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  • this is the end
    a répondu
    Merci je suis passé à coté
    http://www.bloomberg.com/news/2011-06-07/bernanke-...

    La Presse Affaires
    Kathleen Brooks, Gain Capital: «QE3 sera toujours une possibilité avec Bernanke si la situation économique devait tourner encore plus mal. Bernanke a toutefois souligné que même si le marché de l'emploi reste difficile..."

    ceci dit on est toujours en flight to quality, ça se retournera bien à un moment ou un autre ,
    avant la fin du QE2 ?

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  • Harissa
    a répondu
    Bernanke dit qu'il n'y aura pas de Q3
    pourquoi ne pas le croire ?.....

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  • this is the end
    a répondu
    Bonjour,

    le flight to quality a encore de la marge 126 sur le 10 ans - Waiting for the QE3

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  • WANTED
    a répondu
    C'est çà le QE3!!


    Comments de Cisco:

    Ce qui interpelle d'autant les esprits curieux est le flux continue d'achat de treasury poussant les taux du 10 ans US à 2,959% au moment de l'écriture de ce post !!

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  • Cisco
    a répondu
    L'absence d'annonce d'un troisième round de quantitative easing est surtout le signe du désarroi et de l'impuissance de Ben bernanke à constater que la monétisation de la dette publique ne donne pas les effets escomptés sur l'économie réelle et l'emploi en particulier ... Ben Bernanke ostente un optimisme forcené en assurant de l'existence d'une croissance "désespérément lente" certes mais bien présente et en rassurant sur la poursuite d'une politique de taux accomodante au possible pour "une période prolongée" ...

    Ce qui interpelle d'autant les esprits curieux est le flux continue d'achat de treasury poussant les taux du 10 ans US à 2,959% au moment de l'écriture de ce post !!

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  • coulous
    a répondu
    perso mais alors vraiment perso, je pense qu'ils vont sortir un vrai bon gros plan pour l'emploi, puisque c'est un domaine ou la politique de Bernanke a véritablement failli.

    pour rassurer et assurer la ré-élection d'Obama

    D'autre part, je pense à une véritable flambée de l'inflation.
    ça c'est un énorme bluff :
    "la poussée d'inflation actuelle ne devant selon lui être que passagère."



    http://fr.wikipedia.org/wiki/Inflation

    "Inflation induite par excès de masse monétaire[modifier]L'inflation a d'abord été considérée comme un désordre attribué à l'enflure de la masse monétaire en circulation, principalement sous la forme des billets en circulation : il y a inflation quand la banque centrale émet trop de billets [9]. Il n'y a donc pas de construction de richesse, d'où la conséquence directe qui se manifeste sous la forme d'une augmentation des prix.
    l'" enflure " monétaire résulte de l'émission par les autorités monétaires (l'État en général) de monnaie en trop grande quantité

    par rapport à la quantité de biens dans le circuit économique,
    (ex : hyperinflation de la République de Weimar par sur-émission de mark en 1923
    ou, dans le cas d'une monnaie assise sur l'or ou l'argent, par un afflux brutal de métal précieux
    (ex :l'inflation en Espagne suite à l'afflux d'or en provenance de sa conquête des Amériques).

    du fait du crédit, si l'activité financée ne conduit pas directement (ou suffisamment) à injecter dans le circuit économique des biens nouveaux à hauteur du montant de monnaie nouvelle."


    "l'enflure" ça lui irait bien comme petit surnom à Ben, non?

    http://www.boursorama.com/forum-cac-40-les-mensong...
    Recommander ce message 6
    Posté par lsasport ( Laurent ) · boursomarquer · ignorer
    Les mensonges de Bernanke..
    Auj. à 02:50
    c'est au moins la 10eme fois que je remets ce post car peu importe le nombre de recos, il finit toujours par être censuré..
    Pourtant nous avons eu ce soir un nouveau discours de notre cher bernie, qui ne croit pas au "double dip" et qui affirme que l'inflation est contenue..
    Ce n'est pas ce que semblent penser de plus en plus d'americains, qui rejettent à 57% la politique menée (au passage on note que "l'effet ben laden" aura eu une influence tres courte sur la cote d'oblabla).

    Mais à la limite sur l'inflation c'est encore pire si ce que dit bernanke est vrai, car en lançant le QE2 il VOULAIT creer de l'inflation, seule solution pour tenter de réduire la dette..

    Bref il dit aujourd'hui s'interroger davantage au bilan de la FED.. ah bon, il va donc partir à la recherche des 9000 milliards qui se sont volatilisés et dont on n'a plus jamais eu de nouvelle ? j'espère qu'il a un bon scaphandre..

    Bref, suspendre le "monde" au discours de ce monsieur est totalement immature tant il s'est déja publiquement trompé depuis 6 ans :

    petit florilège sur la comm de bernanke :

    2005: "House prices have risen by nearly 25 percent over the past two years. Although speculative activity has increased in some areas, at a national level these price increases largely reflect strong economic fundamentals."

    traduction pour les non anglophones :
    "les prix immobiliers ont progressé de 25% ces 2 dernières années. Bien que la spéculation ait pu s'accroitre dans certaines régions, sur un plan national, ces hausses refletent les fondamentaux economiques solides"..

    La meme année, qques mois apres :

    2005: "We’ve never had a decline in house prices on a nationwide basis. So, what I think what is more likely is that house prices will slow, maybe stabilize, might slow consumption spending a bit. I don’t think it’s gonna drive the economy too far from its full employment path, though."

    traduction approximative pour les non anglophones :
    "nous n'avons jamais eu de baisse des prix immobiliers généralisée sur l'ensemble du territoire.
    Donc ce que je pense est que la hausse des prix va ralentir, peut etre meme se stabiliser et ça pourrait ralentir un peu la consommation. Je ne pense pas que ça pourra influencer l'économie au point d'entamer la situation de plein emploi".

