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Spéculation, mission d'intérêt général ?
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  • Spéculation, mission d'intérêt général ?

    Ici, nous somme tous des "traders". "Traders" ou "tradeurs" est un terme anglophone pour désigner le spéculateur.

    Selon la vision microéconomique, le spéculateur est un agent économique "rationnel" motivé par la seul réalisation d'un profit. En somme il cherche a maximiser son profit en fonction des informations qu'il dispose.

    L'objet de ce sujet est d'échaper à une vison trop restrictive sur le spéculateur et de débattre sur l'impact globale de la spéculation en général. Utile ou néfaste ? Stabilisante ou déstabilisante ?

    Pour commencer voici un extrait de l'article "Spéculation" de Wikipédia que j'ai moi même rédiger.

    1- L'apport de liquidité

    La liquidité du marché est d'autant plus importante que les volumes traités et le nombre de transactions sont grands. Dans ce sens, la spéculation est sans conteste une activité indispensable. En son absence, les activités de couverture réalisées par les "Hedgers" seraient rendues plus difficiles et plus couteuses. La spéculation est donc indispensable par l'apport de liquidité qu'elle apporte.

    Par exemple un exportateur européen de produits vers les États-Unis d'Amérique craignant une baisse, par rapport à l'euro, du dollar, devise dans laquelle il sera payé pourra vendre à terme des dollars sur le marché des changes à un spéculateur, lequel à l'inverse les achète à terme en pariant sur une hausse du dollar.

    2- Stabilisante ou déstabilisante ?

    Le monétariste Milton Friedman estime que les spéculateurs gagnent sur les marchés seulement s'ils achètent lorsque les prix sont bas (En conséquence ils font monter les cours et contribuent à leur stabilité) et vendent quand les prix sont au plus haut (Ce qui fait baisser les cours et joue un rôle stabilisateur). Les spéculateurs peuvent se tromper et agir a contretemps, mais ils ne peuvent le faire constament sinon ils seraient rapidement ruiné et évincé du marché. Seuls survivent les spéculateurs dont les intervention sont en moyenne stabilisante, c'est a dire les spéculateurs avisés.

    Pour l'économiste Nicholas Kaldor, créateur entre autres du "Carré Magique" ou "Diagramme de Kaldor", il existe deux type de spéculateurs : Les professionnels et les amateurs. les professionnels, en petit nombre , qui representent aussi les positions les plus importantes, agissent de façon stabilisante. Les amateurs, eux, beaucoup plus nombreux et mal informés, interviennent avec retard en achetant au plus haut et en vendant au plus bas. Ils agissent de façon destabilisante et sont finalement évincé du marché. Malheuresement ils sont vite remplacé par de nouveaux amateurs. Mais il ne faut pas accordé trop d'importance aux amateurs, puisque les professionnels demeurent ceux qui dominent le marché.

  • #2
    Bravo Mero rien à rajouter sauf que l'on aspire tous à devenir des Soros nous les amateurs.
    Bonne soirée
    B

    Commentaire


    • #3
      Citation de : mero


      Ici, nous somme tous des "traders". "Traders" ou "tradeurs" est un terme anglophone pour désigner le spéculateur.

      Selon la vision microéconomique, le spéculateur est un agent économique "rationnel" motivé par la seul réalisation d'un profit. En somme il cherche a maximiser son profit en fonction des informations qu'il dispose.

      L'objet de ce sujet est d'échaper à une vison trop restrictive sur le spéculateur et de débattre sur l'impact globale de la spéculation en général. Utile ou néfaste ? Stabilisante ou déstabilisante ?

      Pour commencer voici un extrait de l'article "Spéculation" de Wikipédia que j'ai moi même rédiger.

      1- L'apport de liquidité

      La liquidité du marché est d'autant plus importante que les volumes traités et le nombre de transactions sont grands. Dans ce sens, la spéculation est sans conteste une activité indispensable. En son absence, les activités de couverture réalisées par les "Hedgers" seraient rendues plus difficiles et plus couteuses. La spéculation est donc indispensable par l'apport de liquidité qu'elle apporte.

      Par exemple un exportateur européen de produits vers les États-Unis d'Amérique craignant une baisse, par rapport à l'euro, du dollar, devise dans laquelle il sera payé pourra vendre à terme des dollars sur le marché des changes à un spéculateur, lequel à l'inverse les achète à terme en pariant sur une hausse du dollar.

