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Peak-Oil - Inexorable hausse du prix du pétrole
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  • #46
    La production de pétrole a baissé en 2007, selon BP (La Tribune)
    vendredi 13 juin

    C’est son premier repli depuis 2002. BP indique également que la consommation de pétrole a progressé de 1,1% l’an passé.

    En plein débat sur les prix du pétrole, après les records de vendredi dernier, près des 140 dollars le baril, et l’annonce d’une réunion au sommet producteurs - distributeurs le 22 juin prochain à Djeddah en Arabie Saoudite, le grand producteur britannique BP révèle ce mercredi que la production mondiale de pétrole a décliné de 0,2% en 2007.

    (...)

    La Tribune

    BP : Statistical Review of World Energy 2008



    Il est très difficile d'affirmer avec certitude et à l'échelle mondiale, l'atteinte du peak-oil, généralement on s'en rend compte que plusieurs années plus tard.

    A l'échelle macro, on peut récupérer des indices qui convergent dans le même sens, et vont peut-être confirmer la théorie. Et si c'est le cas, des révolutions de grande ampleur vont avoir lieu... (ils ont déja commencé)

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    • #47
      Visiblement on manque surtout de raffineries pour traiter le petrole lourd si j ai bien compris le sens de plusieurs articles...
      Je remarque aussi que des qu on relance l exploration,on trouve des gisements un peu partout...plusieurs au Bresil,au Ghana,en arctique,en Iran,en Irak....

      Le blocage des productions iraniennes et irakiennes est un des soucis majeurs..est il volontaire ou non ??

      Lu n bouquin recemment qui evquait la geopolitique eet qui insistait sur le fait que la stabilite nuisait dorenavant principalement aux USA,et qu ils avaient interet a generer de l instabilite pour preserver leur leadership....leur dernier argument en tant qu hyper puissance est leur armee....interessant point de vue........

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      • #48
        Quelles sont les différences entre les sables bitumineux et le pétrole brut ?

        Le pétrole n'est pas extrait de la même façon que les sables bitumineux. L'or noir est enfoui sous plusieurs couches géologiques, qu'il suffit de percer pour qu'il remonte à la surface, car le pétrole brut est liquide. Les sables bitumineux sont au contraire solides. Le mode d'extraction employé pour eux s'apparente davantage aux techniques minières utilisées pour l'or et le charbon. Une fois extraits, les sables bitumineux doivent subir un premier raffinage pour être liquéfiés, à la façon d'un pétrole lourd. Cette production est donc plus coûteuse que celle du pétrole brut léger. Elle est plus longue, plus complexe. Elle impacte davantage l'environnement, car le raffinage des sables bitumeux consomme beaucoup d'eau. Mais les sables bitumineux présentent l'avantage de réserves certaines.



        Le Pic pétrolier auquel je fais référence, sous entend pétrole conventionnel (léger), le pétrole lourd est plus proche du charbon qu'on peut aussi liquéfier, mais à quel prix (pas en dollar), son exploitation va engendrer une pollution monstrueuse...

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        • #49
          Je partage clairement le point de vue de SBsamy

          Il est vrai que pour cela nous avons une référence commune les publications de l'association ASPO.

          Pour mémoire
          le peak de production au état unis a été en 1976
          celui de la russie en 1998
          celui des champs de mère du nord 2000

          (merci de corriger si vous avez plus de précision)

          Selon l'association aspo la majorité des pays producteurs mondial ont dépassé le pic de production.
          ensuite quelque soit les technologies mise en oeuvre vapeur, eau, produit chimique... il n'est plus possible de pomper à l'identique ou davantage

          L'aspo a revisé ces modèles pour prendre en compte les difficulté d'accès des champs en eau profonde
          Cette revision à fait basculer le peack de production de 2010 à '2007'

          Les dés sont jétés le peak est derrière nous
          La saturation de moyens de production à l'echelle mondiale en pleine explosion de la demande nous propulse dans un monde difficile.

          Quand l'opep annonce un surplus de production pour le mois de juillet c'est, je pense, un coup de bleuf.

          Pour mémoire les pays de l'opep ont surévaluer de 30% leur reserve pour s'affranchir a titre individuel des régles de calcul de production maximal de l'opep

          Enfin les sur évaluation ont profité aux socièté pretrolière dont la valeur dépend des reserves dite 'prouvées'.

          Personne dans ce contexte n'a interet à reconnaitre une baisse de capacité de production ou une reserve à revoir en baisse par rapport au annonce précédente

          Le marché a une réalité: l'aujustement du prix entre l'offre et la demande et le désequilibre actuel n'est pas pret de ce combler.

          Si je me souviens bien le peak de découverte de nouveau champ pétrolier date de 1965

          L'association ASPO est née du regroupement d'ingénieurs spécialisés qui ne constataient sur le terrain aucune découverte spécifique et entendait cependant des communications sur de nouvelle découverte par les société qui les employées et même sur les champs qu'ils connaissaient en détail.

