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  • La course folle de l'économie américaine
    10/12/2021 | 19:41
    Washington (awp/afp) - Des offres d'emplois pléthoriques, mais encore beaucoup de chômeurs, une croissance soutenue, mais menacée par une inflation record, des millions de doses de vaccin anti-Covid, mais l'ombre des variants Delta et Omicron, la reprise est tortueuse aux États-Unis.
    Certaines statistiques sont indéniablement bonnes, illustrant la capacité de rebond de la première économie du monde.
    Ainsi, 18,5 millions d'emplois ont été recréés depuis avril 2020 quand le taux de chômage a culminé à 14,7% après la paralysie de l'économie pour contenir la propagation du nouveau coronavirus.
    Le taux de chômage est en baisse constante. Mais à 4,2% en novembre, il est encore supérieur aux 3,5% enregistrés en février 2020, quand il était à son plus bas niveau en 50 ans.
    Avec des aides massives qui ont gonflé l'épargne des ménages -le stock d'épargne excédentaire était encore de 1.321 milliards en octobre - certains Américains ne sont pas pressés de retourner au travail.
    Des millions d'autres, essentiellement des personnes non qualifiées des secteurs des services, démissionnent chaque mois, attirés par des emplois aux salaires plus généreux, assortis de primes et d'avantages sociaux. Si bien que la confiance des consommateurs américains s'est améliorée en décembre, les employés à bas salaires s'attendant à de nouvelles augmentations.

    Croissance soutenue
    Mais pour les employeurs, le marché du travail est devenu un casse-tête, en particulier pour ceux du secteur de l'hôtellerie et de la restauration, ainsi que de l'éducation, confrontés à une pénurie de main d'oeuvre sans précédent freinant leur potentiel de croissance.
    Les travailleurs se tournent vers des emplois proposés par les grands groupes du e-commerce tels qu'Amazon.
    Résultat, dans certaines écoles du pays, des enseignants sont en burn-out et faute de bras, des établissements publics ont commencé à renvoyer une fois par semaine les enfants à la maison, au grand dam des parents et au risque d'entraver la productivité et la croissance du pays.
    L'économie américaine avait connu en 2020 sa pire récession depuis la Seconde Guerre mondiale. Cette année, elle a certes regagné du terrain, mais la folle allure du début d'année a laissé place à une croissance mesurée.
    Après une expansion du Produit intérieur brut de 6,4% au premier trimestre en rythme annuel, le PIB a bondi de 6,7% au deuxième trimestre quand la campagne de vaccination contre le Covid battait son plein et que les consommateurs étaient optimistes quant à l'avenir.
    Mais une résurgence de la pandémie à la fin de l'été et à l'automne avec l'apparition du variant Delta a tempéré la croissance: 2,1% au troisième trimestre.
    Désormais, c'est l'émergence d'un nouveau variant, Omicron, qui obscurcit l'horizon économique.

    Des prix au plus haut depuis 39 ans
    Outre la pandémie, l'inflation galopante est aussi une menace pour la croissance américaine.
    La hausse des prix s'est élevée à 6,8% le mois dernier comparé à novembre 2020, après +6,2% en octobre, selon les données du département du Travail. C'est la plus forte hausse jamais enregistrée depuis juin 1982.
    Les Américains paient tout plus cher: de la nourriture, aux vêtements en passant par les voitures, l'essence, les produits électroniques ou les billets d'avion et restaurants.
    Et la hausse de leurs salaires ne compense pas complètement le niveau d'inflation, au risque de freiner la consommation, moteur historique de la croissance aux États-Unis.
    Le président Joe Biden avait promis le mois dernier d'inverser la courbe des prix, mais la tâche s'avère plus difficile que prévu.
    Par ailleurs, les chiffres publiés vendredi vont encore compliquer l'adoption au Sénat de son plan "Build Back Better", "reconstruire en mieux".
    D'un montant de quelque 1.800 milliards de dollars, il prévoit des réformes sociales ambitieuses -comme la scolarité dès trois ans- et des mesures pour lutter contre le changement climatique.
    Selon l'administration Biden, il s'agit de réformer l'Amérique en profondeur.
    Mais les républicains, et même certains démocrates, soutiennent qu'avec une inflation si élevée, ce n'est pas le moment d'adopter un projet de loi aussi massif.
    La Chambre des représentants avait approuvé mi-novembre le projet de loi. Les dirigeants démocrates du Sénat ambitionnent de le faire adopter avant Noël. Sans certitude après des mois déjà de psychodrame politique.
    afp/rp
    © AWP 2021

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    • Les travailleurs se tournent vers des emplois proposés par les grands groupes du e-commerce tels qu'Amazon. ??
      UN PEU ETONANT NON ??
      salaire? avantage? pénibilité. ??
      L'enseignement aussi ???
      SOURCE AFP DE ??

