Bonjour,
Dans le tourbillon de la crise, je vous propose de partager une valse à 3 temps sur un air de musique intitulé « Danse avec les loups ».
En préambule, je souhaite rappeler à chacun que la vérité de l'un n'est pas la vérité de l'autre
et que la seule façon d'approcher un peu la vérité vraie consiste à évacuer toutes les constructions intellectuelles complexes, toutes les théories élaborées sur la base de postulat et toutes les approches idéologiques forcément subjectives.
Revenir à la base, revenir au fondement, revenir au
"Tellement simple et évident que pas contestable"
et là on touchera peut-être du bout du doigt...la VERITE.
Appliquons ce principe à la compréhension d'une économie mondiale en crise
et lançons-nous dans une valse à 3 temps :
Au départ, mon pouvoir d’achat concrêt est ce qu’il est.
Temps 1 : Je souhaite acheter une voiture et je souscris un crédit pour consommer immédiatement avec de l’argent qui ne m’appartient pas et que je devrai rembourser ensuite
= je contribue à la vigueur immédiate de l’économie
Temps 2 : des traites sont prélevées sur ma paie pour rembourser mon emprunt
= mon pouvoir d’achat net disponible est à présent inférieur à ce qu’il était
= ma capacité de contribution à la vigueur immédiate de l’économie est affaiblie
Temps 3 : j’emprunte encore, seule solution pour continuer à consommer immédiatement et pour continuer à contribuer à la vigueur de l’économie
= le cercle vicieux est installé
Mon pouvoir d’achat est à présent virtuel, basé sur ma capacité future à faire face à mes échéances de remboursement
LE SILENCE DES LOUPS / LA VERITE NON DITE
Les banquiers prélèvent une dîme sur mon pouvoir d’achat sous la forme d’intérêts d’emprunts.
Quand j’injecte 1 dans l’économie, la diminution de mon pouvoir d’achat est supérieure à 1
= paiement de la marchandise (va dans l’économie) + coût du crédit (va dans le coffre du banquier)
L’argent pompé par les banquiers diminue d’autant plus ma capacité à consommer et à contribuer à la vigueur de l’économie.
Les banquiers peuvent donc s’apparenter à des parasites improductifs et nuisibles qui s'engraissent sur le dos de l'économie réelle : ils me rendent captif et amputent à leur profit mon pouvoir d’achat.
Pourquoi cet assourdissant silence sur cette simple réalité ?
Pourquoi, s’agissant du rôle des banques dans l’économie, seul le Temps 1 est-il évoqué ?
Pourquoi les Temps 2 et 3 du mécanisme sont’ils masqués derrière des empilements de démontrations complexes et contradictoires qui noient le poisson ?
Je ne suis pas en train de dire qu'une économie développée n'est pas complexe.
Je ne suis pas en train de dire que les analyses et les arguments soutenus par les uns ou les autres n'ont aucune valeur.
Je constate simplement qu'un amalgame est fait entre tout et son contraire, ce qui fait qu'à l'arrivée, personne n'a clairement tort et personne n'a clairement raison
et que cette situation profite aux loups.
Je constate simplement qu'à force de voir pointer par ici des boucs émissaires et de voir dénoncer par là le pointage de boucs émissaires, on se dirige à grands pas vers une "amnistie" générale, préambule à l'amnésie générale qui suivra...
et que cette situation profite aux loups.
Je constate simplement qu’en agitant perpétuellement des Etats-Unis contre des états désunis, des états munis contre des états démunis, des juifs contre des arabes, des Gauches contres des Droites, des heures supplémentaires contre des temps partiels, ...on crée des diversions
et que cette situation profite aux loups.
Je constate simplement qu’en monopolisant perpétuellement l’attention des gens sur des problématiques complexes, on les détourne de faits et de raisonnements simples
et que cette situation profite aux loups.
Face à la religion de l’argent, où sont les défenseurs de la laïcité économique ?
Pourquoi cet aspect, que je viens de décrire, de la réalité économique n'est-il jamais évoqué dans l'étendue de ce qu'il implique ?
Pourquoi cette chape de plomb médiatique ?
Pourquoi la base imposée du modèle économique actuel, à savoir le recours au service des banquiers, à l’endettement à outrance comme levier de croissance, fait-elle figure de postulat intouchable ?
Quid des journalistes ?
Quid des politiques ?
Pourquoi ne font-ils rien d'autres que de brasser de l'air et déplacer de la poussière à la périphérie de la tanière ?
