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    Les investisseurs guetteront au cours de la semaine la publication des minutes de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed).

    Ils scruteront d'abord mardi le discours de la présidente de la banque centrale américaine Janet Yellen, dont le mandat s'achève en février et qui sera remplacée pour les quatre ans à venir par le républicain Jerome Powell.

    Puis "les minutes mercredi (de la dernière réunion du comité de politique monétaire de la Fed, NDLR) vont donner les orientations politiques et un aperçu sur l'économie" américaine, a indiqué Ray Attrill, stratégiste chez National Australia Bank.

    Les investisseurs seront aussi attentifs à la présentation mercredi du budget du gouvernement britannique par son ministre des Finances Philip Hammond, "alors que les préparatifs du Brexit et les négociations se poursuivent", a-t-il ajouté.
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    " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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    • Selon le compte-rendu de la dernière réunion mercredi du Comité de politique monétaire de la Fed, de nombreux membres de ce comité estiment qu'une hausse des taux d'intérêt est "probablement justifiée à court terme", mais certains participants estiment préférable d'attendre que le taux d'inflation soit "clairement" sur la voie des 2% avant de relever les taux. Plusieurs membres s'inquiètent aussi des prix élevés des actions, craignant "une nette chute (...) qui pourrait avoir des effets négatifs sur l'économie", selon le compte-rendu.

      Le billet vert était déjà sous pression depuis que la présidente de la Fed, Janet Yellen, avait mardi soir "averti que relever les taux directeurs trop vite risquerait de maintenir l'inflation sous le niveau cible", a noté Lee Hardman, analyste chez MUFG.

      Le dollar souffrait aussi de l'annonce mercredi d'un recul inattendu des commandes de biens durables en octobre aux États-Unis, ainsi que de la confirmation du repli du moral des ménages américains en novembre.

      L'euro était lui soutenu par l'espoir d'un accord sur la facture à régler par le Royaume-Uni pour son départ de l'Union européenne, tandis que les marchés étaient confiants dans l'issue des tractations en cours en Allemagne pour constituer un gouvernement de coalition autour de la chancelière Angela Merkel.
      de nombreux membres de ce comité estiment qu'une hausse des taux d'intérêt est "probablement justifiée à court terme", mais certains participants estiment préférable d'attendre que le taux d'inflation soit "clairement" sur la voie des 2% avant de relever de nouveau les taux.
      "Le ton plus prudent des minutes montre que la Fed devient plus circonspecte vis-à-vis des perspectives de futures hausses de taux", a expliqué M. Hardman.
      Une hausse des taux de la Fed en décembre, la troisième cette année, est une quasi-certitude: elle est donc déjà intégrée dans les cours.

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      " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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      • Après avoir souffert en début de semaine de l'échec de négociations visant à former un gouvernement de coalition en Allemagne près de deux mois après les élections, l'euro se reprenait nettement vendredi, aidé par des espoirs de voir une solution rapide à la crise.

        La direction du parti social-démocrate allemand s'est dit vendredi désormais ouverte à la discussion pour tenter de sortir le pays de la crise politique actuelle, abandonnant du coup son opposition à toute idée d'alliance avec Angela Merkel.

        Ainsi, "les courtiers sont désormais focalisés sur la capacité ou non d'Angela Merkel à former vendredi un gouvernement de coalition avec le principal parti d'opposition", a observé Konstantinos Anthis, analyste chez ADS Securities.

        La chancelière a déjà échoué une fois à former un gouvernement de coalition "mais les opérateurs de marché sont optimistes, ils pensent que cela va être différent cette fois-ci et que l'Allemagne va éviter de nouvelles élections", a poursuivi M. Anthis.

        Et l'élan haussier de l'euro était renforcé vendredi par la publication d'un nouveau sommet historique en novembre pour le baromètre Ifo du moral des entrepreneurs allemands, à 117,5 points.

        De plus, "l'euro tire parti d'un dollar discret pour gagner du terrain", a observé Ipek Ozkardeskaya, analyste chez London Capital Group.

        En effet, le dollar se trouvait sous pression en cette fin de semaine et depuis la publication mercredi du compte-rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed).

        Le ton de ces minutes a été jugé prudent par les cambistes car certains membres du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) jugent préférable d'attendre que le taux d'inflation soit "clairement" sur la voie des 2% avant de relever de nouveau les taux.

        Pour les investisseurs, une hausse en décembre, la troisième cette année, est une quasi-certitude et elle est donc déjà intégrée dans les cours, mais le rythme des hausses attendues l'année prochaine est incertains en raison principalement de la faiblesse persistante de l'inflation.

