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Un poisson rouge nommé Octobre...
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  • Un poisson rouge nommé Octobre...

    Bonjour à toutes et à tous,

    Particulièrement interressante cette nouvelle Société Sociale Française:

    1er tour des dernières éléctions présidentielles: une tendance naissante.

    Ce soir: l'état d'urgence est décrêté ( http://www.romandie.com/ats/NewsATS/display.asp?pa... )

    Mis à part que le Français qui paye ses impôts en a plus qu'assez du peu de considération qu'ont les politiciens au sujet des libertés de Marianne (après la tentative d'atentat manqué sur la constitution),
    Mis à part qu'après la victoire du FN sur le "nationnal socialisme à la française" et ce soit disant "état d'urgence" qui n'est, en fait, qu'un test de marketing politique pour définir "l'adhérence" du Français moyen à une politique plus "réac"

    Et bien, mis à part cela, ces émeutes tombent à point nommer pour "divertir" l'attention de ce cher français de sujets aussi importants que le chomage de ses enfants, sa perte de pouvoir d'achat dus aux déficits astronomiques de la fonction publique et de tous les autres problèmes qui en découlent (l'insécurité notamment).

    En effet, ces politiciens (je me refuse, comme beaucoup, d'utiliser le terme de "politiques" à leur sujet) pensent qu'une bonne "orchestration" médiatique des émeutes (1500 réservistes sont rappellés pour prêter main forte aux 6000 soldats actuels) suffira à faire perdre la mémoire au poisson rouge nommé Octobre, le nouveau locataire de la seine, toujours pas nettoyée.

    Ces politiciens pensent ils vraiement que le français moyen est comme ce poisson dans l'eau, avec ses 3 secondes de durée mémorielle ???

    Pour ma part, j'en doute: l'affaire dite de l'incertitude d'Heisenberg sur le pouvoir d'achat (l'affaire du prix du pain), doublée par le problème de l'emploi en France, me poussent à penser qu'il ne peut y avoir de Sécurité...
    ...Sociale sans emplois.

    Pourquoi ne pas simplement commencer par le commencement en assainissant quelque peu nos finances publiques?
    Même si cela n'a pas un effet immédiat sur l'augmentation du pouvoir d'achat engendré par une telle "révolution" intellectuelle au sein de la Fonction Publique (éstimée à 4700euros par ans et par actifs) cela allègera tout de même la facture que devront payer nos descendants !

    Non en réalité, les véritables questions à se poser concernant le modèle social européen sont, entre autres :

    Peut-il y avoir création de valeur ajouté et de richesse sans travail ?
    Peut-il y avoir une sécurité...
    ...sociale sans travail ?
    Qui a t il de si choquant dans une telle analyse ?


    Au plaisir de vous lire

  • #2
    PS:

    http://www.ifrap.org/2-fromages/Retraite-Fonctionn...

    Bonne nuit!

    Commentaire


    • #3
      Douce nuit! Douce nuit? Pas si sûr!

      Donc il semblerait qu'en France, nous ayons des problèmes de sous, ou de relation aux sous.

      Moins ici qu'ailleurs, peut-être, puisqu'à patrimoine semblable, il me semble que ceux qui boursicotent, seraient déjà plus enclins à "oser" faire quelque chose de plus varié qu'entasser ça sur un compte épargne.

      Moi j'entends toujours dire que nous sommes puissants, en matière d'épargne, par rapport à des pays comparables.

      Nous serions plus prudents, moins entreprenants, et moins boursicoteux, par exemple.

      Les "revenus" de comptes de Caisse d'Epargne les plus classiques perdent de leur attrait, comme si l'on incitait les français à penser davantage à l'assurance-vie, qui jouit en France de conditions particulièrement attractives.

      Pour créer de l'emploi, on aurait besoin que davantage de ces sous soient disponibles pour les prêts aux entreprises, certainement.

      Dans ce domaine là, la difficulté de réunir des financements, de l'aide à l'investissement, bien que chaque gouvernement tente quelques réglages ponctuels, fait que finalement, malgré ces ajustements permanents, il se crée peu d'entreprises, alors qu'en fait, il y aurait possibilité, théoriquement, vu l'importance de cette épargne moyenne.

