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Y a-t-il une bulle immobilière ?
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  • Y a-t-il une bulle immobilière ?

    Alors que la BCE a déjà remonté une fois ses taux et même si le consensus ne table pas sur une nouvelle hausse à court terme, il est quasi acquis qu’il y en aura d’autres, nous sommes en droit de nous interroger face à l’impact de ces hausse sur le marché immobilier.

    Estimez-vous que l’on puisse considérer que nous sommes dans une bulle immobilière ?
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  • #2
    Bonjour Alain,

    C'est marrant car je viens juste de voir une vidéo à ce sujet

    "Immobilier français : Oh la belle bulle !" sur le lien suivant

    http://www.global-equities.com/fr/video.htm

    Bonne soirée

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    • #3
      ahah une bulle immobilière ?

      quelle idée étrange ...


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      • #4
        Citation de : Crock (au 04-05-2011 13:45:02)

        Alors que la BCE a déjà remonté une fois ses taux et même si le consensus ne table pas sur une nouvelle hausse à court terme, il est quasi acquis qu’il y en aura d’autres, nous sommes en droit de nous interroger face à l’impact de ces hausse sur le marché immobilier.

        Estimez-vous que l’on puisse considérer que nous sommes dans une bulle immobilière ?




        Si l'on suppose que nous sommes dans une période de croissance longue avec amélioration de l'emploi et des salaires à venir, alors non, nous ne sommes pas dans une bulle immobilière.

        Par contre, si on suppose l'inverse, qu'une période de stagnation, voire récession, avec pertes d'emploi et austérité salariale, oui, nous sommes dans une bulle.

        Je privilégie la seconde hypothèse dans la mesure ou les pays européens vont multiplier les mesures d'austérité. La France va devoir aussi s'y mettre...après les élections bien sur.

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        • #5
          Bonjour,

          M. Touati nous parle de bulle immobilière depuis des années et des années, prédit son éclatement qui ne vient pas. Il devrait peut être se demander pourquoi.

          A mon sens, il oublie un élément essentiel : les prix sont fixés principalement par l'offre et la demande. Tant qu'il y aura un décalage entre l'offre et la demande, les prix ne baisseront pas vraiment. Ils pourront même continuer à augmenter malgré des revenus qui augmentent peu : on habitera tout simplement dans des surfaces de plus en plus petites (on parle bien de prix au m2).

          La seule solution pour voir les prix baisser est d'augmenter l'offre et donc de construire. Sur ce marché comme dans beaucoup d'autres, l'état détient la clé du problème. Il a jusqu'à présent réussi à contenir les loyers mais pas les prix d'achat en l'absence d'un programme massif de construction de logements. M. Fillon l'a bien compris et semble vouloir prendre (enfin) des mesures dans ce sens.

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          • #6
            Bonjour,

            La politique des taux n'a t'elle pas permis une certaine stabilité des prix? Qu'en est il des volumes? Un notaire parisien me disait qu'on était loin des volumes d'avant crise et que les prix ont augmenté artificiellement par les opérations de défisc (scellier 2010 avant le scellier BBC de 2011, plus contraignant et avec une réduction moins importante....)

            Vous remarquerez que les taux des prêts bancaires sont repartis à la hausse et là c'est la réalité du marché (les TCI sont fortement repartis à la hausse). En taux court terme, regardez l'euribor, l'éonia....

            Tout ça pour dire que si les taux augmentent (et que les revenus des ménages n'augmentent pas en conséquence...) il y aura machinalement une régulation du marché immobilier... De quel ordre? tout dépendra de la hausse de l'inflation "officieuse", que les banques ont déjà anticipé... les assureurs aussi mais plus difficilement (obligation du fonds euro) mais là c'est un autre problème

            Amicalement

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            • #7
              Bonjour,

              même avec une hausse des taux, il ne pourra pas y avoir de baisse significative des prix tant que la demande sera supérieure à l'offre.

              La hausse des taux et la solvabilité des ménages ne feront que limiter la hausse.