        Dans l'ensemble, les observateurs s'attendent à ce que les volumes d'échanges restent faibles vendredi car de nombreux cambistes devraient de nouveau rester absents au lendemain d'un jour férié aux États-Unis pour la célébration de Thanksgiving.
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        " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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        • L'approche de la situation technique des indices nessécite une analyse de fond géopolique et économique

          tout d'abord :

          Michael Flynn, l'éphémère conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, a plaidé coupable vendredi d'avoir menti au FBI dans le cadre de l'enquête sur une possible ingérence russe dans l'élection présidentielle américaine et sur une collusion entre Moscou et l'équipe de campagne de Donald Trump.

          L'ancien général, poussé à la démission en février dernier après avoir dissimulé le contenu de ses discussions avec l'ambassadeur russe à Washington, a promis de "coopérer pleinement" avec les enquêteurs.
          Elle soulève notamment la question de savoir si Jared Kushner, gendre et conseiller spéciale de Donald Trump, a joué un rôle dans les contacts russes de Michael Flynn.
          Elle soulève notamment la question de savoir si Jared Kushner, gendre et conseiller spéciale de Donald Trump, a joué un rôle dans les contacts russes de Michael Flynn.
          Sur les marchés financiers, le rebondissement de l'enquête russe et les informations d'ABC News sur ce que Michael Flynn pourrait dire d'instructions données par Donald Trump ont fait chuter le dollar, ainsi que les rendements obligataires et la Bourse de New York.
          USA-Flynn plaide coupable d'avoir menti au sujet de la Russie
          Le contre point à cette information

          Le Sénat des Etats-Unis a offert une précieuse victoire à Donald Trump en adoptant dans la nuit de vendredi à samedi son projet de réforme des impôts préparé par la majorité républicaine, ouvrant la voie à la mise en oeuvre d'une des promesses de campagne du président républicain.
          La réforme fiscale que Trump projette de mettre en oeuvre est la plus ambitieuse depuis Ronald Reagan en 1986. Son objectif est de réduire le taux d'imposition des entreprises, le faisant passer de 35% à 20%, et des particuliers.

          Les baisses d'impôts représenteraient pour les finances publiques un manque à gagner estimé à 1.400 milliards de dollars sur dix ans. Mais l'administration républicaine estime qu'elles accéléreront la reprise de l'économie américaine et favoriseront les créations d'emplois aux Etats-Unis.

          Cte evénement est lui même contradictoire dans ses effets sur le marché

          La réforme fiscale que Trump projette de mettre en oeuvre est la plus ambitieuse depuis Ronald Reagan en 1986. Son objectif est de réduire le taux d'imposition des entreprises, le faisant passer de 35% à 20%, et des particuliers.

          Les baisses d'impôts représenteraient pour les finances publiques un manque à gagner estimé à 1.400 milliards de dollars sur dix ans. Mais l'administration républicaine estime qu'elles accéléreront la reprise de l'économie américaine et favoriseront les créations d'emplois aux Etats-Unis.
          USA: le projet historique de baisse d'impôts franchit le cap du Sénat

          En quoi ce texte porte -t-il directement les éléments de sa contradiction ?
          1. Qu'en est-il de la légitimité d'un texte voté par le sénat si le président qui l'induit est destitué ?
          2. Le vote au sénat est-il décisif, ou doit-il ensuite être soumis à une autre congrégation ? Dans ce cas les turbulences des marchés seront proportionnelles à l'approche de ces autres échéances
          3. Quels vont être les sensibilité des marchés au déficit publique?
          4. Dans ce cas, il faudra superviser les informations macro économiques liées à ce déficit ( rendement des obligations, coût du travail, tec..

          Le texte voté par le Sénat doit encore faire l'objet d'un accord avec la Chambre des représentants qui avait-elle même voté auparavant sur sa propre proposition.

          De plus des bruits de bottes rythment, ici et là le contexte
          Israël et ses missiles
          Trump-Kim YungYung
          Iran :
          Qassem Soleimani a suggéré que les forces sous son commandement pourraient attaquer les troupes américaines en Irak.

          "Ce que nous lui avons indiqué dans cette lettre est que nous tiendrons l'Iran et lui pour responsables de toute attaque à l'encontre des intérêts américains en Irak effectuée par des troupes placées sous leur contrôle", a dit Mike Pompeo devant la commission.
          Reuters a rapporté en octobre que Qassem Soleimani avait demandé à plusieurs reprises aux responsables kurdes présents dans le nord de l'Irak de se retirer de la ville pétrolière de Kirkouk, sous peine d'une offensive menée conjointement par les forces irakiennes et une milice soutenue par l'Iran.