      On a des économies qui font quasiment du sur-place, on voit bien qu'il faudrait pouvoir mieux aider les entreprises à se créer, favoriser la concrétisation de projets, d'idées créatives, mais il y a des blocages un peu partout, puisque, si ce n'est faute d'en parler ou d'essayer de modifier les choses, en réalité, ça ne se fait pas.

      Si, une fois le constat fait que la machine économique n'est plus dynamique, que cela entraîne diverses conséquences telles qu'en cite Slaruaz, il n'est toujours pas possible que l'épargne individuelle soit mieux mise à disposition de la création d'entreprises, donc d'emplois, il est à craindre qu'en effet, l'on remette en cause les importants frais de fonctionnement de la société en matière publique.

      Est-ce la solution?

      Non!

      Ce n'est qu'une vue partielle des carences de l'ensemble de la vie du pays. Et d'années en années, s'il suffisait que l'on réduise les dépenses du Publique, pour ne répondre qu'au flétrissement de l'organisme malade et pas soigné, c'est à dire entériner son manque d'appétit en lui réduisant seulement la ration alimentaire, on n'est pas près de le revoir sur les hippodromes, le grand malade!

      Courager, INVESTIR, bon sang, est-ce qu'il y a quelqu'un qui en a et qui m'entend?

      Au lieu d'aller spéculer et rendre la vie des gens encore plus difficile, comme dans la course folle engagée pour the struggle for life, de l'autre côté du bras de mer.

      Arrêtez de m'asphyxier nos sous, sortez les, si vous voulez un peu de vie, dans ce pays.

      Il faudrait aller manifester pour la liberté de circulation de ces sous endormis, qui s'ennuient à mourir, abandonnés de dview et des hommes!

      Ils dépriment, au fond des coffres, allez leur rendre visite, dites-leur que vous les aimez, assurez leur qu'ils sont capables de grandes choses, quand ils veulent!

      Puisque l'Etat n'en a plus, soit la France des français se résoud à emprunter ailleurs, là où d'autres sous ne sont pas prisonniers, enchaînés dans de putrides cachots d'Arpagon, traîtés comme des moins que va nus pieds, des proscrits, en leur léproserie!

      Sortez les, qu'ils revoient enfin la lumière du jour, faites leur faire des formations, allez les promener, payez leur une cure thermale, redonnez leur goût à la vie, à l'esprit d'entreprendre ou à l'entreprise de l'esprit!

      Laissez les s'exprimer, munissez-les d'une langue, de pattes bourrées de ressorts, comme nos petits jeunes quand ils font des démarrages imprévisibles, fulgurants!

      Voyez ces potentiels d'énergie qu'ils détiennent, et vous me les tenez celés, voulez me les endormir, les souder au fauteuil?

      Quel dommage, en vérité, quelle déraison, quelle affliction, mais où vais-je et qui deviens-je?

      "C'est l'Etat, c'est Scrut, mais c'est pas moi, en tous les cas, sûr!"

      "Non, je ne suis pas Arpagon, je n'ai pas de galère, je ne suis pas si bête, quand même, et je connais mes textes, tout me le démontre, voyez-donc les papiers qui le prouvent et que je soumets à votre vigilance!"

      Evidemment, lorsqu'à l'horizon se lèvera le marché, la température deviendra plus agréable, c'est la raison pour laquelle nous attendons qu'il s'étire et daigne chausser ses pompes de sept lview!

      Que faire en attendant? Gratouiller par ci, entretenir le jardin, caresser le chien, lire, se cultiver. Et surveiller l'horizon, du coin d'un oeil averti.

      Mais retournons en bas dans la crypte, où furent dissimulés les trésors issus de lignées de corsaires valeureux.

      'Tu crois qu'ils pensent à nous, là-haut?"
      "Bien sûr, qu'ils pensent à nous, mon chéri, mais ils ne peuvent pas nous écrire, ils sont dans la misère des temps, plus déshérités qu'un sans-famille, pourchassés chaque jour par l'Etat, les gens des scoots, les ONG, Scrut, les slamistes, les ouragans, les fabricants de "slips qui filent comme des bas", les mondiaux, les brokers, la culture starique et non pas post-tsariste, les dinosaures ailés, à l'haleine vireuse, et le remords, aussi, de n'avoir pas osé venir nous voir toutes ces années."
      "Alors ils viendront bientôt, maman?"
      "Oui et non, tu sais, ce n'est pas si simple, mais ils y pensent, et de toutes façons, ne t'inquiète pas, nous sommes à l'abri, ici, nous avons nos joies, nous sommes ensemble, nous avons nous, nous avons l'espoir, et de quoi nous parler, nous souvenir des voyages du passé! Bon, mon chéri, il est l'heure de dormir, maintenant, et de faire de beaux rêves, pendant que je regarderai les informations qui viennent du monde des vivants, des êtres pensants, des escaladeurs de vertige, des bananes auto-pelantes, et des cris hurlés dans le noir de la nuit!"

