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Alan Greenspan - Age of turbulence
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  • Alan Greenspan - Age of turbulence

    encore mieux

    http://seekingalpha.com/article/69638-book-review-...

    Le livre de Greenspan ne peut etre lu sans son contre point..vu qu il passe son temps à dire qu il est génial et qu il a tout prévu.....un monument d auto satisfaction.....

    l autre est hilarant et beaucoup plus actuel à mon avis

  • #2
    "During Greenspan's tenure, the creative destruction component of capitalism was routinely suppressed. The main consequence of this suppression was a loss of fear. Thus, the normal risk reduction response to periodic financial pain never occurred, as Greenspan wouldn't even allow small crises to run their course. Instead, as people lost respect for the idea that they might lose money, risk taking continually escalated until the situation reached a point where it is now: the United States, individually and collectively, is swimming in an ocean of debt that has been rapidly ratcheting higher. At the same time, the country is experiencing a declining real estate market that supports much of that debt, a sinking economy that has been dependent on an unsustainable real estate bubble, and a weak currency. Plus, there are over $500 trillion worth of derivatives that Warren Buffett has described as "financial instruments of mass destruction." You couldn't have created a more precarious environment if you had tried."


    Chris, il est utopique de tout mettre sur le dos de Greenspan. Si les banques et organismes de crédit n'ont pas su gérer le risque, Greenspan ne peut en être tenu pour seul responsable. C'est comme l'immobilier dans les années 90 et son krach. Les particuliers achetaient à des prix hallucinants avec des taux d'emprunts supérieurs à 8% il me semble (parce que selon le dicton populaire...la pierre est une valeur sûre). J'en connais qui malgré les prix actuels ne rentrent pas encore dans leurs frais (vu le coût de l'endettement).

    Les américains aiment avoir plusieurs cartes de crédits (ou on leur fait croire qu'il faut disposer de plusieurs cartes) pour pouvoir consommer. Le nombre de pub à la TV US pour s'endetter est conséquent il me semble.

    Il est faux de croire qu'un support peut voire monter son prix jusqu'au ciel...(avec ou sans inflation monétaire)...

    Aujourd'hui, certains américains en font la triste expérience.

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    • #3
      je ne lui mets pas tout sur le dos...
      mais est ce que une personne,une seule ,pourrait dire "j ai un peu merdé" ???
      ras le bol de ces gens qui s auto innocentent....en particulier la FED.....
      je repete..les banques centrales sont sensées assurer la stabilité du systeme...
      Alan était là pendant les subprimes non ??

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      • #4
        la FED ne peut pas dire à tous les banquiers et organismes de faire attention à qui ils prêtent leur argent.

        Les responsables sont à mon avis les commerciaux qui ont vendu ces crédits (avec des arguments du type : les taux sont bas, c'est l'affaire de votre vie, blabla....)

        La FED ne peut contrôler les comportements des acteurs économiques (sinon, l'économie serait simple à gérer et il n'y aurait jamais de bulles ou de crises)...

        Les acteurs sont comme des midinettes à la recherche de la mode....ils suivent la tendance...

        Tiens, mon collegue s'est acheté une SLK, je vais acheter la même...tiens, il s'est acheté une maison, je vais faire pareil...

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        • #5
          http://www.boursorama.com/international/detail_act...

          L'administration Bush veut faire de la Fed le vrai gendarme de l'industrie financière américaine

          Face à la crise des prêts hypothécaires à risque (subprime), l'administration Bush propose de réformer en profondeur le mode de régulation de l'industrie financière américaine. Le projet ferait de la Réserve fédérale, un super-gendarme de la finance, qui pourrait contrôler des banques aux pouvoirs étendus pour veiller à la stabilité des marchés.

          Le plan, qui doit être officiellement dévoilé lundi lors d'un discours du secrétaire au Trésor Henry Paulson, propose également de consolider l'actuel système de régulation bancaire.

          Le projet est le fruit d'une année de réflexion destinée à moderniser les instances de régulation de l'Etat pour améliorer la compétitivité des entreprises financières américaines.

          Mais la réforme vise également à remédier les graves défaillances révélées par la crise du subprime qui secoue les marchés financiers depuis l'été dernier. La crise a déjà mis à terre Bear Stearns, la cinquième plus grande banque d'investissement du pays, au bord de la faillite avant un rachat par JP Morgan Chase arrangé sous l'égide du gouvernement.

          Selon un document de travail de 22 pages que s'est procuré vendredi l'Associated Press, le projet propose d'élargir considérablement les pouvoirs de la Fed, qui deviendrait le "régulateur de la stabilité du marché".

          La réforme officialiserait le rôle joué depuis la crise par Ben Bernanke et ses collègues. De façon inédite, la banque centrale a commencé à octroyer des prêts directs à des firmes de valeurs mobilières pour tenter de consolider un système ébranlé par les milliards de dollars de perte liées à la crise des prêts hypothécaires à risque.

          Pour éviter une nouvelle crise, la Fed pourrait désormais envoyer des enquêteurs scruter les comptes des banques commerciales, mais aussi de toute institution considérée comme une menace potentielle pour le fonctionnement du système financier dans son ensemble.

          Le plan prévoit aussi la fermeture de l'Office de supervision économique, chargé de contrôler les institutions économiques, et le transfert de ses fonctions à l'Office du contrôleur de la monnaie, qui régule les banques. La Securities and Exchange Commission (SEC), qui surveille les opérations boursières, fusionnerait par ailleurs avec la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), qui contrôle les contrats à terme sur le pétrole, des céréales...

          Une instance de régulation fédérale serait créée dans le secteur de l'assurance, actuellement contrôlé surtout au niveau de chaque Etat américain. Une commission spéciale serait par ailleurs mise en place pour éviter les abus révélé par la crise du subprime.

          Enfin, le projet de réforme, révélé vendredi par le site Internet du "New York Times", propose une instance de contrôle des pratiques commerciales destinée à protéger les consommateurs.


          Ce plan risque de se heurter à la résistance du monde de la finance, qui s'est montré dans le passé hostile aux plans de réforme des mécanismes de régulation. Et au Congrès, certains démocrates risquent de trouver que le projet ne va pas assez loin pour lutter contre les abus, même si les premières réactions étaient plutôt positives. AP

          jp/sb/v0119/mw

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