          Une coalition menée par les Etats-Unis combat l'Etat islamique (Daech) en Irak et en Syrie, et se retrouve souvent à proximité d'une milice soutenue par l'Iran pour combattre Daech dans cette zone.
          L'Iran ne doit pas menacer les intérêts américains en Irak, prévient la CIA

          La Bourse de New York a fini en baisse vendredi, inquiète des informations selon lesquelles Michael Flynn, éphémère conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, pourrait mettre en cause le président américain dans le cadre de l'enquête sur les soupçons d'ingérence russe dans la dernière campagne présidentielle aux Etats-Unis.

          Mais l'espoir de voir le Sénat adopter le projet de réforme fiscale présenté par les républicains ont toutefois permis aux marchés de limiter leurs pertes.

          "On a pris l'habitude de ce genre de drame à la Maison blanche", commente Rob Stein, patron d'Astor Investment Management. "Qu'ils prouvent ou non qu'il y a eu des relations avec la Russie, cela n'aura pas d'effet à long terme sur les valorisations", assure-t-il

          Le volet suivant explore les conditions purement économiques
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          " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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          • 22/11/2017 | 18:13
            Connue comme la 4ème puissance mondiale et 1ère économie d’Europe en termes de PIB, l'économie allemande ne semble pas perturbée par les incertitudes politiques du moment. Les analystes restent optimistes quant à l’évolution de la croissance sur l’ensemble de l’année 2017 (consensus +2.1%), mais s’attendent tout de même à un léger ralentissement en ce qui concerne l’année 2018 (consensus +1.8%). Rappelons à travers ce décryptage, quelles sont les principales forces et faiblesses de cette puissance industrielle européenne et quelles peuvent être les attentes des investisseurs quant aux performances du DAX.....
            Concernant la dette publique du pays, celle-ci ne cesse de reculer. En données annuelles, nous constatons qu’elle ne correspond toujours pas aux critères de convergence du traité de Maastricht de 60% du PIB, mais qu’elle s’en rapproche puisqu’en 2016 elle représentait 68% du PIB. Ces caractéristiques constituent ainsi des points forts pour l’Allemagne, où le chômage a atteint son plus bas niveau depuis la réunification du pays. Cette tendance à la baisse devrait se poursuivre (voir graphique).
            DAX : Dynamique soutenue par un excédent commercial record

            Notons que la force de l'Allemagne crée sa faiblesse; l'exportation ne peut être soutenue qu'à travers un euro pas trop fort
            Marché obligataire

            Le marché obligataire garde son aspect de détente. Les différents emprunts d’Etats affichent des rendements très stables dans un environnement économique et financier serein. Le Bund allemand dégage 0.35% alors que l’OAT revient sous les 0.70%. Les pays du sud de l’Europe connaissent la détente aussi, avec des taux à la baisse pour l’Espagne à 1.44%, le Portugal à 1.88% et l’Italie à 1.72%.
            Aux Etats-Unis, le TBond se stabilise à 2.34% et la Suisse reste le seul pays avec une référence à 10 ans négative (-0.18%).

            Par ailleurs, le billet reste sous pression après le dernier compte-rendu du FOMC, qui souligne la faiblesse de l’inflation américaine. L’euro se négocie ainsi autour de 1.195 USD.
            En outre, la monnaie unique gagne du terrain face au franc suisse à 1.17 CHF et face au yen a 132 JPY.
            Le dernier mois boursier vient de débuter et déjà les premiers bilans peuvent s’établir positivement. Le millésime 2017 restera un grand cru, avec une progression presque linéaire des actions et sans la moindre faille. L’approche de l’échéance annuelle va permettre aux investisseurs de verrouiller leurs gains, ce qui devrait générer théoriquement une fin d’année en roue libre sans grandes accélérations ni dans un sens ni dans l’autre. Les intervenants préfèrent assurer les performances et remettre leurs initiatives à 2018, poussés par un climat économique encourageant sur presque la totalité des pays développés.
            Le point hebdo de l'investisseur : En roue libre


            Les marchés ont été rassurés par les déclarations du chef de la majorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell, qui a assuré disposer "des voix nécessaires".