Labourse
Dans le tourbillon de la crise, je vous propose de partager une valse à 3 temps sur un air de musique intitulé « Danse avec les loups ».
En préambule, je souhaite rappeler à chacun que la vérité de l'un n'est pas la vérité de l'autre
et que la seule façon d'approcher un peu la vérité vraie consiste à évacuer toutes les constructions intellectuelles complexes, toutes les théories élaborées sur la base de postulat et toutes les approches idéologiques forcément subjectives.
Revenir à la base, revenir au fondement, revenir au
"Tellement simple et évident que pas contestable"
et là on touchera peut-être du bout du doigt...la VERITE.
Appliquons ce principe à la compréhension d'une économie mondiale en crise
et lançons-nous dans une valse à 3 temps :
Au départ, mon pouvoir d’achat concrêt est ce qu’il est.
Temps 1 : Je souhaite acheter une voiture et je souscris un crédit pour consommer immédiatement avec de l’argent qui ne m’appartient pas et que je devrai rembourser ensuite
= je contribue à la vigueur immédiate de l’économie
Temps 2 : des traites sont prélevées sur ma paie pour rembourser mon emprunt
= mon pouvoir d’achat net disponible est à présent inférieur à ce qu’il était
= ma capacité de contribution à la vigueur immédiate de l’économie est affaiblie
Temps 3 : j’emprunte encore, seule solution pour continuer à consommer immédiatement et pour continuer à contribuer à la vigueur de l’économie
= le cercle vicieux est installé
Mon pouvoir d’achat est à présent virtuel, basé sur ma capacité future à faire face à mes échéances de remboursement
LE SILENCE DES LOUPS / LA VERITE NON DITE
Les banquiers prélèvent une dîme sur mon pouvoir d’achat sous la forme d’intérêts d’emprunts.
Quand j’injecte 1 dans l’économie, la diminution de mon pouvoir d’achat est supérieure à 1
= paiement de la marchandise (va dans l’économie) + coût du crédit (va dans le coffre du banquier)
L’argent pompé par les banquiers diminue d’autant plus ma capacité à consommer et à contribuer à la vigueur de l’économie.
Les banquiers peuvent donc s’apparenter à des parasites improductifs et nuisibles qui s'engraissent sur le dos de l'économie réelle : ils me rendent captif et amputent à leur profit mon pouvoir d’achat.
Pourquoi cet assourdissant silence sur cette simple réalité ?
Pourquoi, s’agissant du rôle des banques dans l’économie, seul le Temps 1 est-il évoqué ?
Pourquoi les Temps 2 et 3 du mécanisme sont’ils masqués derrière des empilements de démontrations complexes et contradictoires qui noient le poisson ?
Je ne suis pas en train de dire qu'une économie développée n'est pas complexe.
Je ne suis pas en train de dire que les analyses et les arguments soutenus par les uns ou les autres n'ont aucune valeur.
Je constate simplement qu'un amalgame est fait entre tout et son contraire, ce qui fait qu'à l'arrivée, personne n'a clairement tort et personne n'a clairement raison
et que cette situation profite aux loups.
Je constate simplement qu'à force de voir pointer par ici des boucs émissaires et de voir dénoncer par là le pointage de boucs émissaires, on se dirige à grands pas vers une "amnistie" générale, préambule à l'amnésie générale qui suivra...
et que cette situation profite aux loups.
Je constate simplement qu’en agitant perpétuellement des Etats-Unis contre des états désunis, des états munis contre des états démunis, des juifs contre des arabes, des Gauches contres des Droites, des heures supplémentaires contre des temps partiels, ...on crée des diversions
et que cette situation profite aux loups.
Je constate simplement qu’en monopolisant perpétuellement l’attention des gens sur des problématiques complexes, on les détourne de faits et de raisonnements simples
et que cette situation profite aux loups.
Face à la religion de l’argent, où sont les défenseurs de la laïcité économique ?
Pourquoi cet aspect, que je viens de décrire, de la réalité économique n'est-il jamais évoqué dans l'étendue de ce qu'il implique ?
Pourquoi cette chape de plomb médiatique ?
Pourquoi la base imposée du modèle économique actuel, à savoir le recours au service des banquiers, à l’endettement à outrance comme levier de croissance, fait-elle figure de postulat intouchable ?
Quid des journalistes ?
Quid des politiques ?
Pourquoi ne font-ils rien d'autres que de brasser de l'air et déplacer de la poussière à la périphérie de la tanière ?
Labourse
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