      Allez, bonne lecture, j'espère, Slave-rue!





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      • #4
        Salut, scrutateur
        Toi aussi tu ne dort pas, les insomnies?
        Bon , ton rôle est de contrôler
        Amicalement

        Commentaire


        • #5
          Salut à toi!

          Toujours beaucoup d'insomniaques, ici, c'est mieux que les boîtes de nuit, il n'y a jamais de couvre-feu.

          J'habite dans une crypte, donc il n'y a pas de différence entre la nuit et le jour, pour moi.

          Des fois je dors, des fois non, et ce soir, je suis resté là, car j'ai fini par réussir à imiter un de mes frangins, qui s'endormait facilement, en étant assis sur sa chaise.

          Quelle confiance, quelle nature!

          C'est assez récent, il y a les micro-sommeils, comme les gars des catas, entre deux lames, et puis il y a les mini ou macro, jusqu'à de plus confortables séjours au pays des rêves déçus!

          Surveiller, certes, je l'ai toujours fait, c'est dans ma nature, je suis un radar, je tourne et scrute, mais je n'en ai pas le diplôme, ni le titre.

          Compter sur moi serait peut-être un tout petit peu irréaliste, car l'intensité de l'attention est des plus variables, et si je réussis trois gâchées de mortier coloré, la quatrième aura des chances de jurer un peu, distrait que je suis, en tout!

          Seul l'instinct de conservation m'a sauvé, et à de nobreuses reprises, ainsi que les gosses qui ne sont pas trop loin de moi, pour qui j'ai un sacré automatisme, une célérité d'intervention qui a toujours surprris de la part d'un relatif lymphatique.

          Mais parler de moi, toujours, n'est-il pas chose à nous lasser, tous?

          Revenons plutôt à notre cassette. T'as-t-elle écrit, ces dernier temps?

          Se déciderat-elle enfin à venir nous visiter, comme nous n'avons cessé de l'y inviter?

          Est-elle toujours aussi charmante, vive, bien tournée?

          N'en a t-elle pas marre, de son couvent?

          Devrions nous nous porter à son huis, lui faire quelque effraction, afin qu'elle puisse fuir avec nous, vers le port où l'attend un fort parti de marins qui patientent en jetant les dés,

          La mère sup. sera-t-elle endormie, pourrons nous nous échapper, sur nos fidèles destriers?

          On m'a dit qu'elle a eu un enfant. Il paraît qu'il s'ennuit, tout seul, qu'il rêve de chevauchées échevelées, mais son père ne veut pas entendre parler du bâtard, car il ne pense qu'à lui, autre bâtard déguisé en roi qu'il est!

          "Si je savais qui c'est!"

          "Comment, tu ne sais donc point qui est le roi?"

          "Vous parlez du roi, ne craignez point que cela se connaisse?"

          "Point, l'ami, il est maudit!"

          "Jusqu'au chiffre treize, comme le dit la légende?"

          "Si fait, c'est bien cela, et cela ne laisse de m'inquiéter!"

          ""

          "Je vois que tu compatis, mais hélas, briser la malédiction ne se fait pas comme ça!"

          "Mais parce que c'est possible, en vrai?"

          "Tout est possible, la nuit!"



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          • #6
            Resalut, scrutateur-poète

            citation :
            Des fois je dors, des fois non, et ce soir, je suis resté là, car j'ai fini par réussir à imiter un de mes frangins, qui s'endormait facilement, en étant assis sur sa chaise.


            ça s'appelle soit l'enfance, soit la narcolepsie
            Ce n'est pas mortel, rassure-toi
            C'est moins grave que jouer avec le chiffre 13

            citation :
            Seul l'instinct de conservation m'a sauvé, et à de nobreuses reprises, ainsi que les gosses qui ne sont pas trop loin de moi, pour qui j'ai un sacré automatisme, une célérité d'intervention

            Ton metier est aussi dangereux?

