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  • Envoyé par 1388 Voir le message
    De nombreux secteurs de l’économie sont presque à l’arrêt à cause de l’épidémie de coronavirus.

    Emmanuel Lechypre: Covid-19: « A terme, il faudra bien payer une partie de l’addition, alors oui, il y aura sans doute une partie que l’on devra rembourser… Vous savez que le Fonds Monétaire International (FMI) suggère par exemple que pour que l’on rembourser toute cette dette qu’on prenne 10% de l’Epargne de tout le monde ! Des plus riches aux plus pauvres, on prend 10% de leur épargne… Pourquoi pas ! »
    C'est pas u scoop
    C'est même ds la Loi Sapin II

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    • ce serait de la spoliation!

      mieux vaut encourager la consommation ....pour relancer l'economie

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      • Envoyé par 1388 Voir le message
        ce serait de la spoliation!

        mieux vaut encourager la consommation ....pour relancer l'economie
        a condition quelle soit franco-française

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        • Vendredi 5 juin 2020

          Cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle 

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          • par Howard Schneider et Lindsay Dunsmuir

            La Réserve fédérale américaine a promis mercredi de continuer à soutenir l'économie pendant plusieurs années après la crise provoquée par la pandémie de coronavirus, qui devrait se solder par une chute du produit intérieur brut (PIB) de 6,5% cette année et porter le taux de chômage à 9,3% en fin d'année.

            Les premières prévisions économiques publiées par la banque centrale des Etats-Unis depuis six mois confirment ce que ses responsables laissaient entendre ces derniers mois, à savoir que les mesures prises depuis mars resteront pour une bonne part en vigueur pendant plusieurs années.

            Selon ces projections, le taux de chômage devrait encore atteindre 6,5% fin 2021 et 5,5% fin 2022, soit deux points de pourcentage au-dessus de son niveau de fin 2019, un écart qui représente plusieurs millions de chômeurs.

            "La crise sanitaire en cours va peser lourdement sur l'activité économique, l'emploi et l'inflation à court terme et crée des risques considérables pour les perspectives économiques à moyen terme", explique la Fed dans son communiqué de politique monétaire.

            Son président, Jerome Powell, a souligné lors d'une conférence de presse en ligne que "des millions de personnes" pourraient rester au chômage même une fois la reprise solidement engagée.

            "Le travail de la Fed touche des communautés, des familles et des entreprises dans tout le pays", a-t-il ajouté. "Nous sommes déterminés à utiliser tous les instruments à notre disposition (...) pour faire en sorte que la reprise soit aussi solide que possible."

            "C'est un long chemin. Il prendra du temps", a-t-il souligné.

            Pour la banque centrale, cette perspective justifie de maintenir l'objectif de taux des fonds fédéraux ("fed funds"), le principal instrument de sa politique monétaire, à son niveau actuel proche de zéro jusqu'en 2022 au moins.



            LE DOLLAR AU PLUS BAS DEPUIS TROIS MOIS

            Les responsables de la banque centrale ont aussi promis de maintenir les achats d'obligations sur les marchés au moins à leur niveau actuel, soit environ 80 milliards de dollars par mois pour les bons du Trésor et 40 milliards pour les prêts immobiliers titrisés.

            Cet engagement montre que la Fed commence à dessiner une stratégie de long terme pour accompagner la reprise économique, qui devrait se traduire en 2021 par un rebond de 5,0% du PIB.

            Malgré l'ampleur de la récession en cours, la Fed n'a pas modifié ses projections à plus long terme en matière de plein emploi, de croissance tendancielle et de niveau du taux des "fed funds", ce qui laisse entendre que l'économie ne souffrira pas de séquelles durables de la crise.

            Après une réaction initiale positive au communiqué de la Fed, Wall Street a effacé ses gains et à moins d'une demi-heure de la clôture, l'indice Standard & Poor's 500 de la Bourse de New York était pratiquement inchangé.

            Le dollar est quant à lui tombé à son plus bas niveau depuis trois mois face à un panier de devises de référence (-0,50%) et l'euro est repassé au-dessus de 1,14 dollar pour la première fois depuis le 10 mars.

