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  • sont prévisibles ces algos ...

    Pris long Dax sur 550 juste après mon diner pour jouer la hausse algorithmique d'un pré w/e de 3 jours et ... au moins 100 points, voir plus !

    J'aurai du finir de diner plus tôt pour prendre sur M2 .... mais le gateau au chocolat m'a été fatal
    " Le plus grand dérèglement de l'esprit consiste à voir les choses telles qu'on le veut et non pas telles qu'elles sont " - Bossuet
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    trade what you see, not what you think, motherfucker !
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    “C’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison.” - Coluche

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    • Stoppé 680

      Sur ce , direction le Bureau de Légendes
      " Le plus grand dérèglement de l'esprit consiste à voir les choses telles qu'on le veut et non pas telles qu'elles sont " - Bossuet
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      • Sur l'"épidémie" qui menace l'ensemble de l'Humanité

        au CHU de Nimes les soignants se contaminent entre eux !

        et les soignants contaminés (une centaine) sont deux fois plus nombreux que les malades !

        https://france3-regions.francetvinfo...s-1813538.html

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        • Joyeuses Pâques

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          Accepte ce qui est, laisse aller ce qui était et aie confiance en ce qui sera. (Bouddha)

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          • Envoyé par La Verole Voir le message
            Joyeuses Pâques

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            IMF

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            • netjoker

              Tu aurais pu être cité dans cet article du Point ...

              C'est à hurler ! Il faut les éliminer ces nuisibles.

              Coronavirus : les agences régionales de santé, boulets bureaucratiques ?
              Créées en 2010 pour moderniser l'offre de soin, certaines ARS ont du mal à gérer l'épidémie. La consternante « guerre des masques » en est l'exemple.
              Par Géraldine Woessner

              Un employé de l'ARS charge des cartons de masques de protection à Strasbourg. © FREDERICK FLORIN / AFP

              Lundi 6 avril, à la télévision, le ministre de la Santé annonce solennellement un tournant majeur : « Tous les résidents et tous les personnels des Ehpad », promet Olivier Véran, seront testés « dès l'apparition du premier cas confirmé de malade du coronavirus au sein de l'établissement ». Enfin ! réagissent les professionnels. Après des semaines de débats sur l'opportunité d'élargir, ou non, la détection des malades afin de les isoler efficacement, la « campagne de tests » est lancée ! Le ministre a parlé. À charge pour ses représentants sur le terrain d'appliquer la nouvelle doctrine.
              Jeudi 9 avril, pourtant, ça coince toujours. « Des tests dans les Ehpad ? Ça n'existe pas chez nous, et rien n'est mis en place. De toute façon, on n'a pas de kits », s'étonne le président du conseil départemental de Saône-et-Loire André Accary, à la tête d'un département pourtant lourdement touché : 53 Ehpad y ont signalé au moins un cas présentant des symptômes de type Covid-19 depuis le début de la crise. « L'ARS fait toujours le recensement sur déclaration de diagnostic… » La veille, le représentant de l'ARS de la région Bourgogne-Franche-Comté l'a confié à ses interlocuteurs lors d'une conférence téléphonique : « Ce n'est pas très opérationnel comme annonce, il faut qu'on réfléchisse à comment mettre en place cette mesure… » La réflexion, dans plusieurs régions de France sous-dotées en personnel médical et en matériel, est encore au point mort.