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      • Bonjour , réflexion à titre personnel concernant le virus OMICRON :

        présenterait 10 mutations et serait bcp + contagieux certe MAIS
        sa virulence est bien moindre ( constat par les médecins en Afrique du Sud de même en France ,
        un exemple cité 47 malades atteints par omicron un seul cas grave ne nécessitant pas d'intubation )

        - d'autre part chaque nveau mutant tend à s'imposer face à l'ancienne génération cas du Delta en Angleterre
        selon certains immunologues la tendance naturel d'un virus tend à s'atténuer à mesure de son évolution pour s'adapter à son hôte réservoir
        - utiliser le prétexte du omicron pour justifier la gabegie monétaire est à mon sens fallacieux servant des intérêts obscurs

        - pour lutter contre le Delta entre autre il serait + judicieux de permettre la contagion par omicron facteur naturel de l'éradication des autres formes tt en surveillant son évolution les virus à ARN messager étant sensibles aux mutations ce qui provoquerait une résistance naturelle des individus

        NB : il y a 40 types d'ARN ( de transfert , ribosomes ..etc )

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        • Omicron s’invite pour Thanksgiving

          14 décembre 2021 MARCHÉS


          Le nouveau variant Omicron souffle un vent d’inquiétude sur les marchés financiers, qui enregistrent un net recul des taux américains et un vif rebond de leur volatilité. Dans le même temps, le variant Delta préoccupent toujours les gouvernements européens dont les interrogations sur la durabilité de la protection offerte par les vaccins actuels se sont accrues.

          La rapide dégradation de la situation sanitaire en Allemagne couplée à la découverte du variant Omicron ont réservé un accueil assez glacial au nouveau gouvernement. Olaf Scholz – à la tête d’une coalition tripartite inédite – prendra officiellement la succession d’Angela Merkel début décembre. Le futur chancelier allemand s’est déjà engagé à ramener les comptes publics à l’équilibre dès 2023 tout en précisant ses objectifs climatiques et environnementaux. Particulièrement ambitieuse, la mise en pratique de ces annonces sera conditionnée par la capacité du gouvernement à gérer cette situation épidémique inédite en Allemagne. Malgré cela, la production industrielle s’affiche en progression, à l’image des indicateurs d’activité provisoires européens (PMI), alors même que le secteur automobile a été fortement pénalisé par les pénuries de composants. En effet, bien que le risque sanitaire prenne de l’ampleur en Europe, l’activité conserve pour le moment une dynamique positive. La résilience des économies face aux risques sanitaire et inflationniste a ainsi porté les taux souverains européens, même si, rappelons-le, les tensions sur l’offre continuent d’alimenter les pressions sur les prix.

          De son côté, l’économie nippone reprend son souffle. Alors que l’archipel a vu son PIB se contracter au 3e trimestre, les indices d’activité du mois de novembre dépeignent pour le 2e mois consécutif un tableau favorable de la reprise de l’activité. La levée des restrictions sanitaires a porté la reprise de la production en Asie, permettant dans le même temps à l’industrie de s’inscrire en progression et aux services d’atteindre un point haut depuis janvier 2020. C’est dans ce contexte que le premier ministre Fumio Kishida a dévoilé un nouveau plan de relance d’un montant de plus de 40 000 milliards de yens, allouant notamment une allocation individuelle de 100 000 yens aux moins de 18 ans. L’objectif annoncé est de relancer la consommation des ménages, mais rappelons qu’une mesure comparable adoptée en 2020 s’était traduite par un surplus d’épargne. Couplé à la dynamique positive actuelle, ce plan devrait toutefois permettre au Japon de renouer avec la croissance à la faveur de pressions inflationnistes limitées et de déclin de l’épidémie sur le continent asiatique.

          L’émergence de ce nouveau variant aura presque éclipsé le sentiment d’échec sur lequel la COP26 s’est soldée après 15 jours de négociations. Nous saluerons toutefois l’accord inattendu conclu entre la Chine et les États-Unis, visant à renforcer leur action climatique conjointe en dépit d’éventuels conflits géopolitiques, ainsi que l’engagement d’une quarantaine de pays à accélérer la réduction de leur dépendance au charbon. Ce dernier aura notamment pour objectif d’orienter les flux financiers vers le développement des technologies dites « propres ». Toutefois, sans relèvement drastique des objectifs globaux, l’ONU estime que les engagements actuels se traduiront par une hausse de 2,7°C des températures à la fois éloignée de la trajectoire désirée et renforçant le risque d’une transition désordonnée.

          Entre inquiétude et accalmie, les marchés adoptent finalement une posture attentiste vis-à-vis de l’obsolescence potentielle des vaccins actuels face aux variants. Si l’hypothèse de confinements stricts est pour le moment écartée, le sujet Omicron fait pour autant peser un risque baissier sur la croissance. Au regard des niveaux de marchés actuels, la prudence reste donc encore de mise en cette fin d’année. Nous demeurons convaincus de la nécessité de privilégier des sociétés dotées de fort « pricing power » et d’équipes dirigeantes agiles, tout particulièrement dans ce contexte.

