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[ Eutectique ] : La Tectonique des vagues
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  • https://www.boursorama.com/infos/actualites/detail...
    Trobo la Tecto

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    • Sorry, le lien n'a pas marché et bonjour et bon week end


      Crise de la dette : la Grèce vers un "défaut partiel" de paiement, une première en zone euro


      Une femme devant une banque à Athènes le 12 juillet 2011
      © AFP Louisa Gouliamaki
      La mort dans l'âme, après 18 mois d'une épuisante course contre la montre, la Grèce, acculée par l'ampleur de sa récession et la cacophonie de ses créanciers, est poussée vers la catégorie des pays dits en "défaut partiel" de paiement, une première en zone euro.
      Mardi, certains pays européens partenaires et créanciers du pays ont brisé un tabou en laissant filtrer que l'option d'un "défaut partiel" de la Grèce sur sa dette de 350 milliards d'euros, était sur la table, en échange d'une poursuite de leur perfusion financière, ce qui poserait alors la question de son maintien dans la zone euro.
      Officiellement, Athènes n'a aucune intention d'arrêter de payer une partie de sa dette, ce qui serait l'équivalent d'une faillite déclenchant une déflagration dans toute la zone euro et au delà. La Banque centrale européenne campe aussi sur la même ligne.
      Néanmoins, les solutions discutées en urgence pour mettre sur pied un deuxième paquet d'aide à la Grèce --à Rome vendredi-- impliquant les créanciers privés risquent d'être analysées par une ou l'autre des agences de notation financière comme un "événement de crédit".
      Ce qui, dans leur jargon, signifie la rétrogradation du créditeur en fond de classement, à "défaut partiel".
      Le sommet extraordinaire de la zone euro annoncé vendredi soir pour le 21 juillet devrait permettre d'y voir plus clair sur les modalités du deuxième plan international d'aide à la Grèce, dont certaines des solutions étudiées associent justement les créanciers privés appelés à échanger leurs obligations contre d'autres à échéance plus longue ou à réinvestir l'argent qu'ils ont prêté à Athènes dans de nouvelles obligations, lorsque leurs titres arrivent à échéance.

      Le ministre grec des Finances Evangélos Vénizélos à Athènes le 12 juillet 2011
      © AFP Louisa Gouliamaki
      Dès mardi, le ministre des Finances Evangélos Vénizélos a pris les devants en tentant de rassurer les Grecs sur les implications d'un classement du pays dans la catégorie "défaut partiel". "Le mot +défaut partiel+ terrorise sans qu'il y ait de raison", a-t-il dit, en appelant les Grecs à la "discipline, au calme et à la dignité".
      "Il ne faut pas confondre une évaluation" du type de celles faites par les agences de notation, "et un fait économique réel", s'est-il démarqué.
      Depuis plus d'un an, de nombreux acteurs des marchés, gourous de Wall Street ou de la presse financière de la City de Londres, affirment que la Grèce ne pourra pas s'en sortir malgré l'aide de la zone euro et du Fonds monétaire international, qu'elle fera défaut sur sa dette et en profitera pour sortir de l'euro afin d'activer plus vite sa relance économique via une dévaluation.
      Athènes les a qualifiés de spéculateurs, attirés par l'encaissement de juteuses primes sur les CDS (assurances sur les défauts de paiement).
      Le Premier ministre socialiste Georges Papandréou explique depuis des mois aux autres gouvernements européens, souvent conservateurs, qu'il faut pour éviter un défaut, tout en réglant la crise de la dette et de l'euro, souder l'ensemble de la zone, en lançant des euro-obligations.
      A l'autre bout du spectre, la gauche radicale parie sur un défaut de paiement effectif: "Il n'y a plus de doute maintenant. La Grèce va faire défaut", a dit à l'AFP Costas Lapavitsas, professeur d'économie à l'Ecole Orientale et Africaine de l'Université de Londres.
      Partisan d'un arrêt unilatéral des remboursements au nom de la défense du peuple contre l'hégémonie des marchés, il estime que la Grèce devrait effacer au moins 60% du total de sa dette pour relancer son économie réelle.
      Alors que M. Papandréou mettait en garde jeudi sur les enjeux "cruciaux" des jours à venir, un haut responsable bancaire du pays, qui a requis l'anonymat, a confié à l'AFP que la Grèce était entrée cette semaine "en terrain inconnu".
      Néanmoins, la Grèce et la zone euro "peuvent s'en sortir", estime Yannis Varoufakis, professeur d'économie à l'université d'Athènes.
      A trois conditions: "Les Européens doivent unifier vite les larges parties de la dette européenne, recapitaliser les banques en difficulté à un niveau européen et lancer un programme d'investissement massif".
      "Aux Etats-Unis lorsqu'une banque basée à New York est en difficulté, ce n'est pas l'Etat de New York qui procède à la recapitalisation, c'est le gouvernement fédéral", dit-il.
      Trobo la Tecto

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      • Citation de : Eutectique (au 15-07-2011 18:58:47)




        BNK

        WEEKLY

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        • File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

          On y arrivera !

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          • On est à la croisée des chemins ..et que donne Lvc et Bx4,

            Bat,

            jack

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            • File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

              On y arrivera !

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              • http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_...
                Trobo la Tecto

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                • Une taxe bancaire pour sauver la Grèce ?

                  Selon Die Welt, un quotidien allemand, les 17 pays de la zone euro envisageraient la création d’une taxe bancaire pour sauver la Grèce.
                  18 Juillet 2011 06h30

                  Les gouvernements des 17 pays de la zone euro envisagent la création d'une taxe bancaire pour faire participer le secteur privé au sauvetage des finances de la Grèce, affirme le quotidien allemand Die Welt à paraître lundi. Cette taxe concernait même les banques qui ne sont "pas directement engagées en Grèce", écrit le journal en citant des sources diplomatiques de haut rang et impliquées dans le dossier. Selon ce scénario, le secteur bancaire privé devrait par ailleurs "contribuer à un rachat des obligations grecques", écrit Die Welt, sans détailler sous quelle forme.



                  Le FMI n’y croirait plus

                  Un sommet extraordinaire de la zone euro est prévu jeudi à Bruxelles, avec pour objectif urgent de boucler un nouveau plan d'aide pour Athènes. Mais selon Die Welt, certaines personnes influentes au sein du Fonds monétaire international (FMI) souhaitent que le FMI ne participe pas aux nouvelles mesures de sauvetage de la Grèce. "Beaucoup de gens au FMI en ont ras-le-bol" et doutent sérieusement que la Grèce puisse mener à bien et dans le temps voulu les mesures d'économies prévues, ont indiqué des diplomates européens cités par le journal.



                  L’Allemagne a déjà prévu de taxer ses banques

                  Die Welt, sans indiquer d'où vient l'idée d'une taxe bancaire pour aider la Grèce, rappelle que l'Allemagne va prélever à partir de l'automne une taxe sur les profits de ses banques pour alimenter un fonds qui prendrait en charge les aides aux établissements financiers du pays en cas de prochaine crise.


                  le graphe, encore le graphe et toujours le graphe

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                  • Bonjour

                    il reste d'actualité

                    Citation de : db2000 (au 14-07-2011 23:08:56)

                    merci Eutectique




                    Trobo la Tecto

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                    • File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

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                      • Trobo la Tecto

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                        • File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

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                          • DJ 12400 12382 si il veut bien
                            Trobo la Tecto

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                            • Bat et TTBTRADES

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                              • le graphe, encore le graphe et toujours le graphe

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