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  • Envoyé par Ducos Voir le message

    Techniquement, les 25200 sont en ligne de mire ( en même temps on y presque)... en dessous, il y a un trou de 300 points...
    Mais je pense que sous les 25200 la glissade pourrait être un peu plus violente...
    Retournement baissier MT?Il va falloir encore patienter.
    Dur de retourner un mkt aussi haussier pendant des mois.

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    • Envoyé par arnaud11 Voir le message

      Retournement baissier MT?Il va falloir encore patienter.
      Dur de retourner un mkt aussi haussier pendant des mois.
      Oui c' est vrai mais, ça appuie pas mal donc on verra arriver sur les 25200 ( c'est le niveau d' inversion)...
      En dessous c' est attention à la marche...
      "Évitez les gens négatifs, ils ont toujours un problème pour chaque solution."

      Albert Einstein.

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      • Comme dab le Héros Grec de cette file (désolé phg ) écrit en éco visionnaire
        Varoufakis: Once again, Greece is the canary in the goldmine

        There is clear danger that, once again, Greece is foreshadowing a new phase of the global economic crisis

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        Varoufakis: Once again, Greece is the canary in the goldmine

        There is clear danger that, once again, Greece is foreshadowing a new phase of the global economic crisis


        The Temple of Olympian Zeus, in Athens Getty Images







        By Yanis Varoufakis

        May 23, 2019 Updated: 2:29 p.m. GMT


        The eurozone country that has become synonymous with insolvency is today proving to be a treasure trove for some. Traders who bought Greek assets a few years ago have good reason to celebrate, having banked returns that no other market could have provided.
        But, as is often the case, an opportunity that seems too good to be true probably is. And this one could portend the next phase of our global crisis.
        An investor who bought German government bonds in 2013 has, by now, gained a 7% return, whereas a buyer of a Greek government bond issued at the height of the country’s debt crisis in 2012 would have earned a colossal 231% return.
        Two months ago, the price of the first 10-year bond issued since Greece’s bailout in 2010 surged for seven consecutive days, rising by 2.8% in a week — a better performance than any other government bond issue worldwide. That bond rally created a psychological slipstream, which, in recent months, pulled the Athens Stock Exchange 26% higher, against the background of a European asset market inexorably bleeding capital.
        On the strength of these impressive numbers, it is as tempting as it would be false to herald the end of Greece’s crisis. The Greek bond and equity rally is obscuring a growing chasm between a gloomy economic reality and an unsustainably buoyant financial climate.
        Rather than reflecting Greece’s recovery, the traders’ high profit margins mirror continued deflationary pressures and fragmentation in Europe within a global environment of decreasing debt sustainability. The numbers from Greece, so exciting to investors far and wide, may well prove a harbinger of fresh troubles for Europe’s economy, and perhaps for the world.
        READ Brexit damage ‘irreversible’ for London says former EC chair Barroso
        Given the gaping gap between Greece’s nominal national income and its public debt, how is it possible that Greek bonds are soaring? Why is the Athens Stock Exchange rising while business remains hampered by punitive taxation, banks labour under a mountain of non-performing loans, declining unemployment reflects only emigration and some precarious jobs, net public investment is negative, and private investment in production of high value-added tradable goods is absent?
        One reason is the proverbial dead-cat bounce. Given how thin Greece’s equity market is — total capitalisation is €52bn ($58bn) — the modest influx of capital that came in the wake of the bond rally was enough to drive the 26% rise in its index. But, despite this surge, the Greek market remains 81% below its 2009 level.
        As for the bond rally itself, the paradox quickly disappears once we recall how the first two bailouts shifted Greek public debt from the private sector to the shoulders of Europe’s taxpayers.
        With 85% of Greece’s debt outside the markets, repayments deferred until after 2032, and another €30bn of official loans extended to the Greek government to cover its repayments to all comers, investors can focus on the small slice of Greece debt that remains in private hands.
        As long as the Greek government is subservient to Europe’s authorities, traders cannot lose money on bonds it issues at interest rates of more than 3%, at a time when German Bund yields are hovering near zero.
        Determined to remain upbeat, most commentators point out, for example, that average Greek debt maturity is 26 years, in sharp contrast to seven years for Italy and Spain or 10 years for Portugal, giving Greece’s economy the chance to recover properly.
        What they neglect to mention are the impossible austerity conditions that Greece’s creditors attached to that extension: a permanent primary budget surplus (excluding debt repayment) of 2.2%-3.5% of GDP until 2060. In other words, Greek businesses will have to continue paying 75% of their profits to the government (including social security contributions), on average, while the total tax burden in neighbouring Bulgaria is no more than 22%.
        In short, Greece has gone from being ground zero of the eurozone crisis, and the best example of its mismanagement by the EU authorities, to a perfect example of how financial exuberance can ride on the back of economic misery. This disparity’s most worrying aspect is that profit-driven traders are not wrong to snap up the paper assets of a sinking country.






        Extraits trad Mak :

        Le pays de la zone euro devenu synonyme d'insolvabilité s'avère aujourd'hui être une pépite pour certains. Les traders qui ont acheté des actifs grecs il y a quelques années ont de bonnes raisons de se réjouir, ayant accumulé des rendements qu'aucun autre marché n'aurait pu fournir.

        Mais, comme souvent le cas, une opportunité qui semble trop belle pour être vraie l'est probablement. Et celle-ci pourrait annoncer la prochaine phase de notre crise mondiale.

        Un investisseur qui a acheté des obligations d'État allemandes en 2013 a, à ce jour, obtenu un rendement de 7 %, alors qu'un acheteur d'une obligation d'État grecque émise au plus fort de la crise de la dette du pays en 2012 aurait obtenu un rendement colossal de 231 %.