    Quel visionnaire...

    un peu plus tard :

    2006: "Housing markets are cooling a bit. Our expectation is that the decline in activity or the slowing in activity will be moderate, that house prices will probably continue to rise."

    En gros : le marché immobilier ralentit un peu, mais nous nous attendons à ce que cette baisse d'activité soit modérée (en termes de nombre de transactions), et les prix vont probablement continuer à monter.

    Autre exemple :

    2007: "At this juncture, however, the impact on the broader economy and financial markets of the problems in the subprime market seems likely to be contained. In particular, mortgages to prime borrowers and fixed-rate mortgages to all classes of borrowers continue to perform well, with low rates of delinquency."

    Traduction rapide car vous n'etes pas idiots :
    "l'impact du probleme des subprimes est contenu, peu de risque de défauts"..

    Arf, ses actionnaires banquiers l'ont mal informé..

    Quelques semaines plus tard la meme année :
    2007: "It is not the responsibility of the Federal Reserve – nor would it be appropriate – to protect lenders and investors from the consequences of their financial decisions."

    Ah.. et il fait quoi en injectant des milliards dans les banques ?

    dernier exemple :
    2008: "The Federal Reserve is not currently forecasting a recession."

    Ah, et comment nomme t'on ce qui s'est passé alors que le taux de chomage US a doublé et que la croissance est devenu négative ?
    Lagourde a du prendre des cours au meme endroit avec sa rilance...

    Vous faites donc confiance à la comm de ce monsieur ?
    Pas moi..



    USA: croissance désespérément lente, devrait progresser après juin

    WASHINGTON - Le président de la banque centrale des Etats-Unis, Ben Bernanke, a plaidé mardi pour le maintien d'une politique monétaire complaisante face à une reprise économique désespérément lente, la poussée d'inflation actuelle ne devant selon lui être que passagère.

    Le maintien d'une politique monétaire accommodante est toujours nécessaire, a déclaré M. Bernanke lors d'un discours télédiffusé à Atlanta, dans le Sud-Est des Etats-Unis.

    Tant que nous n'aurons pas vu de créations d'emploi plus fortes pendant une période prolongée, nous ne pourrons pas considérer que la reprise est véritablement établie, a ajouté M. Bernanke.

    Constatant le net ralentissement de la croissance économique aux Etats-Unis, M. Bernanke a jugé que celle-ci restait désespérément lente du point de vue des millions de chômeurs ou d'actifs sous-employés que compte le pays.

    Comte tenu de cette situation, la Fed ne voit pas d'urgence à diminuer son soutien à l'économie dans la mesure où la poussée d'inflation actuelle, provoquée par la flambée des cours du pétrole et des matières premières devrait s'avérer passagère, a-t-il dit.

    Pour le président de la Fed, la croissance devrait se redresser quelque peu au deuxième semestre, mais rester globalement modérée.


    (©AFP / 07 juin 2011 22h09)



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  • coulous
    a répondu
    ah bon ?

    moi je pensais le contraire.

    TRAD AUTO

    http://www.federalreserve.gov/newsevents/speech/be...

    Président Ben S. Bernanke
    Lors de la Conférence monétaire international, à Atlanta, en Géorgie
    7 juin 2011
    Les perspectives économiques américaines

    Je tiens à remercier les organisateurs de m'avoir invité à participer de nouveau à la Conférence monétaire international. Je vais commencer par une brève mise à jour sur les perspectives de l'économie américaine, puis discuter de l'évolution récente des marchés mondiaux des matières premières qui sont affectant de façon significative les économies américaine et mondiale, et de conclure par quelques réflexions sur les perspectives de la politique monétaire.

    Les perspectives de croissance
    La croissance économique américaine cette année semble avoir été un peu plus lent que prévu. La production totale a augmenté de seulement 1,8 pour cent à un taux annuel au premier trimestre, et de perturbations de la chaîne d'approvisionnement associée au séisme et le tsunami au Japon freinent l'activité économique de ce trimestre. Un certain nombre d'indicateurs suggèrent aussi une certaine perte de dynamisme du marché du travail ces dernières semaines. Nous sommes, bien sûr, le suivi de ces développements. Cela dit, avec les effets de la catastrophe japonais sur la production manufacturière de nature à dissiper dans les prochains mois, et avec une certaine modération dans les prix de l'essence dans la perspective, la croissance semble se redresser quelque peu dans la seconde moitié de l'année. Dans l'ensemble, la reprise économique semble se poursuivre à un rythme modéré, quoique à un rythme qui est à la fois inégale selon les secteurs et d'une lenteur frustrante du point de vue de millions de chômeurs et les travailleurs sous-employés.

    Comme c'est souvent le cas, la capacité et la volonté des ménages à dépenser sera un déterminant important de la vitesse à laquelle l'économie se développe dans les prochains trimestres. Une gamme de forces positives et négatives influence actuellement les finances du ménage et les attitudes. Sur le plan positif, les revenus des ménages ont été stimulés par la nette amélioration des conditions de marché de l'emploi depuis le début de cette année ainsi que de la réduction des charges sociales que le Congrès a adopté en Décembre. L'augmentation de la richesse des ménages - essentiellement en raison des gains dans les valeurs d'équité - et les charges de la dette plus faible ont également augmenté la volonté des consommateurs à dépenser. Sur le plan négatif, les ménages font face à des vents contraires importants, y compris les augmentations des prix alimentaires et énergétiques, la baisse de la valeur des maisons, a continué d'étanchéité dans certains marchés du crédit, et le chômage toujours élevé, qui ont tous pris un péage sur la confiance des consommateurs.