            Ces informations ont aussi fait chuter les rendements obligataires américains et le dollar, mais les dernières nouvelles sur le vote attendu des sénateurs aux Etats-Unis sur un projet de réforme fiscale ont permis d'atténuer le repli.

            Le billet vert a cédé 0,17% face à un panier de devises de référence.

            Le rendement des Treasuries à 10 ans, a baissé à 2,3633%, après avoir atteint 2,415% jeudi. Il était tombé auparavant jusqu'à 2,315%.
            Rappelons que les rendements risquent d'être le maillon faible de la politique accommodante du Sénat US.

            Examen de cette loi au niveau impact économique

            Ardent promoteur du texte, le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin a fait récemment valoir une lettre de neuf économistes affirmant que la première réforme des impôts depuis trente ans va augmenter la croissance de 0,3% par an sur dix ans.

            Mais selon une étude de l'Université de Chicago auprès de 38 économistes, une écrasante majorité doutent que cela dope l'expansion économique et quasiment tous craignent un gonflement majeur de la dette du pays.

            car en tenant compte des déductions offertes aux entreprises, le taux d'imposition "effectif" aux Etats-Unis avant la réforme est déjà plus proche de 21%, selon d'autres économistes.

            Autre encouragement aux entreprises: les sociétés en nom propre, qui constituent la moitié des revenus des corporations dans le pays et 90% des petites entreprises, vont aussi bénéficier d'une forte réduction de leurs taxes.

            Enfin, les multinationales seront invitées à rapatrier aux Etats-Unis leurs bénéfices détenus à l'étranger à un taux préférentiel.

            "Tout cela sont des incitations à innover, investir et à le faire aux Etats-Unis", résume M. Holtz-Eakin de l'American Action Forum, assurant que ces dépenses en capital vont dynamiser la productivité, clé de la croissance.

            Le patron de Goldman Sachs, Lloyd Blankfein a exprimé des doutes récemment: "je ne peux pas dire que ce soit le moment où vous voulez déployer ce gros stimulus sur le marché alors qu'on tourne quasiment à plein emploi" et que le PIB affiche plus de 3% de croissance.

            Mais pour M. Holtz-Eakin, "vu l'état de compétitivité de l'économie américaine, il est dangereux d'attendre".



            On le voit, les décisionnaires économiques sont très partagés

            USA: la réforme des impôts, un cadeau aux entreprises | Zone bourse



            APPLE, conflit
            GE -2.9% sur automobiles
            Sur le front pétrolier, les cours du pétrole ont continué leur progression entamée la veille, toujours portés par l'annonce jeudi de la prolongation de l'accord entre l'Opep et la Russie sur l'encadrement de leur production.



            Pour l'instant, de fortes turbulences semblent de mise.
            Difficile de prévoir la réaction des marchés, exceptée une forte volatilité, étant donné les enjeuc contradictoires;
            Le retret aux US des richesses US ne poura plus servir de locomotive aux marchész Europe, mais la réactivité emotionnelle peut jouer à plein


            La crainte de passer à côté d'une hausse apparemment inexorable du marché d'actions reste manifestement plus forte à Wall Street que les inquiétudes suscitées par les aléas politiques à Washington à l'entame d'un mois de décembre à enjeux au Congrès américain.

            et il leur faut désormais s'entendre avec leurs homologues de la Chambre des représentants

            Face à ces risques politiques, les investisseurs restent globalement de marbre.

            "Pour le moment, le marché présume que l'ensemble du puzzle va se mettre en place, mais il manque encore beaucoup de pièces", dit Phil Orlando, responsable de la stratégie sur les marchés d'actions chez Federated Investors à New York
            Si Donald Trump s'est réjoui samedi des avancées sur les baisses d'impôts, il prévenait quatre jours plus tôt sur Twitter qu'il ne s'attendait pas à un accord sur le relèvement du plafond de la dette d'ici le 8 décembre. La Maison blanche a tenté de rectifier le tir le lendemain en disant ne pas croire à une telle issue.


            La menace d'une paralysie partielle de l'Etat fédéral ("shutdown") devrait normalement amener les gérants de fonds à transformer davantage d'actifs en liquidités. L'indice de référence des investisseurs, le S&P-500, a ainsi reculé de 2,6% sur les huit séances ayant précédé le dernier "shutdown" en 2013 et il a perdu en moyenne 0,6% durant ces différentes périodes passées de fermeture des agences fédérales, selon LPL Financial.