            Bon journée

            Commentaire


            • #7
              Je m'endormai, autrefois, quand j'avais une voiture, car conduire est synonyme d'ennui, chez moi, sauf quand j'appuie!

              Je ne serais donc jamais américain, j'en ai peur!

              J'ai éliminé ce risque, pourquoi insister, avec le destin, après avoir bousillé je ne sais plus combien de caisses.

              Heureusement que la plus chère ne m'avait coûté qu'une somme dérisoire, mais c'est décevant pour ceux qui m'ont donné les autres, un petit pincement au coeur, certainement, mais heureux quand même de pouvoir l'exprimer à un gars indemne d'égratignure!

              Les autres conduisent bien, je trouve, et leurs voitures sont chouettes, alors pourquoi s'acharner à défier la chance?

              La sagesse a pris le dessus, ou bien la trouille de massacrer des gens, je ne sais pas!

              Lutter contre soi, à quoi bon?

              "Laisse-le faire!"

              Et pourtant, quand le ronron du moteur et le défilement interminable du ruban ne m'endorment pas, je tiendrais longtemps, longtemps, autant qu'un barreur de transat!

              Il me suffit d'un zinzinement de moustique pour me jeter hors du lit, le pourchassant pire qu'impie, jusqu'à ce que je l'ai fini!

              Je me vois bien en barreur, tiens, dansant de vingt mètres en deux secondes, secoué comme un yoyo, mais imperturbable, rectifiant, endormi, d'un poil, le safran, puis me replongeant dans des réflexions de survie urgente, impénétrables!

              Ces gens ont besoin de tester leurs compétences, leurs atouts, de les comparer à ceux de leurs compagnons d'errance.

              Nous sommes un peu inquiets, puis finalement, la plupart sont sauvés, à la fin, et c'est là qu'on ne voit pas que dview fait son boulot, quelle ingratitude, car on préfère le traduire en justice, lorsqu'il a échoué! (attention, je ne fais pas de pub pour lui, c'est ses oignons, pas les miens, il a plus de sous et de moyens que moi, s'il veut réussir lui aussi, dans la vie!)

              Ne me parle pas de la concurrence, s'il te plaît!

              Alors l'enfance a duré longtemps, chez mon frère, tandis que moi, je serais en train de la découvrir, car je ne considère pas que les histoires de voitures qui ronronnent me transforment pour autant en véritable narcolepsien.

              Ca m'étonnerait, et j'en ai vu, pourtant!

              Capacité de veille importante, bien au contraire, donc pour ça comme pour bien d'autres choses, la généralisation pourrait s'avérer vaine hâte.

              Attends, Slaruaz, c'est lui qui m'a relancé, il ne sait pas encore qu'il ne faut jamais le faire, il ne se rend pas compte d'à quel oiseau il s'aviaire!

              Peste soit de nous, filons par la porte que j'ai dérôbée, le patron ne saurait tarder!

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              • #8
                Bonjour Scrutateur,

                Quelle joie de lire ta prose chaque jour : Au moins elle ne brule pas de voiture !!!

                Mon seul regrêt est qu'elle soit si politiquement correcte: on dirait un discour politique relayé par une chaine publique, un jour pluvieux d'assemblée nationnale

                Mais avec moins de détours et d'effets de style, t'en penses quoi de la France au regard des résultats obtenus par nos voisins Européens et amis ?

                Au plaisir de te lire,
                Stè.F

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                • #9
                  Salut.

                  Merci.
                  Eh bien j'en pense que je suis bien obligé de la prendre comme elle est, de l'aimer, puisqu'elleest à moi, et que je suis à elle.

                  Réformer par la serpe, ça crée d'autres blocages, des ennuis.

                  Mais en déverrouillant, décloisonnant, par exemple, c'est à dire en permettant aux gens d'opter pour la mobilité entre administrations, quitte à les y inciter modérément, en réformant les systèmes de formation-promotion internes, ont peut certainement parvenir à réformer par l'adhésion, l'intérêt, alors que ça échoue presque tout le temps quand on veut l'imposer et qu'on fanfaronne: "c'est quand même moi qui commande, ici!"

                  Et puis il y a, tu le sais bien, ces cachotteries perpétuelles, cette fantastique absence de transparence, ce manque cruel d'information sur l'ensemble de l'administration.