    L'évolution du marché du travail sera d'une importance particulière dans l'établissement des cours pour les dépenses des ménages. Comme vous le savez, la situation de l'emploi est loin d'être normale. Par exemple, nombre total d'heures des travailleurs de production - une mesure globale de la main-d'?uvre qui reflète l'étendue de l'emploi à temps partiel et des possibilités pour les heures supplémentaires ainsi que le nombre de personnes employées - ont diminué, remarquable, de près de 10 pour cent depuis le début de la récente récession à Octobre 2009. Bien que la durée du travail ont augmenté au cours de l'expansion, cette mesure reste encore environ 6-1/2 pour cent en dessous de son niveau d'avant la récession. A titre de comparaison, la baisse maximale du nombre d'heures travaillées dans l'ensemble profonde récession 1981-1982 était inférieur à 6 pour cent. D'autres indicateurs, tels que l'emploi salarié total, le ratio emploi-population, et le taux de chômage, brossent un tableau similaire. Particulièrement préoccupant est le niveau très élevé de chômage de longue durée - près de la moitié des chômeurs ont été au chômage depuis plus de six mois. Les personnes sans travail pendant de longues périodes, on trouve de plus en plus difficile d'obtenir un emploi comparable à leur emploi précédent, que leurs compétences ont tendance à se détériorer au fil du temps et que les employeurs hésitent souvent à embaucher les chômeurs de longue durée.

    Bien que le marché du travail reste très faible et des progrès ont été inégaux, dans l'ensemble, nous avons vu des signes d'amélioration progressive. Par exemple, la masse salariale du secteur privé a augmenté à un taux moyen d'environ 180.000 par mois au cours des cinq premiers mois de cette année, comparativement à moins de 140.000 au cours des quatre derniers mois de 2010 et moins de 80.000 par mois dans les quatre mois avant que. Comme je l'ai noté, toutefois, les indicateurs récents suggèrent une certaine perte de dynamisme, avec le rapport de vendredi dernier marché de l'emploi montrant une augmentation de la masse salariale privée de seulement 83 000 en mai. Je m'attends à l'embauche pour ramasser du rythme du mois dernier que la croissance se renforce en deuxième moitié de l'année, mais, là encore, les données récentes mettent en évidence la nécessité de continuer à suivre attentivement la situation des emplois.

    Le secteur des entreprises présente généralement une image plus optimiste. Les dépenses en capital sur les équipements et logiciels a continué à se développer, ce qui reflète une amélioration des perspectives de vente et de la nécessité de remplacer les installations vieillissantes du capital. De nombreuses entreprises des États-Unis, notamment dans le secteur manufacturier mais aussi dans les services, ont bénéficié de la forte croissance de la demande sur les marchés étrangers. À l'avenir, l'investissement et l'embauche dans le secteur privé devrait être facilitée par l'amélioration continue des conditions de crédit. Les grandes entreprises restent en mesure de se financer à des taux d'intérêt historiquement bas, et les bilans des entreprises sont solides. Les petites entreprises éprouvent encore des difficultés à obtenir du crédit, mais les enquêtes des deux banques et les emprunteurs indiquent que les conditions s'améliorent lentement pour les entreprises ainsi.

    En revanche, pratiquement tous les segments de l'industrie de la construction demeure troublé. Dans le secteur résidentiel, les prix des maisons et des taux hypothécaires signifie que le logement est très abordable par rapport aux normes historiques, et pourtant, avec les normes de souscription de prêts hypothécaires ayant considérablement renforcée, de nombreux acheteurs potentiels sont incapables de se qualifier pour les prêts. Les incertitudes sur les perspectives d'emploi et de l'évolution future des prix des logements ont également dissuadé les acheteurs potentiels. Compte tenu de ces contraintes sur la demande de logements, et avec un stock important de logements vacants et saisis en surplomb sur le marché, la construction de maisons unifamiliales neuves est resté à des niveaux très bas, et les prix des logements ont continué de baisser. Le secteur du logement joue généralement un rôle important dans la reprise économique, l'état déprimé de l'habitation aux États-Unis est une grande raison que la reprise actuelle est moins vigoureuse que nous le souhaiterions.

    Développements dans le secteur public aussi aider à déterminer le rythme de la reprise. Ici aussi, l'image est l'une des faiblesse relative. Fiscalement contraint les gouvernements étatiques et locaux continuera à réduire les dépenses et l'emploi. En outre, l'impulsion donnée à la croissance de la demande finale par les gouvernements fédéral politiques budgétaires continue à décliner.

    La perspective d'augmenter la pression fiscale sur le recouvrement souligne l'une des difficultés rencontrées par de nombreux compromis politique budgétaire: Si la nation est d'avoir une bonne santé économique future, les décideurs de toute urgence besoin de mettre le gouvernement fédéral finance le sur une trajectoire durable. Mais, d'autre part, une forte consolidation budgétaire axée sur le court terme pourrait être très contre-productive si elle était de saper le fragile reprise encore. La solution à ce dilemme, je crois, réside dans la reconnaissance que l'exercice des problèmes de notre nation sont par nature à long terme dans la nature. Par conséquent, la réponse appropriée consiste à agir rapidement pour adopter une crédibles, à long terme le plan d'assainissement budgétaire. En prenant aujourd'hui des décisions qui conduisent à la consolidation budgétaire sur un horizon plus lointain, les décideurs peuvent éviter une contraction brutale de l'exercice qui pourrait mettre la reprise en danger. Dans le même temps, l'établissement d'un plan crédible pour réduire les déficits futurs maintenant ne serait pas seulement d'améliorer la performance économique à long terme, mais pourraient aussi apporter des avantages à court terme en menant à terme des taux d'intérêt inférieur au long de la consommation ont augmenté et la confiance des entreprises.