          L’équipe de gestion de Montségur Finance

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          • Bonjour ,

            Et si le variant Omicron du Covid était celui qui mettra fin à la pandémie ? C'est ce qu'avance un virologue, Yves Van Laethem, indiquant que sa haute contagiosité et sa moindre virulence permettrait aux personnes non-vaccinées de "s'immuniser de manière bénigne".

            Le variant Omicron du Covid peut-il mettre fin à la pandémie ? Selon toute vraisemblance, c'est possible... C'est en tout cas ce qu'avance Yves Van Laethem, infectiologue, spécialiste en Médecine interne du CHU Saint-Pierre et porte-parole interfédéral de la lutte contre le coronavirus en Belgique.

            Selon le chercheur, qui se base sur les premières observations de l'Association des médecins sud-africains, les personnes contractant cette souche ne souffriraient pas de formes graves. Une virulence moindre, plus basse que le variant Delta, et une contagiosité plus élevée qui permettrait d'éradiquer la maladie... Ou en tout cas la transformer en une maladie bénigne : "un variant moins virulent remplacerait l'autre et permettrait aux non-vaccinés de s'immuniser de manière bénigne", expliquait ainsi le virologue, fin novembre, à nos confrères belges de La DH, ajoutant qu'un "rhume de 37,7°C de fièvre est moins problématique".

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            • TRIBUNE. Covid-19 : 50 personnels de santé alertent Olivier Véran sur la circulation du virus chez les enfants

              20h00 , le 25 décembre 2021, modifié à 21h16 , le 25 décembre 2021
              Dans une lettre ouverte, des professionnels de santé interpellent Olivier Véran, le ministre de la Santé, sur le niveau de circulation du Covid-19 chez les enfants. Ils s'inquiètent des conséquences sur la santé des plus jeunes et réclament des mesures pour freiner l'épidémie à l'école.
              Application de gel hydroalcoolique dans une école de Loire-Atlantique, début décembre. (Reuters)Partager sur :
              Dans cette lettre ouverte, des soignants alertent le ministre de la Santé, Olivier Véran, sur le niveau de circulation du Covid-19 parmi les enfants. Voici leur texte : "Monsieur le ministre. Nous, professionnels de santé, mobilisés sans relâche depuis le début de la pandémie de coronavirus, sommes très inquiets du niveau actuel de circulation virale du coronavirus parmi les enfants et adolescents en âge scolaire.

              Depuis début novembre, plus de 300.000 enfants et adolescents ont été confirmés positifs au Covid-19. Les hospitalisations d'enfants en services conventionnels et en soins intensifs, ont dépassé les pics de toutes les vagues précédentes, avec plus de 800 enfants de moins de 10 ans et 300 adolescents de 10 à 19 ans hospitalisés en six semaines, et ces chiffres ne cessent d'augmenter.
              Nous nous attendons à une vague inédite de prise en charge d'enfants atteints du syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique

              Nous nous attendons à une vague inédite dans les semaines à venir de prise en charge d'enfants atteints du syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (PIMS), ainsi que de séquelles liées à l'évolution, dans certains cas, d'une forme durable de la maladie ("covid long pédiatrique").

              La dernière étude de l'équipe dirigée par Vittoria Colizza estime que le virus circule plus dans les établissements scolaires, du primaire et du secondaire, que dans la communauté à la même période, montrant que les contacts au sein des écoles augmentent le potentiel de transmission du SARS-CoV-2 par rapport à la communauté. D'ailleurs, dans de nombreux départements, la reprise épidémique a clairement démarré à l'automne par des clusters en milieu scolaire. Un des premiers clusters du variant Omicron a été détecté également en milieu scolaire.
              Nous déplorons les faibles moyens déployés par le ministère de l'Education nationale pour freiner l'épidémie dans les écoles

              Si le rôle de l'école n'est pas discutable, nous déplorons cependant les faibles moyens déployés jusqu'à présent par le ministère de l'Education nationale pour freiner l'épidémie dans les écoles, que ce soit pour lutter contre le risque aéroporté de contamination, comme pour organiser des campagnes de tests efficaces.

              Nous sommes également inquiets des propos de certains experts, qui continuent de minimiser l'impact du Covid-19 sur les enfants et mettent en question l'intérêt de la vaccination pour les enfants de 5 à 11 ans, au moment même où la campagne de vaccination va être lancée en France et nécessite un important effort pour obtenir l'adhésion de parents.
              L'absence de prévention en milieu scolaire retentit in fine sur les soins de toute la population

              Nous constatons un engorgement des services hospitaliers pédiatriques, une tension hospitalière très marquée et une surcharge très importante de la médecine de ville. Il est important de tout faire pour minimiser les risques de transmission dans toutes les tranches d'âge, et particulièrement dans les écoles. L'absence de prévention en milieu scolaire retentit in fine sur les soins de toute la population, puisque le temps médical n'est pas extensible à l'infini.