                  Je l'ai dit sur une autre file: "qui prétend gouverner sans information?"

                  On sait bien qu'il coûte de plus en plus cher, ce mégalosaure, mais pas moyen d'en savoir davantage, de TOUT savoir. (il est fou, lui!)

                  C'est tellement plein de poils et d'écailles, qu'on est perdu dans ce tas informe.

                  Qui d'autre que le gouvernement pourra changer cela?

                  Donnez déjà les infos, le reste trouvera bien son chemin.

                  L'art de la dissimulation est poussé au paroxysme, tout est planqué dans un labyrinthe de cryptes et de caveaux lugûbres, de mondes parallèles où la moisissure règne en maîtresse absolue, avec les araignées-translucides.

                  Il y a des villes, dans le sud de la France, où il est permis, dans la rue, de vendre sa vie, des vêtements, des colifichets, que-sais-je. Tous les jours!Ca donne de la couleur, de l'animation, et ça permet à bien des gens, sans forcément monter une vraie entreprise, de trouver une activité, au moins complémentaire.

                  Si c'était autorisé à Paris, partout, n'y aurait-il pas là, comme c'est possible dans les pays pauvres, de jolies niches d'activité supplémentaires, de l'ordre de la démerde mais qui ne seraient pas pour autant du trafic?

                  "Mais les bonnes gens ne veulent pas que", surtout pas, vaut mieux que ça trafique dans l'ombre, ou dans les no gentleman's land.

                  Libérez nous de nos pêchés, ouvrez ces portes maudites, pitié, au nom de la vie, au nom des dieux de tous les paradis les plus baths, laissez les vivre, les paumés, les bannis, les bêtes de la création!

                  Ouvrir les portes, ce n'est pas le plus difficile, si?

                  Mais voilà, tout le monde se protège, la jalousie veille, et puis ce serait le souk, ça ferait du tort à la Samaritaine, aux poissoniers, que j'aille vendre mes huîtres ou mes châtaignes!

                  L'aide à la création de petites boîtes, d'activité dans la rue, comme je viens de le dire, et une baisse sensible des charges qui les empêche, c'est incontournable de le libérer, quitte à ce qu'on s'endette encore pour cela.

                  Les aides à l'équpement et à l'infrastructure, soit, mais les subventions, à quoi bon, alors que ça pourrait avantageusement financer une partie ces baisses de charges.

                  Comment une nation peut-elle s'appauvrir pour la plus grande part de sa population, ce qui signifie que les plus modestes soient encore plus sévèrement touchés, et dans le même temps, qu'il soit impossible d'avoir des remises ou des facilités pour payer l'URSSAF, quand tu démarres?

                  Fiscalité totalement dissuasive ou répressive pour les micro-entrepreneurs.

                  Seulement ce n'est pas parce que l'on va en aider certains qu'il faut que des gens qui s'en sortent mieux disposent des mêmes facilités, voire davantage.

                  Maintenant, on sait que le Prince du Rocher est un des plus gros bénéficiaires de la PAC en France, puisque quelqu'un a estimé devoir violer ce secret-défense.

                  Le citoyen, il est tenu de ne rien cacher, l'on va bientôt tout connaître de sa vie, ce qui sera extrêmement captivant, mais par contre, dans l'appareil d'Etat, chut, la plus noble des pudeurs s'impose, surtout: "cela ne vous regarde pas, non mais des fois!"

                  Libéralisez moi-donc un peu l'information, envoyez les escouades d'investigation! Comparer avec l'étranger sur tel point, le lendemain sur un autre, ça donne toujours des bouts de piste, je ne dis pas, mais il vaudrait mieux commencer à aérer tout ce que l'on a sous le nez, qui s'ennuit à mourir de solitude et d'oubli.

                  Il y a l'Etat qui engloutit vos fortunes, si je vous écoute bien. D'abord dans son fonctionnement de croisière, deuxio par une poursuite de l'augmentation des exigences des administrés, car après tout, ils en veulent toujours plus, de soins, de routes lisses et bien éclairées, de tout ce luxe que de moins aisés que les décideurs ne songeraient à étaler, s'il y avaient seulement accès.
                  Ils en profitent, certes, au moins indirectement, mais au fond, est-ce que tout est pareillement utile, pressant?