    Les perspectives pour l'inflation
    Permettez-moi d'aborder les perspectives d'inflation. Comme vous le savez tous, au cours de l'année écoulée, les prix de nombreux produits de base ont fortement augmenté, entraînant des prix à la consommation sensiblement plus élevés pour l'essence et autres produits énergétiques et, dans une moindre mesure, de la nourriture. mesures de l'inflation globale refléter ces augmentations de prix: Par exemple, au cours des six mois à fin avril, l'indice des prix des dépenses personnelles de consommation a augmenté à un rythme annuel d'environ 3-1/2 pour cent, comparativement à une moyenne de moins de 1 pour cent par rapport les deux années précédentes.

    Bien que l'augmentation récente de l'inflation est une préoccupation, le diagnostic approprié et la réponse politique dépendra de la hausse de l'inflation est susceptible de persister. Jusqu'ici, au moins, il n'y a pas beaucoup de preuves que l'inflation est de plus grande échelle ou ancrés dans notre économie, en effet, les augmentations dans le prix d'un seul produit - l'essence - représentent l'essentiel de l'augmentation récente des prix à la consommation . 1 Bien sûr, prix de l'essence sont d'une importance exceptionnelle pour les finances de famille et l'ensemble de l'économie, mais le fait que les augmentations de prix de l'essence représentent à eux seuls une grande partie de l'augmentation globale de l'inflation suggère que l'évolution du marché mondial du pétrole brut et des produits connexes , ainsi que sur les marchés d'autres produits, sont les principaux facteurs qui expliquent les mouvements récents de l'inflation, plutôt que des facteurs spécifiques à l'économie américaine. Une conséquence importante est que si le prix de l'énergie et d'autres produits dans des gammes de stabiliser près des niveaux actuels, comme les marchés à terme et de nombreux prévisionnistes prédisent, l'impulsion à la hausse de l'inflation globale des prix s'affaiblira et l'augmentation récente de l'inflation se révélera éphémère. En effet, la baisse des prix de nombreuses matières premières observée au cours des quelques dernières semaines, peut être une indication que cette modération est en cours. Je vais discuter des prix des produits de base autres momentanément.

    Outre la perspective de prix des produits de base plus stable, deux autres facteurs suggèrent que l'inflation devrait revenir à des niveaux plus bas à moyen terme. Premièrement, le jeu toujours appréciable dans le travail des États-Unis et les marchés de produits devraient continuer à avoir un effet modérateur sur les pressions inflationnistes. Notamment, en raison de la faible demande de main-d'?uvre, des augmentations de salaire n'ont pas suivi le rythme des gains de productivité. Ainsi, le niveau des coûts salariaux unitaires dans le secteur des entreprises est inférieure à ce qu'elle était avant la récession. Étant donné la part importante des coûts salariaux dans les coûts de production de la plupart des entreprises (généralement, une part beaucoup plus grande que celle du coût des matières premières), modérée des coûts salariaux unitaires devrait rester une influence modératrice sur l'inflation. Pour être clair, je ne prétends pas que les augmentations des salaires réels en bonne santé ne sont pas compatibles avec une inflation faible, les deux sont parfaitement compatibles tant que la croissance de la productivité est relativement forte.

    Le deuxième facteur d'inflation retenue supplémentaires est la stabilité des anticipations d'inflation terme-plus. Malgré la reprise récente de l'inflation globale, les mesures de «plus long terme les anticipations d'inflation-ménages de l'enquête Michigan, l'inflation de l'année des projections-10 des économistes professionnels, l'année avant-mesure 5 de la rémunération provenant de l'inflation sur les rendements des titres protégés par l'inflation , et d'autres mesures de l'inflation attentes terme-plus sont tous demeurés relativement stables. 2 Tant que les anticipations d'inflation-terme sont plus stables, la hausse des prix mondiaux des matières premières sont peu susceptibles d'être intégrés dans les processus des salaires et la fixation des prix domestiques, et ils devrait donc avoir que des effets transitoires sur le taux d'inflation. Cela dit, la stabilité des anticipations d'inflation est assurée aussi longtemps que l'engagement de la banque centrale à une inflation faible et stable reste crédible. Ainsi, la Réserve fédérale continuera de surveiller de près l'évolution de l'inflation et les anticipations d'inflation et prendra toutes les mesures nécessaires pour maintenir l'inflation bien maîtrisée.

    Prix ??des produits
    Comme je l'ai mentionné précédemment, la hausse des prix des produits de base a augmenté directement le taux d'inflation tout en faisant grief à la confiance des consommateurs et les dépenses de consommation. Regardons ces augmentations de prix plus en détail.

