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YOU SPEAK FAI?
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  • YOU SPEAK FAI?

    Puisque je suis là, à veiller sur vos rêves, je vais avec vous tenter d'aborder un sujet dont comme le précédent, nous parlâmes déjà!

    Quelles nouvelles de nos FAI, ces Fournisseurs Autorisés d'Internetie.

    J'étais tranqwill chez Free, peinard, comme dirazit Renaud, que je n'arriverais jamais à prendre en renaud, malgré mon pitun de caractérialité, et voilà que fin juillet: interruption totale et non avertie de tous signaux.

    Que faire, quand une telle chose nous échée?

    Partir, partir, mes cailles adorées, fuir pis que la peste aviaire!

    Donc je suis parti, sans savoir où je frotterais dorénavant mes guêtres, car si personne ne m'a tenu informé d'un problo quelconque, je n'ignorais pas que des dizaine de milliers d'abonnés au FAI ont subi ce genre d'outrage avant ma modeste personne.

    Taïaut, donc, taïaut, et on verra après, se dit l'internaute qui n'avait point envie de gaspiller davantage ses maigres centimes en vaines démarches, tant auprès du fournisseur, censé être joignable en cas de coup dur, tant auprès du très grand fornikler historique, au doux nom de France -Telebof, qui lui non plus, n'entend causer ou reconnaître la moindre de ses mystake!

    Ils sont les raquettes, vous êtes la balle, arbitré par un organisme censé être impartial, que l'on nomme ART, mais qui n'a rien à voir avec la chaîne franco-deutsch!

    Comme les gens, sans vouloir du tout les vexer, sont un peu du genre crédules-concons, ils espèrent qu'on va les écouter, qu'il suffiraz bien de patienter, de voir si le vent tourne tout seul sans qu'on ait besoin d'appeler Neptune ou Helios ou je ne sais quel dview pour que les choses s'arrangent.

    Ces gens-là, qui sont toujours de la meilleure bonne foi qui puisse se trouver par nos contrées, s'inquiètent quand même un minimum, et en attendant que rien ne se fasse, ils constatent que le FAI, lui, il continue à prélever son dû, car il ne faudrait pas oublier, quand même, que c'est avec cela qu'il paie la troupe de ses salariés, qui eux non plus, n'y sont pour rien du tout.

    La chienlit, comme disait un homme célèbre, qui aimait les plantes purgatives, mais qui n'est plus vraiment de mode, à ce que j'entends dans les émissions littéraires de tout de swite.

    Alors comme ça, le bon gars légèrement idiot et confiant en l'homme, optimiste, on va dire, on pourrait dire naïf, aussi, il persiste et signe, vu qu'il sait très bien qu'il est armé de son bon droit! .

    Six mois sans la moindre reconnexion, et même des fois sans une première connexion, ça existe, c'est de la dingologie à l'état natif!

    Ils paient, mais pour rien.

    Dans ces conditions, compte-tenu du percentage d'assommés incapables de réagir qui existe parmi nos fiers co-internautes, c'est à dire ceux de ma communauté, ceux que je défends comme ma propre fibre, mi compagnones, mi poto, mi dolor, mi amor, ceux qui trahissent leurs collègues en se laissant pourrir la vie, de sorte que les FAI, et surtout "France-Bonne Republique", le peteux historique, puissent allègrement continuer à se foultre de our gueules at the summum, l'ensemble des abonnés à des FAI autres que F-Tekunkon continueront allègrement aussi à se faire n'doffer de la plus affolante des "manières".

    Je m'embauche donc depuis peu, après trois mois de privation de web, puisque mes moyens ne me permettent pas de doubler mes abonnements, et qu'il me restait le mois d'aout entier à payer pour des prunes, même si j'avais réagi rapidement, et je sélectionne donc sans trop d'hésitation, vu que j'ai fréquenté depuis des mois les forums qui décrivent les problèmes rencontrés par ces dizaines de milliers d'internautes floués jusqu'à l'os par les FAI, mais toujours d'abord par F.Telekonne, l'entité en cause, dont je vous rappelle que l'Etat est le maître, ceci expliquant peut-être une bonne partie du mépris que cette entreprise peut se permettre d'avoir envers ses otages, qu'ils soient de simples consommateurs abonnés ou des FAI, par exemple.

