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  • Stabilisation des principaux indices

    Les consommateurs restent confiants

    Les achats de logements neufs tendent à dépendre principalement de la confiance des consommateurs dans l'économie, quel que soit le taux d'intérêt en vigueur.
    L'activité de refinancement des prêts hypothécaires résidentiels aux États-Unis a atteint son plus haut niveau en six mois la semaine dernière, en raison de la baisse des taux d'intérêt, ce qui permet aux consommateurs de rembourser plus facilement leurs prêts dans le contexte économique actuel.
    Les demandes de prêts immobiliers ont augmenté la semaine dernière pour la quatrième semaine consécutive, ce qui constitue la plus longue série en quatre ans.
    La semaine la plus récente a vu une augmentation de 2,9 % des demandes de prêts, avec une hausse de 4,8 % des demandes de refinancement et une augmentation de 2 % des demandes de nouveaux achats.
    Hausse des indices boursiers, stagnation du dollar et des obligations

    L'indice général S&P 500 était en hausse de 1,1 % à 4 014, tandis que le NASDAQ, à forte composante technologique, était en hausse de 1,4 % à 11 876.
    Le VIX, l'indice de la peur à Wall Street, est tombé à 19,2
    L'indice du dollar a augmenté de 0,3 % à 102,7, avec £/$ 1,23 et €/S 1,08.
    Les rendements des bons du Trésor à 2 et 10 ans sont restés inchangés à 4,06% et 3,56%, respectivement.

    Baisse des stocks de pétrole, mais le prix du pétrole reste stable

    Les prix du pétrole brut sont restés stables à la mi-journée, à 73,15 dollars le baril, malgré la baisse des stocks de pétrole brut aux États-Unis.
    Les stocks commerciaux de pétrole brut aux États-Unis (à l'exclusion de la réserve stratégique de pétrole) ont diminué de 7,5 millions de barils au cours de la semaine se terminant le 24 mars, pour atteindre 473,7 millions de barils, soit 6 % de plus que la moyenne quinquennale pour la semaine.
    Les stocks d'essence ont diminué de 2,9 millions de barils, soit 4 % de moins que la moyenne quinquennale pour cette période de l'année.
    L'or a perdu 0,4 % à 1 966 dollars l'once.
    Les prix du blé ont ouvert la voie à la hausse en raison de l'incertitude de l'offre nationale et étrangère, mais les prix sont maintenant bien en deçà de leurs sommets après le récent rallye.
    Les prix du maïs et du soja restent stables en raison de facteurs de demande solides, bien que tous ces marchés soient bien en deçà des sommets atteints à la mi-journée.

    L'encombrement des ports chinois est le signe de difficultés économiques pour l'industrie manufacturière nationale

    Les ports chinois sont de plus en plus encombrés de conteneurs vides en raison de la baisse des commandes de biens de consommation.
    Cette situation s'explique en partie par la faiblesse économique actuelle de l'Europe et des États-Unis, mais surtout par l'approvisionnement en produits hors de Chine après trois années de restrictions liées à Covid et de problèmes dans la chaîne d'approvisionnement.
    Un nombre important d'entreprises ont retiré leurs investissements de Chine au cours des dernières années, les pays cherchant à diversifier leurs sources d'approvisionnement, y compris en rapatriant la production des produits les plus essentiels.
    Cette tendance devrait affaiblir le rôle de la Chine en tant que centre mondial de fabrication, tout en rendant les menaces de protectionnisme commercial moins efficaces.
    La Chine réagit en intensifiant ses efforts pour étendre son initiative "la Ceinture et la Route" à travers l'Asie, l'Afrique, l'Europe et l'Amérique du Sud.
    De tels investissements dans des projets d'infrastructure augmentent la demande d'équipements de construction fabriqués en Chine, ce qui crée une demande de produits manufacturés dans le pays d'origine
    Cependant, on estime également que la Chine a fini par renflouer 22 pays en développement entre 2008 et 2021 pour un coût de 240 milliards de dollars, ce qui rend ces pays encore plus redevables à la Chine.

    Les exportations russes sont (à nouveau) limitées

    Des dépêches indiquent que Viterra se joindra à Cargill pour cesser toute opération de transport de céréales à partir de la Russie au cours de la nouvelle campagne de commercialisation, les exportateurs étrangers continuant à se retirer du marché russe
    Il s'agit probablement en partie de pressions exercées par la Russie, et en partie d'une mesure préventive, car les problèmes liés au commerce avec la Russie ne cessent de s'aggraver.
    Quoi qu'il en soit, la capacité de la Russie à exporter est de plus en plus remise en question.

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