Statistiques

[jcs]

Bonjour

Pour les amoureux des statistiques



Courrier des Statistiques - Autour des indices

N° 108 - décembre 2003
http://www.insee.fr/fr/ppp/publications/fiche_som....

[erico]

merci jcs, je ne suis pas amoureux mais je vais regarder...

[providence]

L'OCDE sort ses nouvelles prévisions pour 2004/2005.

L'économie mondiale a renoué avec une croissance soutenue sous l'impulsion des Etats-Unis et de l'Asie, selon l'OCDE qui table sur une poursuite de l'expansion à l'horizon 2005, ce qui permettrait à l'Europe continentale actuellement à la traîne de sortir de son anémie, à condition que les politiques économiques puissent y corriger les facteurs de fragilité comme les déséquilibres budgétaires et extérieurs.

"La reprise semble désormais bien engagée, mais il faudra de meilleures politiques macroéconomiques et structurelles pour qu'elle se diffuse dans le monde entier et que les ménages retrouvent durablement la confiance", écrit ainsi le chef économiste de l'Organisation de coopération et de développement économiques, Jean-Philippe Cotis, en préambule du rapport semestriel sur les perspectives économiques mondiales, rendu public mardi.

L'OCDE a certes revu en hausse sa prévision de croissance pour l'ensemble de la zone à 3,4% pour l'année en cours contre 3,0% il y a six mois. De même, elle a relevé celle de l'année 2005 de 3,1% à 3, 3%.

Mais, les experts du château de la Muette soulignent que la croissance reste pour l'instant inégalement répartie et évoquent une "reprise à deux vitesses". Ils soulignent le rôle moteur des Etats-Unis, l'avance prise par la Grande-Bretagne et le Japon, ainsi que l'apport du dynamisme économique de la zone asiatique, sous l'impulsion de la Chine. Mais ils mettent aussi l'accent sur la faiblesse de l'activité dans la zone euro.

Les économistes de l'OCDE mettent en garde contre plusieurs facteurs de fragilité : la forte hausse des prix du pétrole depuis l'automne dernier, la réduction très sensible des primes de risque sur les marchés financiers, qui fait peser le risque d'une correction sur les marchés obligataires et d'actions, et enfin l'ampleur des déficits extérieurs et de ceux des finances publiques.

L'intégralité de l'article,
http://www.liberation.fr/page.php?Article=204551