            Sur le marché obligataire, le rendement des bons du Trésor américain à dix ans chutait de près de neuf points de base à 0,7411%.

            "Les signaux envoyés par la Fed sont globalement conformes aux attentes", commente Jon Hill, stratège taux de BMO Capital Markets. "Elle reconnaît que le chômage sera élevé, que l'inflation sera basse et qu'elle maintiendra des taux d'intérêt très bas pendant au moins deux ans."

            L'éclatement de la crise en mars a conduit la Fed à réduire l'objectif des "fed funds" de 150 points de base et à mobiliser dans l'urgence plusieurs milliers de milliards de dollars pour soutenir l'économie et les marchés financiers.

            Ces mesures ont eu pour effet une envolée de la taille de son bilan, qui dépasse désormais 7.200 milliards de dollars (6.350 milliards d'euros) contre moins de 3.500 milliards début mars.

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            • covid : ca continue ou repart aux usa dans plusieurs etats dont californie, texas et floride
              + manifestations
              + fed
              +record
              +sentiment de retour a la normal (voir psychologie du trader)
              =
              correction ou reprise baissiere

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              • https://www.zonebourse.com/EURO-JAPA...onde-30866206/

                Japon: perte annuelle monstre pour le 1er fonds de pension du monde....

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                • Trump ne veut pas discuter avec la Chine de la phase 2 de l'accord commercial

                  14/07/2020 | 23:00 THOMSOM REUTERS
                  Le président américain Donald Trump a dit mardi n'être pas intéressé pour discuter avec la Chine de la phase 2 de leur accord sur le commerce.

                  Je ne suis pas intéressé pour discuter avec la Chine pour l'instant", a-t-il dit lors d'un entretien sur CBS News en réponse à la question de savoir si la phase 2 des négociations commerciales était enterrée.

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                  • Les responsables de la Fed plus inquiets pour l'économie US face au coronavirus

                    14/07/2020 | 22:27
                    L'économie américaine pourrait connaître une reprise plus lente que prévu en raison d'une résurgence de l'épidémie de coronavirus aux Etats-Unis qui pourrait aggraver la situation économique, ont averti mardi des responsables de la Réserve fédérale (Fed).


                    Les uns après les autres, les membres de la banque centrale américaine se sont montrés plus pessimistes ces derniers jours sur les perspectives économiques, en avertissant que l'amélioration récente des indicateurs, notamment sur l'emploi, pourrait ne pas durer.
                    "La pandémie reste le principal moteur de l'évolution de l'économie. Un épais brouillard d'incertitude nous entoure encore, et les risques de baisse prédominent", a déclaré mardi Lael Brainard, l'un des gouverneurs de la Fed, dans un discours prononcé lors d'un événement organisé par la National Association for Business Economics.
                    Elle a appelé la Fed à fournir un soutien monétaire durable par le biais d'un pilotage des anticipations ("forward guidance") et d'achats massifs d'actifs et a indiqué qu'un soutien budgétaire supplémentaire serait "vital" pour la vigueur de la reprise.
                    De son côté, le président de la Fed de Richmond, Thomas Barkin, a averti que le chômage aux États-Unis pourrait augmenter à nouveau alors que les entreprises s'adaptent à une période de récession probablement plus longue que prévu.

                    "Un ensemble d'entreprises, grandes et petites, se rendent compte que ce n'est pas un problème de deux mois et remanient leurs activités", ce qui pourrait mettre en péril le rebond constaté ces deux derniers mois sur le front de l'emploi, a-t-il dit dans une allocution diffusée sur le web au Charlotte Rotary Club.

                    Par ailleurs, les petites entreprises bénéficiaires du programme Payckeck Protection, visant à distribuer des prêts aux sociétés touchées par le coronavirus, ont conservé leurs employés pour respecter les conditions de remise de prêt. Le programme arrivant à échéance, elles peuvent désormais envisager des licenciements.

                    Les responsables de la Fed ont d'abord espéré que l'épidémie de coronavirus serait rapidement maîtrisé aux États-Unis pour permettre à l'économie de rebondir. Ils ont admis que les prévisions de croissance économique faites lors de la dernière réunion de politique monétaire de la banque centrale en juin ne tenaient pas compte, dans une large mesure, de la possibilité d'une deuxième vague épidémique.