              Nous, professionnels de santé, attendons de vous, Monsieur le ministre, la prise en charge de la gestion sanitaire dans les établissements scolaires, avec son transfert immédiat. Au regard de l'urgence de la situation, nous vous appelons aux mesures suivantes dès la rentrée au mois de janvier 2022 :
              • le report de la rentrée du 3 janvier, à haut risque compte tenu de sa proximité avec les festivités du Nouvel An, avec recours au télé-enseignement jusqu'au retour à des seuils d'indicateurs sanitaires définis publiquement ;
              • la sensibilisation des instances éducatives sur la transmission par aérosol et les pratiques à adopter pour limiter le risque de contamination aéroportée du virus : capteurs de CO2, aération, ventilation, etc. ;
              • l'association des professionnels de la santé à l'élaboration d'un nouveau protocole sanitaire dans les écoles, basé sur des mesures efficaces, déclenchées par des indicateurs épidémiques, connus et anticipés (rappelons ici qu'un taux d'incidence à 2.000 chez les primaires dans la Drôme a été accompagné tardivement d'un passage du niveau 2 allégé à un niveau 3 allégé, sans fermeture de classe au premier cas) ;
              • une communication officielle du ministère de la Santé auprès du grand public pour sensibiliser les familles sur les risques avérés du Covid-19 pour les enfants : syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (PIMS), Covid long ; avec des fiches de repérage des symptômes et la recommandation de contacter un professionnel de santé dans ces cas ;
              • une lutte claire du ministère de la Santé contre la désinformation sur la situation épidémique chez les enfants et contre le dénigrement de la campagne de vaccination.

              Soyez assuré que vous pourrez compter sur notre engagement et notre contribution pour servir au mieux la santé de nos concitoyens et des enfants de notre pays."
              Liste des signataires (par ordre alphabétique)


              Stéphane Aelbrecht, médecin généraliste, collectif Du Côté de la Science
              Djillali Annane, professeur chef de service de réanimation à l’hôpital de Raymond-Poincaré
              Igor Auriant, médecin Réanimateur
              Guillaume Avenin, médecin généraliste
              Jan Baran, médecin généraliste, maître de conférence associé des universités
              Jérôme Barriere, oncologue
              Fabienne Blum, Dr en pharmacie, présidente de Citizen4Science
              Thierry Bonjour, médecin du travail
              Pierre Boutin, pharmacien, association Citizen4Science
              Matthieu Calafiore, médecin généraliste, directeur du département de médecine générale de Lille, collectif Du côté de la science
              Céline Castera, infirmière
              Franck Clarot, médecin légiste, radiologue, collectif Du côté de la science
              Corinne Depagne, pneumologue, collectif Du côté de la science
              Gilbert Deray, professeur Pitié Salpêtrière Paris
              Cedric Etienne, infectiologue
              Laurent Fignon, médecin, algologie, soins palliatifs, gériatrie, Nice
              Yannick Freymann, médecin généraliste
              Eric Guedj, professeur de biophysique et médecine nucléaire, Aix-Marseille Université
              Claude-Alexandre Gustave, biologiste médical
              Minka Fadi Hillary, médecin urgentiste
              Laetitia Houdoyer, psychologue
              Doria Kartout, pharmacienne
              Christophe Lamarre, médecin généraliste
              Dominique Lang, cadre infirmier en prévention et contrôle de l'infection
              Jérôme Larché, médecin interniste et réanimateur médical
              Louis Lebrun, médecin spécialiste de santé publique
              Christophe Lefèvre, médecin du travail du groupe La Poste
              Christian Lehmann, médecin généraliste, collectif Du côté de la science
              Matthieu Le Meur, médecin réanimateur
              Christiane Lobryeau-Desnus, ORL phoniatre
              Jérôme Marty, médecin généraliste, président de l’UFML-S, collectif Du côté de la science
              Laurent Marcq, interniste
              François-Xavier Moronval, médecin urgentiste, collectif Du côté de la science
              Carl Moubarak, médecin généraliste
              Gaëlle Nicolas, chirurgien-dentiste, infirmière DE
              Minka Sally Oceane, médecin urgentiste
              Myriam Oudghiri médecin biologiste
              Marie-Anne Panet, médecin généraliste
              Patrick Papazian, médecin, Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Pitié Salpêtrière (Paris)
              Noémie Perez, Pédiatre
              Hélène Poirier, médecin anesthésiste-réanimateur
              Michaël Rochoy, médecin généraliste, collectif Du côté de la science
              Anne Rolland, pédiatre
              Noémie Roland, médecin généraliste et en PMI
              Hélène Rossinot, médecin de santé publique, Collectif du Côté de la Science
              Douraied Ben Salem, Radiologue
              Meryl Sebbane Welp, docteur en pharmacie, microbiologiste
              Armelle Vautrot, psychanalyste et psychopédagogue
              Jean-Paul Vernant, oncologue
              Florian Zorès, cardiologue, collectif Du côté de la science
              Mahmoud Zureik, professeur d'épidémiologie et de santé publique, université de Versailles-Saint-Quentin, collectif Du côté de la science