    Pourquoi perd-je mon temps à écrire, sinon pour que vous percutassiez les réalités, et qu'un jour, vous preniez tous votre clu par les mains, pour ENFIN mettre un terme à cette dictature!

    J'avais évidemment appelé F.Telecom, pour m'encquérir du porkwoi de cette cessation de fourniture, mais par contre, je n'ai même pas essayé de m'adresser à Free, ni par mail, courrier, ni à travers la hotline, car il n'était pas nécessaire de refaire leur réputation catastrophique en matière de communication avec les clients, et parce que personnellement, je n'ai ni besoin de dépenser mon peu d'euros en pure perte, mais encore de me mettre en rage fulminante qui, chaque fois, me fait perdre quelques neurones, un peu du peu de vie qu'il me reste.

    Bah, vous connaissez certainement ce que répond France-Telecom en de telles occasions, c'est à dire quand c'est lui le fautif, non?

    "Adressez vous d'abord à votre FAI, car nous, on est secure, et nos techniciens sont "au pec", "top niveau", donc ce que vous dites, c'est des conneries, mon bon mössieu qui n'a pas songé plutôt à utiliser les excellentes fonctionnalités qualité-prix de Wanadoo, le FAI qui ne vous emmerd'ra jamais, garanti sur facture!"

    Et raccrochage au nez, pour expliquer la qualité exceptionnelle du service!

    C'est vrai que maintenant, où que l'on aille, les gens pas contents, on ne les supporte plus. C'est comme ça! On attend plutôt des compliments, surtout quand on est persuadé de chez sûr de ne savoir faire que de l'excellent boulot.

    "Mais oui, mon perdreau, tu ne sais faire que du bon tafiau, j'ai honte d'avoir posé une telle question:"

    Mentalité générationnelle affolante, faut pas leur faire le moindre repriochen, sinon ils te font une crise d'identité, et pire, ils sont foutus de prendre quinze jours de congés-vengeance psychiâtrique, ces fadas de maintenant! Mais ils sont ous fous, ou quoi, les gens?????

    Il ne te reste plus qu'à aller foutre le feu à l'Agence, parce que quand tu les vexes, attention, ils boudent, ces azors, et pas question de continuer sur la moindre tentative de résolution d'un problo pourtant fort réel, mais qui pour eux, est de l'ordre de la méchanceté fantasque! Du vice pur de certains abonnés!

    Bon, deux mois après, en essayant de me renseigner sur les FAI par téléfono, y compris auprès des services de Wanadoo, j'ai appris que désormais, au lieu d'être situé à 1700 mètres de tranchée de cable F.Téléconne de mon central qui n'a pas plus bougé que moi, j'avais l'honneur d'être "branchable" sur un autre centre Telecom, situé cependant à 4100 mètres.

    En fait, ce nouveau centre, il est à ras des champs, en limite de commune, et pas plus éloigné de moi que l'autre, sauf qu'il n'y a pas de tranchée entre lui et moi.

    Alors comment faire? T'as les ingénieurs de F.Téconne qui sont payés pour trouver des super solutions qui contentent tout le monde. Mais pourquoi on ne brancherait pas cette espèce de Thon à l'autre bout de la ville en le faisant passer par tous les centraux téléphoniques possible et imaginables qu'on trouvera en cours de route? Qu'est-ce que vous en pensez, les collègues fûmeux? "Adopté, c'est pesé!"

    "Allo, les équipes techniques? Vous voyez lz gros cable noir où il y a marqué Scrut, dessus? Oui, chef! Et ben t'y mets un couop de hâche dedans, de la part des ingénieurs du marketing, c'est pigé? Yes, pwatron, ce s'ra fait à midi!"

    Et moi, en plein été, le temps qu'on me rebranche "chépaoù", macache bono, va-te faire foultre!

    Ils s'imaginent que les internautes sont de gentils surfeurs, qu'on peut les déconnecter à l'aise, sans prévenir, ils se foutent en même temps royalement des FAI, et à travers eux, de leurs clients, alors que nous avons avec l'ensemble un contrat à tiroirs de prestation de service. Mais bon sang, les gens ne viennent pas sur le net que pour se balader, ou occuper leurs instants de loisirs! Mais quand est-ce qu'ils vont comprendre que c'est devenu pour certains, comme moi, ou que cela peut devenir, pour beaucoup, une prolongation certes virtuelle, mais néanmoins quasi charnelle de leur existence, en matière de sens, en matière même de survie, parfois, au plan pécunier ou professionnel comme au plan affectif, une véritable antenne de fourmi pointée sur le monde!????