                  Il n'y a pas que l'Etat, la collectivité qui vivent à l'aise. Parfois, on les y pousse, à dépenser.

                  On m'augmente sans cesse mon loyer, et sur ce qu'il reste à payer, il faut que j'arrive à suivre. Mais le gros de l'augmentation, c'est la CAF qui banque. Ce n'est pas moi qui pousse, c'est les copains de l'Etat, qui dans ce cas, ne fait pas ami-ami avec moi, parce qu'ensuite, qu'est-ce que je coûte cher, à mon tour! Si je n'ai pas d'autre choix que payer cher, il est clair que cela ne me fera pas économiser beaucoup!

                  Pas moyen de stopper un peu l'hémorragie, en est-on si certain? C'est ce qu'il s'est toujours fait, de réguler, et au moment où on râcle les fonds de tiroir, on trouve le moyen de lancer la séquence Jackpot!

                  "Il n'y a plus de sous, mais il faut bien doper un peu le secteur du foncier, de l'immobilier, c'est toujours profitable, dans l'ensemble", c'est à peu près ce que racontait hier Touati, le formidable économiste, vers18h, sur La5.

                  Heureusement que j'ai vu l'incrustation qui m'a permis de savoir ce qu'il faisait, dans la vie, parce que sinon, je n'aurais pas deviné. Il ne retient que le côté positif pour ceux que ça arrange, dont on dirait qu'il fait partie, n'a pas l'air de bien réaliser les répercussions calamiteuses sur les pauvres, lui. S'il n'y avait que trois pauvres, on dirait: "ça ne compte pas, tant pis, c'est n'est pas ça qui va bien noue ennuyer."

                  Mais comme il y en a des tonnes, qui viennent s'agglutiner sur les routes de la débâcle, il faut bien payer l'addition, et ça m'étonnerait, sans être économiste, qu'on fasse autre chose qu'y perdre tous! En moyenne, bien sûr, ne parlons pas des cas particuliers, s'il vous plaît!

                  C'est un choix, ce n'est plus dû au fonctionnement routinier, c'est carrément un choix de gestion délibéré de la société par un type de gouvernement.

                  Rattraper l'étranger, ce n'est pas toujours la solution la plus pertinente, je ne crois pas.

                  Le meilleur moyen de les calmer, c'est que l'immobilier se mette à chuter d'un coup, et on ne pleurera pas tous! Après, il faudra relancer la bécane, et de nouvelles dépenses devront donc s'ajouter à cette ardoise là!

                  Il suffit de lâcher un peu la bride, et ça part au galop en criant au miracle! Par la suite, il faut un régiment de cavalerie pour maîtriser le cheval fou-dopé, lui construire un hôpital de campagne afin de sauver le moribond, le sevrer, le dorloter en attendant qu'il soit en mesure de remonter en selle!

                  Bâtir la croissance sur des mirages, des étoiles filantes, pourquoi pas, après tout, si ça peut les contenter. Mais ce n'est pas gérer un pays, ça!

                  Je préfère toutefois mon système qui consiste à laisser les gens se monter de petites activités, ce qui devrait déboucher ensuite sur de plus conséquentes pour une partie d'entre eux, même si le système scolaire n'a pas réussi à leur lâcher des certificats d'efficience, après quinze ans ou vingt ans de claustration forcée.

                  S'ils voulaient les tuer, ils ne feraient pas autrement!

                  Prisonniers du bout du sein jusqu'à l'extrémité du pissenlit, ils nous tiennent, avec pour aventure, la télé! A moins qu'ils ne découvrent la chaleur, la capture du feu, les joies d'une vie sportive dans le secret de la nuit.

                  L'instruction, ça manque quand il n'y a pas moyen d'y accéder, mais quand c'est les travaux forcés, pour déboucher nulle part ailleurs qu'en tête de forage, la civilisation a envie de s'en retourner vers l'air libre, de laisser les chaînes à leur corrosion.

                  Pas en forme, aujourd'hui, moi!

                  Tout le monde essaye de se triturer la méninge pour voir ce qu'on peut faire, mais rien ne se fait, au contraire, ça ne fait qu'empirer, on dirait. Slaruaz veur nordiquer la France, moi je veux la francifier, il y a les saxonistes, les X-portateurs aintipodistes, sans que dans cette quête, on n'aarive à retrouver les sous.

