La Réserve fédérale (Fed) juge qu’il est désormais temps de changer son fusil d'épaule.
Le variant Omicron est certes bien présent
mais certains des responsables de la banque centrale estiment qu'il "ne modifie pas fondamentalement la trajectoire de la reprise économique" outre-Atlantique.
En réalité, un autre élément les inquiète davantage: l'inflation.
La hausse de prix a continué de s'accélérer pour atteindre 6,8% en novembre.
La vive réaction baissière sur les marchés a certes été déclenchée par les minutes de la Fed mais elle se trouve amplifiée par les émeutes au Kazakhstan.
Si la séance d’hier a marqué un temps d’arrêt sur la zone support des 4700, l’impossibilité actuelle de rebondir sur cette zone nourrit légitimement des inquiétudes face à une poursuite de la baisse.
Ce serait alors la zone de confluence avec le support haussier (flèche bleue) vers 4600 qu’il conviendrait de surveiller la semaine prochaine.
Le variant Omicron est certes bien présent
(les États-Unis ont d’ailleurs recensé 1 million de nouveaux cas positifs pour la première fois depuis le début de la pandémie en 24h)
En réalité, un autre élément les inquiète davantage: l'inflation.
La hausse de prix a continué de s'accélérer pour atteindre 6,8% en novembre.
- Et la situation pourrait perdurer dans les mois à venir.
La vive réaction baissière sur les marchés a certes été déclenchée par les minutes de la Fed mais elle se trouve amplifiée par les émeutes au Kazakhstan.
- Sur un plan technique, nous observons la formation d’un « sommet en tour »
Si la séance d’hier a marqué un temps d’arrêt sur la zone support des 4700, l’impossibilité actuelle de rebondir sur cette zone nourrit légitimement des inquiétudes face à une poursuite de la baisse.
Ce serait alors la zone de confluence avec le support haussier (flèche bleue) vers 4600 qu’il conviendrait de surveiller la semaine prochaine.
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