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L'indice PMI des services britanniques a atteint son plus haut niveau depuis 8 mois, l'impact d'Omicron étant limité. Le gouvernement devrait annoncer la fin des restrictions Covid.
L'activité du secteur des services au Royaume-Uni a rebondi à un rythme plus rapide que prévu en février, selon les dernières données optimistes.
Les services britanniques sont revenus à la vie après que l'impact d'Omicron sur l'économie se soit avéré être contenu et de courte durée.
L'indice PMI des services a augmenté de 6,7 points pour atteindre 60,8, contre 54,1 en janvier et bien au-delà des prévisions de 55,5. En plus d'une hausse impressionnante de l'activité, les coûts ont également augmenté au deuxième rythme le plus rapide jamais enregistré. Les entreprises de services ont réagi en augmentant leurs prix, ce qui laisse penser qu'un relâchement des pressions inflationnistes est encore loin d'être acquis.
L'inflation a atteint 5,5 % en janvier et devrait continuer à augmenter pour atteindre 7,25 % au printemps. Entre-temps, le marché de l'emploi et les dépenses de consommation au Royaume-Uni restent solides. La pression s'accentue sur la BoE pour qu'elle augmente à nouveau ses taux d'intérêt, après les avoir relevés en décembre et février.
La fin des restrictions Covid approche
Les perturbations liées au Covid semblent appartenir au passé puisque, plus tard dans la journée, le Premier ministre Boris Johnson prévoit d'annoncer la fin des restrictions liées au Covid, dans le cadre de la nouvelle "stratégie de vie avec le Covid". Cela devrait signifier que l'économie britannique peut accélérer plus rapidement que les économies qui connaissent encore des restrictions, ce qui devrait être une bonne nouvelle pour la livre.
Les craintes concernant la Russie limitent les gains de la livre sterling
Outre les données et la politique intérieure, l'incertitude concernant la Russie et l'Ukraine pèse sur les actifs à risque et les devises, ce qui limite les gains de la livre. Alors que l'optimisme entourant un sommet entre Biden et Poutine a renforcé le sentiment de risque en début d'échanges, la Russie a depuis déclaré qu'elle n'avait pas confirmé la réunion, laissant les marchés dans un état de flou dans un contexte d'incertitude permanente.
Les marchés boursiers américains étant fermés pour cause de jour férié, la liquidité sur le dollar devrait être faible.
Il n'y a pas de données économiques américaines à publier.
Quelle est la prochaine étape pour la paire GBP/USD ?
La paire GBP/USD a prolongé sa hausse à partir de 1,3485, le plus bas du 15 février, avant de se heurter à nouveau à la résistance de 1,3640. La paire a fait plusieurs tentatives infructueuses pour franchir ce niveau, avant que les vendeurs ne reviennent pour pousser le prix à la baisse.
La tendance haussière sur le graphique en données de 4 heures reste en place, car la paire continue de s'échanger au-dessus de la ligne de tendance ascendante sur plusieurs semaines.
Les vendeurs chercheront une chute en dessous de 1,3560, la confluence de la moyenne mobile de 50 et de la moyenne mobile de 100, pour annuler la tendance à la hausse. Une cassure en dessous de ce seuil ouvre la porte à une chute plus importante vers 1,35, en dessous de laquelle les vendeurs pourraient prendre de la vigueur.
Pendant ce temps, les acheteurs chercheront à franchir 1,3640 pour réaliser des gains supplémentaires avant 1,3660 (sommet du 20 janvier) et 1,37, le niveau psychologique.
Source Tradingview.
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L'indice PMI des services a augmenté de 6,7 points pour atteindre 60,8, contre 54,1 en janvier et bien au-delà des prévisions de 55,5. En plus d'une hausse impressionnante de l'activité, les coûts ont également augmenté au deuxième rythme le plus rapide jamais enregistré. Les entreprises de services ont réagi en augmentant leurs prix, ce qui laisse penser qu'un relâchement des pressions inflationnistes est encore loin d'être acquis.
L'inflation a atteint 5,5 % en janvier et devrait continuer à augmenter pour atteindre 7,25 % au printemps. Entre-temps, le marché de l'emploi et les dépenses de consommation au Royaume-Uni restent solides. La pression s'accentue sur la BoE pour qu'elle augmente à nouveau ses taux d'intérêt, après les avoir relevés en décembre et février.
La fin des restrictions Covid approche
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Les craintes concernant la Russie limitent les gains de la livre sterling
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La paire GBP/USD a prolongé sa hausse à partir de 1,3485, le plus bas du 15 février, avant de se heurter à nouveau à la résistance de 1,3640. La paire a fait plusieurs tentatives infructueuses pour franchir ce niveau, avant que les vendeurs ne reviennent pour pousser le prix à la baisse.
La tendance haussière sur le graphique en données de 4 heures reste en place, car la paire continue de s'échanger au-dessus de la ligne de tendance ascendante sur plusieurs semaines.
Les vendeurs chercheront une chute en dessous de 1,3560, la confluence de la moyenne mobile de 50 et de la moyenne mobile de 100, pour annuler la tendance à la hausse. Une cassure en dessous de ce seuil ouvre la porte à une chute plus importante vers 1,35, en dessous de laquelle les vendeurs pourraient prendre de la vigueur.
Pendant ce temps, les acheteurs chercheront à franchir 1,3640 pour réaliser des gains supplémentaires avant 1,3660 (sommet du 20 janvier) et 1,37, le niveau psychologique.
Source Tradingview.
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