      2- Stabilisante ou déstabilisante ?

      Le monétariste Milton Friedman estime que les spéculateurs gagnent sur les marchés seulement s'ils achètent lorsque les prix sont bas (En conséquence ils font monter les cours et contribuent à leur stabilité) et vendent quand les prix sont au plus haut (Ce qui fait baisser les cours et joue un rôle stabilisateur). Les spéculateurs peuvent se tromper et agir a contretemps, mais ils ne peuvent le faire constament sinon ils seraient rapidement ruiné et évincé du marché. Seuls survivent les spéculateurs dont les intervention sont en moyenne stabilisante, c'est a dire les spéculateurs avisés.

      Pour l'économiste Nicholas Kaldor, créateur entre autres du "Carré Magique" ou "Diagramme de Kaldor", il existe deux type de spéculateurs : Les professionnels et les amateurs. les professionnels, en petit nombre , qui representent aussi les positions les plus importantes, agissent de façon stabilisante. Les amateurs, eux, beaucoup plus nombreux et mal informés, interviennent avec retard en achetant au plus haut et en vendant au plus bas. Ils agissent de façon destabilisante et sont finalement évincé du marché. Malheuresement ils sont vite remplacé par de nouveaux amateurs. Mais il ne faut pas accordé trop d'importance aux amateurs, puisque les professionnels demeurent ceux qui dominent le marché.




      TRADER NE VEUT PAS DIRE SPECULATEUR MAIS NEGOCIATEUR...d'ailleurs la traduction officielle de home trader est négociateur pour compte propre.

      plus foncdamentalement, le problème vient de la confusion entre spéculation et agiotage (le spéculateur crée la pénurie pour s'enrichir).

      dans votre argument, la sciences économique ne tranche pas et vous trouverez autant d'auteurs pour vous démontrer que la spéculation est stabilisante ou l'inverse. Généralement dans le 2è cas, les auteurs sont contre la liberté des cotations (voir Allais...)

      au delà, certaines populations - dont la france - est méfiante face à la réussite financière de l'individu par opposition à la réussite intellectuelle. La pédagogie est plutot à faire à ce niveau, mais ce n'est pas gagné parcequ'effectivement de l'autre côté les personnes évoluant dans le milieu des gérants vivent dans un AUTRE monde, surtout en mars à l'époque des bonus...

      et c'est difficile de leur faire ouvrir les yeux sur le fait que la précarité sociale est une REALITE et que des gens gagnent moins de 1.000 euros nets par mois...

      Commentaire


      • #4
        En tout cas chirac est contre la spéculation en général.
        En lisant le livre de MONTALDO "chirac et les 40 menteurs", nous savons désormais pourquoi.

        Commentaire


        • #5
          http://rad2000.free.fr/keynes13.htm


          "Si r est le taux de l'intérêt, M la quantité de monnaie et L la fonction
          représentative de la préférence pour la liquidité, on a M = L(r) (Keynes, p. 183)".

          Pour éviter que la préférence pour la liquidité ne soit confondue avec un fétichisme de la monnaie ou l'auri sacra fames, Keynes lui donne une explication économique, cohérente avec son système d'axiomes, puisqu'il s'agit encore d'incertitude sur l'avenir.

          "Toutefois il faut qu'une condition nécessaire soit remplie pour que puisse exister une préférence pour l'argent liquide en tant que moyen de conserver la richesse. Cette condition nécessaire est l'existence d'incertitudes quant à l'avenir du taux de l'intérêt, i.e. quant aux gammes des taux d'intérêt à différents termes appelées à prévaloir à des dates futures (Keynes, p. 183)".

          Et puisque la monnaie a tendance à former son propre monde, elle développe ses lois propres.

          "La préférence pour la liquidité trouve une nouvelle raison d'être dans l'existence d'incertitudes quant à l'avenir du taux d'intérêt lorsqu'il existe un marché organisé où se traitent les créances (Keynes, p. 184)".

          Les marchés où s'offre et se vend la monnaie sont réglés par des professionnels qui cherchent à anticiper de quelques jours sur les opinions de leurs collègues.

          "Ce phénomène offre beaucoup d'analogie avec celui que nous avons assez longuement étudié au sujet de l'efficacité marginale du capital (Keynes, p. 184)".