    Ils se foutent du monde, ces vendeurs de communication, ils se foutent de ce qu'ils vendent, opérateur historique ou encore les FAI.

    Qui va leur stopper l'ambition, si ce n'est nous, mes amis internautes, en sus d'être mes co-religionnaires de Pro-AT?

    Je vous ai testé tout à l'heure sur le sujet de la vitesse du site, sur les navigateurs alternatifs à Microsoft, et seul Pascalux a daigné répondre, c'est pourquoi j'ai supprimé mes messages, vu que plus de 200 lectures avaient été faites sans réaction des lecteurs.

    Va-t-il en aller de même cette fois-ci?

    Il faut forcer les FAI à forcer la main à France-Telecom, mes doux agneaux qui ne veulent pas regarder vers le ravin!

    C'est moi qui vous le dit, car si vous pensez pouvoir prendre cela de haut ou de loin, nous, les vrais internautes solidaires, nous les abattrons quand même, un à un, car les systèmes alternatifs arrivent, et nous mettrons au chômage d'abord ceux de France Telecom, puis tous ceux des FAI qui trichent et ne veulent pas se bouger pour forcer l'ART ou France Telecom à respecter les vrais internautes.

    Voyez comme je suis?

    Tu n'avais pas vu ça comme ça, et moi je te dis que c'est comme ça, et qu'il me faut venger, avec ceux qui le voudront, tous ceux qui se sont fait biaiser la guole par la politique pourrie de France-Teléconne, égale à la rapacité des autres opérateurs notamment téléphoniques, (allez faire un tour dans les forums spécialisés, vous trouverez vite les noms des boîtes dont je cause), toutes soi-disantes entreprises vendeuses de communication, et dont pas une seule n'est foutue de communiquer jusqu'à présent avec le seul interlocuteur qui compte, celui qui paie, j'ai nommé le client!

    Sauf depuis aujourd'hui, car Club-Internet, suite peut-être à un litige commercial sur un prélèvement abusif dès le départ de l'abonnement, qui m'a obligé à me servir de la hotline, alors que je m'étais bien dit que cet instrument ne devait pas me servir, jamais, m'a appelé aujourd'hui, sous prétexte d'enquête de satisfaction, et qu'il n'a pas été déçu de la réponse.

    J'ai largué les caisses pendant une bonne demi-heure, sans interruption, tout en expliquant combien j'étais satisfait de leur démarche, leur proposant de me rappeler à l'occasion, car je n'avais fait qu'effleurer le point de vue du client, de l'internaute, et que j'estimai qu'ils auraient tout à gagner à revenir chercher des idées en matière de recherche de qualité auprès de ma personne fort modeste, mais néanmoins le représentant de l'internautie!

    La nana notait au fur et à mesure, mais c'était dur vu mon débit et l'avalanche de sujets abordés.

    Je crois qu'après, il lui a fallu aller tirer un café kosto, à la machine automatique, la pauvre!

    Je lui ai dit: "la prochaine fois, au lieu de prendre une crampe à tout noter, pensez à vous munir d'un enregistreur, quand vous vous adressez à des agents infiltrés chez l'ennemi!"

    Je lui ai aussi dit, d'abord un grand merci pour Club d'avoir compris, à mon précédent appel que je n'étais pas n'importe nawouak, et de m'avoir donc sélectionné comme audit, et que si cette collaboration pouvait aboutir, je ne demanderais même pas des sous ou des réduc de mierdre, car il me suffirait largement que Club-Internet conquière par son sérieux, son écoute, sa recherche de qualité, les internautes à travers des gaziers dans mon style, d'énormes parts de marchés sur les teignes pourrissantes qui sont leurs concurrents mièvreux et couchés devant France Telecom!

    Ainsi, de ce bois, se chauffait le Scrut, et tout portait à croire qu'il en irait ainsi jusqu'à sa mort, bande de lâches que vous êtes tous presque autant que moi, qui adore se vanter de faits misérables!

    C'est normal, non?

  • #2
    aaaaaah ,une bonne journée commence , j'ai déjà bien ri
    merci scrut

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    • #3
      les actions montent par l'escalier,
      mais elles descendent par l'ascenseur.

