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  • Compétitivité

    Bonjour

    La direction de la prévision du ministère des finances revient de façon claire et synthétique sur la compétitivité et attractivité de l'économie française.Pour conclure que le"tableau est plutôt favorable"mais que la France fait face à "un déficit d'image incontestable".
    Curieusement les discours actuels aux médias disent le contraire qui dit la vérité :les communicateurs par l'oralité ou l'écrit des Ministères?? Voir site

    http://www.minefi.gouv.fr/Prevision/dpae/pdf/2004-...

  • #2
    Slt Jcs,

    les médias s'occupent du CT, l'article du ministère des finances du LT. Du coup, les 2 ont raisons.

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    • #3
      Sur la compétitivité,un article d'aujourd'hui.

      L a France a perdu sept places au classement annuel de la compétitivité de l'école de commerce suisse IMD, selon lequel elle fait les frais de sa résistance aux réformes économiques et sociales.
      Selon le "World Competitiveness Yearbook 2004" publié mardi, la France se retrouve cette année au 30ème rang du classement des 60 économies mondiales étudiées par l'Institute for Management Development (IMD) de Lausanne, alors qu'elle occupait la 23ème place l'an dernier.
      La France se retrouve ainsi loin derrière les trois premiers (Etats-Unis, Singapour, Canada) et se fait distancer par l'Allemagne (21ème rang), le Royaume-Uni (22) et le Japon (23). Elle fait mieux que l'Espagne (31) et l'Italie (51).
      La France recule pour les quatre critères synthétiques du classement: elle se retrouve à la 13ème place pour la performance économique (contre la 10ème en 2003), à la 16ème (contre 14ème) pour les infrastructures au sens large (science, technologie, santé, éducation, environnement...), au 41ème (contre 32ème) pour l'administration et au 43ème (contre 34ème) pour les entreprises.


      L'intégralité de l'article,
      http://permanent.nouvelobs.com/economie/20040505.O...

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      • #4
        MMouais, le classement d'une école de commerce suisse, qui prend en compte toutes sortes de facteurs moulinés à leur façon, j'aurais tendance à pas trop le regarder.

        La Chine par exemple est 24ème...

        On parle compétitivité ou mélange de choux et de carottes ?????

        J'ai dans l'idée que le but (mal) caché de ce genre d'étude, et de faire parler de leur auteurs, en allant dans le sens du vent.

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        • #5
          La Banque centrale européenne considère la zone euro une et indivisible. C'est même un dogme absolu pour la conduite de sa politique monétaire. On appréciera donc d'autant plus qu'elle fasse une entorse à ce principe quasi constitutionnel de l'Euroland. Dans son bulletin de mai 2004, elle a calculé, pays par pays, la compétitivité de chacune des douze économies nationales au cours des deux dernières années marquées par la flambée de l'euro. Loin d'être uniformes, les évolutions s'avèrent extrêmement inégales.

          Tous les pays ont subi une dégradation de la compétitivité-prix de leurs exportations entre le 1er trimestre 2002 et le 1er trimestre 2004, mais les pertes vont pratiquement de un à quatre. L'Autriche, qui perd 4,6%, est la moins touchée, alors que l'Irlande est la plus lourdement frappée, avec un handicap de 16,2%. Les trois plus grandes économies de la zone euro se trouvent à mi-chemin: la France a perdu 8,8%, l'Allemagne 7,3% et l'Italie 9,7%.

          Ces différences considérables s'expliquent de deux façons. Il va de soi que plus un pays réalise une part importante de ses exportations hors de la zone euro et plus il se trouve pénalisé par la remontée de la monnaie unique. C'est le cas de l'Irlande dont seulement 38,8% des exportations se font à l'intérieur de l'Euroland, record absolu. C'est également la situation de la Finlande et de l'Allemagne qui exportent énormément en dehors de la zone euro (plus de la moitié des ventes pour la première et un peu moins de 50% pour la seconde). La France quant à elle vend surtout à l'intérieur de l'union monétaire (60,9%).

          En revanche, la Finlande et l'Allemagne possèdent une autre caractéristique commune, une faible inflation, contrairement à l'Irlande qui est le pays le plus ouvert sur le grand large mais aussi le plus inflationniste de tous. L'inflation constitue en effet la seconde composante de la compétitivité-prix de chaque pays.

          Les économistes de la BCE prennent grand soin de faire apparaître séparément ces deux éléments, qui jouent à deux niveaux différents. Ils établissent pour chaque pays une compétitivité «intra-zone euro» (sic), laquelle ne dépend bien sûr que des écarts d'inflation de chaque pays par rapport à la moyenne. Ces différences ne sont pas négligeables: l'Irlande a vu ses prix augmenter de 3,5 points de plus que la moyenne des pays sur les deux années 2002 et 2003 et l'Allemagne de 2,2% de moins; la France a pour sa part enregistré un taux d'inflation très légèrement supérieur à la moyenne (de 0,6%).

