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  • Fragmenter le coeur nucléaire en petits morceaux !



    Par pur bon sens, aucunement étayé par une quelconque information scientifique - je n'ai pas cherché - il me semble que les coeurs de réacteur vont devoir être mis en petits morceaux.

    Les pièces détachées, éparpillées ou isolées, devraient pouvoir être plus facilement maitrisées.

    Mais, la première étape reste toujours le REFROIDISSEMENT DES REACTEURS.

    Cette idée me permet de conserver de l'optimisme, une solution à l'esprit.

    Il me semble que, pour réaliser ce démantèlement du réacteur, des robots sont nécessaire. Ils seraient commandés à distance. Personne n'en parle.

    En quoi cette idée serait farfelue ?
    Je demande à savoir.

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    • [

      b]Une centrale nucléaire peut-elle exploser
      comme une bombe atomique ?



      http://www.techno-science.net/forum/viewtopic.php?...

      Un intervenant à l'article = StarDreamer :
      "Pas d'accord.
      Une explosion nucléaire peut avoir lieu lorsque la masse critique est atteinte, sans utiliser les artefacts des bombes que sont les explosifs de compression et les accélérateurs de neutron.

      C'est en ce sens que je n'aime pas l'usage du mot "fusion" dans les médias, qui amalgame les risques majeurs de perte de contrôle d'un réacteur par fonte de ses barres de contrôle (le mot fusion décrit ici la fusion de ces barres qui ne servent alors plus). En utilisant ce mot, les médias suscitent la peur car le mot fusion abreuve les esprits avec l'idée d'une explosion par fusion nucléaire (bombe H), totalement impossible dans un réacteur nucléaire.

      Par contre, le grand risque est que le coeur continue à s'échauffer sans cesse, faute de refroidissement et surtout de ralentissement des neutrons par les barres de contrôle (modérateurs de neutron). L'urgence actuelle, quand on parle de refroidir les réacteurs japonais, est donc de refroidir les systèmes de contrôle (barres de contrôle) pour ralentir les neutrons et stopper la fission des atomes dans le coeur (on n'arrête pas une fission avec de l'eau).
      Si les procédures échouent, c'est le risque que le processus de fission s'emballe. Ce processus n'entraînera pas d'explosion nucléaire, mais l'énergie libérée va chauffer toujours plus le coeur du réacteur. Et là arrive la catastrophe majeure, niveau 7 comme à Tchernobyl, où le coeur est tellement chauffé que le combustible se met à fondre pour se regrouper au fond du réacteur.
      Plusieurs risques :
      1 - que le dihydrogene libéré par la réaction n'explose et expulse du matériau nucléaire, contaminant fortement la région alentour - le moindre mal.
      2 - que le coeur chauffe tellement qu'il commence à fondre la cuve du réacteur et la roche sous lui. Par gravité, le magma de combustible s'enfoncerait alors jusqu'aux nappes phréatiques, libérant d'immenses nuages de vapeur radioactives et polluant toutes les eaux du sous-sol pour un temps indéterminé - le fameux syndrome chinois, aux conséquences incalculables.
      3 - et enfin, que le magma de combustible soit si concentré, surtout si le dernier chargement de combustible a eu lieu récemment, et que la masse critique soit atteinte (dépend du combustible, pire avec du NOX). En ce cas, une augmentation exponentielle du processus de fission amènerait à une explosion nucléaire par fission (bombe A).

      Cette dernière option nécessite son lot de malchances pour en arriver là, mais c'est possible, et c'est le risque majeur.
      Pour un japon traumatisé par déjà 2 bombes nucléaires, ce serait psychologiquement très dur à supporter.
      Sans compter les morts causés par l'explosion elle-même (mais la région étant évacuée, se serait bien peu).
      Beaucoup de retombées radioactives suite à l'explosion, occasionnant de graves problèmes de santé sur l'archipel.
      Mais, au final, des conséquences sûrement plus faibles qu'un syndrome chinois.