              « Flou total »
              « C'est une caricature de bureaucratie, d'inertie », s'emporte le directeur général des services d'un département du centre, qui s'arrache littéralement les cheveux depuis le début de la crise. « Faire des tests ? Mais la nouvelle plateforme informatique pour recenser les malades des Ehpad n'est opérationnelle que depuis deux jours, et elle a bugué hier », s'étrangle-t-il. « Les chiffres ne sont toujours pas fiables. » Jusqu'à aujourd'hui, la doctrine retenue par les ARS pour recenser les résidents contaminés des Ehpad était particulièrement fragile : « Si deux résidents présentant des symptômes sont testés positifs, tous les autres malades de l'établissement, non testés, sont considérés comme des cas Covid-19. » Et elle risque de le rester tant que les tests systématiques ne seront pas mis en place, ce qui, selon les territoires, pourrait prendre plusieurs semaines. « On travaille dans le flou le plus total », poursuit ce directeur des services. « L'ARS récolte les données mais anonymise les établissements, et ni les élus ni le préfet n'ont la moindre information sur les Ehpad touchés. Or nous en avons besoin, pour leur livrer des masques ou des surblouses, organiser la logistique des obsèques, soutenir les directeurs d'établissement… » Depuis des semaines, les services de plusieurs départements appellent donc un à un leurs Ehpad pour faire eux-mêmes le recensement. « C'est invraisemblable ! »

              L'invraisemblable affaire des masques
              Comme leur paraît « invraisemblable » la confondante « guerre des masques » à laquelle se livrent, sur le terrain, les représentants de l'État, de l'administration et des collectivités locales, qui a connu une apothéose le week-end dernier, quand l'armée a accueilli sur le tarmac de l'aéroport de Bâle-Mulhouse une cargaison de masques achetés en Chine par les régions Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté, pour se l'approprier. La voix de l'importateur français, chamboulé de s'être senti traité comme un bandit de grand chemin, tremble encore quand il confie au Point : « J'ai avancé l'argent aux régions, pris des risques pour aider mes compatriotes, et je continuerai à le faire. Mais ce jour-là, j'ai vécu les pires instants de ma vie… » L'histoire, que le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a tenté d'étouffer en niant tout acte de réquisition (alors qu'un arrêté a bel et bien été pris), a ulcéré les services de la région la plus durement frappée par le coronavirus, et mérite d'être racontée.
              Depuis des semaines cette mi-mars, alors que les hôpitaux ploient sous le choc de la vague, les élus de la région Grand Est réclament auprès de l'État des masques pour équiper leurs services médico-sociaux, leurs Ehpad, les médecins et infirmiers libéraux, les pharmacies, leurs personnels en contact avec le public… dont le travail est indispensable. Mais il n'y a pas de masques. L'existant est donc réservé au personnel soignant, que les ARS se chargent d'attribuer. Lorsque, le 20 mars, le gouvernement autorise à nouveau les collectivités à passer leurs propres commandes, beaucoup saisissent l'occasion. « Nous avons passé 72 heures à sélectionner un importateur avec de bons réseaux en Chine. Nous l'avons trouvé, avons vérifié ses antécédents auprès de la DGSI, et le 23 mars le bon de commande était signé pour cinq millions de masques. En l'apprenant, l'ARS a contacté notre importateur pour passer sa propre commande. »

              Une première cargaison arrive, incomplète, que l'ARS s'approprie en quasi-totalité. Puis une seconde, réceptionnée par l'armée sur le tarmac de l'aéroport, sans que les élus aient été informés. « C'est dingue ! La collectivité a fait tout le travail. Puis l'ARS est arrivée, a piqué notre boulot et la cargaison. Comment expliquer que ce qu'on a réussi à faire, personne ne l'ait fait avant ? Ça faisait trois semaines ici que les médecins libéraux demandaient des masques, et rien ne s'est passé ! » Devant les journalistes, pour « préserver l'unité nationale », les élus se retiennent. Mais dans les services, plusieurs craquent. « Quand l'hôpital de Mulhouse a été saturé, l'ARS aurait pu transférer des gens à Strasbourg : elle n'a rien fait. Il a fallu que notre président de région [Jean Rottner, NDLR] téléphone au ministre-président des Länder allemands pour qu'ils nous prennent des malades ! » La prochaine cargaison de masques, attendue ce samedi, « arrivera à Liège ou au Luxembourg. Pas question qu'on nous les pique ! »

