Après pétrole : les solutions existent mais il faut investir massivement ; Ces technologies seront la source d’une croissance forte pour les 10 prochaines années.
Le pétrole n’est pas rare (pas encore) et il existe en quantité suffisante pour alimenter le marché, mais comme on le constate, la spéculation et les tensions sur l’offre sont cause de problème pour nos économies. Il est temps de faire la révolution énergétique qui n’a que trop été différée. Passons en revue les moyens de substituer au pétrole une ressource ou une technologie différente.
Le nucléaire, les éoliennes, le photovoltaïque, côté énergie propre. Auquel on pourrait ajouter les bios carburants. Mais également le gaz et le charbon grâce aux centrales propres qui enfouissent le co2 dégagés en particulier par le charbon. Areva, ou encore Alstom sont les sociétés qui maitrisent ces technologies. EDF, et suez en sont également les acteurs, à côté de vivendi GDF, ou encore Veollia. Voilà beaucoup d’atouts en particulier pour la France.
On doit également se pencher sur la consommation. Déjà les compagnies aériennes américaines mettent au rebut leur flotte vieillissante et trop gourmande en kérosène au profit d’avions économiques. Le TGV est promis à un bel avenir en particulier sur les distances de moins de 800 km mais même au-delà avec un prix du baril qui flambe le train devient une alternative plus que séduisante. Il ne pollue pas et se déplace vite dans un confort remarquable pour desservir le cœur des villes. Nul doute que là encore Alstom tienne la corde dans le ferroviaire, Ainsi que le tramway qui séduit de plus en plus de ville à l’instar de la capital. La révolution est également attendue du côté de l’automobile. On imagine mal le consommateur américain continuer à utiliser son gros truck glouton au prix actuel du gallon. Les automobilistes trouveront intérêt à changer leur voiture pour un véhicule plus économe. Qu’il soit doté d’un moteur plus sobre ou d’un autre type de propulsion : électrique ou hydrogène ou encore GPL. Les constructeurs de petits véhicules peuvent tirer leur épingle du jeu.
Les manifestations des routiers et des marins pêcheur dans toute l’Europe démontrent que le mode de consommation énergétique actuel est arrivé à son terme. Cela ne veut pas dire qu’il va laisser un grand vide, il s’agit simplement d’une transition qui peut durer des années mais qui va bousculer nos habitudes sans nous priver de confort ni de moyens, seulement il va falloir changer de technologies et de moyens et c’est là que le réservoir à croissance est le plus intéressant, car il va y avoir des profits gigantesques à réaliser pour les entreprises qui occupent une place prépondérante dans ces nouveaux secteurs, mais également pour celles qui parviendront à innover. L’argent est là qui ne demande qu’à s’investir, en particulier les énormes profits des pays producteurs qui sont en standby. Les consommateurs ne voudront plus se lier à une source d’énergie, le pétrole, qui peut flamber de 10$ ou plus en une seule journée, et trouveront plus astucieux de se rééquiper pour peu qu’on leur offre une vrai alternative, il en ira de même des industriels. Les villes, les états, asphyxiés par des émanations de souffre et de carbone et surtout étranglés par un prix du pétrole toujours plus cher seront obligés d’investir dans les transports de type électrique (tramway, tgv) ils y auront intérêt financièrement et écologiquement.
Nous allons donc vivre une époque charnière où les entreprises traditionnelles liées au pétrole vont continuer d’engranger de substantiels profits (Total, Vallourec, Technip, Maurel & Prom etc…) et où les entreprises porteuses de ces technologies nouvelles vont devoir faire face à une demande en croissance forte, source de gros profits et d’emplois.
Un jour le moulin à vent qui servait à moudre le grain a été supplanté par la machine à vapeur, puis par le moteur électrique. Cela n’empêche pas qu’on fabrique toujours de la farine. Demain, nous en fabriqueront peut-être avec de l’énergie solaire, ou pourquoi pas, à l’aide d’une éolienne ! C’est d’ailleurs déjà le cas, notamment aux Pays-Bas.