          Dans les deux cas, nous ne pouvons en attendre aucune prévision sur l'avenir.

          "Le prix du marché se fixe au niveau où les ventes des baissiers équilibrent les achats des haussiers (Keynes, p. 185)".

          Il importe alors de connaître les motifs de cette préférence pour la liquidité:

          "1er, le motif de transactions, i.e. le besoin de monnaie pour la réalisation courante des échanges personnels et commerciaux;

          2ème, le motif de précaution, i.e. la volonté de soustraire aux risques de variation la valeur monétaire future d'une certaine proportion de ses ressources totales;

          et 3ème, le motif de spéculation, i.e. le désir de tirer profit du fait qu'on sait mieux que le marché ce que réserve l'avenir (Keynes, p. 185)".

          Ces motifs ne sont pas indépendants. L'existence même des marchés tend à modifier le rapport entre ces motifs. Les marchés monétaires, les marchés à terme et les marchés financiers, créés pour réduire l'encaisse de précaution développent leur propre logique spéculative en accroissant l'encaisse de spéculation.


          "En l'absence d'un marché organisé la préférence pour la liquidité due au motif de précaution serait sensiblement plus forte, mais d'autre part l'existence d'un marché organisé permet de larges fluctuations de la préférence pour la liquidité due au motif de spéculation (Keynes, p. 185)".

          C'est encore au crédit de Keynes d'avoir prévu le développement des marchés spéculatifs et leur fonctionnement auto-référentiel. Peut-être serait-il moins surpris que Philippe Séguin de voir la bourse monter à l'annonce des licenciements. Cette autonomisation de la bulle financière est dans la nature des marchés d'opinions. La bourse monte quand les opinions des haussiers l'emportent sur celles des baissiers. Cela ne l'empêchera nullement de baisser le lendemain si les haussiers décident de prendre leurs bénéfices.

          De tels marchés d'opinions ne peuvent fonctionner que si les opinions divergent a priori et sont capables de resister au conformisme.

          "On doit se féliciter que la stabilité du système et sa sensibilité aux variations de la quantité de monnaie soient étroitement subordonnées à la diversité des opinions sur les choses incertaines. Le mieux serait que nous connaissions l'avenir. Mais à défaut d'une telle connaissance, si nous devons gouverner l'activité du système en faisant varier la quantité de monnaie, il importe que les opinions diffèrent (Keynes, p. 187)".

          Et le taux national de consensus détermine la vitesse à laquelle se montent et se résolvent les opérations spéculatives. Un anglais est capable de rester longtemps sur une position différente de celle de son voisin. Il y aura toujours de la diversité à la bourse comme chez les bookmakers. Par contre, le besoin de conformisme américain provoque plus rapidement le rapprochement des positions. Tant et si bien que si un anglais spécule sur plusieurs mois, un américain spécule sur plusieurs heures. Mais, dans un cas comme dans l'autre, cela n'a rien à voir avec le futur objectif de l'économie nationale.

          Pour ceux qui se souviennent des formules mathématiques keynésiennes, souvent dues à ses disciples, et qui ignorent les textes qui leur donnent sens, rappelons que les chiffres ne permettent aucune jonglerie avec la masse monétaire.

          "Mais, si nous sommes tentés de voir dans la monnaie un élixir qui stimule l'activité du système, rappelons-nous qu'il peut y avoir plusieurs obstacles entre la coupe et les lèvres. Alors qu'on peut espérer que, toutes choses restant égales, un accroissement de la quantité de monnaie fasse baisser le taux de l'intérêt, ceci ne se produira pas si les préférences du public pour la liquidité augmentent plus que la quantité de monnaie; alors qu'on peut espérer que, toutes choses restant égales, la baisse du taux de l'intérêt fasse croître le flux d'investissement, ceci ne se produira pas si la courbe de l'efficacité marginale baisse plus que le taux de l'intérêt; alors enfin qu'on peut espérer que, toutes choses restant égales, une augmentation du flux d'investissement accroisse l'emploi, ceci ne se produira pas si la propension à consommer décline (Keynes, p. 188)".

