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  • File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

    On y arrivera !

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    • Génial, Eutectique, ton graphe !
      Gros biais baissier pour la suite. OK
      Conséquences sur les indices boursiers ? biais haussier ?
      Question qui m'occupe ce week-end.

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      • Attention !
        SI c'est une correction en ABC
        ALORS la B peut encore se faire grace à Gustave
        avec un target pour la B = 130 > 128
        ensuite seulement 100 > 98 pour la C (hypothèse)

        sauf si quelques fous mettent la feu au lac de pétrole

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        • File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

          On y arrivera !

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          • Mise en perspective.
            Il y a peu le laitmotiv était " corrélation du prix du baril /dollar us"
            Plus celui si chutait plus le prix du baril montait.
            Mais Chute de l'euro d 'environ 10% depuis son + haut 1.60
            et chute de 30% du prix du baril.
            Le $ devrait donc être selon cette corrélation être + bas.
            Décorrélation qui implique que les "corrélations doivent tenir compte du fondamental. Ce que comprirent les acheteurs du contrat 110$ qui ont bien piégé les acheteurs forcés de se ruer en masse vers le toute petite porte de sortie.
            Le développement des énergies "durables" et propres face à la demande qui s'affaiblit (mais à 100$ les mauvais usagers sans conscience que nous sommes tous plus ou moins reprendront un peu plus leur caisse) va certainement inciter les pompeurs de pétrole à controler le prix du barril ( c'est ce qu'à compris les shorteurs)et à le maintenir dans une fouchette de prix raisonnable afin de maintenir et d'adapter leur capacité de production ( today l'offre dépasse la demande)ainsi que leur marge of course.
            Un prix qui devrait cependant permettre les dipp drill et autres boues bitumineuses.
            La question qu'on se pose parcequ'on est trader et qu'au final on en a rien à battre des raisons du pourquoi c'est est-ce le moment d'acheter les pétroleuses.
            J'ai un prix du baril que j'aime bien 104.60. Faudra voir comment les prix évolue autour de ce prix avant de passer acheteurs MT.Pour le moment je suis en phase de digestion

            PS: 87$ est, il me semble le seuil de rentabilité d'extraction du pétrole en eau profonde.

            PS: quand est-ce que la BCE abandonnera son attitude psycho rigide? L'europe sans une zone économique forte et surtout sans une influence géopolitique forte ( la russie vient de nous taper sur les doigts) ne peut se prévaloir d'une monnaie forte (se serait une illusionet une erreur, néfaste pour nos économies)aussi maintenir les taux est à mon humble avis se tirer une balle dans le pied.

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            • VIENNE (AFP) - Les ministres du Pétrole de l'Opep qui arrivaient à Vienne lundi vont débattre d'une baisse de leur production lors de leur réunion mardi afin d'enrayer la chute des cours de l'or noir, avec en tête l'idée de défendre un seuil de prix minimum.

              "Il y a trop de pétrole sur le marché" a asséné le ministre iranien du Pétrole, Gholam Hossein Nozari, à son arrivée à Vienne lundi.

              "Nous ne pensons pas qu'il y ait un besoin de réduction de la production" de l'Opep, a déclaré pour sa part le ministre koweïtien du Pétrole, Mohammad al-Olaim, dont le pays est le 4e grand producteur au sein de l'Opep et pompe quelque 2,58 millions bj (mbj) de pétrole. Sa capacité de production est d'environ 2,7 mbj.

              Le chef de la délégation lybienne, Choukri Ghanem, a, lui, affirmé dès dimanche que les pays membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) devaient mieux respecter leur quota.

              Téhéran, Tripoli et Caracas s'inquiètent de la récente chute des prix du baril.

              Le cours du baril était en hausse de plus de 2 dollars lundi matin à près de 109 dollars en raison de l'arrivée de l'ouragan Ike dans le Golfe du Mexique, mais reste inférieur de plus de 25% à son record du 11 juillet, à 147,50 dollars.

              L'Iran, le Venezuela et la Libye jugent que l'Arabie saoudite, premier producteur mondial et chef de file de l'Opep, devrait réduire sa production pour enrayer ce déclin des cours.

