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  • Coronavirus: Le déclin économique sera pire qu'en 2008, selon l'OMC
    26/03/2020 | 09:48
    Les projections montrent que le déclin économique et les pertes d'emploi causés par la pandémie de coronavirus seront pire que lors de la crise financière de 2008, a déclaré mercredi le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC).


    Dans un message vidéo enregistré depuis son domicile et publié sur le site de l'OMC, Roberto Azevedo a déclaré que "cette pandémie aura inévitablement un impact énorme sur l'économie".
    Les projections récentes, a-t-il poursuivi, donnent "un ralentissement économique et des pertes d'emploi qui sont pires que lors de la crise financière mondiale il y a une dizaine d'années".
    Si des prévisions concrètes ne sont pas encore disponibles, a précisé Azevedo, les économistes de l'OMC s'attendent à un "important déclin" du commerce.
    Il a toutefois ajouté que les pays pouvaient prendre des mesures importantes pour limiter les dégâts économiques immédiats et poser les baser d'un rétablissement à long-terme, appelant les nations à collaborer.
    "Des efforts coordonnés vont augmenter notre puissance collective de lutte contre la récession", a-t-il dit.
    Azevedo a salué les mesures de soutien économiques engagées par les gouvernements, sans indiquer les pays auxquels il se référait, et a appelé les membres de l'OMC à se montrer transparents et à partager leurs données.


    (Emma Farge; version française Jean Terzian) THOMSON REUTERS

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    • bambi

      merci l' OMC sans eux je ny aurait pas pensé

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        • Bonjour,

          Est-ce qu'une file "ça va mal" ne serait pas davantage actuelle que celle-ci , pour le moins désuète ?

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          • Forte contraction du PIB de Singapour au 1er trimestre, signe d'une récession mondiale attendue
            26/03/2020 | 11:13
            Singapour a annoncé jeudi s'attendre à une sévère récession cette année après avoir enregistré la plus forte contraction en dix ans de son produit intérieur brut au premier trimestre, ce qui renforce les craintes d'un effondrement de l'activité mondiale sur fond de pandémie de coronavirus.

            La ville-Etat du Sud-Est asiatique, l'un des premiers pays à publier ses prévisions de croissance depuis l'apparition du virus en décembre en Chine, a indiqué que son PIB s'était contracté de 2,2% au premier trimestre comparé à la même période il y a un an. Les données préliminaires du ministère du Commerce montrent que l'activité a particulièrement souffert dans les services, la construction et la production.
            Il s'agit de la contraction la plus importante depuis la crise financière de 2008. Les économistes attendaient en moyenne une baisse de 1,5% du PIB au premier trimestre. D'un trimestre à l'autre, le PIB a fléchi de 10,6%, à un creux depuis 2010 alors que les économistes prévoyaient un repli de seulement 6,3%.
            Au vu de ces données, le ministère du Commerce a ramené sa prévision de PIB pour 2020 dans une fourchette de -4% à -1% contre une fourchette précédente de -0,5% à 1,5%.
            "Ce pourrait bien être la pire récession jamais enregistrée à Singapour", a déclaré Irvin Seah. Cet économiste de la banque singapourienne DBS prévoit sur l'ensemble de l'année une contraction du PIB de 2,8%.
            Une enquête Reuters la semaine dernière a montré que plus de trois quarts des économistes sondés estimaient que l'économie mondiale était déjà entrée en récession alors que la propagation du virus ne ralentit pas, ce qui mettrait fin à la plus longue période d'expansion économique jamais connue.
            D'autres données publiées jeudi sur Singapour montrent que la production industrielle a chuté de 22,3% en février par rapport au mois précédent, soit la plus forte contraction depuis 1983, alors qu'une baisse de seulement 11,5% était anticipée.
            (version française Claude Chendjou, édité par Blandine Hénault)
            par John Geddie et Aradhana Aravindan

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            • en 2008 on avait le folklore des agences de notation...je suis curieux de les lire.....
              Après le AAA je propose le AIE ou le AH AH AH ( à l'hopital)

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              • Yoff Erreur de tag sur ton message précédent

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                • Envoyé par bambi Voir le message
                  Yoff Erreur de tag sur ton message précédent
                  excuse moi , tu as bien sûr raison

                  Commentaire


                  • https://www.marketwatch.com/story/al...=mw_latestnews
                    les algorithmes accélèrent les ventes, conduisant au marché baissier le plus rapide de l'histoire des marchés boursiers....

                    Commentaire


                    • https://www.armstrongeconomics.com/i...red-the-world/

                      "Some people have wondered who is behind the John Hopkins University map. Is there a political connection or is this just academic incompetence? "....

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                      • https://asiatimes.com/2020/03/why-fr...ed-virus-cure/

                        "Pourquoi la France cache un remède contre les virus bon marché et testé ..."