      D'après des infos que j'ai pu lire sur Tchernobyl, les soviétiques, à l'époque, avaient envisagé de lacher une bombe H sur le site nucléaire si le coeur arrivait à un point de fusion tel qu'un syndrome chinois puisse apparaître. "Nettoyer" la zone à coup de bombe (et répandre la matière nucléaire du réacteur avant qu'elle n'entame son voyage dans les entrailles de la terre) semblait moins "grave" (zones stériles à des dizaines de kms autour de l'explosion) que prendre le risque de polluer tous les aquifères de l'union soviétique (amplitude des zones non mesurées).Voici ma petite pierre à l'édifice. :_salut:
      (je précise que je ne suis pas anti-nucléaire, mais que toute info sur le sujet est importante).

      EDIT: par rapport à l'article : c'est bien beau de dire que l'U235 n'est pas fissile, mais le combustible est justement enrichi en U238 pour permettre la réaction de fission (un réacteur nucléaire n'est qu'une bombe au ralenti). Et c'est encore pire pour le NOX qui est un mélange avec du plutonium (militaire, dont on ne sait plus quoi faire du stock)."

      Merci à Stardreamer pour son excellent message, posté en réponse par rapport à un article publié sur Techno-Science.net, dont voici le lien :
      http://www.techno-science.net/forum/viewtopic.php?...

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      • http://www.moneyweek.fr/20110452049/actualites/act...



        http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/04/09/0401...

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          http://www.lemonde.fr/japon/infographie/2011/04/13...

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          • La vraie crise est devant nous
            L’agence de notation Standard & Poor's a annoncé ce lundi qu'elle faisait passer la perspective d'évolution de la note de la dette américaine de "stable" à "négative". Une décision qui sonne comme un avertissement et fait écho aux récentes dégradations des dettes européennes en Grèce, en Irlande ou au Portugal. Après la crise économique et financière de 2008, nous dirigeons-nous vers une crise de la dette publique ?

            Après la crise des dettes privées, symbolisée par la faillite de Lehman Brothers en 2008, nous entrons de plain pied dans la crise des dettes publiques, simultanément aux États-Unis, en Europe et au Japon…

            Les États menacés par la dette

            Jusqu’ici, un incorrigible optimiste pouvait penser que les États s’accommoderaient des montagnes de dette publique accumulées depuis la crise des subprimes de 2008 pour renflouer le secteur bancaire et soutenir la conjoncture. Désormais ce n’est plus possible, les faits ont parlé : l’agence de notation Standard & Poor’s a « osé » mettre, le 18 avril, la note de la dette des États-Unis sous « surveillance négative », c'est-à-dire que le triple A sera perdu dans les deux ans si le pays ne redresse pas la barre. En pleine période électorale, l’espoir est mince.

            Le même jour, les bourses européennes prenaient conscience, en chutant lourdement, que la Grèce, l’Irlande et le Portugal ne pourraient pas rembourser toutes leurs dettes et que la restructuration devenait inévitable. Ce défaut partiel entraînera de sévères pertes dans les bilans des banques européennes, les États devront, une fois de plus, venir à leur rescousse, mais pourront-ils emprunter encore plus sur les marchés ? Ne parlons même pas de l’Espagne, également en difficulté, et n’oublions pas le Royaume-Uni où la croissance patine. Enfin, le Japon, déjà surendetté avant la tragédie du tsunami et la catastrophe de Fukushima, lutte pour éviter la récession.

            Risques d'inflation et de turbulences

            Que faire ? La planche à billets (l’État s’endette et se finance en faisant racheter ses obligations par la banque centrale) ? Mais elle tourne déjà à plein régime aux États-Unis, au Japon et, dans une moindre mesure, en Europe pour les pays en difficulté ! Et cette création monétaire débridée commence à se transformer en inflation, chacun peut le constater en faisant ses courses ou le plein d’essence.