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      • #4
        Génial, quelle diatribe !
        Ecris un bouquin si ce n'est déjà fait, je te lirais !
        Pour en revenir au sujet clos, alors oui Crock, il devient urgent de faire quelque chose, j'ai l'impression d'avoir un modem 56k voir pire un minitel !
        Quant aux FAI, je pense y avoir épuisé une partie de mon énergie(free en l'occurence).
        Et F. Tel l'écho., je ne peux que parler d'eux en termes d'escroqueries, il n'y a qu'a voir les tarifs qu'ils pratiquent dès que l'on s'éloigne un peu de cette chère métropole comme à la Réunion par exemple.
        Sur ce, bon week end à tous

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        • #5
          scrut trop fun tu devrais publier un bouquin pour ma part je touche du bois pour moi bon j'ai free j'ai eu un problème j'ai téléphoné et résolu illico

          Mais bon tout de facon tous les mêmes il savent que piquer ton pognon

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          • #6
            Bonsoir.
            Un de ces jours, je vais écrire un bouquin, ça me dirait, mais j'ai des problèmes de résistance à l'effort dans le temps.

            Mais tout un bouquin de véhémence, ça devrait être lassant, c'est chose à craindre, j'imagine.

            Il y a Burgos qui m'a dit que je devrais aller sur des sites spécialisés, car ici, les gens ne seront que moyennement intéressés par le contenu du combat entre internautes et les FAI+ fournisseur historique.

            Je considère que ces FAI ne font pour le moment que faire semblant de se défendre face à la politique antiprogrès d'une part, du grand opérateur homérique, mais encore et surtout des autorités qui le dirigent ou l'encadrent, dans leur subtile pratique de la perniciosité à l'égard de l'effraction numérique.

            S'ils décidaient de se battre vraiment, à la fois pour défendre leur entreprise mais également, dans le même temps, ce qui est leur intérêt en terme d'image et de satisfaction, pour défendre la communauté des internautes, cette dernière pourrait les considérer d'un oeil moins acerbe.

            Il ne faut pas oublier que chacun de ces FAI a conclu des accords de prestation avec le grand OH.

            C'est en tous les cas ce que je soupçonne à partir de l'attitude d'un Free, par exemple.

            Les débranchements intempestifs qui ne se solutionnent pas si souvent que tu l'évoques, dans des conditions confortables, en frais ou en heure, me semblent être le fruit d'une technique de chantage marketing du grand manitou.

            Quelqu'un m'a dit que les techniciens des FAI peuvent intervenir eux-mêmes sur les armoires de branchement DSLAM.
            J'en doute un peu, et si ça se fait, cela ne doit pas être partout, ni depuis longtemps.
            Comme EDF, France-Telepareil sous-traîte auprès d'entreprises spécialisées un certain nombre de travaux, mais cela m'étonnerait que le même type de boîtes puisse intervenir à l'instante demande des autres FAI.

            Alors oui, j'irai vraisemblablement m'exprimer sur des forums spécialisés, qui sont nombreux, d'ailleurs.

            Contrairement à ce qui m'a été dit, le nombre de litiges est considérable, en France.

            La plupart de ces litiges tiennent à quelques raisons donc décisions de politique du grand ordonnateur, cela couplé à l'adaptation qu'y répondent les FAI, adaptation se traduisant le plus souvent par des nuisances dans la jouissance du service que l'internaute PAIE.

            Celui qui paie est le patron, chez moi, et non pas le supplicateur.

            Il est prescripteur! Comme actuellement, en plus de me contenter de gérer les détails propres à l'utilisation de ma seule périgrination au travers des tuyaux qui me conviennent, j'essaie d'en faire prendre conscience à ceux qui ne se représentent que comme de simples consommateurs.

            Je veux dire par là, qu'en échangeant, je deviens AUSSI témoin et prescripteur d'opinion, d'une part auprès de mes co-internautes, mais qu'en outre, je suis persuadé que je peux faire infléchir, tout seul ou avec eux, les politiques de tous ceux par qui je suis obligé de passer pour accéder au service.

            Il y atrente-six façons d'arriver à des progrès. Celui que j'ai choisi pour le moment, c'est d'en parler avec tous ceux que je côtoie, ici ou là, mais encore au téléphone, avec les entreprises auxquelles j'ai affaire, avec le ton qui convient, ce qui devient du grand art, de nos jours, comme je l'expliquai plus haut, vu que l'interface-utilisateur de ces entreprises est assez éloignée par nature du staff qui les dirige.