                    Une stratégie de santé plus "granulaire", incluant l'utilisation omniprésente de masques, est nécessaire pour éviter une éventuelle dépression économique, a déclaré mardi le président de la Réserve fédérale de Saint-Louis, James Bullard.
                    Selon son hypothèse de base, l'économie américaine devrait continuer de croître au cours du second semestre de l'année. Mais "le risque de baisse est néanmoins important, et une meilleure exécution d'une politique granulaire, basée sur le risque, sera essentielle pour maintenir l'économie hors de la dépression", a-t-il dit.

                    (Lindsay Dunsmuir, Blandine Hénault pour la version française) THOMSOM REUTERS

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                    • donald trump dit tenir la chine entièrement responsable de la dissimulation du coronavirus et de sa diffusion dans le monde

                      14/07/2020 | 23:39 thomsom reuters

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                      • Les grandes banques US accumulent les provisions pour créances douteuses

                        14/07/2020 | 19:43 THOMSOM REUTERS
                        Trois des plus grandes banques américaines ont annoncé mardi avoir provisionné un total de 28 milliards de dollars pour créances douteuses, rappelant ainsi que la majeure partie des dégats économiques liés à la pandémie de coronavirus sont encore à venir.


                        Pour faire face à la crise, les emprunteurs ont bénéficié de millions de milliards de dollars d'aide gouvernementale, de crédit bon marché et d'une certaine indulgence des banques mais une partie de cette aide est appelée à disparaître et les banques redoutent désormais une hausse des pertes sur crédit.
                        "Les revenus des consommateurs augmentent, l'épargne est en hausse et les prix des maisons augmentent", a déclaré le PDG de JPMorgan, Jamie Dimon, lors d'une conférence téléphonique avec des journalistes. "La partie récession" viendra plus tard, a-t-il ajouté.
                        La banque a passé une provision record de 10,5 milliards de dollars pour couvrir d'éventuels défauts à venir sur ses prêts.
                        Sa consoeur Citigroup a pour sa part mis de côté 8 milliards de dollars pour créances douteuses.
                        Si ses provisions ont grevé les résultats des deux banques, Citigroup comme JPMorgan ont toutefois fait état de performances trimestrielles moins mauvaises qu'attendu grâce à la hausse de leurs revenus issus des activités de trading.
                        Cela est de bon augure pour Goldman Sachs, Morgan Stanley et Bank of America, qui annonceront leurs résultats plus tard dans la semaine.
                        Toutefois, JPMorgan comme Citigroup ont prévenu mardi que le bond de leurs activités de trading, lié à la forte volatilité des marchés financiers, ne devrait pas durer.
                        De son côté, Wells Fargo, qui ne dispose pas d'une activité importante de banque d'investissement, a accusé sa première perte depuis 2008. La banque, qui tente déjà de se déprêter d'un scandale lié à ses pratiques commerciales, a annoncé une provision de 9,57 milliards de dollars pour couvrir d'éventuelles pertes sur crédit.
                        "Notre vision de la durée et de la gravité du ralentissement économique s'est considérablement dégradée", a déclaré son PDG Charlie Scharf.
                        Il a ajouté que Wells Fargo entreprendrait une revue stratégique entre le troisième et le quatrième trimestre.



                        (Elizabeth Dilts-Marshall et Imani Moise, Blandine Hénault pour la version française

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                        • États-Unis : des faillites d'entreprises à deux vitesses

                          16/07/2020 | 08:21
                          Alors que l'épidémie de COVID-19 touche très durement les États-Unis, Coface prévoit dans son scénario central que le PIB du pays se contractera de 5,6 % en 2020, avant de se redresser de 3,3 % en 2021. Cette prévision est néanmoins menacée par la résurgence de l'épidémie dans plusieurs Etats, qui déjà interrompent, voire inversent, la reprise de l'activité après le blocage massif provoqué par les coronavirus en mars et avril.

