Oui, j'ai compris, deuxième service.
Comme les notaires, par exemple, c'est ça?
A ce moment là, il faudrait, pour rétablir la balance vers davantage d'instabilité, ce qui apparaît décidément comme très attractif, songer à injecter une dose de volatilité dans des parcours à l'évidence trop sereins.
Pas assez de remise en cause, chez certains, long fleuve tranquille sur une route pavée de bonnes intentions.
Non, ne faire que la moitié de la révolution de la mentalité n'est pas suffisant.
Il faudrait, bien au contraire que les bons préceptes à l'endroit de catégories particulières soient étendus à tous, ne pas généraliser les exceptions, les rentes de situation.
Du moment qu'on atteindrait le but recherché, la compétitivité, l'instabilité maximale, la volatilité de l'être qui elle seule permet de faire réfléchir, ne pas s'endormir sur des paillasses de couronnes de lauriers, comment donner un meilleur coup de pied au cul à la France, améliorer sa circulation sanguine, lui rendre service?
Tout le monde va comprendre l'intérêt qu'il a à se faire foutre dehors, tellement ça saute aux yeux du premier imbécile venu.
Assez d'atermoiements, passons aux choses sérieuses, n'hésitons point dans la radicalité, soyons ambitieux, libérons la société de ses freintes!
Les gens des autres pays seront tellement stupéfaits de nous voir redevenir le phare du monde qu'ils rêveront d'être français.
Mais tout cela ne se fera pas sans user d'un minimum de pédagogie ni augmentation significative du nombre de places d'hébergement en prison, le contrôle aux frontières, car il y a toujours des mécontents, des gens qui ne veulent pas quitter leur confort, ou qui essaient de partir en voyage.
Il a fallu du temps, mais on les a eu, les herboristes, les bouilleurs de cru, tous ces gens qui profitaient de privilèges indus.
Il faut inciter les vieux à acquérir davantage de souplesse, et quoi de mieux que de leur couper la retraîte pour leur redonner l'envie d'entreprendre plutôt que buller ou thésauriser?
Il y a bien les chantiers de jeunesse, créons les chantiers de vieillesse, voyons ce qui est efficace, un peu.
Oui parce que quand on cause de justice, d'efficacité, d'égalité, on ne peut pas se contenter de ne s'occuper que de certains, tandis que tous les autres assisteraient peinards au grand halali.
Non, une deuxième chance pour tous, joignons nous les mains tous ensemble dans une grande chaîne de l'espoir et des devoirs réunis, car tous unis, nous serons bien plus forts, pas vrai?
Il ne faut laisser personne au bord du chemin qui mène à l'équarissage pour tous, comme aurait dit un gars d'il y a quelques années.
Mais pour cela, il faut approfondir, creuser le sujet, songer à l'emploi de l'insécurité économique dans son caractère universel.
Pas besoin de concours, si les gens n'ont plus besoin de postuler. Un bon tirage au sort à la machine ou au chapeau, et zou, encore des économies!
Pareil pour le déficit de la Santé Publique: tous les sept ans, pour faire des économies, on pourrait tirer à la courte-paille pour une opération chirurgicale et un gros sac de pilules de toutes les couleurs. "Tiens, j'ai gagné une ablation de la rate, c'est toujours mieux qu'une amputation ou une greffe de face!"
C'est comme ça, à force de regarder dans l'assiette du voisin, on ne trouve plus de goût à sa clairette, on finit par la voir minuscule, son escalope de veau à la crême, et finalement, on dépérit, on dépérit, puis elle termine dans la gamelle du chien, que voulez vous!
Et la nuit, on rêve d'en baffrer trois à la file, pour relancer la filière bovine!
Ce ne sont pas les jeunes, qui manquent de flexibilité, pour le peu qu'on arrive encore à fabriquer, je crains que cela ne vienne plutôt d'ailleurs, vers les couches supérieures de l'arbre généalogique, mais pour les courber, ceux-là, ça ne risque pas vraiment d'aller en s'arrangeant!
L'Etat, bien sûr, puisque c'est lui qui est censé prendre les bonnes décisions, vu que c'est pour cela qu'on lui a confié des responsabilités.
En matière d'effort budgétaire pour la Recherche, comme je l'ai déjà dit, mais c'est difficile à l'admettre, lorsque l'on le compare à celui de pays en bonne forme, il en fait, à l'évidence pas assez ni de manière efficace, mais là où la différence est SPECTACULAIRE, par rapport à l'étranger, c'est malheureusement dans le domaine de l'investissement en Recherche du secteur privé.
Il ne faut pas oublier, en sus, les efforts consentis par les collectivités locales, non seulement question recherche, mais encore investissements divers en infrastructures voire reprises ponctuelles d'activités.
Comment expliquer ce curieux déficit de l'Investissement Privé, il faudrait qu'on lui en touche un mot, car il en va de "La Sécurité Economique de l'Emploi", si ça l'intéresse, le gars.
Je ne pense pas que cet argument le convainque, il vaudrait mieux lui parler de choses qui le touchent d'un peu plus près, ce serait plus efficace.
Mais moi, je ne me vois pas lui faire la leçon, il ne me croira pas, je n'ai pas les diplômes requis, et si l'Etat est tout aussi incapable de la lui faire, qu'il ne m'écoute pas lui non plus, c'est pas la peine ensuite de venir sonner à ma porte, ce sera NON, même avec une pleine poignée de sirop d'orgeat!