              « Si je ne donne pas de masques aux éboueurs, en trois jours ma ville ressemble à Marseille en pleine peste noire »
              Dans toute la France, les élus rapportent de tels dysfonctionnements. À Limoges, à Bordeaux, en Loire-Atlantique… Les commandes passées par les collectivités, avec l'aide d'entreprises locales, arrivent au compte-gouttes, mais elles arrivent. Celles passées par Santé Publique France, qui chapeaute les commandes du ministère de la Santé, non. « Je n'ai rien contre le fait que l'ARS réquisitionne nos livraisons, mais ils auraient dû fixer la règle du jeu avant », s'agace un élu du Sud-Ouest. « Ces gens ne comprennent pas que si je ne donne pas de masque aux types qui montent à trois dans une cabine de camion poubelle, ils ne voudront plus y aller, et en trois jours ma ville ressemble à Marseille en 1348 en pleine peste noire ! L'ARS n'a aucune vision du terrain, et la nécessité absolue de donner des masques aux agents des ordures ménagères lui échappe totalement. » Une absence de vision quasiment structurelle qu'un cadre du département résume par ces mots : « Quand une catastrophe survient, on fait appel à la sécurité civile, aux forces armées, à la Croix-Rouge… mais pas à l'ARS. Toutes les autres crises ont été gérées par les préfets. »
              C'est le nœud du problème. Bijou d'architecture administrative extraordinairement complexe, les puissantes agences régionales de santé sont sur le terrain les tentacules du ministère. Créées en 2010 de la fusion de plusieurs services pour rationaliser l'offre de soin et veiller à une meilleure gestion des dépenses hospitalières et médicales, les ARS ont profondément bouleversé l'organisation des soins sur le territoire. La direction des hôpitaux, retirée aux médecins, a été confiée à des gestionnaires. Leur vaste administration a avalé les caisses régionales d'assurance maladie, et les politiques de veille, de sécurité, de police environnementale, de gestion des crises sanitaires qui, auparavant, étaient sous la houlette des préfets. « On les a créées pour de bonnes raisons, explique l'ancienne préfète de Loire-Atlantique Nicole Klein, qui fut également directrice de l'ARS d'Aquitaine au moment de sa création. On avait besoin d'un grand service public, qui soit indépendant du pouvoir politique. Mais ce sont deux mondes, deux cultures différents. » En temps normal, souligne l'ancien préfet Gilles Clavreul, « le rôle des ARS est de produire des normes et de la réglementation budgétaire. Mais on ne peut pas gérer une crise comme celle-là, à caractère universel et multidimensionnel, sans connecter le sanitaire à l'ordre public et à l'économie. Cela s'articule avec les peurs, la communication… Ce qui échappe totalement aux directions d'ARS. »

              Une administration obèse, aux antennes départementales squelettiques
              Et les critiques s'accumulent : ici, l'ARS a tardé à mobiliser les cliniques privées et leurs lits de réanimation, enfermée dans sa culture du « tout public. » Là, les pompiers relevant du préfet n'ont pas le droit de parler à l'ARS, qui ne savait donc pas qu'ils disposaient de gel hydroalcoolique. Ailleurs, les agences ont refusé pendant des semaines de fournir des masques au personnel médico-social, pourtant au contact permanent de personnes vulnérables. Comme elles ont refusé, en Indre-et-Loire notamment, de permettre aux laboratoires publics vétérinaires de réaliser les tests, une norme française contestée ne le permettant pas (le ministre, sous la pression des élus, l'a finalement adaptée.) La démission forcée, mercredi, de Christophe Lannelongue, le directeur de l'agence régionale de santé du Grand Est qui avait déclaré, alors que les hôpitaux débordaient, que les suppressions de lits et d'emplois prévues à l'hôpital de Nancy seraient maintenues après la crise, illustre le fossé qui sépare ces hauts fonctionnaires, sortant de l'ENA ou de l'Inspection générale des affaires sociales, des élus de terrain. « On fait des conférences téléphoniques à longueur de journée qui ne sont pas du tout opérationnelles », rapporte un élu de Rhône-Alpes, qui plaide, comme le député Philippe Vigier (UDI) dans un rapport récent, pour la suppression pure et simple des ARS.

