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    Le 23 juillet 2017

    Bourse de Wall Street : A Wall Street, turbulences en vue pour les small caps

    Des prévisions en baisse et un contexte économique défavorable pourraient bien signer la fin de la hausse des petites valeurs, portées à des niveaux record à Wall Street.


    Les small caps, qui ont alimenté le rally boursier juste après l'élection de Donald Trump à la présidence américaine le 8 novembre, sont désormais confrontées à des prévisions de résultats en baisse, une réforme fiscale au point mort et des fonds d'investissement moins généreux.

    "Là, il y a un risque de baisse. Les performances ne sont pas bonnes et les valorisations sont (...) assez élevées", explique Steven DeSanctis, de chez Jefferies.

    Les investisseurs avaient pensé que l'administration de Donald Trump, qui a promis des réductions d'impôts agressives et une solide reprise de l'économie, serait un bénédiction pour les petites entreprises, généralement plus tournées vers le marché intérieur.

    A ce stade, les Républicains ont été incapables d'abroger le système de santé Obamacare et de le remplacer par un projet de substitution, ce qui était pourtant l'une des priorités de Donald Trump. Cette incapacité a fait naître les doutes sur la probabilité d'une réforme fiscale cette année.

    Le taux d'imposition effectif des small caps est d'environ 32%, contre 26% pour les grandes entreprises, montre une note de Nuveen Asset Management.



    À LA TRAÎNE DU S&P-500

    Les performances du Russell 2000, indice de référence pour les small caps et celles de l'indice S&P 600, sont à la traîne de celles des grandes valeurs depuis le début de l'année, mais le Russell 2000 a gagné 20,3% depuis l'élection présidentielle, contre une progression de 15,3% pour le S&P-500.

    Les trois indices ont enregistré des niveaux record ces derniers jours, juste quand la saison des résultats démarrait.

    Selon le consensus Thomson Reuters, les bénéfices des entreprises du S&P-600 devraient afficher une baisse de 8,3% au deuxième trimestre, les analystes anticipant des résultats en recul pour les secteurs des biens discrétionnaires, de l'énergie et de la santé. Leur chiffre d'affaires, lui, devrait avoir légèrement progressé.

    La faiblesse de la demande en matière d'habillement, de produits de luxe et autres produits de détail devrait avoir pesé sur les résultats, estime David Aurelio, analyste chez Thomson Reuters.

    Dans le secteur de l'énergie, des services et équipements pour professionnels, les petites entreprises continuent à souffrir de la réduction des projets des grands groupes.

    Cette prévision de bénéfices pour les petites valeurs contrastent avec celle d'une croissance solide pour les sociétés du S&P-500 et une forte hausse en rythme annualisé des résultats pour les grandes valeurs de l'énergie.

    "La croissance des bénéfices des small caps s'est inscrite dans le sillage des grandes valeurs ces quatre dernières années, et cela continue à être le cas au premier semestre de cette année", dit Dan Suzuki, de chez Bank of America Merrill Lynch.

    Ce n'est pas de bon augure pour les estimations de valorisations des petites valeurs, que la banque qualifie de "compartiment le plus cher d'un marché cher".

    Le Russell 2000 se paie 26 fois les bénéfices attendus, contre 17,3 fois pour le S&P-500.



    RETRAITS DANS LES FONDS SPÉCIALISÉS

    Si certains analystes tablent sur un rebond des bénéfices des petites valeurs au second semestre, certains stratégistes pensent, eux, que ces prévisions optimistes ne se réaliseront probablement pas avec une économie américaine qui marque le pas.

    Les grands groupes ont profité de la récente faiblesse du dollar qui gonfle leurs bénéfices réalisés dans des devises étrangères une fois convertis en dollars.

    "Cela peut peut-être expliquer pourquoi les prévisions de bénéfices des moyennes et grandes valeurs ont récemment été revues en plus forte hausse que celles des small caps", écrit dans une note Lori Calvasina, de chez Credit Suisse.

    D'autres données récentes émanant de fonds d'investissement montrent également une tendance baissière. Selon Lipper, les fonds spécialisés dans les small caps basés aux Etats-Unis ont enregistré des retraits sur cinq semaines consécutives.



    (Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français)

    par Caroline Valetkevitch
    THOMSON REUTERS

    Cours de clôture du vendredi 21 juillet 2017 :

    -RUSSEL 2000 indice 1435,84 (-0.,45%)

    -SP 500 indice 2472,54 (-0.04%)

    -CAC 40 5117,66 (-1,57%)

    -DAX 30 12240,06 (-1,66%)

  • #2
    cours de l'euro future le 4 aout 2017 1.19060
    statistique PIB préliminaire du T3 aux environs du 28 octobre 2017

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    • #3
      BlackRock et Cie très confiant dans les valeurs dollars
      cours de l'euro future 1.19080

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      • #4
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        Futures Russell 2000 Chart Monthly

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        • #5
          vendredi 4 aout 2017
          cours de clôture à 17h35 de l'euro future 1.17710 -1.03%

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          • #6
            La dette des ménages américains dépasse son record de 2008

            15/08/2017 | 20:16

            New York (awp/afp) - La dette des ménages américains a dépassé à la fin du 2e trimestre son précédent record établi au 3e trimestre 2008, a indiqué mardi l'antenne de New York de la Banque centrale américaine (Fed).