Comme les notaires, par exemple, c'est ça?
A ce moment là, il faudrait, pour rétablir la balance vers davantage d'instabilité, ce qui apparaît décidément comme très attractif, songer à injecter une dose de volatilité dans des parcours à l'évidence trop sereins.
Pas assez de remise en cause, chez certains, long fleuve tranquille sur une route pavée de bonnes intentions.
Non, ne faire que la moitié de la révolution de la mentalité n'est pas suffisant.
Il faudrait, bien au contraire que les bons préceptes à l'endroit de catégories particulières soient étendus à tous, ne pas généraliser les exceptions, les rentes de situation.
Du moment qu'on atteindrait le but recherché, la compétitivité, l'instabilité maximale, la volatilité de l'être qui elle seule permet de faire réfléchir, ne pas s'endormir sur des paillasses de couronnes de lauriers, comment donner un meilleur coup de pied au cul à la France, améliorer sa circulation sanguine, lui rendre service?
Tout le monde va comprendre l'intérêt qu'il a à se faire foutre dehors, tellement ça saute aux yeux du premier imbécile venu.
Assez d'atermoiements, passons aux choses sérieuses, n'hésitons point dans la radicalité, soyons ambitieux, libérons la société de ses freintes!
Les gens des autres pays seront tellement stupéfaits de nous voir redevenir le phare du monde qu'ils rêveront d'être français.
Mais tout cela ne se fera pas sans user d'un minimum de pédagogie ni augmentation significative du nombre de places d'hébergement en prison, le contrôle aux frontières, car il y a toujours des mécontents, des gens qui ne veulent pas quitter leur confort, ou qui essaient de partir en voyage.
Il a fallu du temps, mais on les a eu, les herboristes, les bouilleurs de cru, tous ces gens qui profitaient de privilèges indus.
Il faut inciter les vieux à acquérir davantage de souplesse, et quoi de mieux que de leur couper la retraîte pour leur redonner l'envie d'entreprendre plutôt que buller ou thésauriser?
Il y a bien les chantiers de jeunesse, créons les chantiers de vieillesse, voyons ce qui est efficace, un peu.
Oui parce que quand on cause de justice, d'efficacité, d'égalité, on ne peut pas se contenter de ne s'occuper que de certains, tandis que tous les autres assisteraient peinards au grand halali.
Non, une deuxième chance pour tous, joignons nous les mains tous ensemble dans une grande chaîne de l'espoir et des devoirs réunis, car tous unis, nous serons bien plus forts, pas vrai?
Il ne faut laisser personne au bord du chemin qui mène à l'équarissage pour tous, comme aurait dit un gars d'il y a quelques années.
Mais pour cela, il faut approfondir, creuser le sujet, songer à l'emploi de l'insécurité économique dans son caractère universel.
Pas besoin de concours, si les gens n'ont plus besoin de postuler. Un bon tirage au sort à la machine ou au chapeau, et zou, encore des économies!
Pareil pour le déficit de la Santé Publique: tous les sept ans, pour faire des économies, on pourrait tirer à la courte-paille pour une opération chirurgicale et un gros sac de pilules de toutes les couleurs. "Tiens, j'ai gagné une ablation de la rate, c'est toujours mieux qu'une amputation ou une greffe de face!"
C'est comme ça, à force de regarder dans l'assiette du voisin, on ne trouve plus de goût à sa clairette, on finit par la voir minuscule, son escalope de veau à la crême, et finalement, on dépérit, on dépérit, puis elle termine dans la gamelle du chien, que voulez vous!
Et la nuit, on rêve d'en baffrer trois à la file, pour relancer la filière bovine!
Ce ne sont pas les jeunes, qui manquent de flexibilité, pour le peu qu'on arrive encore à fabriquer, je crains que cela ne vienne plutôt d'ailleurs, vers les couches supérieures de l'arbre généalogique, mais pour les courber, ceux-là, ça ne risque pas vraiment d'aller en s'arrangeant!
L'Etat, bien sûr, puisque c'est lui qui est censé prendre les bonnes décisions, vu que c'est pour cela qu'on lui a confié des responsabilités.
En matière d'effort budgétaire pour la Recherche, comme je l'ai déjà dit, mais c'est difficile à l'admettre, lorsque l'on le compare à celui de pays en bonne forme, il en fait, à l'évidence pas assez ni de manière efficace, mais là où la différence est SPECTACULAIRE, par rapport à l'étranger, c'est malheureusement dans le domaine de l'investissement en Recherche du secteur privé.
Il ne faut pas oublier, en sus, les efforts consentis par les collectivités locales, non seulement question recherche, mais encore investissements divers en infrastructures voire reprises ponctuelles d'activités.
Comment expliquer ce curieux déficit de l'Investissement Privé, il faudrait qu'on lui en touche un mot, car il en va de "La Sécurité Economique de l'Emploi", si ça l'intéresse, le gars.
Je ne pense pas que cet argument le convainque, il vaudrait mieux lui parler de choses qui le touchent d'un peu plus près, ce serait plus efficace.
Mais moi, je ne me vois pas lui faire la leçon, il ne me croira pas, je n'ai pas les diplômes requis, et si l'Etat est tout aussi incapable de la lui faire, qu'il ne m'écoute pas lui non plus, c'est pas la peine ensuite de venir sonner à ma porte, ce sera NON, même avec une pleine poignée de sirop d'orgeat!
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