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              • geralt © Pixabay Une étude américaine, reposant sur des autopsies de patients décédés de la Covid-19, a consisté à traquer la présence du coronavirus dans de très nombreux organes et tissus du corps humain. Les résultats montrent que le SARS-CoV-2 peut provoquer une infection disséminée et persister dans l’organisme pendant des mois. Le virus peut …

                "
                Covid-19 : le SARS-CoV-2 peut persister dans le corps pendant des mois et se disséminer précocement dans le cerveau ... "

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                • Byron Wien et Joe Zidle annoncent les dix surprises de 2022

                  03 janvier 2022
                  New York, le 3 janvier 2022– Byron R. Wien, vice-président et Joe Zidle, stratège en chef des investissements du groupe Private Wealth Solutions chez Blackstone, ont publié aujourd'hui leur liste des dix surprises de 2022. C'est la 37e année que Byron donne son avis sur un certain nombre de surprises économiques, financières et politiques pour l'année à venir. Byron définit une « surprise » comme un événement auquel l'investisseur moyen n'attribuerait qu'une chance sur trois de se produire, mais qui, selon Byron, est « probable », ayant une probabilité supérieure à 50 % de se produire. Byron a lancé la tradition en 1986 lorsqu'il était le stratège en chef des investissements américains chez Morgan Stanley. Byron a rejoint Blackstone en septembre 2009 en tant que conseiller principal du cabinet et de ses clients dans l'analyse des tendances économiques, politiques, de marché et sociales. En 2018,Joe Zidle a rejoint Byron Wien dans le développement des Ten Surprises.
                  Les dix surprises de Byron et Joe de 2022 sont les suivantes :
                  • La combinaison de bénéfices solides se heurte à la hausse des taux d'intérêt, ce qui fait que le S&P 500 ne progresse pas en 2022. La valeur surpasse la croissance. La forte volatilité se poursuit et il y a une correction qui approche, mais ne dépasse pas, 20 %.
                  • Alors que les prix de certains produits de base baissent, les salaires et les loyers continuent d'augmenter et l'indice des prix à la consommation et d'autres mesures d'inflation largement suivies augmentent de 4,5 % pour l'année. Les baisses des prix des transports et de l'énergie encouragent les partisans intransigeants de l'idée que l'inflation est « transitoire », mais l'inflation persistante devient le thème dominant.
                  • Le marché obligataire commence à réagir à la hausse de l'inflation et à l'affaiblissement de la Réserve fédérale, et le rendement du Trésor à 10 ans s'élève à 2,75 %. La Fed achève son tapering et relève ses taux quatre fois en 2022.
                  • Malgré la variante Omicron, les réunions de groupe et les réunions de convention reviennent aux niveaux d'avant la pandémie d'ici la fin de l'année. Alors que Covid reste un problème dans le monde développé et moins développé, les conditions normales sont largement rétablies aux États-Unis. Les gens passent trois à quatre jours par semaine dans des bureaux et retournent en masse dans les théâtres, les concerts et les arènes sportives.
                  • Les décideurs chinois réagissent aux récentes turbulences sur les marchés immobiliers du pays en limitant les investissements spéculatifs dans le logement. En conséquence, il y a plus de capital des ménages chinois qui doit être investi. Une industrie majeure de la gestion d'actifs commence à prospérer en Chine, créant des opportunités pour les entreprises occidentales.
                  • Le prix de l'or grimpe de 20 % pour atteindre un nouveau record. Malgré une forte croissance aux États-Unis, les investisseurs recherchent la sécurité perçue et la couverture contre l'inflation de l'or dans un contexte de hausse des prix et de volatilité. L'or reprend son titre de paradis pour les milliardaires nouvellement créés, alors même que les crypto-monnaies continuent de gagner des parts de marché.
                  • Alors que les principaux pays producteurs de pétrole concluent que les prix élevés du pétrole accélèrent la mise en œuvre de programmes d'énergie alternative et permettent aux producteurs américains de schiste de redevenir rentables, ces pays ne peuvent pas augmenter leur production suffisamment pour répondre à la demande. Le prix du brut de l'ouest du Texas confond les courbes à terme et les prévisions des analystes lorsqu'il dépasse 100 $ le baril.