            Les inquiétudes sur le plafond de la dette devraient cependant être mises de côté jusqu'en 2018, le Trésor américain étant susceptible de prendre des mesures techniques pour continuer à financer le fonctionnement de l'Etat fédéral dans l'attente d'une initiative du Congrès.


            et la conclusion nous est donnée par les analystes

            Phil Orlando, de Federated Investors, dit avoir bien conscience de tous ces risques et pourtant, il ne se retire pas complètement du marché, en grand partie parce que les bénéfices des entreprises ne cessent de gonfler et que, à ses yeux, ils continueront à le faire même sans baisses d'impôts.
            En cas d'échec de la réforme fiscale, Phil Orlando voit le S&P-500 perdre jusqu'à 10%. Dans ce cas, il sera acheteur car il s'attend à voir l'indice de référence atteindre les 3.000 points d'ici 18 mois.
            Brian Peery, gérant de portefeuilles chez Hennessy Funds, partage cette vision. Un "shutdown" ou un échec de la réforme fiscale provoqueront un brusque mouvement de ventes mais l'amélioration de la confiance du consommateur américain va au bout du compte porter le marché encore plus haut dans l'année à venir, pense-t-il.

            "Si j'envisage une correction de 10%, je suis acheteur", dit-il.
            Bourse de Wall Street : À Wall Street, les investisseurs ignorent le risque politique pour rester sur la vague
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            • Gare aux prises de bénéfices | Zone bourse

              yellen et son non hausse si inflation trop faible
              les investisseurs privés piégés dans la hausse
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              • poussée du petrole à attendre, avec accord sur LT

                A/R entre les chambres pour la réduction d'impôts, çà chipotte sur 2%

                Le spectre d'une fermeture des administrations fédérales plane également sur le marché.
                Le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin a toutefois averti le Congrès qu'à partir de vendredi le Trésor userait de mesures comptables exceptionnelles pour rester sous le plafond de la dette. Cela pourrait laisser une marge de plusieurs mois avant que les services administratifs ne soient obligés de fermer faute de financement.

                Les investisseurs attendent aussi la diffusion vendredi du rapport mensuel officiel sur le marché du travail américain, toujours scruté de près car il est considéré comme une jauge importante de la santé de l'économie du pays.

                Les chiffres diffusés jeudi sur l'emploi étaient à cet égard plutôt encourageants: les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis ont très légèrement baissé, contredisant les prévisions des analystes.
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                • Doit-on s'inquiéter des «Baleines», ces 1 000 investisseurs qui possèdent 40% des bitcoins? | Slate.fr

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                  • European Central Bank president Mario Draghi in Focus

                    The European Central Bank delivers its decision on monetary policy on Thursday and is widely expected to leave interest rates unchanged. Investors also expected to carefully monitor a possible update from the ECB on its plans for its quantitative easing programme in 2018.

                    The ECB’s monetary policy decision will be accompanying by an appearance from ECB president Mario Draghi in a press conference at 08:30ET.
                    op-Tier US Economic Data on Tap

                    Market participants look ahead to the release of a duo of economic reports on initial jobless claims and retail sales due Thursday, for signs of continued growth in the U.S. economy following the Federal Reserve’s decision to hike rates on Wednesday.
                    WASHINGTON (Reuters) - The Federal Reserve raised interest rates by a quarter of a percentage point on Wednesday, as anticipated, but left its rate outlook for the coming years unchanged even as policymakers projected a short-term acceleration in U.S. economic growth.
                    "Economic activity has been rising at a solid rate ... job gains have been solid," the federal funds rate had been lifted to a target range of 1.25 percent to 1.50 percent.


                    Officials acknowledged in their latest forecasts that the economy had gained steam in 2017 by raising their economic growth forecasts and lowering the expected unemployment rate for the coming years.

                    Gross domestic product is expected to grow 2.5 percent in 2018, up from the 2.1 percent forecast in September, while the unemployment rate is seen falling to 3.9 percent next year, compared to 4.1 percent in the last set of projections.

                    But inflation is projected to remain shy of the Fed's 2 percent goal for another year, with weakness on that front remaining enough of a concern that policymakers saw no reason to accelerate the expected pace of rate increases.

                    That means that the Trump administration's tax overhaul, if passed by Congress, would take effect without the central bank having flagged any likely response in the form of higher rates or concerns of a jump in inflation.

                    Policymakers do see the federal funds rate rising to 3.1 percent in 2020, That indicates possible concerns about a rise in inflation pressures over time.

                    As it stands, inflation is expected to remain below the Fed's target in the near term and is being monitored "closely" by policymakers.


