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Le marchandage des postes dans l'UE bat toujours son plein. Toutefois, il ne fait aucun doute sur le marché que deux femmes seront le fer de lance de l'Union européenne à l'avenir.
Plus précisément, sont en jeu Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Christine Lagarde, gardienne en chef de la monnaie à la Banque centrale européenne.
Lagarde est à la tête du Fonds monétaire international (FMI) depuis 2011 et connaît donc bien le monde financier. Par ailleurs, elle est considérée comme une partisane d'une politique monétaire souple. Toutefois, on peut se demander si elle saurait être à la tête d’une banque centrale. Après tout, elle a étudié le droit des affaires et n'est pas économiste. Néanmoins, il y a une bonne dizaine d'années, elle et Draghi étaient en première ligne pour surmonter la crise de l'euro.
Comme le dit l'adage : toutes sortes de compétences peuvent être acquises, il suffit de le vouloir. Cela vaut également pour la politique monétaire, d'autant que Lagarde a à ses côtés Philip Lane, économiste, qui a intégré les enseignements de Draghi de "faire tout ce qu’il faudra".
Par ailleurs, Christine Lagarde est considérée comme une partisane de la politique monétaire ultra-laxiste. Même en tant que chef du FMI, elle s'est régulièrement prononcée en faveur d'un assouplissement des conditions de financement. Cela est bien accueilli par les marchés boursiers. Après tout, ils sont comme des drogués alimentés au goutte-à-goutte d'argent bon marché.
A cet égard, rien n'est susceptible de modifier le cours de l'action de la BCE à long terme. D'autant que Draghi avait assuré à plusieurs reprises dans son discours à Sintra que la banque centrale était prête à utiliser tous les instruments si nécessaire.
Une baisse des taux en septembre est déjà escomptée sur le marché. Après cela, Lagarde reprend le sceptre. Elle pourrait reprendre le programme d'achat d'obligations de la BCE et ainsi pousser le Dax vers de nouveaux records.
CFD DAX graphique hebdomadaire - sur NanoTrader
Si vous ne visualisez pas le graphique ci-dessus
Plus précisément, sont en jeu Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Christine Lagarde, gardienne en chef de la monnaie à la Banque centrale européenne.
Lagarde est à la tête du Fonds monétaire international (FMI) depuis 2011 et connaît donc bien le monde financier. Par ailleurs, elle est considérée comme une partisane d'une politique monétaire souple. Toutefois, on peut se demander si elle saurait être à la tête d’une banque centrale. Après tout, elle a étudié le droit des affaires et n'est pas économiste. Néanmoins, il y a une bonne dizaine d'années, elle et Draghi étaient en première ligne pour surmonter la crise de l'euro.
Comme le dit l'adage : toutes sortes de compétences peuvent être acquises, il suffit de le vouloir. Cela vaut également pour la politique monétaire, d'autant que Lagarde a à ses côtés Philip Lane, économiste, qui a intégré les enseignements de Draghi de "faire tout ce qu’il faudra".
Par ailleurs, Christine Lagarde est considérée comme une partisane de la politique monétaire ultra-laxiste. Même en tant que chef du FMI, elle s'est régulièrement prononcée en faveur d'un assouplissement des conditions de financement. Cela est bien accueilli par les marchés boursiers. Après tout, ils sont comme des drogués alimentés au goutte-à-goutte d'argent bon marché.
A cet égard, rien n'est susceptible de modifier le cours de l'action de la BCE à long terme. D'autant que Draghi avait assuré à plusieurs reprises dans son discours à Sintra que la banque centrale était prête à utiliser tous les instruments si nécessaire.
Une baisse des taux en septembre est déjà escomptée sur le marché. Après cela, Lagarde reprend le sceptre. Elle pourrait reprendre le programme d'achat d'obligations de la BCE et ainsi pousser le Dax vers de nouveaux records.
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