    Les faits de base sont familiers. Les prix du pétrole ont considérablement augmenté, avec le prix au comptant du West Texas Intermediate pétrole brut de près de 100 dollars le baril à la fin de la semaine dernière, en hausse de près de 40 pour cent il ya un an. Proportionnellement, les prix du maïs et du blé ont augmenté encore plus, à peu près doublé au cours de l'année écoulée. Et les prix des métaux industriels ont augmenté notamment ainsi, avec prix de l'aluminium et le cuivre jusqu'à environ un tiers au cours des 12 derniers mois. Lorsque le prix de tout produit se déplace nettement, le premier instinct de l'économiste est de chercher des changements dans l'offre ou la demande pour ce produit. Et en effet, l'augmentation récente des prix des produits de base semble en grande partie être le résultat des mêmes facteurs qui ont poussé les prix des produits de base dans une grande partie de la dernière décennie: de fortes hausses de la demande mondiale qui n'ont pas été atteints avec une augmentation proportionnelle de l'offre.

    De 2002 à 2008, une période de hausse soutenue des prix des matières premières, l'activité économique mondiale a enregistré sa plus forte croissance de l'expansion au cours des décennies, augmente à un rythme moyen d'environ 4-1/2 pour cent par an. Cette performance impressionnante a été dirigée par le développement et les économies émergentes, où l'activité réelle a augmenté à un remarquable 7 pour cent par an. Les économies de marché émergentes ont également ouvert la voie à la reprise de la crise financière mondiale: De 2008 à 2010, le produit intérieur réel brut (PIB) a augmenté de façon cumulative d'environ 10 pour cent dans les économies de marché émergentes même que le PIB est demeuré essentiellement inchangé, sur le net , dans les économies avancées. 3

    Naturellement, une activité économique accrue dans les économies de marché émergentes a augmenté la demande mondiale de matières premières. En outre, l'accent sur le développement industriel dans de nombreuses économies de marché émergentes a entraîné leur croissance particulièrement intensive à l'utilisation des produits de base, alors même que la consommation de produits dans les économies avancées s'est stabilisée ou a diminué. Par exemple, la consommation de pétrole du monde a augmenté de 14 pour cent de 2000 à 2010; sous-jacente de cette tendance générale, cependant, a été une augmentation de 40 pour cent la consommation de pétrole dans les économies émergentes et une nette baisse de 4-1/2 pour cent dans les économies avancées. En particulier, la consommation de pétrole des États-Unis était d'environ 2-1/2 pour cent de moins en 2010 qu'en 2000, les importations nettes de pétrole en baisse de près de 10 pour cent, même si le PIB réel américain a augmenté de près de 20 pour cent au cours de cette période.

    Ce changement radical dans les sources de la demande de produits n'est pas unique à l'huile. Si quoi que ce soit, la tendance est encore plus frappante pour les métaux industriels, où les chiffres de pourcentage des taux-double de la baisse de la consommation par les économies avancées au cours des dix dernières années ont été submergés par le chiffre de pourcentage augmente-triple de la consommation par les économies de marché émergentes. 4 même , améliorer les régimes alimentaires dans les économies de marché émergentes ont considérablement augmenté leur demande de produits agricoles. Il est important, en notant ces faits, je ne critique pas l'intention des marchés émergents, la croissance de ces économies a conféré des avantages économiques substantiels à la fois au sein de ces pays et dans le monde, et en tout cas, la consommation de matières premières par rapport à la population dans les marchés des pays émergents reste sensiblement inférieur à celui des États-Unis et d'autres économies avancées. Néanmoins, il est indéniable que la formidable croissance dans les économies de marché émergentes a considérablement augmenté la demande mondiale de matières premières ces dernières années.

    Dans ce contexte de croissance très vigoureuse de la demande, la fourniture de nombreux produits de base a pris du retard. Par exemple, la production mondiale de pétrole a augmenté de moins de 1 pour cent par an depuis 2004, comparativement à près de 2 pour cent par année au cours de la décennie précédente. En partie, la lente augmentation de l'approvisionnement en pétrole reflète taux décevant de la production dans les pays qui ne font pas partie de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Cependant, l'OPEP n'a pas démontré une volonté beaucoup à augmenter la production, que ce soit. Plus récemment, la production de l'OPEP ont diminué de 1,3 millions de barils par jour de Janvier à Avril de cette année, reflétant l'interruption de l'approvisionnement libyen et l'absence de décalage significatif de producteurs de l'OPEP d'autres. En effet, la production de l'OPEP du pétrole aujourd'hui demeure environ 3 millions de barils par jour en dessous du niveau record de la mi-2008. Avec la demande de pétrole augmente rapidement et l'offre de brut stagne, l'augmentation des prix du pétrole ne sont pas un casse-tête.

    Les déficits de production ont frappé de nombreux autres produits de base ainsi. La production agricole a été durement frappée par une vague de mauvais temps dans le monde entier. Par exemple, la sécheresse de l'été dernier en Russie fortement réduit la récolte de blé de ce pays. Aux États-Unis, les températures élevées compromise de manière significative la récolte de maïs des États-Unis l'automne dernier, et les conditions sèches sont actuellement mal les cultures de blé dans le Kansas. Au cours de la dernière année, les sécheresses ont aussi affligé l'Argentine, la Chine et la France. Heureusement, le décalage entre la plantation et la récolte pour de nombreuses cultures est relativement courte; ainsi, si les conditions météorologiques plus typiques de curriculum vitae, les livraisons de produits agricoles devraient se redresser, réduisant ainsi la pression sur les prix.

    Pas tous les prix des produits de base ont augmenté, illustrant le fait que les conditions d'approvisionnement et la demande peut varier selon les marchés. Par exemple, le prix des bois et le gaz naturel sont actuellement proches de leurs niveaux de début des années 2000. La demande de bois d'?uvre a été freinée par la faiblesse du secteur de la construction des États-Unis, tandis que la fourniture de gaz naturel aux États-Unis a été augmenté par d'importantes innovations dans les techniques d'extraction. 5 Parmi les produits agricoles, les prix du riz sont restés relativement modérée, ce qui reflète de plus en plus favorable conditions.