                          La plus forte chute du PIB de l'après-guerre en 2020 devrait être suivie d'une augmentation massive des faillites d'entreprises. Toutefois, depuis le début de la crise, ces dernières ont chuté, sous l'impulsion d'une baisse significative des défaillances au titre du chapitre 7 du code des faillites américain[1] (liquidation). Mais, parallèlement le nombre des entreprises faisant appel à la protection du chapitre 11 (restructuration) est lui en forte hausse (+48% en glissement annuel en mai), signalant que les faillites sont déjà présentes. Coface prévoit un rebond des faillites dès le second semestre 2020, avec une augmentation prévue de 43% entre fin 2019 et fin 2021.
                          En outre, les estimations de Coface démontrent que les entreprises « zombies », qui ont augmenté au cours de la dernière décennie pour représenter plus de 6% des entreprises en 2019, pourraient également être poussées à la faillite dans les prochains mois. Le nombre d'entreprises en difficulté est également susceptible de se multiplier du fait de l'accumulation de dettes.



                          Une baisse des faillites en trompe-l'œil

                          2019 a marqué la première hausse en année pleine des défaillances depuis 2009 avec une hausse des procédures entamées en 2019 de 2,5% par rapport à 2018[2].

                          Les données publiées[3] jusqu'à présent en 2020 montrent, qu'après un bond de 21% au mois de janvier, les procédures de faillites d'entreprises ont entamé une baisse à partir de février.

                          Comme en Europe, les mesures visant à soutenir la trésorerie des entreprises peuvent expliquer cette tendance, auxquelles s'ajoute le possible attentisme des entreprises débitrices à déclencher la procédure mais aussi les tribunaux de faillites qui ont dû fermer leurs portes pour cause de confinement.

                          Or, face à l'ampleur du choc et alors que les mesures de soutien devraient progressivement expirer, les défaillances d'entreprises aux Etats-Unis devraient s'accélérer. De plus, l'augmentation significative des entreprises déposant le bilan au titre du Chapitre 11 témoigne déjà de l'impact de la crise.

                          La santé des bilans d'entreprises agrégés met en évidence que les secteurs de l'aérospatiale, de la distribution, de l'automobile et de l'énergie sont les plus vulnérables face à une hausse des faillites d'entreprises.
                          Les faillites et la « zombification » menacent de rattraper les entreprises accablées par la dette

                          Les entreprises « zombies »[4] qui continuent à fonctionner malgré une solvabilité et une profitabilité précaire, pourraient également être poussées à la faillite dans les prochains mois. Surtout, avec un plus grand nombre d'entreprises obligées de s'endetter pour faire face à la perte de revenus, la menace de voir ces entreprises en difficulté se multiplier s'ajoute à celle de la faillite.



                          [1]Chapitre 7 - Liquidation : Comptant pour près de 64% des procédures de faillites d'entreprises en 2019, ce processus supervisé par le tribunal comporte la vente des actifs et la répartition du produit de la vente aux créanciers par un mandataire judiciaire, conformément aux priorités prévues par le Code de la faillite. Chapitre 11 - Réorganisation : Comptant pour plus de 25% des procédures en 2019, ce processus permet à une entreprise de poursuivre son activité, tout en mettant en œuvre une restructuration
                          [2] Données publiées par l'Administrative Office of the US Courts
                          [3] Données publiées par l'Administrative Office of the US Courts pour le premier trimestre et les publications anticipées pour les mois d'avril et mai de l'American Bankruptcy Institute (ABI)
                          [4] Entreprises endettées et peu rentables qui maintiennent leur activité en s'endettant, profitant de taux d'intérêt bas

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                          • Les inondations menacent la ville chinoise de Wuhan et sa production

                            17/07/2020 | 08:52 THOMSOM REUTERS

                            par David Stanway

                            SHANGHAI, 17 juillet (Reuters) - La ville de Wuhan, dans le centre de la Chine, et les provinces d'Anhui, Jiangxi et Zhejiang ont déclaré vendredi l'état d'alerte en raison de pluies torrentielles qui menacent de faire déborder rivières et lacs, ce qui pourrait entraîner des dégâts économiques et perturber le commerce mondial.