Le pétrole n’est pas rare (pas encore) et il existe en quantité suffisante pour alimenter le marché, mais comme on le constate, la spéculation et les tensions sur l’offre sont cause de problème pour nos économies. Il est temps de faire la révolution énergétique qui n’a que trop été différée. Passons en revue les moyens de substituer au pétrole une ressource ou une technologie différente.
Le nucléaire, les éoliennes, le photovoltaïque, côté énergie propre. Auquel on pourrait ajouter les bios carburants. Mais également le gaz et le charbon grâce aux centrales propres qui enfouissent le co2 dégagés en particulier par le charbon. Areva, ou encore Alstom sont les sociétés qui maitrisent ces technologies. EDF, et suez en sont également les acteurs, à côté de vivendi GDF, ou encore Veollia. Voilà beaucoup d’atouts en particulier pour la France.
On doit également se pencher sur la consommation. Déjà les compagnies aériennes américaines mettent au rebut leur flotte vieillissante et trop gourmande en kérosène au profit d’avions économiques. Le TGV est promis à un bel avenir en particulier sur les distances de moins de 800 km mais même au-delà avec un prix du baril qui flambe le train devient une alternative plus que séduisante. Il ne pollue pas et se déplace vite dans un confort remarquable pour desservir le cœur des villes. Nul doute que là encore Alstom tienne la corde dans le ferroviaire, Ainsi que le tramway qui séduit de plus en plus de ville à l’instar de la capital. La révolution est également attendue du côté de l’automobile. On imagine mal le consommateur américain continuer à utiliser son gros truck glouton au prix actuel du gallon. Les automobilistes trouveront intérêt à changer leur voiture pour un véhicule plus économe. Qu’il soit doté d’un moteur plus sobre ou d’un autre type de propulsion : électrique ou hydrogène ou encore GPL. Les constructeurs de petits véhicules peuvent tirer leur épingle du jeu.
Les manifestations des routiers et des marins pêcheur dans toute l’Europe démontrent que le mode de consommation énergétique actuel est arrivé à son terme. Cela ne veut pas dire qu’il va laisser un grand vide, il s’agit simplement d’une transition qui peut durer des années mais qui va bousculer nos habitudes sans nous priver de confort ni de moyens, seulement il va falloir changer de technologies et de moyens et c’est là que le réservoir à croissance est le plus intéressant, car il va y avoir des profits gigantesques à réaliser pour les entreprises qui occupent une place prépondérante dans ces nouveaux secteurs, mais également pour celles qui parviendront à innover. L’argent est là qui ne demande qu’à s’investir, en particulier les énormes profits des pays producteurs qui sont en standby. Les consommateurs ne voudront plus se lier à une source d’énergie, le pétrole, qui peut flamber de 10$ ou plus en une seule journée, et trouveront plus astucieux de se rééquiper pour peu qu’on leur offre une vrai alternative, il en ira de même des industriels. Les villes, les états, asphyxiés par des émanations de souffre et de carbone et surtout étranglés par un prix du pétrole toujours plus cher seront obligés d’investir dans les transports de type électrique (tramway, tgv) ils y auront intérêt financièrement et écologiquement.
Nous allons donc vivre une époque charnière où les entreprises traditionnelles liées au pétrole vont continuer d’engranger de substantiels profits (Total, Vallourec, Technip, Maurel & Prom etc…) et où les entreprises porteuses de ces technologies nouvelles vont devoir faire face à une demande en croissance forte, source de gros profits et d’emplois.
Un jour le moulin à vent qui servait à moudre le grain a été supplanté par la machine à vapeur, puis par le moteur électrique. Cela n’empêche pas qu’on fabrique toujours de la farine. Demain, nous en fabriqueront peut-être avec de l’énergie solaire, ou pourquoi pas, à l’aide d’une éolienne ! C’est d’ailleurs déjà le cas, notamment aux Pays-Bas.
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