              Pour avoir un retournement du marché à la baisse(éclatement d'une bulle si elle existe), il faudrait des ménages qui ne peuvent plus rembourser leurs crédits (bulle aux USA) ou une offre supérieure à la demande (années 90 en France). La 1ère hypothèse est peu probable compte tenu des critères d'octroi de crédit par les banques. La seule possibilité est la seconde.

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              • #8
                Faire un tour dans les agences de provinces ou regarder les bilans, or gestion locative, pour s'en rendre compte. Paris, la côte d'azur etc... ne représente pas la réalité du marché.

                Amicalement

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                • #9
                  après le calcul, mon choix, d'être locataire et de placer le différentiel en épargne... à étudier selon les cas

                  Commentaire


                  • #10
                    Dans les grandes villes de province ou sur la côte atlantique, les prix restent très élevés. Dans des lieux moins courus, il semble effectivement que la fièvre retombe.

                    Commentaire


                    • #11
                      Bonjour,

                      Je pensais effectivement louer en plaçant le différentiel était une bonne option. Placer mais à quel taux ? Le monétaire ne rapporte rien. La bourse : que rapporte t-elle ?

                      IL faut bien reconnaitre que sur les 10 dernières années, l'immobilier a un rendement sans égal et le calcul d'un point de vue financier est perdant. IL aurait fallu acheter.

                      Le calcul sera t-il le même pour les 10 prochaines années compte tenu des prix atteints par l'immobilier ?

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                      • #12
                        quand acheter et ou acheter sont les véritables questions dont dépendra le rendement futur.De mon point de vue,les prix immobiliers sur la grande majorité du territoire ne pourront plus monter bien longtemps et toutes les aides de l'Etat (PTZ etc...) maintiennent encore pour l'instant les prix élevés.Joue aussi la peur des marchés et des grands bouleversements fiscaux que devra subir la France dans les deux prochaines années (le temps que les marchés s'intéressent à notre dette).Sachant que l'immobilier a pris plus de 100 % en 11 ans,je ne m'aventurerai pas sur un terrain aussi glissant et si peu flexible.Par contre, l'argent ne rapportant pas non plus, pour celui qui n'aime pas le risque ou qui n'a pas le temps de s'en occuper, il convient peut être de perdre l'inflation en espérant que les valeurs des biens explosent à la baisse dans les prochaines années.tant que les banques permettent encore des prêts sur 30 ou 35 ans, le marché est soutenu à bout de bras comme aux US.La différence est qu'aux US, un emprunteur pouvait légalement refuser de continuer à payer ces traites en rendant le bien immobilier à sa banque, a charge à elle de s'en débarrasser.(d'ou les faillites ).en France, vous devrez toujours rembourser la somme empruntée avec des biens qui risquent de perdre beaucoup sur la durée.

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                        • #13
                          Pour ma part, sur la partie patrimoniale je joue l'inflation.. on peut en discuter pendant des heures du pourquoi et du comment.
                          Après je rejoins Tloc sur la fiscalité qui va changer, (devrait), le comportement des français.
                          Pour info, ce mois ci vote parlementaire pour la taxation aux prélévements sociaux des biens (résidence secondaire, locative) des biens détenus de plus de 15 ans... belle PV.
                          Et pour les présidentielles... prévision sur la RP (sarko en avait parlé il y a qq mois..). En gros nous sommes endettés, on taxe le patrimoine (ass vie..) et le but est d'aller sur les plus grosses mânes à savoir l'immo

                          Ceci n'est juste que mon avis

                          Amicalement

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                          • #14
                            Citation de : Douchka (au 08-05-2011 10:39:00)

                            Bonjour,

                            même avec une hausse des taux, il ne pourra pas y avoir de baisse significative des prix tant que la demande sera supérieure à l'offre.





                            ceci est un mythe.


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                            • #15
                              Bonjour,

                              Non, ce n'est pas un mythe : c'est une réalité démographique à laquelle la construction ne répond pas. Je vous renvoie aux rapports parlementaires sur le sujet. Si ce n'était pas le cas, comment expliquer la hausse des prix ? les acheteurs ne s'endettent pas lourdement par plaisir

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