          A la retraite ils ont échangé entre professionnel pour constater que cette manipulation des chiffres avait un echo identique sur la quasi totalité des champs pétrolifer mondiaux depuis il consolide une base de données à l'echelle mondiale.

          Depuis plus de 10 ans leur travail de deconstruction des mensonges des lobiing prétrolier est remarquable.

          lien aspo france http://aspofrance.org/

          La source de l'association est le professeur Cambell en irlande dont je recommande la lecture de la lettre mensuelle
          http://www.peakoil.ie/

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          • #50
            Cruel sera le réveil : le krach pétrolier

            Historique et avenir de l’énergie fossile la plus prisée au monde.

            En rassemblant des images d’archives, des documents de la Nasa et des extraits de films, le réalisateur Ray McCormack et le journaliste Basil Gelpke prévoyaient déjà, il y a deux ans, la crise du pétrole dans laquelle nous sommes entrés. Dans un tour du monde d’experts, leur documentaire montre comment, en 150 ans, l’homme a presque épuisé des réserves qui ont mis plusieurs millions d’années à se constituer. Ce constat soulève des questions inquiétantes pour l’avenir proche : combien de pétrole reste-t-il ? Se pourrait-il qu’une guerre éclate entre des pays s’arrachant les dernières réserves ? La recherche se tourne vers de nouvelles sources d’énergie, pour que l’on puisse un jour pallier l’épuisement de ces ressources non renouvelables. Ainsi, au-delà de l’avenir du pétrole et de son histoire, le film s’interroge sur la question énergétique dans sa globalité, sans doute la plus importante et la plus complexe de notre époque, dont il expose avec clarté et rigueur les paramètres écologiques, économiques et politiques...

            http://www.dailymotion.com/video/x6s3co_petrole-cr...

            http://www.dailymotion.com/video/x6s59s_petrole-cr...

            http://www.dailymotion.com/video/x6s6t2_petrole-cr...

            http://www.dailymotion.com/video/x6s9fb_petrole-cr...

            http://www.dailymotion.com/video/x6sbxv_petrole-cr...

            L’agriculture ne représente qu’une fraction modeste de la consommation de pétrole, mais c’est peut-être ce secteur qui crée la dépendance la plus vitale : sans les pesticides et les machines agricoles, qui s’appuient sur le pétrole (les engrais sont confectionnés à partir de gaz naturel), il ne serait pas possible d’avoir les rendements agricoles actuels, ni de nourrir une population mondiale aussi nombreuse.

            Les spécialistes les plus optimistes situent le pic pétrolier vers 2020 alors que certains le situent (en 2008) dans le passé ou dans un avenir très proche : ces derniers font valoir que le déclin des gisements de pétrole conventionnel est plus avancé que ce qui est officiellement annoncé et que la mise en production du pétrole non conventionnel (sables bitumineux), qui doit prendre le relais du pétrole conventionnel, se fera plus lentement que prévu et portera sur des volumes annuels relativement faibles.

            Les spécialistes les plus pessimistes estiment que l’économie mondiale doit se préparer au plus tôt à la transition vers une ressource pétrolière décroissante car son fonctionnement repose aujourd’hui largement sur les sous-produits de cette matière première ; la transition vers une société fonctionnant avec un pétrole rare et cher durera au moins vingt ans. Le choc pétrolier qui suivra le pic pétrolier sera d’autant moins violent que la société aura su s’y préparer.

            Où se situe le pic pétrolier mondial ? Ce point est débattu par les experts. Certains d’entre eux estiment que nous y sommes déjà. D’autres imaginent, au contraire, que nous ne l’atteindrons pas avant dix ou vingt ans. Le plus important, c’est de réaliser que l’extraction pétrolière ne peut être augmentée indéfiniment. Elle était d’1 million de barils/jour (1 baril = 159 litres) en 1914 et de 6 millions en 1945. Ce fut ensuite l’embal- lement : aujourd’hui, elle atteint 87 millions de barils. De combien peut-on encore dépas- ser ce chiffre ? La compagnie pétrolière Total estime que la planète n’arrivera pas à 100 millions de barils/jour. Les représentants de Saudi Aramco voient le maximum d’extrac- tion autour de 90 à 95 millions de barils.

            Ce qui est certain, c’est que le pic pétrolier est une loi de la nature à laquelle ni la technologie ni l’argent ne nous permettront d’échapper.

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            • #51
              La production pétrolière déclinerait de 9% par an, selon l’Agence Internationale de l’Energie (FT Alphaville)
              mercredi 29 octobre

              Output from the world’s oilfields is declining faster than previously thought, the first authoritative public study of the biggest fields shows. Without extra investment to raise production, the natural annual rate of output decline is 9.1 per cent, the International Energy Agency says in its annual report, a draft of which has been obtained by the FT. Even with investment, the annual rate of output decline is 6.4 per cent. Bloomberg reports crude oil rose for the first time in four days after yesterday’s surge in US stocks and the prospect of another Opec meeting regarding production rates.

              FT Alphaville

              http://contreinfo.info/breve.php3?id_breve=4527


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