          La BCE définit ensuite la compétitivité «extra zone-euro» (sic). Celle-ci dépend du taux de change, qui est le même pour tous, du degré d'ouverture aux exportations en dehors de la zone euro propre à chaque nation, mais aussi des hausses de prix de chaque pays comparées à l'inflation des autres économies du monde. La perte globale de compétitivité vis-à-vis du reste du monde atteint 21,3% pour l'ensemble de la zone euro (le «taux de change effectif réel de l'euro» en termes techniques). On notera qu'en dépit d'une moindre ouverture sur le grand large que l'Allemagne, la France subit une dégradation plus marquée (de 22,9% contre 19%) en raison de son inflation supérieure.


          http://www.lefigaro.fr/eco-entreprises/20040514.FI...

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          • #6
            En 2000, les paradis fiscaux et les centres off-shore ont bien cru que leur dernière heure était venue. Les instances internationales ­ l'OCDE, le Groupe d'action financière sur le blanchiment des capitaux (Gafi), le G8, etc. ­ rivalisaient pour dresser des listes noires de pays «non coopératifs», véritables moutons noirs de la finance mondiale. Avec les députés PS Arnaud Montebourg et Vincent Peillon, le Parlement français s'en prenait violemment à Monaco, au Liechtenstein ou à Jersey...

            Le résultat de cette mobilisation quatre ans après ? Pas grand-chose selon Thierry Godefroy et Pierre Lascoumes, chercheurs du CNRS spécialistes de la délinquance financière qui viennent de publier un ouvrage sur les places off-shore (1). Le combat était perdu d'avance, puisqu'il reviendrait à mettre en cause le fonctionnement légitime et normal de la finance internationale.


            L'entretien,
            http://www.liberation.fr/page.php?Article=230824

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            • #7
              "Le jour approche où il n'y aura plus de travail pour les personnes non qualifiées… Ce sera sans doute dans les dix prochaines années." Digby Jones, président de la Confederation of British Industry (CBI), a fait cet aveu à la veille de la conférence nationale de cette organisation patronale, la plus importante du Royaume-Uni, dont les travaux ont commencé le 8 novembre à Birmingham, rapporte The Independent. "Digby Jones a déclaré que le gouvernement devait diversifier d'urgence les niveaux de qualification afin de permettre à l'économie de créer plus d'emplois qu'elle n'en délocalise."

              Mais l'avertissement de Jones ne met nullement en cause cette tendance ; au contraire, il "s'est lancé dans une défense solide de la mondialisation et des délocalisations, affirmant qu'elles accroissaient la productivité et les profits, et permettaient aux entreprises de créer des emplois plus qualifiés et mieux payés", note le journal londonien.

              Le sondage réalisé par la CBI auprès de 150 entreprises révèle que le mouvement est bien lancé. "Plus de la moitié des sondés disent que la pression pour délocaliser à l'étranger a augmenté ces deux dernières années. Un tiers des sociétés assurent avoir déjà externalisé certaines activités et près du quart pensent le faire dans le futur." Parmi celles qui ont délocalisé, 90 % estiment que l'opération a été réussie.

              Quant à ceux qui ne seront pas à la hauteur des emplois qualifiés, ils se trouveront dans une très mauvaise posture. L'urgence concerne l'enseignement, notamment le secondaire, et la formation, car, au dire du chef économiste de la CBI, Ian McCafferty, "il sera impossible, dans dix ans, pour les 3,5 millions de personnes analphabètes au Royaume-Uni de trouver du travail".


              http://www.courrierinternational.com/article.asp?o...

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              • #8
                "J moins trois" avant le "big bang". Le 1er janvier 2005, le système des quotas qui, pendant trente ans, a régi le commerce mondial du textile (169 milliards de dollars) et de l'habillement (226 milliards de dollars) va être supprimé. Une mesure qui laissera libre cours aux exportations d'articles fabriqués en Chine et en Inde vers les 148 pays membres de l'Organisation mondiale du commerce (OMC).

                Le démantèlement de l'Accord sur les textiles et les vêtements a été approuvé en 1994 mais, entre-temps, Pékin a fait son apparition dans le commerce mondial, en adhérant en 2002 à l'OMC. Selon cette dernière, la part de la Chine dans les importations de l'Union européenne devrait passer de 18 % à 29 %. Aux Etats-Unis, les produits chinois devraient représenter 50 % des importations contre 16 %.

                "Quand la suppression des quotas a été décidée, personne ne concevait que la Chine deviendrait un tel concurrent et se développerait aussi rapidement", explique Denis Audet, économiste à l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Ce pays est pourtant devenu le premier exportateur de vêtements avec 28 % du marché planétaire, pour un chiffre d'affaires de 80,4 milliards de dollars (59 milliards d'euros)...

                Au Sud, les Etats les moins développés, qui pensaient au départ être favorisés par la levée des quotas, sont en fait les grands perdants. Le Bangladesh, la République dominicaine, l'île Maurice craignent de s'enfoncer dans la misère. Leur principal atout (une main-d'œuvre à bas prix) est balayé par les champions chinois et indiens, qui allient faibles coûts à production intégrée (du fil au vêtement) et qualité. "Comment pouvons-nous résister à la concurrence - chinoise - ? Ils versent des subventions - à leurs entreprises - et leur monnaie est sous-évaluée", explique-t-on à l'ambassade du Bangladesh auprès de l'OCDE.


                L'intégralité de l'article,
                http://www.lemonde.fr/
                web/article/0,1-0@2-3234,36-392233,0.html

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