Derrière ce titre accrocheur se trouve un constat légèrement inquiétant. Dans ce qui suit je me place du point de vue de l’investisseur (ou du trader) et non pas du citoyen de monde.
La COP 26, comme les précédentes, va se solder par des résolutions de réduction d’émission de CO2 avec des dates d’objectif assez proches. On sait que l’émission de CO2 est directement liée à la consommation d’énergie. La corrélation de 0.99698 ne laisse aucun doute :
Pas d’ambiguïté, pour atteindre l’objectif il faut donc réduire notre consommation en énergie. C’est ici que l’on se heurte à un gros écueil : il se trouve que le PIB est quant à lui directement lié à cette consommation d’énergie :
Une réduction du PIB est donc nécessaire pour atteindre les objectifs de réduction des émissions, comme en 2020 avec la COVID, mais tous les ans une nouvelle COVID s’ajoutant aux précédentes. Si les Bourses peuvent se remettre d’un évènement unique et temporaire, une récession continue serait catastrophique.
Mais quel gouvernement est prêt à imposer à son peuple une réduction drastique de PIB pendant quelques dizaines d’année ? Est-on prêt au niveau mondial à accepter l’équivalent de 2020 en terme de récession annuelle ?
La principale préoccupation des dirigeants de démocratie est leur réélection et (ou) la dominance de leur parti. Les dictatures redoutent plus que tout les révolutions. Elle ne peuvent se permettre d’entrer dans une spirale aboutissant à un soulèvement.
La réponse est donc simple : presque aucun.
Aucun doute n’est donc possible : ouf, la Bourse n’a rien à craindre de la COP 26 !
Bien sûr vous pourrez brandir une tonne d’arguments comme :
« Les énergies renouvelables et propres vont remplacer le charbon le gaz et le pétrole. On pourra donc continuer en croissance sans émettre de CO2. On est d’ailleurs déjà en bonne voie. »
Ah oui ? regardez juste l’état des lieux :
Cherchez les nouvelles énergies : c’est la bande rose en haut. Je doute qu’elles remplacent rapidement les énergies carbonées. De plus cela ne semble pas la priorité dans le monde :
Aucun doute possible : tout ça c’est du bla bla bla, nous n’avons rien à craindre de la COP 26 !
Enfin… presque rien.
La COP 26, comme les précédentes, va se solder par des résolutions de réduction d’émission de CO2 avec des dates d’objectif assez proches. On sait que l’émission de CO2 est directement liée à la consommation d’énergie. La corrélation de 0.99698 ne laisse aucun doute :
Pas d’ambiguïté, pour atteindre l’objectif il faut donc réduire notre consommation en énergie. C’est ici que l’on se heurte à un gros écueil : il se trouve que le PIB est quant à lui directement lié à cette consommation d’énergie :
Une réduction du PIB est donc nécessaire pour atteindre les objectifs de réduction des émissions, comme en 2020 avec la COVID, mais tous les ans une nouvelle COVID s’ajoutant aux précédentes. Si les Bourses peuvent se remettre d’un évènement unique et temporaire, une récession continue serait catastrophique.
Mais quel gouvernement est prêt à imposer à son peuple une réduction drastique de PIB pendant quelques dizaines d’année ? Est-on prêt au niveau mondial à accepter l’équivalent de 2020 en terme de récession annuelle ?
La principale préoccupation des dirigeants de démocratie est leur réélection et (ou) la dominance de leur parti. Les dictatures redoutent plus que tout les révolutions. Elle ne peuvent se permettre d’entrer dans une spirale aboutissant à un soulèvement.
La réponse est donc simple : presque aucun.
Aucun doute n’est donc possible : ouf, la Bourse n’a rien à craindre de la COP 26 !
Bien sûr vous pourrez brandir une tonne d’arguments comme :
« Les énergies renouvelables et propres vont remplacer le charbon le gaz et le pétrole. On pourra donc continuer en croissance sans émettre de CO2. On est d’ailleurs déjà en bonne voie. »
Ah oui ? regardez juste l’état des lieux :
Cherchez les nouvelles énergies : c’est la bande rose en haut. Je doute qu’elles remplacent rapidement les énergies carbonées. De plus cela ne semble pas la priorité dans le monde :
Aucun doute possible : tout ça c’est du bla bla bla, nous n’avons rien à craindre de la COP 26 !
Enfin… presque rien.