          Le privilège de créer de la monnaie doit être le plus rare possible, car le privilège de donner du pouvoir d'achat à la monnaie n'est donné à personne d'autre qu'à la collectivité, c'est-à-dire, nommément, à personne. Il n'est pas possible d'agir contre l'opinion et les propensions. Il est surprenant que ce soient les politiques prétendument keynésiennes qui s'y essayent le plus. Ce n'est pas pour rien que les paramètres fondamentaux de Keynes cherchent à traduire des attitudes devant l'avenir. Les mécanismes économiques ne peuvent se manipuler contre les tendances culturelles de chaque nation.


          ...

          Au lieu de faire l'apologie de l'épargnant, Keynes ferait plutôt celle de l'investisseur. Et loin de vanter les avaricieux, il cite volontiers la Fable des Abeilles de Bernard de Mandeville. Pour lui, c'est toujours la dépense qu'il faut privilégier, de manière à ce que le taux de l'intérêt ne dissuade pas d'investir et ne détourne pas l'argent de la production vers la spéculation.

          Commentaire


          • #6
            Citation de : vincenzo
            . . . de voir la bourse monter à l'annonce des licenciements. . .


            Bonjour ...
            J'ai lu un article, dont je n'ai pas gardé la référence, qui montrait chiffres à l'appui le contraire.
            De mémoire et en résumé :

            1) L'article démontrait que, statistiquement, les entreprises dont l'effectif diminue ont de moins bons résultats annuels et des variations de cours annuelles moins bonnes que celles dont l'effectif augmente.

            2) Quand il y a licenciements, la bourse baisse, c'est "normal", dans le sens commun du journaliste de base, on n'en parle pas.
            Quand elle monte, c'est "scandaleux" pour le même journaliste de base, il en fait tout un plat. En plus, le "licenciement boursier", c'est porteur, pour le grand public.

            3) alors pourquoi la hausse au moment du licenciement ? L'explication était celle-ci : L'investisseur fondamental sait que la société a quelque part un sureffectif. Il est en dehors en attendant que cette société fasse quelque chose. Mais contrairement à la croyance populaire, les "patrons" n'aiment pas les licenciements, car ils sont humains (si si) et quoiqu'il en soit, des licenciements, ça coute cher en Euros, en productivité et en délai. (ahhh, je me disais aussi, "humains"....). Donc, ils tardent.... Et quand "enfin", ils annoncent les "suppressions de postes", (qui ne sont pas forcément des "licenciements" d'ailleurs), l'investisseur fondamental achète et fait monter le cours, provisoirement tout au moins.

            Et en plus, le licenciement n'est pas forcément une catastrophe? J'ai fait de l'accompagnement de plans sociaux dans une vie professionnelle antérieure, et il y en a beaucoup pour qui c'est une chance ! Après coup, car je suis d'accord pour dire que ce n'est pas drôle, pendant.
            Mais ce que je viens d'écrire n'est pas du tout politiquement correct, alors je ne dirai rien de plus, avec mes excuses pour avoir pollué la file.
            Bon, c'était juste pour causer, car

            Commentaire


            • #7
              Citation de : Jean4713

              Citation de : vincenzo
              . . . de voir la bourse monter à l'annonce des licenciements. . .


              Bonjour ...
              J'ai lu un article, dont je n'ai pas gardé la référence, qui montrait chiffres à l'appui le contraire.
              De mémoire et en résumé :

              3) alors pourquoi la hausse au moment du licenciement ? L'explication était celle-ci : L'investisseur fondamental sait que la société a quelque part un sureffectif. Il est en dehors en attendant que cette société fasse quelque chose. Mais contrairement à la croyance populaire, les "patrons" n'aiment pas les licenciements, car ils sont humains (si si) et quoiqu'il en soit, des licenciements, ça coute cher en Euros, en productivité et en délai. (ahhh, je me disais aussi, "humains"....). Donc, ils tardent.... Et quand "enfin", ils annoncent les "suppressions de postes", qui ne sont pas forcément des "licenciements", l'investisseur fondamental achète et fait monter le cours, provisoirement tout au moins.

              Bon, c'était juste pour causer, car




              Un surreffectif se manifeste à un instant T ? Les ventes n'ont pas été bonnes et on fait baisser les charges (dont le personnel fait partie) afin de pouvoir distribuer un peu plus de dividende à l'actionnaire.

              Se séparer d'une partie de son personnel (pour satisfaire l'actionnaire) me revient à penser qu'une richesse part (savoir faire, compétences) surtout si la compétence est élevée en matière de R&D.

