A l’amorce de la nouvelle année boursière il est d’usage de se muer en Mme Soleil dans l’espoir d’exploiter, au mieux, les enseignements résultants des évolutions de l’année écoulée
tout en intégrant l’hypothétique contenu des futurs paramètres macro économiques.
Mais, bien que cette synthèse d’éléments disparates soit nécessaire à l’élaboration de stratégies, il faut toujours garder à l’esprit que, ce genre d’exercice prévisionnel demeure une entreprise soumise aux risques de coups de théâtre exogènes aux marchés, donc, non anticipés.
En conséquence, il est raisonnable de relativiser la fiabilité de telles analyses qui, in fine, ne tentent simplement que de se tromper le moins possible.
S’il est acquis que l’exercice de prédiction boursière n’est jamais une chose aisée, en ce début 2015, il semble tout particulièrement difficile d’anticiper, tout autant, l’actualité macro-économique dont, la teneur fut souvent contradictoire ces dernières semaines que, les nombreux risques politiques, sans omettre les futures réorientations stratègiques des grandes banques centrales.
C’est donc dans ce contexte d’opacité et d’incertitudes qu’il va falloir tenter d’envisager l’avenir, alors que le bilan annuel du Fce/Cac40, se solde par une évolution nettement moins flatteuse que la plupart des autres grands indices mondiaux.
Cet écart de performances, constaté, résulte de prises de bénéfices appuyées, déclenchées au mois de juin dans la zone des 4500 points, concordant avec le niveau d’extension, 161,80% de 3662/2296.
En conséquence, l’hypothèse émise au début du second semestre, d’une amorce corrective de moyen terme, se trouve étayée par la configuration de la bougie annuelle et cela d’autant plus que, les MM20, mensuelle et hebdomadaire, bien que préservées en fin d’année, sont sous pression.
De ce constat, il résulte que l’élaboration des différents scénarii possibles va se faire à partir d’une zone clef centrée autour du niveau, 4181, ouverture 2014, dont, la préservation constitue un enjeu majeur pour 2015, dans l’optique de conserver la possibilité d’une reprise haussière.
Dans l’hypothèse d’un maintient des cours au-delà de la zone, 4181, l’éventualité d’une invalidation du mouvement correctif débuté au mois de juin serait envisageable à la condition d’un franchissement net du niveau, 4427, qui ouvrirait la voie à un retour en direction de, 4574, qui constitue le premier objectif haussier annuel.
Au-delà de ce repère, la zone incluse entre les niveaux 4860 et 4945, constitue le second objectif de l’année.
A l’inverse, un échec à sauvegarder la zone clef, centrée autour de 4181, aurait pour conséquence de renforcer l’hypothèse corrective avec pour objectif de provoquer un retour vers la zone de support, 3778.
Une rupture de ce repère, conduirait à envisager une continuation possible en direction de, 3457.
4860 Ouverture 2008
4574 + Haut 2014
4181 Point clef annuel
4178 + Bas 2014
3457 Ouverture 2013
tout en intégrant l’hypothétique contenu des futurs paramètres macro économiques.
Mais, bien que cette synthèse d’éléments disparates soit nécessaire à l’élaboration de stratégies, il faut toujours garder à l’esprit que, ce genre d’exercice prévisionnel demeure une entreprise soumise aux risques de coups de théâtre exogènes aux marchés, donc, non anticipés.
En conséquence, il est raisonnable de relativiser la fiabilité de telles analyses qui, in fine, ne tentent simplement que de se tromper le moins possible.
S’il est acquis que l’exercice de prédiction boursière n’est jamais une chose aisée, en ce début 2015, il semble tout particulièrement difficile d’anticiper, tout autant, l’actualité macro-économique dont, la teneur fut souvent contradictoire ces dernières semaines que, les nombreux risques politiques, sans omettre les futures réorientations stratègiques des grandes banques centrales.
C’est donc dans ce contexte d’opacité et d’incertitudes qu’il va falloir tenter d’envisager l’avenir, alors que le bilan annuel du Fce/Cac40, se solde par une évolution nettement moins flatteuse que la plupart des autres grands indices mondiaux.
Cet écart de performances, constaté, résulte de prises de bénéfices appuyées, déclenchées au mois de juin dans la zone des 4500 points, concordant avec le niveau d’extension, 161,80% de 3662/2296.
En conséquence, l’hypothèse émise au début du second semestre, d’une amorce corrective de moyen terme, se trouve étayée par la configuration de la bougie annuelle et cela d’autant plus que, les MM20, mensuelle et hebdomadaire, bien que préservées en fin d’année, sont sous pression.
De ce constat, il résulte que l’élaboration des différents scénarii possibles va se faire à partir d’une zone clef centrée autour du niveau, 4181, ouverture 2014, dont, la préservation constitue un enjeu majeur pour 2015, dans l’optique de conserver la possibilité d’une reprise haussière.
Dans l’hypothèse d’un maintient des cours au-delà de la zone, 4181, l’éventualité d’une invalidation du mouvement correctif débuté au mois de juin serait envisageable à la condition d’un franchissement net du niveau, 4427, qui ouvrirait la voie à un retour en direction de, 4574, qui constitue le premier objectif haussier annuel.
Au-delà de ce repère, la zone incluse entre les niveaux 4860 et 4945, constitue le second objectif de l’année.
A l’inverse, un échec à sauvegarder la zone clef, centrée autour de 4181, aurait pour conséquence de renforcer l’hypothèse corrective avec pour objectif de provoquer un retour vers la zone de support, 3778.
Une rupture de ce repère, conduirait à envisager une continuation possible en direction de, 3457.
4860 Ouverture 2008
4574 + Haut 2014
4181 Point clef annuel
4178 + Bas 2014
3457 Ouverture 2013
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