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DJ plouf puis Cac plouf ?
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  • DJ plouf puis Cac plouf ?

    Pas encore de divergeance sur Rsi et Macd....
    Triangle avec objectif de baisse 9300 (Base du triangle reporté)

    Le risque de baisse persiste......
    Pas de gros rebond sur CAC , si pas de rebond sur Dow....
    Suggestion : attendre un rebond du Dow pour travailler un rebond sur CAC.
    J'essaie d'envoyer le graphique .....




  • #2
    plus moyen d'envoyer un graphique sorry

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    • #3
      Voila le texte de Météor....un vrai talent

      Ce qui va entrainer vers le bas le CAC , c'est la chute des indices US . Ne croyez surtout pas ceux qui disent qu'aux USA l'économie va " mieux que bien " , tout est " trés supérieur aux attentes " ! la seule chose qui est trés supérieur aux attentes c'est l'endettement ! les américains sont si endettés qu'ils ont une épargne négative . Et toute l'économie mondiale ne repose que sur leur capacité à prendre encore plus de dettes ! Ils n'ont donc aucune marge de manoeuvre en cas de recession et seront trés vite étranglés avec la hausse des taux . En France l'état emprunte pour ne pas finir l'année dans le rouge et il emprunte aussi pour payer les intérets de sa dette , mais il ne voit toujours aucune nécessité à réformer son train de vie ( l'exemple de l'Argentine n'aura pas servi de leçon ) . Dans la zone euro la masse monétaire atteint un niveau record : le crédit est facile et la planche à billet fonctionne bien ! Alors un CAC à 4800 en janvier , c'est jouable ?

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      • #4
        Suis-je distrait mais faut-il lire 4800 ou 3800?


        Merci

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        • #5
          Il fait de l'ironie....

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          • #6
            citation :
            Citation de IN-OUT

            Ce qui va entrainer vers le bas le CAC , c'est la chute des indices US . Ne croyez surtout pas ceux qui disent qu'aux USA l'économie va " mieux que bien " , tout est " trés supérieur aux attentes " ! la seule chose qui est trés supérieur aux attentes c'est l'endettement ! les américains sont si endettés qu'ils ont une épargne négative . Et toute l'économie mondiale ne repose que sur leur capacité à prendre encore plus de dettes ! Ils n'ont donc aucune marge de manoeuvre en cas de recession et seront trés vite étranglés avec la hausse des taux . En France l'état emprunte pour ne pas finir l'année dans le rouge et il emprunte aussi pour payer les intérets de sa dette , mais il ne voit toujours aucune nécessité à réformer son train de vie ( l'exemple de l'Argentine n'aura pas servi de leçon ) . Dans la zone euro la masse monétaire atteint un niveau record : le crédit est facile et la planche à billet fonctionne bien ! Alors un CAC à 4800 en janvier , c'est jouable ?



            Si l'on s'en tiens à tous ces exemples de folies, alors oui 4800 c'est jouable.

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            • #7
              USA
              PIB +3.8%
              PIB hors stock +4.4%.

              La fête continue !

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              • #8
                Merci In-Out , mais je ne pense pas avoir un talent spécial . Je viens de regarder sur france 5 un reportage intitulé "un baril à haut risque " : des experts et des ingénieurs du pétrole expliquent que les puits de pétrole du monde entier montrent des signes de fin de vie . Le pétrole que l'on extrait est de plus en plus de mauvaise qualité et les raffineries ont de plus en plus de mal à le travailler ; les réserves des pays producteurs sont surévaluées ; cette diminution des capacités de production arrive au moment où beaucoup de pays émergents ( Chine , Inde...) commencent à avoir des besoins énormes ; les compagnies pétroliéres prospectent peu car elles sont conscientes d'avoir fait l'inventaire des principaux réservoirs de la planéte . Les experts essayent d'alerter les hommes politiques des pays occidentaux mais ceux ci , soucieux de gagner les prochaines élections , ne veulent pas intégrer ces nouvelles dans leur programme économique . L'opacité du marché pétrolier est tel que la pénurie risque d'arriver brutalement sans que le monde n'ait eu le temps de mettre en place des énergies de substitution : on aurait alors un désastre , engendrant des conflits . Et comme il est dit à la fin du reportage ," les survivants devront apprendre à vivre sans pétrole "

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                • #9
                  Reuters le 28/10/2005 21h11
                  Le FMI préoccupé par les risques pesant sur la consommation US

                  par Laura MacInnis

                  WASHINGTON, 28 octobre (Reuters) - L'ampleur des déficits publics, l'envolée des prix immobiliers et la volatilité des marchés de l'énergie pourraient bientôt ralentir la consommation aux Etats-Unis et donc peser sur les perspectives de croissance mondiales, estime l'économiste en chef du Fonds monétaire international dans un discours rendu public vendredi.

                  Raghuram Rajan a précisé que l'économie mondiale devrait croitre de 4,3% environ cette année et l'an prochain mais il a souligné que des risques "considérables" pesaient sur son avenir.

                  "La principale préoccupation doit porter sur la croissance de la consommation aux Etats-Unis, qui soutient l'économie mondiale", a-t-il ajouté dans un discours daté du 25 octobre mais publié vendredi par le FMI.

                  Rajan a expliqué que les prix élevés de l'énergie, susceptibles de nourrir l'inflation et les anticipations d'inflation, pourraient conduire la Réserve fédérale américaine à relever ses taux plus rapidement et plus amplement qu'attendu, ce qui risquerait de provoquer une chute brusque de la consommation des ménages.

                  "Cela aura plusieurs conséquences défavorables", a-t-il poursuivi, notamment une baisse des investissements alors même que les pays à bas revenus et les pays émergents en manquent déjà.

                  "Ce qui m'inquiète le plus, ce n'est pas que la consommation américaine puisse ralentir: elle doit ralentir car elle est alimentée par des forces intolérables, a-t-il précisé. Ce qui m'inquiète, c'est qu'elle ralentisse de manière soudaine, supprimant un soutien majeur de la croissance mondiale avant que d'autres soutiens soient apparus".


                  DEFICIT

                  La première estimation du PIB américain publiée vendredi ne montre toutefois aucun signe de ralentissement de l'économie américaine: la croissance, alimentée notamment par la consommation, a atteint au contraire 3,8% en rythme annuel.

                  Rajan a aussi jugé que le déficit courant américain - qui représentera cette année près de 6,25% du PIB des Etats-Unis et plus de 1,5% du PIB mondial - constituait une autre source importante d'instabilité pour l'ensemble de la planète.

                  "Pour le financer, les Etats-Unis ont besoin d'attirer 70% de l'ensemble des flux de capitaux mondiaux", a-t-il rappelé, ajoutant que les pays producteurs de pétrole du Moyen-Orient contribuaient de plus en plus à combler ce déficit, leurs excédents dépassant ceux des pays émergents d'Asie.

                  Il a toutefois reconnu que le déficit américain était pour l'instant financé à plus de 100%.

                  "Sur la base des éléments dont nous disposons aujourd'hui, les banques centrales étrangères ne semblent pas ajuster systématiquement leurs achats de bons du Trésor américains aux évolutions du dollar pondéré des échanges", a-t-il dit. Mais il a estimé que les investisseurs privés, eux, pourraient se détourner des actifs américains.

                  "La crainte, c'est que le financement (du déficit) devienne de plus en plus difficile, ce qui aurait des conséquences sur les taux américains et sur le taux de change, précisément alors que d'autres facteurs ralentiraient les Etats-Unis et en feraient une destination moins attirante pour les investissements", a-t-il dit./MA


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