                  • Soudain, l'alternative nucléaire pour la production d'électricité entre dans l'arène. Des mesures de sécurité suffisantes ont été développées pour réduire les craintes concernant ses dangers, et la viabilité de l'énergie nucléaire est largement reconnue. Un site nucléaire majeur est approuvé pour le développement dans le Midwest des États-Unis. La technologie de fusion apparaît comme une future source d'énergie possible.
                  • L'ESG évolue au-delà des déclarations de politique d'entreprise. Les agences gouvernementales élaborent et appliquent de nouvelles normes réglementaires qui obligent les entreprises publiques aux États-Unis à publier des informations documentant les progrès de diverses mesures jugées essentielles dans la nouvelle ère. Les gouverneurs de la Réserve fédérale dirigent la mise en œuvre de tests de résistance pour évaluer la vulnérabilité des institutions financières aux scénarios de changement climatique.
                  • En recul de leur programme d'énergie verte, les États-Unis constatent qu'ils ne peuvent pas acheter suffisamment de batteries au lithium pour alimenter les véhicules électriques dont la production est prévue. La Chine contrôle le marché du lithium, ainsi que les marchés du cobalt et du nickel utilisés dans la fabrication des barres de transmission, et elle choisit de réserver la majeure partie de l'approvisionnement de ces produits à un usage domestique.
                  “Aussi Rans”
                  Chaque année, il y a toujours quelques surprises qui ne font pas partie des dix, car soit nous ne pensons pas qu'elles sont aussi pertinentes que celles de la liste de base, soit nous ne sommes pas à l'aise avec l'idée qu'elles sont « probables ».
                  11. La FDA approuve le premier traitement d'édition de gènes ex vivo. Cela stimule la poursuite des recherches en médecine génomique et les progrès sont accélérés dans le développement de thérapies géniques in vivo. Les préoccupations éthiques concernant la technologie CRISPR suscitent des débats houleux, mais attirent également l'attention des investisseurs sur les secteurs des produits pharmaceutiques et des soins de santé.
                  12. L'économie numérique reçoit un élan majeur lorsque Jamie Dimon renverse sa position sur les crypto-monnaies et JP Morgan cherche à devenir un leader dans l'espace. La crypto devient un facteur majeur sur les marchés financiers.
                  13. Les États-Unis et la Chine cherchent tous deux à devenir le leader mondial des capacités avancées de semi-conducteurs afin de réduire leur dépendance vis-à-vis de la fabrication offshore de la technologie. Le gouvernement américain affecte des fonds importants à des entrepreneurs privés pour la recherche sur les semi-conducteurs, tandis que la Chine se concentre sur les entreprises publiques pour faire le travail.
                  14. Porto Rico devient la nouvelle destination de choix pour la retraite. Les gens sont attirés par le beau temps et les faibles taux d'imposition, et ils mettent de côté les craintes des ouragans.
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                  Blackstone est le plus grand gestionnaire d'actifs alternatifs au monde. Nous cherchons à créer un impact économique positif et une valeur à long terme pour nos investisseurs, les entreprises dans lesquelles nous investissons et les communautés dans lesquelles nous travaillons. Pour ce faire, nous utilisons des personnes extraordinaires et un capital flexible pour aider les entreprises à résoudre leurs problèmes. Nos 731 milliards de dollars d'actifs sous gestion comprennent des véhicules d'investissement axés sur le capital-investissement, l'immobilier, la dette et les actions publiques, les infrastructures, les sciences de la vie, les actions de croissance, le crédit opportuniste et de qualité inférieure, les actifs réels et les fonds secondaires, le tout à l'échelle mondiale . De plus amples informations sont disponibles sur www.blackstone.com . Suivez Blackstone sur Twitter @Blackstone.
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                  • MOSCOU (Reuters) - Le président russe Vladimir Poutine s'entretiendra samedi avec son homologue français Emmanuel Macron, a rapporté vendredi l'agence de presse Tass.