                    The Fed also said that, as of January, it would raise the amount of Treasury bonds and mortgage-backed securities that it would not reinvest on a monthly basis to $12 billion and $8 billion, respectively. .
                    ..


                    and maintained its forecast for additional rate hikes in 2018.

                    The "dot plot," part of the FOMC's Summary of Economic Projections, indicated that the central bank saw rates rising to between 2% and 2.25% by the end of the 2018, despite concerns over inflation.
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                    • Les négociateurs républicains au Congrès des Etats-Unis ont mis la touche finale à la réforme fiscale voulue par Donald Trump et en publieront les détails vendredi.

                      Une disposition en faveur des ménages ayant des enfants a notamment été modifiée, permettant d'emporter le soutien de deux sénateurs républicains sceptiques, Marco Rubio et Bob Corker.

                      La réforme, qui propose d'abaisser le taux d'imposition des entreprises de 35 à 21%, devrait être votée à la Chambre et au Sénat la semaine prochaine. Le président américain souhaite que le texte puisse être promulgué avant Noël.

                      "Les investisseurs pensent que la réforme fiscale se fera. Je ne pense pas que les Républicains vont laisser le projet de côté, ils ont parcouru du chemin", relève Brent Schutte, responsable de la stratégie d'investissements chez Northwestern Mutual Wealth Management.

                      "La réforme fiscale fait bouger le marché à court terme, mais les fondamentaux, qui sous-tendent le marché, même sans réforme fiscale" donnent confiance aux investisseurs", ajoute-t-il.
                      LE DOLLAR EN HAUSSE

                      Sur le marché des changes, le dollar a profité du regain d'espoir sur le vote de la réforme fiscale ainsi que de débouclages de positions après les réunions de politique monétaire des derniers jours et avant les congés de fin d'année.


                      Hélas, il prévoit au passage de taxer de 20 % les importations d'entreprises étrangères qui vendent aux États-Unis via leurs filiales américaines. Un produit made in France vendu outre Atlantique pourrait se voir doublement taxé. Désarmement fiscal et protectionnisme rampant : Trump peut-il déclencher une guéguerre fiscale entre Européens inquiets pour leurs activités et leurs emplois ? Sueurs froides sur le Vieux continent. Paris et Bruxelles jurent de veiller au grain. L'arme fiscale au pied.
                      © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/debats/impots-trump-inquiete-l-europe-14-12-2017-11779126.php#LCV3X62x7FMYC7kG.99
                      Timing and conviction preparedness is everything
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                      " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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                      • Les Bourses européennes sont en légère baisse à mi-séance mercredi, tandis que les rendements des emprunts d'Etat poursuivent leur remontée et que le dollar marque une pause, l'adoption quasi définitive de la réforme fiscale américaine contribuant surtout à relancer les interrogations quant à son impact sur la dette et le déficit public aux Etats-Unis.

                        Or la Maison blanche est censée parvenir d'ici vendredi à un accord avec le Congrès sur le budget pour éviter un "shutdown", c'est à dire une fermeture des administrations fédérales faute de financement, de quoi inquiéter les investisseurs.

                        "Il paraît raisonnable de considérer que le texte, qui fait la part plus 'belle' que prévu à la relance en début de période, va se traduire par un creusement notable du déficit budgétaire fédéral", explique Hervé Goulletquer, de LBPAM.

                        "Il était de 3,5% du PIB pour l'année fiscale 2017. Il ne devait guère varier au cours de l'exercice suivant. Et voilà qu'on doit l'estimer maintenant à plus de 4%. Sans doute devrait-on aussi s'interroger sur les implications du nouveau réglage budgétaire en matière de croissance, d'inflation et de politique monétaire."

                        Première conséquence visible de ces interrogations: sur le marché des emprunts d'Etat américains, le rendement à dix ans évolue à plus de 2,45%, au plus haut depuis fin octobre; il a pris plus de 10 points de base en moins d'une semaine.

                        Et le mouvement est au moins aussi net dans la zone euro: le rendement du Bund allemand à dix ans a touché un pic de trois semaines à 0,4%. Comme mardi, il profite également de l'annonce par l'Allemagne d'une augmentation de ses émissions de dette en 2018 et des déclarations de plusieurs responsables de la Banque centrale européenne (BCE) sur la nécessité d'entamer rapidement le débat sur la remontée à venir des taux d'intérêt.