                  Si on savait où on les a planqué, déjà!

                  "C'est pas moi!", jaillit de mille petites voix.

                  "Je reposerai la question demain, nous avons tout notre temps!"

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                  • #10

                    Salut Scrutateur !
                    ,

                    Quelle forme aujourd'hui! Je suis heureux de te retrouver si labile!

                    (...)
                    Réformer par la serpe, ça crée d'autres blocages, des ennuis.
                    Comme par exemple des jeunes qui lancent des pavés et brulent des voitures ?
                    (...)
                    Qui d'autre que le gouvernement pourra changer cela?
                    Cest vraiement marrant (je m'excuse pour ce rire, il est nerveux...) Mais ce soit disant gouvernement, ainsi que la soit disante "opposition" politique est constitué par la classe d'age ayant vécu, et pour beaucoup participé à la "révolution" de mai 68 ! (TOUS NOS POLITIQUES s'en sont tous vanté alors que la mode génération perdue des années 81 faisait fureur...).
                    Quand on pense que de plus ce sont des pôtes d'école et qu'il font tous partie de l'ENAmenclatura...
                    Cela me fait vraiement froid dans le dos: cela ne gène personne de souligner le passé Trotskiste des politiciens français alors que le seul fait de rappeller que Hemut Kohl, grand artisant de la réunification allemande RFA/RDA, champion économique en Europe , et pourfendeur de la partie totalitaire de la nomenclatura grande organisatrice de génocides et de déportations de masses en URSS, a débuté sa carrière politique dans les jeunesses Hitleriennes, on va, en France, le faire passer pour Nazi! Le jeune Helmut, ne s'est retrouvé dans ce milieu que parcequ'il avait faim, pour de vrai! Et chez nous qu'avons nous ? Qu'avons nous appris l'autre soir, lors de l'emmission au sujet du général de Gaulle ? que nos trotskistes de politiciens lançaient des pavés et brulaient de voitures en 68 parce qu"on" ne les laissaient pas jouir ?!?!? Qu'ils voulaient faire une révolution sexuelle ??? Help! I need some body Help! !!!!

                    Ca leur va vraiement bien de se retrouver aux prises avec des jeunes en colère pour de vraies raisons. Que disent les jeunes? Ne crois tu pas qu'ils n'en n'ont pas après l'irresponsabilité politique des ces 68tards sur le retour : les plus hautes fonctions privées comme publiques sont occupées à l'heure actuelle par cette classe d'age!!!
                    Attends! Qui va avoir le toupet de nous sortir une formule du style "Responsable mais pas coupable ???? J'attends de voir ça !!!!


                    (...)
                    L'aide à la création de petites boîtes, d'activité dans la rue, comme je viens de le dire, et une baisse sensible des charges qui les empêche, c'est incontournable de le libérer, quitte à ce qu'on s'endette encore pour cela.
                    HiHI: Les jeunes de Saint Denis sont pas idiots: ils n'ont pas envie qu'on leur colle un numéro SIRET, avant de les envoyer au festin de laïd de l'ENAmenclatura!
                    (...)
                    Fiscalité totalement dissuasive ou répressive pour les micro-entrepreneurs.
                    Ca je ne te le fait pas dire!
                    (...)
                    C'est un choix, ce n'est plus dû au fonctionnement routinier, c'est carrément un choix de gestion délibéré de la société par un type de gouvernement.
                    Lancer des paver en 68,comme en 2005 est aussi un choix!
                    (...)
                    Je préfère toutefois mon système qui consiste à laisser les gens se monter de petites activités, ce qui devrait déboucher ensuite sur de plus conséquentes pour une partie d'entre eux, même si le système scolaire n'a pas réussi à leur lâcher des certificats d'efficience, après quinze ans ou vingt ans de claustration forcée.
                    Laïd! C'est Laïd! Apportes moi les 2 moutons que je les compte...
                    (Oui avant on disait: Vingt Noms la Marie, mêêêne les 2 boeufs que j'les compte....

                    (...)
                    Tout le monde essaye de se triturer la méninge pour voir ce qu'on peut faire, mais rien ne se fait, au contraire, ça ne fait qu'empirer, on dirait. Slaruaz veur nordiquer la France, moi je veux la francifier, il y a les saxonistes, les X-portateurs aintipodistes, sans que dans cette quête, on n'aarive à retrouver les sous.
                    Bin si vous arrivez pas a trouver des sous, essayez au moins de ne pas en perdre et d'économiser. Ca semble logique non?
                    A moins que cela soit trop simple pour les esprits supérieurs de l'ENA????