                    Le chef du Kremlin aura aussi un échange téléphonique avec le président américain Joe Biden, a-t-elle indiqué, sur fond de craintes des Etats-Unis que la Russie lance une offensive imminente contre l'Ukraine.
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                    MOSCOU (Reuters) - La Russie a reproché vendredi aux pays occidentaux de répandre, avec l'aide des médias, de fausses informations en suggérant que Moscou pourrait programmer une invasion de l'Ukraine.

                    Dans un communiqué publié sur son site internet, le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que les Occidentaux tentaient de détourner l'attention de leurs propres actions agressives.

                    Washington a estimé dans la journée que Moscou disposait de suffisamment de soldats déployés près de la frontière ukrainienne pour lancer dès à présent une opération d'ampleur.
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                    le pire n'est jamais certain .....dans la vie comme en bourse

                    Commentaire


                    • copie collle ....pris sur un autre site

                      1h30: Guerre en Ukraine : la centrale nucléaire de Zaporijia en feu après un bombardement russe.

                      « Le feu s’est déjà déclaré. Si elle explose, ce sera 10 fois plus gros que Tchernobyl ! Les Russes doivent IMMÉDIATEMENT cesser le feu, autoriser les pompiers, et établir une zone de sécurité ! », ajoute-t-il.




                      03:39

                      Zelensky demande une nouvelle fois l’intervention de l’Europe
                      « L’Ukraine compte quinze réacteurs nucléaires. S’il y a une explosion, c’est la fin de tout. La fin de l’Europe. C’est l’évacuation de l’Europe », a affirmé le président ukrainien dans une vidéo publiée par la présidence ukrainienne.


                      04:12

                      Boris Johnson demande une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU
                      « Les actions téméraires » de Poutine peuvent « menacer directement la sécurité de toute l’Europe » , selon le premier ministre britannique.

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                      • Charles Gave : "On pousse la Russie dans les bras de la Chine"


                        Pour Charles Gave, "le retour à l’étalon or, c’est assez simple". "Les États-Unis, il y a une quinzaine d'années, ont décidé d'extra-territorialiser leurs droits sur le dollar. Autrefois, si la France vendait quelque chose au Soudan, en dollar, et bien personne n’en parlait. Aujourd’hui, le Soudan étant devenu un pays interdit par les États-Unis, la France vendant au Soudan en dollar, les États-Unis le voient. Ils disent : ‘Comme c’est en dollars, le droit américain s’applique, on va coller une amende de 8 ou 9 milliards d’euros à la BNP’. Ensuite, on va saisir les réserves de change de l’Iran par exemple. Et maintenant, on va saisir les réserves de change en dollars et en euros de la Russie", explique le président de l’Institut des Libertés.
                        "C'est-à-dire que cette espèce de ‘Pax Americana’ qui régnait depuis 1946 où si j’avais des dollars, une fois que je les avais gagnés, ils étaient à moi, j’en faisais ce que je voulais, c’est fini", juge Charles Gave. "Le droit américain s’applique à tous les actifs en dollars. Dans toute transaction dans le monde aujourd’hui, il y a trois types qui sont au courant. Vous et moi, si on se vend quelque chose, et la CIA, si ça passe par le dollar. Si on faisait des affaires entre vous et moi en or, la CIA ne serait pas au courant. Le rôle du dollar comme monnaie de réserve, c’est fini. C’est une perte de souveraineté inimaginable".

                        50% des réserves de la Russie sont gelées

                        "La Russie a été sanctionnée d’à peu près la moitié de sa réserve car ils avaient mis un paquet en euros. C’est la BCE qui a décidé de geler les réserves en euros parce qu’il n’y avait plus que 4% en dollars. Aujourd’hui, 50% de leur réserve est gelée parce qu’ils ont pas mal de réserves en Yuan, pas mal en Yen et à peu près entre 25 et 30% en or", explique Charles Gave.
                        "La Russie est un très gros exportateur de matières premières, en particulier d’énergie et de pétrole. Ils n’ont qu’à facturer leur pétrole à la Chine en Yuan. À ce moment-là, ils n’ont plus besoin de passer par le dollar", explique l’économiste. "C'est une incitation formidable à tous les gens qui ne veulent pas se retrouver sous le contrôle de la CIA à facturer dans une des deux monnaies : soit celle du pays qui exporte, soit celle du pays qui importe".

                        "L'Europe ne peut pas se passer des ressources russes"

                        "On continue à pousser la Russie dans les bras de la Chine, c’est extraordinaire. C’est une des erreurs massives mais ce qu’il faut dire ici rapidement, c’est que la Russie est un gros exportateur de matières premières mais le gros consommateur de matières premières, c’est l’Europe", explique Charles Gave. "Il y a à peu près 40% de gaz russe, ou de pétrole russe. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais le charbon a plus que doublé dans les 10 derniers jours et sur les deux derniers mois, il a été multiplié par cinq. Les Russes sont le troisième producteur de charbon mondial. Les russes sont le troisième exportateur mondial de blé", continue-t-il.
                        "L’Europe ne peut pas se passer des ressources russes. Si les Russes décident de fermer les robinets, l’Allemagne s’arrête complètement", explique-t-il au micro de Sud Radio. "Le gaz de schiste américain, s’ils arrivent à tirer un million de barils, ce sera le maximum et ça ne suffira que pendant quelques jours à l’Allemagne. On est dans une histoire de fous", juge Charles Gave. "Le type qui est complètement dépendant se tire une balle dans le pied. C’est l’Europe qui se tire une balle dans la tête. L’économie n’est que de l’énergie transformée. Si on vous coupe l’énergie, et bien votre économie s’arrête, c’est à peu près aussi bête que ça".

                        L'interview a ne pas manquer :


                        Cliquez ici pour écouter l’invité d’André Bercoff dans son intégralité en podcast.


                        Retrouvez “Le face à face” d’André Bercoff chaque jour à 12h dans Bercoff dans tous ses états Sud Radio.