        Il y a deux mois, le prix de la première obligation à 10 ans émise depuis le renflouement de la Grèce en 2010 a bondi pendant sept jours consécutifs, augmentant de 2,8 % en une semaine - une performance supérieure à celle de toute autre émission d'obligations gouvernementales dans le monde. Ce rallye obligataire a créé un saut psychologique qui, ces derniers mois, a fait grimper la Bourse d'Athènes de 26 %, dans le contexte d'un marché européen des actifs qui saigne inexorablement le capital.

        Sur la base de ces chiffres impressionnants, il est aussi tentant que faux d'annoncer la fin de la crise grecque. Le rallye obligataire et boursier occulte un gouffre croissant entre une réalité économique morose et un climat financier exubérant insoutenable.

        Compte tenu de l'écart important entre le revenu national nominal de la Grèce et sa dette publique, comment est-il possible que les obligations grecques montent en flèche ? Pourquoi la Bourse d'Athènes est-elle en hausse alors que les affaires restent soumises à des impôts punitifs que les banques plient sousune montagne de prêts non productifs, que la baisse du chômage ne reflète que l'émigration et certains emplois précaires, que les investissements publics nets sont négatifs et que les investissements privés dans la production de biens à forte valeur ajoutée sont absents ?...

        L'une des raisons est le rebond proverbial du chat mort. Compte tenu de l'étroitesse du marché des actions grec - la capitalisation totale s'élève à 52 milliards d'euros (58 milliards de dollars) - l'afflux modeste de capitaux qui a suivi le rallye obligataire a suffi à alimenter la hausse de 26 % de l'indice. Mais, malgré ce rallye, le marché grec reste inférieur de 81% à son niveau de 2009....

        Quant au rallye des obligations lui-même, le paradoxe disparaît rapidement lorsque l'on se rappelle comment les deux premiers renflouements ont fait passer la dette publique grecque du secteur privé aux épaules des contribuables européens.

        Avec 85% de la dette grecque hors marchés, des remboursements différés jusqu'après 2032 et 30 milliards d'euros supplémentaires de prêts officiels accordés au gouvernement grec pour couvrir ses remboursements à tous les nouveaux venus, les investisseurs peuvent se concentrer sur la petite tranche de la dette grecque qui reste entre les mains du secteur privé.

        Tant que le gouvernement grec est soumis aux autorités européennes, les opérateurs ne peuvent pas perdre de l'argent sur les obligations qu'il émet à des taux d'intérêt supérieurs à 3 %, à un moment où les rendements du Bund allemand oscillent autour de zéro.

        Résolus à rester optimistes, la plupart des commentateurs soulignent, par exemple, que la maturité moyenne de la dette grecque est de 26 ans, contre 7 ans pour l'Italie et l'Espagne ou 10 ans pour le Portugal, ce qui donne à l'économie grecque la possibilité de se redresser correctement.

        Ce qu'ils omettent de mentionner, ce sont les conditions d'austérité impossibles que les créanciers grecs ont attachées à cette extension : un excédent budgétaire primaire permanent (hors remboursement de la dette) de 2,2%-3,5% du PIB d'ici 2060. En d'autres termes, les entreprises grecques devront continuer à verser 75% de leurs bénéfices au gouvernement (y compris les cotisations de sécurité sociale), en moyenne, alors que la charge fiscale totale en Bulgarie voisine ne dépasse pas 22%.

        Bref, la Grèce est passée du point zéro de la crise de la zone euro, et du meilleur exemple de sa mauvaise gestion par les autorités de l'UE, à un exemple parfait de la façon dont l'exubérance financière peut se gaver sur la misère économique. Les traders avides auraient tort de ne pas profiter de ces distorsions, et se goinfrent d'actifs papier d'un pays en voie de sombrer.



        Ne travaillez Jamais, ne travailler Jamais, never work,arbeiten Sie nie

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        • Si VAROUF savait qu'il y a des gauchistes traders qui se permettent en plus de le citer sur les forums....

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              • rendez vs 4885


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                • bx4


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                  • dow


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                    • Au fou!


                      WASHINGTON, 23 mai (Reuters) - Donald Trump a assuré jeudi ne pas avoir perdu l'espoir de parvenir à un accord commercial avec la Chine et s'est dit convaincu de sa conclusion rapide.

                      "Si tel est le cas, tant mieux, sinon tant pis", a-t-il toutefois ajouté, répétant qu'il rencontrerait son homologue Xi Jinping lors du G20 qui se déroulera fin juin à Osaka.







                      Donald Trump a, pour la première fois jeudi, mêlé Huawei --une entreprise chinoise qu'il accuse de menacer la sécurité des Etats-Unis-- et les négociations pour mettre fin à la guerre commerciale avec Pékin.

                      Le numéro deux mondial des smartphones est "très dangereux. Quand vous regardez ce qu'ils ont fait d'un point de vue de la sécurité, d'un point de vue militaire. Très dangereux. Mais il est possible que Huawei soit inclus dans un accord commercial. Si on a un accord, je vois bien Huawei inclus d'une manière ou d'une autre", a dit le président américain au cours d'une conférence de presse très décousue.

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                      • je crois que c'est trump qui est dangereux pour la sécurité mondiale....

                        bonjour

                        fce ut 1
                        faible
                        les mots du jour : digestion ,rumination (ça existe?)


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                        • le long de 9h
                          ratio à posteriori 4 (2,5 contre 10 )


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                          • courses , Arnaud tu prends le relais ?
                            bonne matinée



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                            • Envoyé par phg Voir le message
                              courses , Arnaud tu prends le relais ?
                              bonne matinée



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                              Pour les courses?

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                              • en mode contrarien ...

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