                            Les autorités à Wuhan, ville où a émergé en décembre dernier l'épidémie liée au nouveau coronavirus et coeur de l'industrie automobile chinoise, ont demandé à la population de redoubler de vigilance, le niveau des eaux étant proche de leur seuil d'alerte maximal.

                            Le niveau du barrage des Trois-Gorges, dans la province du Hubei, est supérieur de plus de 10 mètres à son seuil d'avertissement, avec des débits entrants désormais supérieurs à 50.000 mètres cubes par seconde.

                            Le niveau du lac Poyang, dans la province du Jiangxi, est 2,5 mètres au-dessus du seuil d'alerte. Il s'est agrandi de plus de 2.000 kilomètres carrés depuis le début de la saison des fortes pluies, inondant certains secteurs aux alentours de la ville.

                            Une alerte a été également déclenchée près de Shanghai, le niveau d'eau du lac Tai étant de près d'un mètre au-dessus de son seuil de sécurité.

                            Les inondations provoquées presque chaque année par la saison des pluies en Chine ont un impact sur les chaînes d'approvisionnement mondiales, qui ont déjà souffert des restrictions liées à l'épidémie de coronavirus.

                            "Nous ne pouvons pas sortir de produits pendant plus d'une semaine, ce qui représente un délai très long pour notre activité", a déclaré Michael Einhorn, président de Dealmed, un distributeur américain d'équipements médicaux, qui s'approvisionne notamment à Wuhan et dans les régions alentours.

                            Selon des analystes, l'activité économique dans certaines régions de la Chine, notamment dans la construction, l'aciérie et la cimenterie, continue d'être affectée par les inondations, ce qui pourrait provoquer un ralentissement après un rebond plus solide que prévu au deuxième trimestre.

                            "Nous estimons que les récentes inondations dans les régions du fleuve Yangtsé pourraient amputer la croissance du PIB au troisième trimestre de 0,4-0,8 point de pourcentage", écrivent les analystes de Morgan Stanley dans une note. (Version française Claude Chendjou, édité par Blandine Hénault)




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                            • Kashkari (Fed) recommande un nouveau confinement national de 4 à 6 semaines

                              Par David Wagner

                              Investing.com – 03/08/2020 10:24
                              La président de la Fed de Minneapolis, Neel Kashkari, s’est exprimé au cours du weekend dans le cadre d’une émission de la chaine de télévision CBS (NYSE:CBS_old).

                              Sa déclaration la plus marquante concernait sa recommandation de mettre en place un nouveau confinement général aux Etats-Unis pendant 4 à 6 semaines.

                              Il a expliqué que l’économie US ne sera en mesure de se redresser significativement que si le virus était maîtrisé, et que cela ne pourrait pas arriver sans nouveau confinement national.

                              "Si nous ne faisons pas cela (un nouveau confinement) et que nous nous contentons de voir ce virus se propager dans tout le pays avec des flambées et des blocages locaux pendant les deux prochaines années, ce qui est tout à fait possible, nous allons voir beaucoup, beaucoup plus de faillites d'entreprises".

                              "La reprise sera beaucoup plus lente pour nous tous" a-t-il précisé.

                              Kashkari a par ailleurs estimé que « le Congrès est en mesure de dépenser beaucoup pour les efforts de lutte contre les coronavirus ».

                              Il a en effet déclaré que le taux d'épargne des particuliers aux États-Unis avait "décollé" : "Avant la crise, il était d'environ 8%", a-t-il ajouté. "Maintenant, il est d'environ 20 %".

                              Or, selon lui, "les Américains qui travaillent encore et qui épargnent davantage permettent au Congrès de disposer de plus de ressources pour soutenir ceux qui ont été licenciés", ajoutant que "actuellement, les États-Unis peuvent se financer à des taux très, très bas. Le Congrès devrait utiliser cette opportunité pour soutenir le peuple américain et l'économie américaine", a-t-il conclu.



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                              • https://www.latribune.ca/actualites/monde

                                "
                                GENÈVE — L’Organisation mondiale de la santé a averti lundi qu’il n’y aurait peut-être jamais de solution miracle contre la pandémie de COVID-19, en dépit de la course aux vaccins en cours. ..."

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