                        Sur le marché des changes, ce contexte permet à l'euro de se maintenir à plus de 1,1840 dollar, alors que le billet vert ne profite pas du vote des sénateurs américains.
                        Sur les marchés actions, la remontée des rendements obligataires nuit aux secteurs généralement recherchés pour leurs rendements, comme les télécommunications (-0,73%), l'immobilier (-0,63%) ou les services aux collectivités ("utilities") (-0,40%).
                        à surveiller donc les rendements d'état !!
                        et on retourne à la case départ de l'après 2008
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                        • L’imprévisible président des Etats-Unis verra son pouvoir se solidifier avec cette baisse des impôts (entreprises et ménages) car elle impacte fortement, de par sa résonnance, la population. D.Trump touche au portefeuille des américains, favorisant par conséquent sa popularité, voire sa légitimité.

                          La réforme fiscale engendre de la confiance. Cette dernière constitue l’élément de base pour les politiques d’investissements des entreprises, elle intervient comme une addition à la reflation américaine. Le gouvernement prend la place de l’institution monétaire, la FED, longtemps pourvoyeur de liquidité afin de favoriser la reprise économique et la relance de l’inflation. Certains observateurs craignaient le risque de surchauffe car la nouvelle politique fiscale intervient en fin de cycle. Néanmoins, ce risque ne s’affirme pas totalement car la croissance actuelle reste raisonnable. Les reprises américaines dans le passé, c’était plutôt entre 4 et 5% de croissance alors que la richesse américaine ne progresse actuellement que de 2 à 2.5%, soit à un rythme beaucoup plus modéré.

                          La situation financière des entreprises américaines s’améliorerait encore, ces dernières possèdent déjà des liquidités massives. Ce cash sert principalement au rachat d’actions, véritable coutume dans le pays. Cette stratégie bonifie les multiples de valorisation mais permet aussi de compenser les émissions importantes de stocks options.
                          Elle aura donc un impact sur les résultats nets des entreprises, ce qui automatiquement valorise le cours des actions de ces dernières. Le S&P500 a engrangé plus de 26% depuis l’élection de Donald Trump. La question, bien entendu, réside dans le fait de savoir si cette avancée fiscale est totalement intégrée dans les cours ou que partiellement, et si elle n’arrive pas au bout d’un cycle économique.
                          La fin d’un cycle long se définit, la majorité du temps, par des excès sur les salaires, dans l’investissement et dans les stocks. Le tableau de bord de l’économie outre-Atlantique ne met en relief une telle situation excessive.
                          La politique fiscale américaine : prend le relai de la politique monétaire de la FED

                          Alors qu’elle a, comme attendu, relevé son taux directeur pour la troisième fois en 2017, la banque centrale américaine n’a pas voté cette décision à l’unanimité. Deux des neufs membres votants du comité ont effet exprimé des doutes plus prononcés quant à la trajectoire de la hausse des prix, sujet à débat parmi les argentiers de la Réserve Fédérale. Si l’institution a confirmé ses projections pour les années suivantes, soit 3 hausses de taux en 2018, 2 en 2019 et 2 en 2020, les marchés temporisent, sceptique sur la capacité de la FED à tenir un tel rythme.


                          Du côté de Francfort, Mario Draghi a répété que l’assouplissement quantitatif de la BCE pourrait être prolongé voire augmenté au-delà de septembre prochain si nécessaire, signe que le principal taux directeur, qui stagne à 0 depuis septembre 2014, n’est pas prêt de décoller. Bien que légèrement plus optimiste dans ses prévisions, le Conseil des gouverneurs ne voit toujours pas l’inflation rejoindre sa cible de 2% d’ici 2020, une ligne plus prudente que les anticipations du marché.
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                          " Nous nous entraînons durant des milliers d'années, mais la victoire ou la défaite survient en un instant "

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                          • Eurus essentiels decembre 2017

                            warning article important
                            "Une baisse importante des impôts est généralement considérée comme un élément positif pour le dollar car elle peut mener à une augmentation des dépenses et des investissements, à une inflation plus importantes et in fine à une normalisation plus rapide que prévu par la banque centrale américaine de sa politique monétaire", a souligné Omer Esiner, de Commonwealth Foreign Exchange.

                            La loi adoptée mercredi, la première grande réforme du mandat de Donald Trump, "arrive cependant à un moment du cycle économique où les entreprises américaines disposent déjà de liquidités importantes et fait peu pour les inciter à investir ou à engager de nouveaux salariés plutôt qu'à racheter leurs propres actions ou à payer plus de dividendes", a-t-il souligné.