    En tout, ces cas renforcent l'idée que les principes fondamentaux de l'offre et la demande mondiales ont joué un rôle central dans les fluctuations de prix des matières premières ces dernières. Cela dit, il ya généralement une grande incertitude quant à l'approvisionnement actuels et futurs et de la demande. En conséquence, les prix des produits de base, comme le prix des actifs financiers, peuvent être volatiles que les participants au marché de réagir aux nouvelles entrantes. Récemment, les prix des produits de base semblent avoir été particulièrement sensible aux nouvelles portant sur les perspectives de croissance économique mondiale ainsi que l'évolution géopolitique.

    Comme la croissance rapide des économies de marché émergentes semble devoir se poursuivre, doit-on donc s'attendre à la poursuite des augmentations rapides des prix des matières premières au niveau mondial en bourse? Il est certes possible que nous verrons de nouvelles augmentations, il ya de bonnes raisons de croire que les prix des produits de base ne va pas continuer à augmenter au rythme rapide, nous l'avons vu récemment. À court terme, les déficits imprévus dans les livraisons de produits de base clés en résultat fortes hausses de prix, les habitudes de consommation et des réserves disponibles sont difficiles à changer rapidement. Sur de plus longues périodes, cependant, les niveaux élevés des prix des denrées de réduire la demande que les ménages et les entreprises adaptent leurs dépenses et leurs modes de production. En effet, comme je l'ai mentionné précédemment, nous avons déjà constaté des réductions significatives de l'utilisation des produits de base dans les économies avancées. De même, au fil du temps, les prix élevés devraient susciter des augmentations significatives de l'offre, à la fois comme des facteurs temporaires, comme les conditions météorologiques défavorables, de réduire et que les investissements dans les capacités productives se concrétiser. Enfin, parce que les attentes de la hausse des prix du plomb participants aux marchés financiers pour faire monter les prix au comptant des produits de base, les développements futurs prévisibles portant sur les demandes et les livraisons de produits de base ont déjà tendance à se refléter dans les prix actuels. Pour ces raisons, même si des événements imprévus pourraient certainement conduire à une volatilité continue des prix mondiaux des matières premières, il est raisonnable de s'attendre à des effets de prix des matières premières sur l'inflation globale est relativement modérée à moyen terme.

    Alors que les fondamentaux offre et la demande sans doute tenir compte de la plupart des mouvements récents des prix des matières premières, certains observateurs ont attribué une partie importante de la montée des prix à la Réserve fédérale des politiques, au-delà des effets de ces politiques sur la croissance économique américaine. Par exemple, certains ont soutenu que la politique monétaire accommodante des Etats-Unis a fait chuter la valeur de change du dollar, stimulant ainsi le prix en dollars des produits de base. En effet, depuis Février 2009, le dollar pondéré par les échanges a diminué d'environ 15 pour cent. Toutefois, depuis Février 2009, les prix du pétrole ont augmenté de 160 pour cent et les prix des produits de base autres que les combustibles sont en hausse d'environ 80 pour cent, ce qui implique que la baisse du dollar ne peut expliquer, au plus, seule une petite partie de la hausse des prix du pétrole et autres produits de base, en effet, prix des matières premières ont augmenté de façon spectaculaire lorsqu'il est mesuré en termes de l'une des principales monnaies du monde, pas seulement le dollar. Mais même ce calcul surestime le rôle de la politique monétaire, car de nombreux facteurs autres que la politique monétaire sur la valeur du dollar. Par exemple, la baisse du dollar depuis Février 2009 que je viens de remarquer suite à une augmentation comparable du dollar, ce qui reflète en grande partie de vol-au flux de la sécurité déclenchée par la crise financière dans la seconde moitié de 2008; la baisse du dollar, depuis lors, partie substantielle reflète l'inversion de ces flux que la crise assouplies. La faible croissance aux États-Unis et un déficit commercial persistant sont complémentaires, des sources plus fondamentales de la baisse récente de la valeur du dollar, en particulier, les États-Unis est un importateur de pétrole, un choc géopolitique ou d'autres qui augmente le prix mondial du pétrole va aggraver nos perspectives balance commerciale et économique, qui tend à faire baisser le dollar. Dans ce cas, le sens de causalité va de prix des matières premières sur le dollar plutôt que l'inverse. La meilleure façon pour la Réserve fédérale pour soutenir la valeur fondamentale du dollar à moyen terme est de poursuivre notre double mandat de l'emploi maximum et la stabilité des prix, et nous le ferons certainement.

    Un autre argument qui a été fait est que de faibles taux d'intérêt ont fait grimper les prix des produits de base en réduisant le coût des stocks de portefeuille, ce qui augmente la demande de matières premières, ou en encourageant les spéculateurs de pousser les prix à terme de marchandises au-dessus de leurs niveaux fondamentaux. Dans les deux cas, si ces forces ont été de conduire les prix des produits de base et sensiblement supérieure persistante, nous devrions voir une augmentation correspondante des stocks de produits, la hausse des prix réduit la consommation et a stimulé la production par rapport à leurs niveaux fondamentaux. En fait, les stocks de la plupart des produits n'ont pas montré de fortes augmentations au cours de la dernière année, les prix ont augmenté, en effet, les augmentations de prix ont souvent été associée à une baisse plutôt qu'une augmentation des niveaux de stocks, ce qui reflète probablement une forte demande ou une offre faible qui tend à mettre la pression sur les stocks disponibles.