                        article qui n'engage que son auteur,comme tout article que je publie ,ici ....tjrs garder "son esprit critique"

                        https://www.scmp.com/news/china/scie...ay-have-spread

                        "Un professeur italien répète que le coronavirus pourrait s'être propagé à l'extérieur de la Chine l'année dernière..."
                        • Les commentaires de Giuseppe Remuzzi


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                        • bonjour

                          dommage qu'aucun économiste ne pense à croiser le PIB par Tête et le nombre de contaminations...

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                          • article de JC Ninet

                            De l’inventivité des banques centrales, ou comment faire de l’hélicoptère money ?

                            C’est simple. L’état commence à émettre des obligations pour faire face à d’urgents besoins budgétaires. Les banques privées achètent cette dette souveraine pour la faire migrer sur le marché secondaire. La banque centrale du pays achète immédiatement ces obligations aux banques en élargissant abondamment son bilan, sans attendre leur maturité, mais sans les avoir achetées sur le marché primaire, respectant ainsi la norme du Quantitative Easing.

                            C’est ce qui se passe en Australie actuellement. Cela n’est pas autre chose que de la fausse monnaie, et c’est ce que vont faire tous les pays prochainement pour contrer la crise du SARS Cov 2, sans que cela soit contesté.

                            Par conséquent, ce qui est un délit pour un particulier, ne l’est pas pour un état, car il s’agit du bien de tous et l’urgence le justifie, tant les dépenses budgétaires de soutien à l’économie après le confinement sont considérables.

                            Cette création de monnaie devrait, en temps normal, faire exploser les prix à la consommation. Les différentes crises inflationnistes sont là pour nous le rappeler. Mais ce pas supplémentaire des banques centrales dans la monétisation est rendu possible sans trop de risque dans les grands pays à cash flow important par l’inflation très basse qui règne dans le monde. On connait ses origines : les surcapacités de production de nombreux pays, dont la Chine qui recommence à produire, et la chute de la demande en énergie liée à la crise. On peut donc pratiquer aujourd’hui une inflation monétaire majeure sans qu’elle se traduise par une inflation des prix ou un épuisement des ressources obligataires disponibles. Nos gouvernants ne vont donc pas s’en priver, car ce mécanisme, même s’il est contestable pour les monétaristes, est totalement vertueux dans ses intentions et son résultat. Il sert l’intérêt des populations et n’intervient pas dans le contexte naturel d’une fin cycle économique avec chute de la demande et de l’investissement.

                            Je disais, il y a quelques années, que les banques centrales pousseraient très loin l’inventivité monétaire en cas de nouvelle crise. Nous y sommes désormais. Cela explique pourquoi les marchés vont tenir bon et l’économie sera résiliente pendant quelques années après cette crise. C’est tout l’enjeu des négociations sur les coronabonds conduites par les autorités européennes actuellement, et explique les réticences formulées par les pays qui ont une crainte viscérale et historique de l’inflation. Couplé aux mécanismes de stabilité européens comme le MES, l’achat par les banques privées de ces obligations et la reprise du Quantitative Easing, les coronabonds permettront, de facto, de créer de la monnaie ex nihilo, dès que les banques privées les auront achetées.

                            Nécessité fait loi. Des pays comme l’Italie ou l’Espagne seraient bien incapables d’émettre, avec des taux aussi bas qu’aujourd’hui, de la nouvelle dette en quantité pour faire face à leurs besoins budgétaires post Covid 19, si le risque de crédit n’était pas assuré par la totalité des européens dans le cadre d’une mutualisation en Eurobonds. La décision devrait donc finir par être acceptée. La FED et l’état américain, via les primaries dealers hésiteraient beaucoup moins longtemps si le nombre de titres de créance disponibles sur le marché secondaire devenait insuffisant.

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                            • https://www.zerohedge.com/health/rob...cathing-report

                              Écrit par Robert F. Kennedy Jr., président, Children's Health Defense,
                              Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses entreprises liées aux vaccins (y compris l'ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d'identification vaccinale ) et lui donne un contrôle dictatorial de la politique de santé mondiale. ...."

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                              • De nombreux secteurs de l’économie sont presque à l’arrêt à cause de l’épidémie de coronavirus.

                                Emmanuel Lechypre: Covid-19: « A terme, il faudra bien payer une partie de l’addition, alors oui, il y aura sans doute une partie que l’on devra rembourser… Vous savez que le Fonds Monétaire International (FMI) suggère par exemple que pour que l’on rembourser toute cette dette qu’on prenne 10% de l’Epargne de tout le monde ! Des plus riches aux plus pauvres, on prend 10% de leur épargne… Pourquoi pas ! »

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