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[ Eutectique ] : La Tectonique des vagues
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* AFP le 15/07/2011 à 17:39
"Le temps presse" pour résoudre le problème de la dette, prévient Obama :
Le président américain Barack Obama a prévenu vendredi les républicains que le "temps presse" pour arriver à un accord permettant de relever le plafond de la dette, tout en se disant ouvert à toute proposition "sérieuse" de ses adversaires.
"Le temps presse", a lancé M. Obama au cours d'une conférence de presse à la Maison Blanche. Il a rappelé qu'il avait donné, jeudi, 24 à 36 heures aux élus pour trouver un accord.
"S'ils me montrent un plan sérieux, je suis prêt à bouger", a-t-il ajouté, alors que toutes les négociations organisées à la Maison Blanche avec les républicains se sont révélées infructueuses jusqu'à maintenant.
Dans le même temps, M. Obama a qualifié de "pas sérieux" le plan républicainede parvenir à un compromis sans augmenter les impôts.
"Je n'ai pas vu de plan sérieux", a affirmé le président américain. "Le fait de ne rien demander aux plus fortunés d'entre nous (...) ne me paraît pas être un bon plan".
Certains élus du Congrès sont "bloqués dans leur idéologie", a-t-il encore regretté.
Depuis la mi-mai, la dette fédérale américaine a atteint le maximum autorisé, un problème que le Trésor n'entend pas contourner éternellement et qui requiert un relèvement du plafond légal par un vote du Congrès.
Les républicains, majoritaires à la Chambre des représentants, bloquent pour l'instant, souhaitant qu'on s'attaque au déficit, après avoir cultivé une attitude inverse pendant des années jusqu'en 2009.
Au-delà du 2 août, le défaut de paiement menace, a répété jeudi le secrétaire au Trésor, Timothy Geithner.
"Nous n'avons plus beaucoup de temps. Il faut agir" et "profiter de cette occasion pour nous occuper de nos problèmes budgétaires à long terme".
M. Obama, qui veut obtenir un vaste accord, estime avoir fait sa part en acceptant de sacrifier d'importants budgets publics et de toucher aux programmes sociaux Medicare et Medicaid, au coeur de sa campagne en 2008.
En échange, il attend que les républicains acceptent une hausse de la fiscalité des plus riches. "Le fait de ne rien demander au plus fortunés parmi nous...ne me paraît pas être un plan sérieux", a-t-il déclaré.
La dette américaine atteint 14.294 milliards de dollars.
Certains économistes et milieux d'affaire redoutent l'onde de choc pour l'économie mondiale encore convalescente en cas de défaut de paiement.
Copyright © 2011 AFP. Tous droits de reproduction et de représentation réservés.File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes
On y arrivera !
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* AFP le 15/07/2011 à 18:10
Huit banques européennes ont échoué aux tests de résistance aux chocs économiques :
Huit banques européennes ont échoué aux tests de résistance imposés à 91 banques du continent pour éprouver leur solidité en cas de choc économique, a annoncé vendredi l'Autorité bancaire européenne (EBA) chargée de ces tests.
L'EBA a indiqué dans un communiqué que ces banques avaient besoin au total de 2,5 milliards d'euros pour se renforcer.
Elle n'a pas détaillé dans un premier temps le nom ou la nationalité des banques ayant raté l'examen, chaque établissement concerné et les régulateurs nationaux ayant la priorité pour communiquer à ce sujet.
Les groupe bancaires français BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole et BPCE ont passé "avec succès" les tests de résistance , a ainsi annoncé le régulateur français.
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On y arrivera !
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MICHAEL SYMONDS, ANALYSTE CREDIT, DAIWA CAPITAL MARKETS, LONDRES
"Avec seulement huit banques qui échouent, et la nécesité pour ces banques de lever 2,5 milliards d'euros de capital, ce n'est pas la solution si l'on veut restaurer la confiance."
"Ce dont nous avions besoin, c'était de voir davantage de banques échouer et devoir à terme lever davantage de capital."
"Ceci dit, je ne pense pas que les gens s'attendaient vraiment à un tel résultat. Mais le remède au malaise plus général dette souveraine/banque en Europe doit aller plus loin qu'une simple injection de nouveaux capitaux dans les banques du continent européen."
FREDRIK NERBRAND, DIRECTEUR GLOBAL ALLOCATION D'ACTIFS, HSBC BANK, LONDRES
"A première vue, c'est relativement en ligne avec les attentes. Attentes qui, au passage, n'étaient pas très élevées, vu que le scénario stressé n'est pas suffisamment défavorable pour que les stress tests aient une véritable valeur."
"On ne s'attendait pas à ce qu'il y ait beaucoup d'échecs."
(Dominic Lau, Gilles Guillaume pour le service français, édité par Nicolas Delame)
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