              « C'est un sujet, admet un ministre. Les critiques contre les ARS avaient été nombreuses au moment du grand débat : les gens ne comprennent pas quand l'agence ferme une maternité qui a peu d'activité… » La solution, pour Nicole Klein, serait pourtant ailleurs. « L'administration est obèse au niveau national et régional, mais les ARS ont souvent négligé leurs antennes départementales. Les équipes y sont réduites, sans moyens, on n'y met pas les meilleurs agents… Or on voit que le département, c'est le bon échelon pour une crise comme celle-ci. » Et les compétences individuelles restent la clé de la réussite : « Des bras de fer avec l'ARS, j'en ai quasiment tous les jours, rapporte André Accary depuis la Saône-et-Loire. Mais le directeur se bat souvent avec nous pour que les dossiers avancent. Il fait monter l'information à Paris… Mais les autorisations ne redescendent pas. On aimerait tous, bien sûr, que ça aille plus vite. Mais cette crise est totalement inédite. On n'a pas de manuels, pas de précédents, on apprend tous les jours. Et chaque jour, on est plus efficaces. » Vaincre l'épidémie, d'abord. Le temps des mises au point, des rééquilibrages de terrain, et sans doute des réformes viendra ensuite.
              " Le plus grand dérèglement de l'esprit consiste à voir les choses telles qu'on le veut et non pas telles qu'elles sont " - Bossuet
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              “C’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison.” - Coluche

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              • Un spécial pour égayer le w/e pascal de Parisboy

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                  • Envoyé par Parisboy Voir le message
                    Sur l'"épidémie" qui menace l'ensemble de l'Humanité

                    au CHU de Nimes les soignants se contaminent entre eux !

                    et les soignants contaminés (une centaine) sont deux fois plus nombreux que les malades !

                    https://france3-regions.francetvinfo...s-1813538.html
                    on a le meilleur système de santé au monde (qui sacrifie beaucoup au passage)


                    Coronavirus : 50 cas positifs au Covid-19 sur le porte-avions français "Charles-de-Gaulle"

                    on se demande comment la marine n'a pas été plus prudente.

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                    • Envoyé par raptor90 Voir le message



                      on se demande comment la marine n'a pas été plus prudente.
                      Fallait savoir que le coronavirus savait nager

                      Commentaire


                      • Il n'entre pas que par la narine....

                        20h on me pardonnera.

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                          • Envoyé par Parisboy Voir le message


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                            • Envoyé par Parisboy Voir le message


                              Cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle   Nom : 		jesus christ.jpg  Affichages :	44  Taille :		67,2 Ko  ID : 			1960568
                              tu devrais faire le parisboypresse.fr
                              pour faire concurrence à nordpresse.be

                              Raël renomme sa secte les Raouliens

                              Le single « Où sont les masques ? » de Patrick Juvet en tête des ventes





                              netjoker à voile ou a vapeur ? t'as le meilleur des 2 mondes

                              Des provinciaux portent plainte contre la ville de Paris pour l’absence de bruit


                              j'ai un faible pour celui là

                              Le covidurage: nouvelle tendance du connard-bobo-écolo



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                              • Contrairement à ce que disent Netjoker et Moby sur l'incapacité de l'Etat macronien à commander des masques , des surblouses et du gel hydro-alcoolique, Castaner lui sait commander du gaz lacrymo (CS)

                                https://www.boamp.fr/avis/detail/20-31056/officiel

                                joyeuses pâques aux Français

                                pour le déconfinement les flics seront prêts !

                                Commentaire

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