            Mais faire prendre conscience aux-dites entreprises ce qu'elles perdront à continuer à se fiche de nous comme jusqu'à présent n'est pas vain.

            Les partsde marché, ça se perd. Mauvaise gestion et mauvaise communication, disons plutôt catastrophique, suicidaire, d'entreprises dont le métier est de distribuer de la communication, un comble.

            Mauvaise réactivité des internautes, ou plutôt du client, de celui qui, en réalité est le vrai patron, mais qui l'ignore.

            Tout le jeu, toute la marge de manoeuvre, et donc de croissance, y compris en bénéfice, réside dans l'exploitation plus ou moins habile de cette ignorance, de cette non-prise de conscience, de cet endormissement, de cet état catatonique chronique.

            D'abord le grand O, puis les vassaux aux longues dents crochues, et enfin vous.

            Tout le monde y a droit, avec votre serviteur!

            Il est clair que celui qui dispose des moyens de se payer les services du grand fournisseur, ça ne l'inquiète pas trop, mais quand il envisage que les râleurs cessent de l'ennuyer avec leur dépit, il n'est pas loin de devenir un ennemi à combattre, je ne sais pas s'il s'en rend bien compte.

            Eviter de se faire le défenseur de l'oppresseur, c'est une politique pas forcément efficace. Ca risque d'aboutir à peu près à l'inverse de l'effet escompté. J'aurais pu ajouter "moralisateur", entre guillemets, car ce type de morale lénifiante, ça se conteste à l'aise, et depuis toujours, c'est du classique. Du classique qui ne changera jamais, pour bien dire.

            On en revient toujours aux mêmes fondamentaux. Communiquer, partager l'info., en premier lieu, pour faire évoluer les choses.

            Absence cruelle de volonté de transparence, comme je vais vous le prouver par un seul exemple. (que j'ai évoquée avec l'envoyée de Club-Internet l'autre jour)

            Comment se fait-il qu'il n'y ait pas moyen de lire les CGU ou CGV en format confortable, quand on va sur le site d'un quelconque FAI?

            Et si tu n'as pas d'imprimante, tu vas sonner chez le voisin pour qu'il t'en prête une?

            Ou alors tu réinstalles WIN 98, pour faire marcher la tienne, une HP de trois ans, et qui sur XP n'imprime qu'une seule sorte de page, celle de test, autant de fois que tu lui donnes du papier?

            Au moins, après l'abonnement, ils pourraient être tenus de t'envoyer un exemplaire de celles-ci. Eh bien ce sera non, pourtant, tu es bien censé avoir conclu un engagement, signé ce contrat avec eux. Je vais me fabriquer mes propres CGU sans les leur faire parvenir, et à la moindre anicroche, résiliation, puis blocage des prélèvements, quitte à aller en Justice pour cela. (à leur initiative, l'inverse est vain, vous connaissez la Justice de notre pays, non?) (quoi, qu'est-ce qu'elle a, la Justice de notre pays, elle n'est pas bien? )
            Quitte à quitter aussi ma banque, si ça lui déplaît, et je m'arrangerai, donc, pour en payer le moins possible, quitte encore à déménager, juqu'à ce qu'ils pigent qu'il y en a marre et qu'il faut qu'ils se corrigent eux, s'ils ne veulent pas, à la fin, être perdants.

            Ensuite, je n'aurais plus de net?
            "Eh alors, tant pis, il faut savoir ce qui est le plus important pour moi, mon honneur, mes idées ou bien avoir l'occasion de vous les chanter à l'oreille sans que ça ne soit suceptible d'y entrer, et en plus, payer pour cela, alors que ça n'y rentrera jamais, donc!"

            Pas assez riche pour me payer ce luxe!

            Ils vont tous se foutre de nous comme cela longtemps, ces gens qui viennent sur BFM vanter leur formidable ascension, leurs projets mirifiques autant que mirabuleux?

            Je vais te leur calmer la joie, moah, même tout seul!



            Eh, les jeunes, je ne corrige pas, heinh, ce n'est pas grââââve, je ne suis pas encore écrivain, il y a loin de la panse à l'abreuvoir.



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