            A 12.840 milliards de dollars à la fin juin, cette dette dépasse le précédent sommet de 12.680 milliards de dollars établi à la fin du 3e trimestre 2008, indique la Fed de New York, soit au moment du déclenchement de la crise financière des subprimes.

            Elle est en augmentation de 114 milliards (+0,9%) par rapport au 1er trimestre et de 15,1% supérieure à son nadir atteint au 2e trimestre 2013.

            L'essentiel de cette dette est composée de prêts hypothécaires (8.690 milliards de dollars, en hausse de 64 milliards sur le trimestre). Les crédits assis sur la valeur des biens immobiliers (Home Equity Line of Credit - HELOC) arrivent en deuxième position dans cette catégorie à 452 milliards de dollars (-26 milliards de dollars).

            La Fed précise que les crédits automobiles ont progressé de 23 milliards de dollars à 1.190 milliards et les créances sur carte de crédit de 20 milliards à 784 milliards de dollars au 2e trimestre, soit le plus haut niveau pour ces dernières depuis le 4e trimestre 2009.

            Les prêts étudiants sont restés stables à 1.340 milliards de dollars mais la Fed précise que cette évolution est considérée comme normale pour cette période de l'année.

            Le nombre de saisies immobilières pour défaut de paiement reste bas en comparaison de la moyenne historique, note la Fed, qui ajoute que les défaillances sur crédit sont restées stables sur la période considérée. A la fin juin, 4,8% de la dette émise était considérée comme en situation de défaut (612 milliards de dollars) dont 411 milliards pour une période dépassant 90 jours.

            La Fed note toutefois que le volume des créances sur cartes de crédit considérées en défaut a augmenté pour le 3e trimestre consécutif, une tendance qui n'avait pas été constatée depuis 2009.

            Quelque 224.000 emprunteurs se sont déclarés en faillite personnelle sur la période, soit en gros le même nombre qu'un an plus tôt.

            afp/rp

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            • #7
              Inquiétude croissante à la Fed concernant l'inflation-minutes

              16/08/2017 | 20:57

              Les responsables de la Réserve fédérale américaine se sont montré de plus en plus préoccupés par la récente faiblesse de l'inflation et certains ont appelé à interrompre la hausse des taux tant qu'il n'y aura pas eu de signes clairs que cette tendance est passagère, selon le compte-rendu, publié mercredi, de la dernière réunion de politique monétaire de la Fed.

              Ces "minutes" du Federal Open Market Committee (FOMC) des 25 26 juillet montrent également que la Fed est de plus en plus disposée à commencer à réduire son bilan, qui contient 4.200 milliards de dollars d'actifs achetés après la crise financière.

              "De nombreux (responsables) ont jugé qu'il était possible que l'inflation reste sous l'objectif de 2% plus longtemps que prévu et plusieurs ont souligné que les risques concernant les perspectives d'inflation pourraient être orientés à la baisse", est-il écrit dans ces minutes de la réunion de juillet, au cours de laquelle le débat a longuement porté sur cette question.

              Certains participants se sont prononcé contre de nouvelles hausses des taux d'intérêt tant qu'il n'y aurait pas de signes clairs confirmant que l'inflation repart vers l'objectif de la Fed, après être restée sous ce niveau pendant plus de cinq ans.

              D'autres en revanche ont averti qu'un tel report pourrait pousser le taux d'inflation au-delà de l'objectif de la Fed, une tendance "qui devrait être difficile à inverser".

              Les membres du comité ont convenu de surveiller étroitement l'inflation "au vu de leur inquiétude concernant le récent ralentissement", selon les minutes de la réunion de fin juillet.

              A l'issue de cette réunion, les responsables de l'institut d'émission avaient décidé à l'unanimité de ne pas modifier sa politique monétaire tout en disant que la banque centrale allait normaliser son bilan "relativement vite".

              La Fed a relevé ses taux d'intérêt deux fois cette année et prévoit une hausse supplémentaire d'ici la fin de l'année.

              Mais la faiblesse de l'inflation ces derniers mois incite les investisseurs au scepticisme quant à une hausse de taux d'ici décembre, même si les responsables de la banques centrale affirment qu'il ne s'agit que d'une tendance passagère.
              La mesure de l'inflation privilégiée par la Fed a été ramenée à 1,5% en juin, contre 1,8% en février, selon les données publiées vendredi par le département du Commerce.

              Le dollar a faibli face à un panier de devises de référence après la publication de ce compte-rendu, tandis que Wall Street a réduit ses gains et que les prix des obligations du Trésor américain sont restés globalement inchangés.

              Les responsables de la politique monétaire américaine ont par ailleurs estimé qu'il fallait surveiller de près les signes de baisse de la volatilité sur les marchés et de concentration des investisseurs sur certains actifs en particulier.

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              Les minutes de la réunion ont aussi montré que les responsables de la Fed était plus disposés à commencer à réduire le bilan de la banque centrale. Plusieurs d'entre eux étaient prêts à annoncer une date de début du processus de réduction mais la Fed a décidé d'attendre une réunion ultérieure.

              Les responsables de la Fed ont laissé entendre aux marchés qu'il devrait y avoir une décision lors de sa prochaine réunion des 19 et 20 septembre sur la réduction du montant de ces actifs achetés à la suite de la crise financière et de la récession. (Juliette Rouillon pour le service français)
              THOMSON REUTERS

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