              Au printemps, l'Arabie avait augmenté unilatéralement de 500.000 barils par jour son offre pour donner un gage de bonne volonté aux pays consommateurs et tenter de freiner la flambée des prix pétroliers.

              Au total, l'Opep dépasse d'un million de barils ses objectifs officiels de production.

              Ryad pompait à des niveaux record, autour de 9,6 millions de barils par jour (mbj) en juillet, alors que son quota n'est que de 8,94 mbj.

              Mais depuis, les prix ont chuté spectaculairement alors que le ralentissement économique mondial pèse sur la demande d'or noir.

              Devant la menace d'une récession aux Etats-Unis et en Europe, les ministres de l'Opep s'inquiètent de voir les cours tomber davantage et gardent en mémoire le scénario catastrophe de 1998, quand le baril était tombé à 10 dollars dans la foulée de la crise asiatique.

              Mais tous les membres de l'Opep ne s'accordent pas sur le plancher de prix à défendre. Les plus "durs" semblent déterminés à empêcher le baril de tomber sous 100 dollars.

              Pour le ministre équatorien du Pétrole et des Mines, Galo Chiriboga, un prix "raisonnable" se situe entre 110 et 120 dollars, mais un prix inférieur à 100 dollars ne serait pas "adéquat".

              Le ministre iranien du Pétrole, Gholam Hossein Nozari, a récemment plaidé en faveur d'un plancher à 100 dollars.

              Pour David Kirsh, analyste de PFC Energy, "le gouvernement iranien cherche à assoir sa popularité à l'approche d'une période électorale, et 100 dollars le baril lui donne plus de marge de manoeuvre pour injecter des fonds dans l'économie, même si un baril à 66 dollars est suffisant pour équilibrer son budget".

              Le Venezuela, lui, "a besoin d'un baril à 100 dollars pour équilibrer ses comptes", ajoute-t-il.

              A l'inverse, les riches monarchies du Golfe peuvent se contenter d'un prix beaucoup plus bas. Pierre Terzian, de Pétrostratégies, voit l'Arabie saoudite défendre un plancher de 80 dollars.

              David Kirsch juge qu'ils pourraient se satisfaire d'un niveau plus bas. "Je ne pense pas que les pays du Golfe vont faire face à une crise budgétaire avec un baril à 70 dollars". Une baisse des cours pourrait aussi contribuer à calmer leur inflation galopante.

              Tous s'accordent, selon lui, sur la nécessité de couper un peu la production pour éviter un surplus. La question est de savoir quand et comment.

              L'option la plus probable est celle de retrancher l'excédent de production, et de maintenir les quotas officiels jusqu'à la prochaine réunion, prévue en décembre.

              Une réunion extraordinaire pourrait être envisagée plus tôt si les prix reculaient trop vite.

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              • VIENNE (Reuters) - L'Opep a annoncé à Vienne une baisse effective de sa production de 520.000 barils par jour afin de respecter les quotas de 28,8 millions de bpj fixés en septembre 2007.

                "Comme le marché est sur-approvisionné, la conférence est d'accord pour se conformer aux allocations de production de septembre 2007", a déclaré l'Opep dans un communiqué à l'issue d'une réunion qui a duré près de cinq heures.

                Les membres de l'Opep "se sont engagés à respecter strictement ces quotas", une décision destinée à enrayer la baisse du prix du baril.

                Le président en exercice de l'Opep, Chakib Khelil, a déclaré que cela correspondait à une baisse effective de 520.000 bpj comparée à la production de juillet 2008. Il a précisé que les pays membres allaient ajuster leur production dans un délai de 40 jours.

                Cette annonce a surpris les analystes qui s'attendaient à ce que l'Opep maintienne sa production en l'état en raison de l'amplitude des stocks mondiaux et d'une baisse de la demande.

                Elle a immédiatement entraîné un rebond du prix du baril de brut américain pour les livraisons d'octobre à 103,80 dollars (à 01h47 GMT) contre 102,06 dollars quelques heures plus tôt.