                            "Aussi l'impact à moyen et long terme de cette réforme sur l'économie et sur le dollar fait encore débat", a estimé M. Esiner.
                            "Une baisse importante des impôts est généralement considérée comme un élément positif pour le dollar car elle peut mener à une augmentation des dépenses et des investissements, à une inflation plus importantes et in fine à une normalisation plus rapide que prévu par la banque centrale américaine de sa politique monétaire", a souligné Omer Esiner, de Commonwealth Foreign Exchange.

                            La loi adoptée mercredi, la première grande réforme du mandat de Donald Trump, "arrive cependant à un moment du cycle économique où les entreprises américaines disposent déjà de liquidités importantes et fait peu pour les inciter à investir ou à engager de nouveaux salariés plutôt qu'à racheter leurs propres actions ou à payer plus de dividendes", a-t-il souligné.
                            D'où confère article d'hier sur manie de tt réinvestir en actions ; même pb qu'au moment du quantitative easing. On voudrait ruiner complètement et totalement l'économie des US, onj ne s'y prendrait pas autrement.
                            Il faudra alors surveiller stocks, Wall mart, salaire, emplois
                            "Aussi l'impact à moyen et long terme de cette réforme sur l'économie et sur le dollar fait encore débat", a estimé M. Esiner.

                            Dans ce contexte, "avec des attentes d'un impact faible de la réforme fiscale sur l'économie américaine, les catalyseurs clef pour les mouvements du dollar en début d'année prochaine vont être les projets monétaires de la Fed (Réserve fédérale américaine)", a estimé Konstantinos Anthis, analyste chez ADS Securities.


                            L'euro de son côté profitait, selon M. Esiner, de la décision du Trésor allemand d'émettre davantage d'obligations à 30 ans en 2018 que cette année.

                            Cette perspective a fait monter les taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne et entraîné dans son sillage l'ensemble des taux d'emprunt en zone euro, "rendant du coup moins attractives les devises liées à des taux plus faibles comme le yen et le franc suisse", a-t-il indiqué.
                            D'où l'énorme décolération entre mvt USDJPY et EURUS
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                            • Les informations de fin de hausse commencent à arriver.
                              D'abord une configuration graphique sur le DJ, et maintenant les informations fondamentales

                              Les investisseurs ont salué l'adoption de la réforme fiscale américaine à l'approche de la fin de l'année par des prises de bénéfices toutes classes d'actifs confondues, montrent des données sur les flux de souscription dans les fonds d'investissement collectif sur la semaine au 20 décembre publiées par Bank of America Merrill Lynch Global Research.
                              Les fonds dédiés aux actions américaines ont subi des rachats à hauteur de 17,5 milliards de dollars, le montant le plus élevé depuis août 2014, selon BAML, qui reprend des chiffres d'EPFR Global, société de recherche spécialisée dans le suivi des flux de souscription des grandes sociétés internationales de gestion.

                              Les fonds spécialisés sur les valeurs européennes ont connu une troisième semaine consécutive de dégagements, pour la première fois depuis octobre 2016, à hauteur de 800 millions de dollars sur la semaine.

                              Seuls les fonds investis en actions japonaises et ceux en actions émergentes ont bénéficié d'entrées nettes pour un milliard de dollars et 1,4 milliard de dollars respectivement.

                              Les fonds obligataires ont enregistré leur premières sorties nettes en un an avec 3,2 milliards de dollars de rachats en raison de dégagements massifs sur les fonds en obligations à haut rendement (-5,3 milliards de dollars), qui connaissent ainsi une huitième semaine consécutive de rachats.

                              Les fonds spécialisés sur les métaux précieux, l'or principalement, ont subi des sorties nettes à hauteur de 400 millions de dollars.
                              Par contre si l'argent sort également des actifs refuges, s'apprête-t-il à entrer dans les fonds obligataires LT ?

                              possibilités :
                              • ou l'argent s'apprête ( enfin, mais n'y croyons pas trop non plus ) à entrer dans l'économie réelle
                              • ou il va vers des bonds LT ( à surveiller l'évolution de ces obligations )
                              • ou il va servir dans des arbitrages de fin d'année


                              1. CAS 1 : baisse attendue des actifs, mais dans un contexte de prise de bénéfice, avec regard des investisseurs sur l'écho de l'économie
                              2. CAS 2 : baisse forte des indices, et même assez durable
                              3. CAS 3 : pas vraiment de baisse, mais un stock picking devient de rigueur. Un reflux devrait toutefois être attendu dans ces conditions
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