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Raison de la crise de 1929
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  • #31







    Si tu te sens attaqué, c'est bien dommaj' puisque je n'ai rien de spécial après toi.

    Je ne fais pas partie des roquets, ce n'est pas ainsi que je me représente, je suis plutôt dans le genre messianique, prêtre si tu veux.

    Je dis ce que j'ai à dire, je m'arrange pour que personne ne puisse sous divers prétextes à la kong m'empêcher d'afficher l'étendue de toutes mes diversités philosophiques et autres lacunes lorsqu'il y en a. (et je ne fais pas partie de ceux qui pensent qu'il n'y en ait pas, parce que question de ça, on ne m'a pas vacciné, moi)

    Aucune attaque personnelle en ce qui te concerne au moins, et pour ceux qui auraient été nommés, si je les ai attaqué personnellement sur certains points qui ne changent rien au reste de leurs qualités comme pour Paris-Presque qu'il m'arrive de parcourir sans me fâcher de ce qu'il pond, bien au contraire, ils sont assez grands pour me répondre car si je mets en cause kinkin, du moins c'est ce que j'essaye de respecter, il s'agira de kinkin capable de me résister, autrement dit assez solide.

    Mais si ceux que je ne bouscule pas encore se sentent atteints par des mots lancés comme du pop-corn sur la file d'attente du cinéma Pâtée, je veux bien les rassurer et leur expliquer que mon but, en vrai, hors du pays de la sardonie, est d'améliorer nos communications, leur interdépendance, d'essayer de faciliter les échanges non sclérosés, non protégés des MST du non-dit, des empêchements qui croissent comme l'inflation des ballons, et tout cela sans capote quand même, c'est-à-dire sans protection, malgré tout ce qu'on essaiera de murailler.

    Car les idées, c'est comme le pollen, seul le vent les emporte, et cela en toute priorité sur les fausses vexations qui ne servent à rien du tout pour l'agglomération des communautés humaines, en tous les cas!

    Nous ne t'empêchons pas de parler, nous! Nous ne t'avons pas mis en cause, toi! J'ai du verbe mais pas toujours pour casser du bonhomme, bien davantage pour apprendre à ceux qui l'osent moins que moi, manquant de mon expérience en la matière, et cependant je ne suis dupe de rien, en regard del'amalgame de nos pauvretés réunies, notamment en matière de communication, dont j'accepte ma part, vu que j'ai de la peine à me faire comprendre, comme je le constate plus que souvent. (des fois je le fais exprès, par dérision de moi ou par malice, car comme dit Romuald, on a le droit de s'amuser, d'arrêter d'être constipés) (Si tu préfères que je cause en langage incompréhensible pour ceux qui n'ont pas été à l'école spéciale Scrut, si tu ne veux pas que je cause franco, t'as qu'à l'exiger, aussi!)

    Rien n'est figé, vous verrez que dans dix ou vingt ans, nous ne nous parlerons pas de la même façon, tout simplement parce que nous aurons pris l'habitude de nous exprimer avec le clavier ou d'autres vecteurs jusqu'alors peu usités de communication.

    Refuser de tomber sur un "roquet" n'est pas correct au plan individuel. Il vaut mieux apprendre à réfuter, sans se dégonfler, lui montrer par exemple qu'on a de la qualité dans l'expression, les idées, l'acceptance, la volonté de partazger.

    En effet, nous ne pouvons pas virer tous les jeunes roquets que sont nos propres enfants. On est là pour les guider vers le mieux disant, pas pour dire qu'ils sont mal élevés et qu'on n'en a rien à faire, sinon c'est le monde entier qui se satellise autour de GLIESE 285 c, et avant pas longtemps.

    Et de là-bas, tu nous enverras des nouvelles de l'économie de parole, ça nous intéressera énormément, même si elles nous parviennent avec les 20 ans de décalage horaire, comme Crock.

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    • #32
      Citation de : HENRYK3

      Citation de : mero

      Surtout aux actionnaires et a un certain Lakshmi Mittal


      Egalement pour ceux qui travaillent pour cette société. Les sous-traitants. Les régions qui en profitent. Les Etats qui reçoivent les contributions.

      Scrutime, je ne crois pas parler politique, mais économie.



      C'est sure que mon intervention a été quelque peu caricaturale.

      Mais, le soutien de la collectivité a Arcelor lorsqu'il étais en difficulté procède simplement des mesure d'interventionnisme de l'Etat pour relancer l'activité économique des entreprise. L'objetifs c'est qu'il récupèrent le montant de leurs "investissement" par le biais des impôts en permettant, à l'entreprise de survivre (IS, Taxe Profes), au salariés conservés dans l'entreprise qui continuent a percevoir un salaire ( TIPP, TVA, Taxe habitation, Taxes foncières, Impot sur le revenu etc...) et de même pour toute les autre entreprises qui en vivent.

      C'est de conserver les "gros" (Arcelor, credit lyonnais, Alstom) pour maintenir le foisonnement économique qui en dépend et la vie dans les territoires.