                Après être passé sous les 100 dollars à Londres, son plus bas niveau depuis cinq mois, le baril de Brent est remonté à 100,80 dollars.

                L'Opep a précisé que cette mesure prenait en compte l'intégration des nouveaux membres que sont l'Angola et l'Equateur ainsi que l'exclusion de l'Indonésie et de l'Irak.

                Les pays membres de l'Opep, qui ont entériné le départ de l'Indonésie, sont par ailleurs convenus de se retrouver le 17 décembre à Oran, en Algérie.


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                • File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

                  On y arrivera !

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                  • ou ça


                    File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

                    On y arrivera !

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                    • Bonjour

                      ama...
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                      L'analyse ici
                      http://tiresias.over-blog.net/

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                      • Sous les 100$

                        NEW YORK (AFP) - Les prix du pétrole sont tombés sous les 100 dollars vendredi à New York, pour la première fois depuis le 1er avril, malgré l'impact du passage de l'ouragan Ike dans le golfe du Mexique et le sud des Etats-Unis, le marché restant focalisé sur le recul de la demande.

                        A l'issue d'une séance volatile, le baril de "light sweet crude" pour livraison en octobre a clôturé à 101,18 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), en hausse de 31 cents par rapport à la clôture de jeudi.

                        Mais il est tombé en séance à 99,99 dollars, peu avant 18H00 GMT, seuil sous lequel il n'avait plus évolué depuis le 1er avril.

                        A Londres, le baril de Brent était passé mardi sous ce seuil, pour la première fois depuis le 2 avril.

                        Les cours ont perdu près de 50 dollars depuis leurs records, à 147 dollars, atteints le 11 juillet.

                        Ce seuil symbolique a été franchi alors même que le golfe du Mexique est balayé par l'ouragan Ike, qui devait toucher en soirée les côtes texanes.

                        Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur américain, la production de la zone (1,3 million de barils de pétrole par jour) était interrompue à 97%, alors que les compagnies pétrolières ont dû évacuer leurs plateformes à l'approche de l'ouragan.
                        Mais selon les analystes, Ike, en traversant le sud du golfe, devrait avoir épargné la majorité des installations off-shore.

                        "C'est une réaction typique quand passe un ouragan: certes, la production est temporairement interrompue et les importations retardées, mais en cas de difficultés d'approvisionnement, les Etats-Unis peuvent piocher dans les réserves stratégiques", a expliqué James Williams, de WRTG Energy.

                        Mais "le marché est dominé par les inquiétudes concernant le recul de la demande dans le monde", a ajouté l'analyste.

                        Selon les derniers chiffres du département américain de l'Energie, la consommation de produits pétroliers des Etats-Unis a reculé de 3,8% au cours des quatre dernières semaines par rapport à la même période l'an dernier, et celle d'essence de 2,1%.

                        Et les investisseurs s'inquiètent désormais du ralentissement économique en Europe ou au Japon.

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                        • Pour rappel, en mai, Goldman prévoyait un baril à 200$. On aimerait connaitre leurs positions exactes sur ce marché...

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                          • Je fais remonter le sujet : Quel est votre avis sur les contrats futures du brent ou du crude oil ?

                            Merci d'avance

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                            • File réservée à la Tectonique des vagues, intraday, uts courtes

                              On y arrivera !

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                              • La production de pétrole US à son plus bas niveau depuis 1946

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                                Cette baisse de la production est due au passage des ouragans Gustav et Ike qui ont un moment interrompu presque toute la production dans le golfe du Mexique d'où sont extraits 1,3 million bpj.

                                Plusieurs semaines après le passage de ces ouragans, 45% de la production du golfe du Mexique reste paralysée.

                                Dans sa dernière prévision mensuelle en date, l'agence estime que la production offshore et onshore américaine devrait au total s'élever en moyenne à 4,96 millions bpj cette année, soit 100.000 bpj de moins que l'an dernier.

                                La production devrait se redresser à 5,29 millions bpj en 2009, ce qui reste loin des 9,6 millions bpj de 1970, année record, note l'agence.

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