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                        • There is something very serious taking place here. Ironically, German Chancellor Olaf Scholz seems to be the ONLY world leader to speak the truth that


                          "Il se passe quelque chose de très sérieux ici. Ironiquement, le chancelier allemand Olaf Scholz semble être le SEUL dirigeant mondial à dire la vérité que le président ukrainien Zelensky n'entraînera PAS le monde dans une guerre mondiale en entraînant l'OTAN. The Epoch Times a rapporté :
                          "J'ai également précisé à Moscou et lors de ma visite que cette option [l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN] n'est pas sur la table et n'aura pas lieu", a-t-il déclaré lors d'un entretien avec la chaîne de télévision publique allemande ZDF.
                          « J'ai dit publiquement que nous savons tous que l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN n'est pas à l'ordre du jour de l'alliance aujourd'hui », a-t-il ajouté. "Cela a été compris par le président américain, cela [a été] également compris par le président français."
                          Scholz a déclaré qu'il partageait les préoccupations de sécurité du président russe Vladimir Poutine et a précisé à Poutine que l'Ukraine ne serait pas autorisée à rejoindre l'OTAN.
                          « Les Russes s'inquiétaient de la question du contrôle de leur sécurité. [Poutine était inquiet] que l'OTAN ait une installation militaire et des roquettes en Ukraine ciblant le territoire russe. C'est pourquoi nous avons essayé de faire comprendre que cela ne se produira pas », a-t-il expliqué.

                          .......etc sur le site



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                          • 8 mars (Reuters) - Le président russe Vladimir Poutine a signé mardi un décret restreignant les importations et exportations de certains biens et matières premières "afin d'assurer la sécurité de la Fédération de Russie", rapporte Interfax.

                            L'agence de presse russe n'a pas précisé quels étaient les biens et matériaux concernés. (Reportage Reuters)

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                            • PEKIN, 30 mars (Reuters) - La Chine et la Russie sont "plus résolues" à développer des relations bilatérales et renforcer leur coopération, a déclaré mercredi le chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi, après un entretien avec son homologue russe Sergueï Lavrov, cinq semaines après le début de la guerre en Ukraine.

                              Les deux hommes ont condamné les sanctions "illégales et contre-productives" imposées à Moscou par "les Etats-Unis et leurs satellites" depuis l'invasion russe le 24 février, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

                              Wang Yi et Sergueï Lavrov se sont rencontrés à Tunxi, dans la province d'Anhui, dans l'est de la Chine, où sont organisées pendant deux jours des rencontres multilatérales sur l'Afghanistan.

                              "Les deux parties sont plus résolues à développer des relations bilatérales et plus confiantes de promouvoir leur coopération dans différents domaines", a déclaré le chef de la diplomatie chinoise.

                              "La Chine est impatiente de travailler avec la Russie pour porter les relations sino-russes à un degré supérieur dans une nouvelle ère, sous la conduite du consensus atteint par les chefs d'Etat", a-t-il ajouté.

                              La Chine a refusé de condamner les actions de la Russie en Ukraine, présentées par Moscou comme une "opération spéciale", et de les qualifier d'invasion. Elle a réaffirmé mercredi son soutien à des pourparlers de paix entre Russie et Ukraine.

                              Moscou cherche à obtenir de l'aide et à conclure des partenariats avec Pékin afin de desserrer l'étreinte des lourdes sanctions économiques imposées depuis le début de la guerre en Ukraine par les puissances occidentales.

                              Les deux ministres sont convenus mercredi que la Russie et la Chine allaient continuer à renforcer leur partenariat stratégique et à parler "d'une même voix" des affaires mondiales.

                              Selon le ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, qui avait qualifié début mars l'amitié sino-russe de "solide comme un roc", a estimé que les relations entre les deux pays avaient "passé l'épreuve des turbulences internationales".

                              Lundi, Sergueï Lavrov affirmait quant à lui que les relations entre la Chine et la Russie n'avaient jamais été aussi fortes.

                              A la veille des Jeux olympiques d'hiver de Pékin en février, Pékin et Moscou avaient proclamé un partenariat stratégique "sans limites".

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                              • FRANCFORT, 31 mars (Reuters) - L'Allemagne pourrait connaître sa pire crise économique depuis près de 80 ans en cas d'arrêt ou de perturbations sur le long terme des importations de gaz et de pétrole russes, a déclaré le directeur général du groupe allemand BASF, l'un des plus grands consommateurs d'électricité du pays.

                                "Cela pourrait plonger l'économie allemande dans sa plus grande crise depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale", a dit Martin Brudermüller, le directeur général de BASF, au journal FAZ, ajoutant que cela constituait également une menace existentielle pour les PME allemandes.

                                Martin Brudermüller a rejeté les appels à interdire les importations, estimant qu'une telle initiative serait irresponsable.

                                BASF, qui est le plus grand groupe chimique au monde, a prévenu mercredi qu'il devrait arrêter sa production si les approvisionnements en gaz naturel devaient tomber à moins de la moitié de ses besoins.



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