              Annoncer des licenciements (pour regonfler son cours de bourse) me laisse penser que la stratégie du PDG n'est pas forcément bonne (à contre exemple je prend Carlos Goshn que j'ai vu de mes yeux annoncer une suppression de 10% des effectifs en France et se faire applaudir par ce personnel....car il avait une réelle vision stratégique pour remettre Nissan sur les rails...ex : centralisation des achats, référencement des fournisseurs, augementation des marges sur les ventes, valorisation des produits, etc...).

              Le cours monte donc en anticipant un meilleur ROI (return on invest). On se dit qu'avec moins de personnel on aura plus de dividende mais chacun sait qu'une réorganisation coûte souvent très cher...même si les résultats ne sont pas forcément visibles à CT.


              Pour ma part, j'ai aussi réalisé le suivi d'un plan social lors d'une fusion acquisition entre 2 sociétés de la métallurgie. Si la plupart des gens sont en général reclassés (avec parfois opportunité de changer de domaine et/ou de progresser), pour les derniers % restants qui sont très difficiles à reclasser (ex : personnes près de l'âge de la retraite), ceci est très mal vécu (surtout si la personne a travaillé de longues années dans la société qui le licencie)...

              Pour revenir au débat, l'actionnaire ne fait une opération que pour anticiper un bénéfice du titre qu'il a acheté. Certains n'ont pas de vision à Moyen ou long terme (ex : day trading). Le titre n'est alors qu'un support parmis tant d'autres pour spéculer.

              Un autre bel exemple : société Legrand qui a été acheté par un fond (sortie de la cote) puis la société a progressé (CA en augmentation, augmentation des marges...) et ensuite le fond décide de remettre la société en bourse (pour prendre un beau bénéfice).

              Alcatel est passé de 100 E à 2 E . Je ne pense pas que le titre est divisé par 50 son CA...

              Pour l'exemple de la bulle internet, on voit que les cours des sociétés cotés étaient décorrelés des fondamentaux (on en revient à ce que dit Keynes).

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              • #8
                .

                Commentaire


                • #9
                  Certains veulent faire de l'argent avec de l'argent (en se fichant du support et des conséquences à CT/MT/LT sur le support tradé).

                  Ben Laden a joué la baisse à fond avant les attentats sur les marchés financiers (et vu que le monde financier n'est pas régulé et assez transparent au nom du sacré saint libéralisme et du laisser faire les marchés...ces profits générés par un attentat ont pu permettre le financement de l'action terroriste passée et à venir...et celà se compte en milliards).

                  Certains patrons (de petites et moyennes entreprises) ne préfèrent pas forcement être cotées en bourse (de peur d'éviter une ingérance dans la gestion des affaires , de se faire racheter...etc..etc...).

                  Autre exemple la famille Peugeot qui possède une grande part du capital (pour éviter une perte de contrôle).

                  Commentaire


                  • #10
                    Ben Laden, Le mossad et la CIA (quoi que ils étaient tellement bureaucratisé dans les années 90 qu'ils se sont gourrés en bombardant la mauvaise ambassade et c'est tombé sur les chinois dixit) enfin tous ceux qui étaient au courant.

                    Ah personne ne pouvait savoir lol...

                    La spéculation ne sert à rien à la société en général sauf si le spéculateur est bon il dépensera plus d'argent que le smicard moyen.

                    Commentaire


                    • #11
                      Citation de : Boots

                      Ben Laden, Le mossad et la CIA (quoi que ils étaient tellement bureaucratisé dans les années 90 qu'ils se sont gourrés en bombardant la mauvaise ambassade et c'est tombé sur les chinois dixit) enfin tous ceux qui étaient au courant.

                      Ah personne ne pouvait savoir lol...

                      La spéculation ne sert à rien à la société en général sauf si le spéculateur est bon il dépensera plus d'argent que le smicard moyen.


                      Le spéculateur achetera une Porshe ou une Ferrari (pas Laurence) fabriquée par un smicard lol

                      PS : je sais, ils sont pas payés au smic chez Porshe ou Ferrari
                      PS 2 (pas la console) : Ben Laden a vendu pleins de posters de lui...je sais pas s'il a fait comme George Lucas pour les produits dérivés.

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