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Nous continuons à observer le même type de schéma sur les marchés, où tout rebondissement des actions, des obligations, des métaux et des principales devises est vendu après une brève reprise. Le dollar américain reste le roi des devises. Les investisseurs ont du mal à justifier l'achat d'actifs sensibles au risque à l'heure actuelle, les prévisions de hausse des taux d'intérêt poussant les rendements obligataires à la hausse. Toute l'attention est tournée vers la décision du FOMC de mercredi sur les taux d'intérêt. Voici tout ce que vous devez savoir à ce sujet. Dans un environnement de hausse des taux d'intérêt dans le monde entier, les traders continuent de préférer vendre des actifs qui ont peu ou pas de rendement, comme les actions à faible dividende et l'or.
Dans l'attente de la décision sur les taux de la Fed, le 10 ans américain a franchi hier la barre des 3,5 % pour atteindre son plus haut niveau depuis février 2011, tandis que le rendement du 30 ans a atteint 3,61 %, son point le plus haut depuis avril 2014.
Après chaque rallye de soulagement, les investisseurs saisissent toutes les occasions de faire des bénéfices. Et pourquoi ne le feraient-ils pas, étant donné tout ce qui se passe dans le monde en ce moment ? Les perspectives économiques restent sombres. L'inflation a peut-être un peu diminué, mais elle est encore beaucoup trop élevée et pourrait le rester plus longtemps que prévu. C'est ce qui s'est produit cette semaine encore. Les futures sur indices américains s'étaient repris jusqu'à la clôture lundi, mais ils ont commencé à se retourner dès le début de la nouvelle journée en Asie, avant que la vente ne se poursuive après l'ouverture des marchés au comptant américains. L'or et l'argent ont chuté, le premier restant sous pression après avoir atteint la semaine dernière un nouveau plus bas de l'année, à moins de 1680 dollars, alors que les prévisions de hausse des taux d'intérêt continuent de peser sur les actifs à rendement nul.
Pour l'avenir, tout dépend du moment où les hausses de taux d'intérêt seront pleinement prises en compte. Jusqu'à ce que cela se produise, il est peu probable que le marché boursier puisse briller de mille feux. La rapidité avec laquelle les marchés prendront en compte les hausses de taux dépend en grande partie des données à venir, notamment des chiffres de l'inflation.
Le Dow Jones reste à l'intérieur d'une tendance baissière, compte tenu de ces planchers et sommets inférieurs à long terme, la moyenne de 200 jours pointant désormais à la baisse et se maintenant confortablement au-dessus du marché. Les anciens supports se transforment en résistance. L'une de ces zones se situe aux alentours de 31 000, d'où l'indice avait précédemment rebondi. Mais aujourd'hui, cette zone s'est transformée en résistance, confirmant que les vendeurs gardent le contrôle total de l'action des prix. A partir de là, le Dow pourrait tomber vers le plus bas qu'il avait atteint en été, avant une semaine chargée.
Dans l'attente de la décision sur les taux de la Fed, le 10 ans américain a franchi hier la barre des 3,5 % pour atteindre son plus haut niveau depuis février 2011, tandis que le rendement du 30 ans a atteint 3,61 %, son point le plus haut depuis avril 2014.
Après chaque rallye de soulagement, les investisseurs saisissent toutes les occasions de faire des bénéfices. Et pourquoi ne le feraient-ils pas, étant donné tout ce qui se passe dans le monde en ce moment ? Les perspectives économiques restent sombres. L'inflation a peut-être un peu diminué, mais elle est encore beaucoup trop élevée et pourrait le rester plus longtemps que prévu. C'est ce qui s'est produit cette semaine encore. Les futures sur indices américains s'étaient repris jusqu'à la clôture lundi, mais ils ont commencé à se retourner dès le début de la nouvelle journée en Asie, avant que la vente ne se poursuive après l'ouverture des marchés au comptant américains. L'or et l'argent ont chuté, le premier restant sous pression après avoir atteint la semaine dernière un nouveau plus bas de l'année, à moins de 1680 dollars, alors que les prévisions de hausse des taux d'intérêt continuent de peser sur les actifs à rendement nul.
Pour l'avenir, tout dépend du moment où les hausses de taux d'intérêt seront pleinement prises en compte. Jusqu'à ce que cela se produise, il est peu probable que le marché boursier puisse briller de mille feux. La rapidité avec laquelle les marchés prendront en compte les hausses de taux dépend en grande partie des données à venir, notamment des chiffres de l'inflation.
Le Dow Jones reste à l'intérieur d'une tendance baissière, compte tenu de ces planchers et sommets inférieurs à long terme, la moyenne de 200 jours pointant désormais à la baisse et se maintenant confortablement au-dessus du marché. Les anciens supports se transforment en résistance. L'une de ces zones se situe aux alentours de 31 000, d'où l'indice avait précédemment rebondi. Mais aujourd'hui, cette zone s'est transformée en résistance, confirmant que les vendeurs gardent le contrôle total de l'action des prix. A partir de là, le Dow pourrait tomber vers le plus bas qu'il avait atteint en été, avant une semaine chargée.