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      • #33








        Bôôh, ça fait déja des décennies, presque, que l'Etat s'est désolidarisé de causes qui lui semblaient comme les plus urgentes.

        Disons que l'Etat conserve ou tente de conserver des pouvoirs qui ne lui étaient pas contestés il y a quarante ans, mais qu'ils n'a pas de politique bien décidée sur des choses qui furent pour lui aussi marquantes que l'acier.

        Disons que les politiques économiques de l'Etat, en général et en particulier, pour les entreprises qui dépendaient de sa gouverne directe, au fur et à mesure que tel ou tel secteur de l'Economie a pu lui sembler prégnant, prioritaire, ont dans les dernières décennies beaucoup varié, et c'est assez inquiétant lorsqu'il s'agit du militaire ou du nucléaire, ou l'assemblage des deux.

        Depuis que je suis gamin, il y a des décennies maintenant, j'ai suivi l'intervention de l'Etat sur Bull, qui a conservé longtemps le rang de priorité nationale, avec des efforts considérables et forts dispendieux pour le contribuable pour la faire tenir debout.

        Comme il s'agissait de ne pas rester à la traîne question capacité de calcul, ceci étant directement relié au nucléaire et à d'autres besoins ayant à voir avec notre indépendance au sens large, des plans de sauvetage furent lancés de tous temps, par toutes sortes de gouvernements, depuis au moins 40 ans. Ca a coûté cher, très cher, mais c'est le prix de cette indépendance relative.

        Sauf que maintenant on n'a plus de sous, et qu'il faudra bien, selon ce que j'en ai compris, externaliser nos méthodes, confier à de moins exigeants en terme de sous à sortir à notre place nos priorités d'avant hier.

        Le flou est une denrée qui devient la règle en matière d'économie de leadership en quelque domaine que ce soit.

        Avec la réduction du mandat présidentiel, la disparition de la notion de "Plan", chose qui rappelle trop à Paris-Bresque, qui ne sort pourtant pas de la dernière couvée, les années noires du stalinisme français, dview nous en prémunisse à jamais, il n'y a aucune chance que nos décideurs, élus politiciens ou d'Industrie, plus, et pas le moindre, nos financiers venus des confins de la terre n'aient la moindre direction d'idée concernant tel ou tel pan réputé autrefois stratégique ou crucial pour la France, de priorité nationale, qu'il s'agisse d'apprentissage de la lecture ou de logement, de dissuasion, de contrôle de l'assise des fonds pour le secteur bancaire avec la garantie de l'Etat quasiment unique au monde lui étant associée, enfin plus rien qui tienne.

        On en est à la navigation à vue et à court terme, plus de plan, de vue d'ensemble, de projection direction l'avenir.

        La volonté de détruire l'Etat pour telle ou telle raison qui emmerde d'autres intérêts que celui qui unit ou a uni une nation, pourquoi pas, si Paris-Bresque pouvait enfin en tirer tous les bénéfices escomptés toute une vie durant et qu'on lui a ignominieusement volés, alors qu'il aurait dû s'enrichir aux dépens de tous les autres bien davantage, si les communistes ne l'en avaient pas empêchés, ces Arpagons.

        "Les communistes m'ont trop volé d'sous!"

        "Mais il t'en reste un peu, Paris-Bresque de mon coeur?"

        "Vous êtes tous fous ou quoi, rendez-vous compte que j'vais bientôt mourir presque pauvre!"

        "Allons, du calme, tu ne vas pas mourerir tod'swuite, tu sais bien qu'tu fais partie des increvables."

        "Justement, faut que j'assure, j'en veux plus, et je suis prêt à en faire plusque trop, moi, j'suis pas comme toi, pôv'sale Scrut qui n'veut pas monter mes parpaings à ma place, comme un grand!"

        "C'est pas une raison pour vendre la France à n'importe quid, non plus!"

        "Tu causes de quelle France, la tienne ou la mienne, celle d'Henryk ou celle de Crock, celle de Kdouble le swiss ou celle de Sabot le belge, de Trucks l'américain ou des ours finlandais d'Auverñah Dansaïra de Tchétchénie bulgare, hein?"

        Sans plan long terme pour la France, sur au moins quelques enjeux bien cadrés, il n'y aura pas besoin que les wallons envisagent de demander l'asile francophone et de se rattacher à la Francitude, non, c'est nous qui seron bientôt obligés d'aller chercher un peu de France en Wallonie, demander asile aux cousins qui n'ont pas perdus ne serait-ce que notre langue, dont ils sont, paraît-il, les maîtres incontestés, question sauvegarde et je dirais personnellement, vie.

        Je demande officiell'man l'asile politique à la Belgie, par l'intermédiaire du parlement de Wallonie, car la France fait plus rire, min'nant, à cause de Paris-Bresque et la multitude de ses adeptes qu'en ont honte! (qu'ils se tirent là où qu'ils aiment, à l'ile Kaill'man, là-basque, on n'les retient pas)

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        • #34


          La wallonie te dit non, andy cap !

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