            La reprise ? Faiblarde et artificiellement soutenue par les dépenses publiques et des taux d’intérêt maintenus au plancher par les banques centrales, entre 0 (Etats-Unis, Japon) et 1,25 (Europe), elle n’offre pas de planche de salut.

            Nous entrons donc inéluctablement dans la deuxième phase de la crise, celle des dettes publiques, dont les répercussions s’étendront à l’ensemble du secteur financier puisqu’il les détient dans ses comptes, puis à toute l’économie. Cette fois les épargnants ne seront peut être pas sauvés, disons le clairement, ni la récession évitée. Quel grand ensemble économique (États-Unis, Europe, Japon) craquera le premier ? Assisterons-nous à une guerre des monnaies (dévaluations compétitives) ? Aurons-nous un krach type Lehman ou une lente et profonde dégradation ? L’histoire n’est pas écrite mais elle est sombre.

            banques | création monétaire | crise financière | dette publique | Etats | Etats-Unis | Grèce | inflation | marchés financiers

            Economie | Finance | International

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            Commentaires
            Nos articles sont ouverts aux commentaires sur une période de 4 jours

            Par gabriel75015 - 20/04/2011 - 11:01 - Signaler un abus
            La contamination des dettes publiques
            Dans l'hypothèse d'une crise internationale des dettes publiques, les créanciers de la dette française (82 % du PIB) pourraient demander plus tôt un remboursement.
            Bien évidemment, l'Etat ne pourra honorer ses engagements, puisque à l'heure actuelle, nous empruntons afin de payer la charge de la dette (45 Mds par an).
            Par gabriel75015 - 20/04/2011 - 10:55 - Signaler un abus
            Grandes différences
            Contrairement à l'Europe, la dette publique des USA et du Japon est détenue respectivement par 25 et 100 % des habitants.
            Ce sera donc l'épargne des populations qui servira de variable d'ajustement.
            En France, notre dette est détenue à 62 % par des non -résidents (fonds souverains, fonds de pensions...).
            Par sarlatg - 19/04/2011 - 17:23 - Signaler un abus
            Europe et Etats-Unis, des situations complètement différentes
            Oui, les USA font partie, avec le UK, l'Irlande, le Portugal et la Grèce (tiens, tiens...), des pays dont le ratio (dette publique + dette des ménages) / PIB dépasse les 200%.
            Mais le $ a un statut à part et les US ont démontré une volonté de solutionner le problème : ils ont laissé mourir une banque et ils programment la fin de leurs subventions au crédit immobilier
            www.guillaume-sarlat.fr
            Par slavkov - 19/04/2011 - 15:47 - Signaler un abus
            déjà vu ...
            ... malgré les optimismes affichés dans les sphères irresponsables du "politico-médiatiques" nous n'avons pas encore payé cette crise ...
            Par NOVY12 - 19/04/2011 - 14:44 - Signaler un abus
            OH ! BAMA !!!
            14.000 Milliards de Dollars cela fait sauf erreur 140 % du PIB US !!!
            Peut être plus depuis la crise financière....
            L'agence de notation US a osé cette fois ! Est ce un acte de courage
            ou l'annonce obligatoire du début de la fin !!
            Par piano - 19/04/2011 - 13:54 - Signaler un abus
            Incroyable ! Je crois que les premiers articles concernnant le
            déficit structurel américain et les dangers qu'il représente pour l'ensemble du monde datent de 1995. C'étaient les premières (?) critiques du soutien à l'économie par le crédit (Reagan/Bush/Greenspan).
            L'accélération de la dégradation correspond à l'abrogation du Glass Steagal act en 1999, qui a permis de démultiplier les capacités d'endettement.
            Les subprimes sont une cerise sur le gateau.
            Par Philippe David - 19/04/2011

            http://www.atlantico.fr/decryptage/crise-dette-pub...

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            • Dégradations !!!!



              Bonjour les notes dégradées, les portes qui claquent, les changements de postes !



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