    Enfin, certains ont suggéré que les taux d'intérêt très bas aux États-Unis et d'autres économies avancées ont créé des risques de surchauffe économique dans les économies émergentes du marché et ont donc, indirectement, exercer des pressions à la hausse sur les prix des produits de base. En fait, la plupart de la croissance économique rapide ces dernières dans les économies émergentes semble refléter une remontée à partir de la précédente récession et l'augmentation continue de la capacité productive, que leurs technologies et leurs stocks de capital de rattraper ceux des économies avancées, plutôt que d'être principalement le résultat des conditions monétaires dans ces pays. Plus fondamentalement, toutefois, quelle que soit la source de la croissance récente dans les marchés émergents, les autorités de ces pays ont clairement une gamme de l'exercice, le taux de change monétaire, et d'autres outils qui peuvent être utilisés pour traiter les risques de surchauffe qui peut se produire. Comme dans tous les pays, l'objectif principal de la politique monétaire aux États-Unis devrait être de promouvoir la croissance économique et la stabilité des prix à la maison, qui à son tour prend en charge un environnement stable économique et financière mondiale.

    La politique monétaire
    Permettez-moi de conclure avec quelques mots sur l'orientation actuelle de la politique monétaire. Comme je l'ai discuté aujourd'hui, la reprise économique aux États-Unis semble se dérouler à un rythme modéré et - malgré les irrégularités du rythme des progrès et certains signes récents d'élan réduite - le marché du travail s'est progressivement améliorée. Dans le même temps, la situation de l'emploi est loin d'être normale, le taux de chômage reste élevé. L'inflation a augmenté dernièrement, mais devrait se modérer, en supposant que les prix des produits de base se stabiliser et que, comme je l'espère, les attentes d'inflation à long terme restent stables.

    Dans ce contexte, le Federal Open Market Committee (FOMC) a maintenu une politique monétaire très accommodante, maintenir son objectif pour la fin taux des fonds fédéraux à zéro et l'allègement des conditions monétaires par des achats d'actifs à grande échelle. Le FOMC a indiqué qu'il complète ses achats de 600 milliards de dollars de titres du Trésor d'ici la fin de ce mois-ci, tout en maintenant sa politique actuelle de réinvestir les paiements de capital de son portefeuille de titres. Le Comité continue également de prévoir que les conditions économiques sont susceptibles de justifier des niveaux exceptionnellement bas pour le taux des fonds fédéraux pour une période prolongée.

    L'économie américaine se redresse à la fois la pire crise financière et la crise de l'immobilier la plus grave depuis la Grande Dépression, et elle est confrontée vents contraires supplémentaires allant des effets de la catastrophe japonais aux pressions mondiales sur les marchés des produits de base. Dans ce contexte, la politique monétaire ne peut pas être une panacée. Pourtant, les actions de la Réserve fédérale ces dernières années ont sans doute contribué à stabiliser le système financier, la facilité de crédit et les conditions financières, la garde contre la déflation, et de promouvoir la reprise économique. Tout cela a été accompli, je note, à aucun coût net pour le budget fédéral ou pour le contribuable américain.

    Bien qu'il se déplace dans la bonne direction, l'économie continue de produire à des niveaux bien en deçà de son potentiel, par conséquent, des politiques monétaires accommodantes sont encore nécessaires. Jusqu'à ce que nous voyons une période prolongée de forte création d'emplois, nous ne pouvons pas considérer que la reprise soit bien établie. Dans le même temps, la santé à long terme de l'économie exige que la Réserve fédérale faire preuve de vigilance dans la préservation de sa crédibilité durement gagnée pour le maintien de la stabilité des prix. Comme je l'ai expliqué, la plupart des participants du FOMC actuellement voir l'augmentation récente de l'inflation que l'inflation transitoire et s'attendre à rester modérée à moyen terme. Si cette prévision se révéler faux, cependant, et en particulier si des signes à montrer que l'inflation a été plus largement sur ou que les attentes d'inflation à long terme ont été de moins en moins bien ancrées, le Comité répondra si nécessaire. Dans tous les cas, nos mesures de politique sera guidé par les objectifs de soutenir la reprise de la production et l'emploi tout en assurant que l'inflation, au fil du temps, est à des niveaux compatibles avec le mandat de la Réserve fédérale.





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    1. Grâce à avril, les dépenses de consommation personnelle (PCE), l'inflation au cours des six mois précédents était de 3,6 pour cent à un taux annuel, à l'exclusion de l'essence, l'inflation au cours de cette période était de 2 pour cent. Plus d'un mois, on compte 12, l'inflation a été jusqu'en avril de 2,2 pour cent; excluant l'essence, il était de 1,2 pour cent. Retour au texte

    2. Dans le Thomson Reuters / Université du Michigan enquêtes auprès des consommateurs, la lecture médiane sur l'inflation prévue au cours des 10 prochaines années est de 5 à 2,9 pour cent en mai, après avoir en moyenne de 2,8 pour cent en 2010. Dans l'Enquête auprès des prévisionnistes professionnels (EPP) compilé par la Banque de réserve fédérale de Philadelphie, la projection médiane de l'inflation PCE au cours des 10 prochaines années a été de 2,3 pour cent en mai, en hausse de la moyenne de 2,1 pour cent l'année dernière lecture. Le SPF projection équivalente de l'inflation IPC était de 2,4 pour cent, contre 2,3 pour cent en 2010. L'année avant la mesure-5 de la rémunération provenant de l'inflation se situait à environ CONSEILS 2-3/4 pour cent en mai, en baisse sensible par rapport aux niveaux observés vers la fin de l'année 2010. Retour au texte

