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On peut aisément comparer les baisses dues à la Covid et à la guerre en Ukraine.
Il reste une vingtaine de jours pour pouvoir comparer au 09 juin mais on voit d'ors et déjà une différence marquante:
La façon dont les cours abordent le Retracement90 (ici donc 50% de la baisse, en vert) est bien différente et n'invite pas à l'optimisme.
Il existe une différence fondamentale entre la pandémie et cette guerre: l'une n'affecte pas de façon durable l'activité économique, l'autre entraine (et coïncident avec) des pénuries (en particulier de matières premières alimentaires) majeures et probablement durable. Cette guerre déstabilise non seulement l'économie mais aussi l'équilibre géopolitique.
Nous avons au moins quatre problèmes d'envergure :
- Réduction du volume de matières fossiles disponible
- Manque cruel de grains pour l'alimentation humaine
- Déstabilisation économique (faillites) des états fragiles
- Croissance réduite et inflation, montée de la pauvreté même dans les pays riches.
A cela s'ajoute une difficulté supplémentaire à résoudre les problèmes majeurs d'extinction des espèces animales et de dégradation climatique. Les effets de cette dernière se font déjà sentir avec une baisse des rendements sur les matières premières de base (blé, tournesol, maïs ... ) s'ajoutant à la perte de grands espaces producteurs.
Tout ceci fait donc craindre une crise durable difficile à surmonter.. Ces difficultés sont à la fois conjoncturelles et structurelles. Les Bourses peuvent s'en remettre, mais pour combien de temps?
Note pour moi : parler de la croissance la semaine prochaine.
Il reste une vingtaine de jours pour pouvoir comparer au 09 juin mais on voit d'ors et déjà une différence marquante:
La façon dont les cours abordent le Retracement90 (ici donc 50% de la baisse, en vert) est bien différente et n'invite pas à l'optimisme.
Il existe une différence fondamentale entre la pandémie et cette guerre: l'une n'affecte pas de façon durable l'activité économique, l'autre entraine (et coïncident avec) des pénuries (en particulier de matières premières alimentaires) majeures et probablement durable. Cette guerre déstabilise non seulement l'économie mais aussi l'équilibre géopolitique.
Nous avons au moins quatre problèmes d'envergure :
- Réduction du volume de matières fossiles disponible
- Manque cruel de grains pour l'alimentation humaine
- Déstabilisation économique (faillites) des états fragiles
- Croissance réduite et inflation, montée de la pauvreté même dans les pays riches.
A cela s'ajoute une difficulté supplémentaire à résoudre les problèmes majeurs d'extinction des espèces animales et de dégradation climatique. Les effets de cette dernière se font déjà sentir avec une baisse des rendements sur les matières premières de base (blé, tournesol, maïs ... ) s'ajoutant à la perte de grands espaces producteurs.
Tout ceci fait donc craindre une crise durable difficile à surmonter.. Ces difficultés sont à la fois conjoncturelles et structurelles. Les Bourses peuvent s'en remettre, mais pour combien de temps?
Note pour moi : parler de la croissance la semaine prochaine.