance.com. Tous droits réservés.

    Le 10 ans US ce jour

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    Cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle   Nom : 		Capturezn 10 ans us.PNG  Affichages :	0  Taille :		0  ID : 			2031640

    Pétrole au dessus des 60$

    Cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle   Nom : 		Capture petrole.PNG  Affichages :	0  Taille :		2,9 Ko  ID : 			2031638

    Cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle 

Nom : 		Capturezn 10 ans us.PNG 
Affichages :	326 
Taille :		92,6 Ko 
ID : 			2031642

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  • 1388
    a répondu
    Il était au cœur du Système, il a décidé de ne plus se taire...???? RETROUVEZ ANICE : https://twitter.com/AniceLajnef❤ ALLEZ, ON BOOSTE UN MÉDIA ALTERNATIF : h...


    Confessions d'un trader repenti : Anice Lajnef balance tout !

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  • 1388
    a répondu


    La BRI met en garde contre l'ouverture d'un fossé entre les marchés et la réalité du COVID-19

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  • 1388
    a répondu
    https://www.cnbc.com/2020/08/28/doub...-official.html

    "Un `` double creux ″ de l’économie américaine est `` toujours possible ″, déclare l’ancien responsable de la Fed ...."

    Laisser un commentaire:


  • 1388
    a répondu
    https://www.eurasiareview.com/260820...asia-analysis/

    "
    COVID-19: Potentiel de vagues secondaires sévères en Asie - Analyse ....


    Laisser un commentaire:


  • 1388
    a répondu
    https://www.zerohedge.com/markets/aa...-bullion-slide

    "AAPLocalypse maintenant? ....

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  • 1388
    a répondu
    https://www.zerohedge.com/markets/un...crisis-assured

    "...

    Partout dans le monde, les banques commerciales sont massivement endettées et leur exposition aux créances douteuses et à une crise bancaire cyclique en éliminera certainement beaucoup. Dans cet article, nous examinons les banques d'importance systémique mondiale - les G-SIB - comme proxy pour toutes les banques commerciales et identifions celles qui sont les plus à risque sur une analyse basée sur le marché. ..."

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  • 1388
    a répondu
    Les banques françaises battent en retraite dans les matières premières - Market Blog


    DowJones le 07/08/2020 à 10:31 Article lu 21 fois
    CREDIT AGRICOLE S.A.
    FR0000045072 ACA
    8,40 €
    10:42
    Ordre
    NATIXIS
    FR0000120685 KN
    2,44 €
    10:42
    Ordre
    SOCIETE GENERALE
    FR0000130809 GLE
    13,13 €
    10:42
    Ordre
    BNP PARIBAS ACTIO...
    FR0000131104 BNP
    35,39 €
    10:42
    Ordre
    STE GENERALE CER ADR
    US83364L1098 -
    3,12 $
    06/08
    Ordre
    Par Amélie Laurin

    PARIS (Agefi-Dow Jones)--Les dérivés actions ne sont pas le seul point faible des banques d'investissement (BFI) françaises dans les marchés troublés par la crise sanitaire. La Société Générale, Natixis et BNP Paribas ont décidé de passer au crible leurs activités de financement du négoce de matières premières ("trade commodity finance" ou TCF). Ces derniers mois, le métier a dû faire face à un cocktail explosif mêlant forte volatilité des prix, chute des cours du pétrole et comportements illégaux de nombreux courtiers.

    "Il y a eu tellement de cas de fraudes, en Asie notamment, que ça interpelle", a déclaré mercredi soir Jacques Ripoll, directeur général de Crédit Agricole Corporate and Investment Bank (CACIB), lors de la présentation des résultats trimestriels de Crédit Agricole SA. "L'attitude des acteurs doit être plus rigoureuse car il y a eu un relâchement chez certains." Pour autant, "nous n'avons pas l'intention de changer notre dispositif car nous sommes relativement peu touchés", a assuré le dirigeant de CACIB.

    Chez BNP Paribas, la situation est moins critique qu'à la Société Générale et Natixis, toutes deux en plein changement de dirigeants après les pertes de leurs BFI. Mais les revers du trade finance font de l'ombre aux réussites des activités de marché et de financement de la première banque de la zone euro. Ce fonds de commerce semble donc un candidat naturel au plan d'économies de 400 millions d'euros supplémentaires annoncé par la banque en mai.

    La banque de la rue d'Antin a suspendu les nouveaux contrats de financement de matières premières, le temps de passer en revue ses activités dans la région Europe, Moyen-Orient, Afrique, affirme Bloomberg, en citant des sources proches du dossier. Après des pertes importantes auprès de négociants comme Phoenix Group, GP Global et Coex Coffee International, BNP Paribas aurait aussi récemment informé ses clients qu'elle ne signerait pas de nouvelles transactions, sauf en cas d'obligation contractuelle. La banque ne fait pas de commentaires.

    Plaques tournantes à Genève et Singapour

    Depuis Genève, BNP Paribas fut pendant des décennies le numéro un mondial du financement transactionnel des matières premières (lettres de garanties, rachats de créances pour l'énergie, les métaux et les matières agricoles), suivi de près par le Crédit Agricole. La Société Générale s'y est lancée depuis les rives du Léman à partir de 2010 et Natixis y a fait une brève incursion ces dernières années. Les banques tricolores avaient déjà réduit la voilure à partir de 2012 dans le TCF et/ou dans les dérivés de matières premières et le courtage de matières premières "physiques". Des choix dictés par la crise de la zone euro qui avait limité leurs ressources en dollars et par les exigences réglementaires de Bâle 3. En 2016, BNP Paribas était pourtant reparti à l'offensive à Genève, avec l'objectif de conquérir 300 nouveaux clients en trois ou quatre ans, rapportait alors L'Agefi Suisse.

    Aujourd'hui, la banque envisagerait de fermer ses desks ou de les fusionner avec son activité plus large de financement transactionnel. C'est l'option prise par Natixis, qui va scinder ses équipes de financements de l'énergie et des ressources naturelles. Elles seront rattachées d'une part au pôle de crédits structurés pour les actifs réels, et d'autre part aux solutions de court terme et de trésorerie.

    Le choc Hin Leong

    De son côté, la Société Générale va transférer à Hong Kong ses traders de trade finance basés à Singapour, après les lourdes pertes enregistrées sur cette place asiatique. La banque au logo rouge et noir avait notamment une créance de 240 millions de dollars auprès de Hin Leong, un courtier local en faillite qui laisse derrière lui plusieurs milliards de dette. Natixis a aussi porté plainte pour fraude contre plusieurs acteurs asiatiques après avoir enregistré fin mars 193 millions d'euros de provisions pour pertes dans le négoce de pétrole à Singapour. "Dès la fin du premier trimestre, nous avons réduit très significativement notre activité, notamment sur les courtiers de taille moyenne", a déclaré Laurent Mignon, le président du directoire de BPCE, maison mère de Natixis, lors de la présentation de ses résultats à fin juin.

    CACIB a également "fait le choix d'être plus sélectif en privilégiant les gros courtiers comme Trafigura, Cargill et Glencore, au détriment des petits acteurs moins fiables", explique une source proche de l'établissement. "Les banques se sont en effet rendu compte que certains courtiers vendaient plusieurs fois la même marchandise, pour obtenir davantage de financements", indique cette personne. Quand les cours ont chuté en mars, ces malversations sont apparues au grand jour.

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