    3. Les données du PIB cités ici proviennent du Fonds monétaire international World Economic Outlook base de données. La différence entre les économies de marché émergentes et de pointe est également évidente dans les statistiques sur la production industrielle, qui est peut-être plus directement pertinents à la demande de matières premières. Selon le Bureau néerlandais CPB analyse des politiques économiques, de Mars 2009 à Mars 2010, la production industrielle a augmenté de 26 pour cent dans les économies de marché émergentes et 11 pour cent dans les économies avancées. Retour au texte

    4. Une partie de l'utilisation des produits de base dans les économies de marché émergentes sert comme intrants dans la production des exportations, dont certains sont finalement consommés dans les économies avancées. Retour au texte

    5. Comme le gaz naturel est difficile à transporter à l'étranger, l'accroissement des approvisionnements de gaz naturel en Amérique du Nord ne s'est pas traduite par une baisse des prix de manière significative à l'étranger. Au premier trimestre de 2011, les prix du gaz naturel aux États-Unis étaient moins de la moitié de ceux de l'Allemagne. Retour au texte


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  • Crock
    a répondu
    La lecture faite du discours de l’Oncle Ben hier ne plaide pas pour un QE3 à court terme.

    Qu’en pensez-vous ?

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  • end of trading
    a répondu
    2 avis

    http://www.bloomberg.com/news/2011-06-03/gross-say...

    http://la-chronique-agora.com/quantitative-easing-...





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  • end of trading
    a répondu
    pourquoi ne pas parler d'une ré-appréciation du dollar sur le moyen terme

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  • marchédebois
    a répondu
    Le dollar :
    D'un commun accord nous devrions nous orientés vers la médiocrité à savoir une lente dépréciation de la monnaie d'outre atlantique ce qui permet d'éviter d'affronter les problèmes structurels un certain temps.

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  • marchédebois
    a répondu
    bonjour à toutes et à tous,
    Je vous rappel le lien que Marcus à poster sur la file de l'analyse hebdomadaire faîte par Roque.

    http://rimsave.com/?p=1046

    En résumé, pour ce qui n'auront pas le temps d'écouter philippe Bechade, il part d'un postulat de base que nous connaissons tous à savoir un aflux de liquidité sur les marchés.
    Ceux-ci vont spéculer sur les matières premières argent, or, soja ( ), cacao, pétrole etc ... et vont provoquer de graves troubles sociaux.
    Le printemps arabe en est une conséquence.
    D'après lui la Chine devrait mettre le hola car parallèlement ses réserves de change se déprécient.
    Aujourd'hui elle n'est également plus acheteuse de T-Bonds. Seule la fed pourvoit à ses besoins.
    Maintenant un renchérissement de la vie (pétrole) sera un noeud coulant pour la classe moyenne US. En plus de l'inflation.
    Si la fed augmente ses taux s'est tout le marché de l'immobilier et des subprimes qui reviendrait pour enterrer la croissance.
    Conclusion : pas de hausse des taux, à terme un QE3 et la catastrophe qui s'approche en accélérant.
    Quelle solution ? Revenir sur la répartition de la richesse notamment avec un rééquilibrage capital, employés, actionnaires.

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  • Harissa
    a répondu
    une autre idée interessante .....


    c'est pour cette raison que je vous demande votre avis à ce sujet : QE3 ou pas ?
    .
    Bonjour Pio,

    Question très interessante que celle-ci car c'est le principal thème à avoir en tête jusqu'au mois de juin..... C'est la question phare du moment et je serai de l'avis qu'il n'y aura pas de QE3, du moins pas au mois de juin. Pour moi, les effets du QE2 ne sont pas encore comlètement mesurés, et avant d'injecter à nouveau de l'argent dans l'économie, il faut mesurer ce que les précédentes injections ont eu comme effets, et 6 mois de compilations de chicffres économiques ne suffisent pas pour juger. Le cyvle de l'économie est beaucoup plus long et je m'attends à ce que nous ne parlions pas de QE3 avant le dernier trimestre de cette année. A partir du mois de septembre-ocotobre, la question pourrait se poser à nouveau et comme les autres années, si QE3 il doit y avoir ce ne sera pas avant la fin de l'année, après que nous ayons eu plus de détails sur le 2 avec les chiffres de cet été. Ce serait assez interessant comme timing de le faire en fin d'année ou en 2012, si on prend en compte les élections présidentielles...il faut contenter le lobbye de wall street et je pense bien que Wall street aimerait un Dow Jones à 20.00 points...
    Sans compter que jusque là, les commentaires des membres de la Fed ne vont vraiment pas dans le sens d'un autre QE, bien au contraire, nombreux observateurs disent que le 2 était même une erreur...Je ne pense pas qu'il y aura de QE3, en tout cas pas au terme du 2....

    Je déplace notre discussion à ce sujet dans "Correspondance de traders " où d'autres membres pourront nous rejoindre pour donner leur avis.

    Nadia Compaoré
    Analyste FXCM | Département Recherche
    Email: ncompaore@fxcm.com
    Tel : 0 800 90 95 44

    http://forexforums.dailyfx.com/correspondances-de-...

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  • Harissa
    a répondu
    bonjour

    http://www.romandie.com/news/n/Le_QE2_va_mourir_ma...

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  • HENRYK3
    a répondu
    Citation de : Outlands (au 06-06-2011 10:37:00)

    Très bonne question Crock



    Excellent.
    On aura une réponse Mercredi avec le Beige Book.
    En attendant, place aux spéculations diverses et variées.

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