Bonjour,
Alors que le FMI réaffirme son objectif d’une croissance mondiale supérieure à 4% en 2005 malgré un baril qui a franchit les 70 dollars la semaine dernière, nous sommes en droit de nous interroger.
Nous interroger sur ce paradoxe : comment une telle flambée permet-elle de maintenir de telles perspectives ? Et si cette hausse agissait comme un régulateur ?
Tout d’abord, il convient de rappeler ce qui a déjà été écrit maintes fois sur notre site : nous n’avons pas affaire à un risque de pénurie d’or noir, mais c’est bien notre incapacité de raffiner la quantité demandée qui pose problème.
D’une certaine manière, nous nous inquiétons des risques récessifs de la hausse du pétrole, mais nous oublions qu’elle a été largement causée par l’activité industrielle aux Etats-Unis (20% de la consommation mondiale de brut) et par la Chine (20% de la consommation mondiale de métaux de base).
Ne serions nous pas actuellement en présence d’un phénomène de régulation qui verrait par l’augmentation du pétrole et le resserrement de la politique monétaire de la Fed, une volonté manifeste de réguler les marchés.
Amicalement
Alain
Alors que le FMI réaffirme son objectif d’une croissance mondiale supérieure à 4% en 2005 malgré un baril qui a franchit les 70 dollars la semaine dernière, nous sommes en droit de nous interroger.
Nous interroger sur ce paradoxe : comment une telle flambée permet-elle de maintenir de telles perspectives ? Et si cette hausse agissait comme un régulateur ?
Tout d’abord, il convient de rappeler ce qui a déjà été écrit maintes fois sur notre site : nous n’avons pas affaire à un risque de pénurie d’or noir, mais c’est bien notre incapacité de raffiner la quantité demandée qui pose problème.
D’une certaine manière, nous nous inquiétons des risques récessifs de la hausse du pétrole, mais nous oublions qu’elle a été largement causée par l’activité industrielle aux Etats-Unis (20% de la consommation mondiale de brut) et par la Chine (20% de la consommation mondiale de métaux de base).
Ne serions nous pas actuellement en présence d’un phénomène de régulation qui verrait par l’augmentation du pétrole et le resserrement de la politique monétaire de la Fed, une volonté manifeste de réguler les marchés.
Amicalement
Alain
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