                    A+
                    Stè.F

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                    • #11
                      En plus à l'age qu'ont nos 68tard politiques, ils se retrouvent tous, de drauche comme de groite, en pleine andropose intellectuelle: Mon pote François (directeur d'antenne sur une radio privée), me parlait hier, autour d'une bière, d'un spécialiste de la communication, intervenant chez Radio France, et qui l'avait beaucoup impressionné lors de son intervention jusqu'au moment où il indiqua qu'à l'heure actuelle nous n'étions plus dans une société d'information mais bien dans une société de "désinformation", ce qui choqua profondément mon ami...
                      ...Par respect pour son jeune age, je n'ai, bien sur, pas souligné le fait qu'il ne fallait pas parler de, ou même aborder le fait que l'ensemble des média en France Occupée par le pseudo-débat politicien et la guéguerre de personne, sont contrôlés, ou plus exactement influencés par...
                      Mais au fait, par qui sont contrôlés les média en France ? Aux Etats Unis ? au Moyen Orient ?

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                      • #12
                        Jooooouuuuurrr!

                        Ouais, mais sur la radio périphéique vach'tement interactiiiiiive, dis-lui de ma part, ça ne cesse de traquer le RMI, ou les outlaws!

                        Pas la meilleure méthode, même si ça se vend bien, merci!

                        Quand c'est pas eux, c'est les syndicaus qui dérouillent, ça ne revient pas tout à fait au même, mais c'est la cible des "bonnes gens", qui est défendue, là. (défendue ou attaquée, faut voir!)

                        Or, ces bonnes gens, vois-tu, et bien elles sont de moins en moins nombreuses, faudrait débarquer un peu!

                        Sur FlanssInterne, c'est la même chanson, tu me diras, et dans les "périph", je mets bien sûr BFM, que j'écoute cependant pas mal, pour savoir ce qu'elles pensent, ces crêmes à la confitûre de bonne maman.

                        C'est dommage que chaque émission soit coursée par le temps, parce que vois-tu, pour qu'un RMI ait le temps de grâver de la voix, il faudrait qu'ils se taisent un peu, les habiles de la langue, ceux qui n'ont pas le temps de m'inviter, avec ma voix pas radiophonique! "Nous recevons aujourd'hui l'un des meilleurs spécialistes du RMI, qui se permet d'intervenir au nom de sa communauté, qu'il n'a hélas pas souvent le loisir de sonder, vu qu'il a dit qu'il ignore, comme tout le monde, où elle peut bien habiter!"

                        "Ils m'emmerdent tous!", t'as qu'à lui dire de ma part, au nom de tous les RMI, comme ça, il ne mourrirera pas idiot, dans une triste ignorance.

                        Je n'écouterais pas la radio, si je n'étais pas un observateur de ma société, et si je ne trouvais en cela quelque joie, quelque utilité, aussi. Je rigole plus, heureusement, que j'en pleure, malgré tous leurs efforts!

                        Pour moi, si quelqu'un "de bien" cause "bien" une fois, je le retiens, je l'enregistre ainsi. Et quand c'est pourrave qu'il foxe, je le retiens aussi.

                        Ce qui fait que la même personne, pour moi, peut scier de la mierde comme couler du miel assez doux pour que j'aime m'en biscotter une, même sachant ce qu'il est capable de conasser d'autres fois. Concentrons nous sur le propos, plutôt que sur la marque ou le blaze!

                        Toi, moi, nous sommes capables de bon et de mauvais, nous ne l'ignorons pas! Les autres, c'est la même!

                        Mais je me méfie des mirages, des "bons plans du moment".

                        Il est vrai qu'il y en a qui déconnent, sérieux, tout le temps!

                        Alors ces cas-là, excuse-moi, je n'y goûte même pas, sans quoi, c'est l'empoisonnade assurée!

                        "Herk! Pitungue, sacrée dysenterie!"

                        T'as envie d'y abréger, de réduire, si tu le pouvais, l'étendue du champ de leur espérance de vie, mais si tu le faisais, tu créerais encore des martyrs, et puis le risque d'aller en prison n'est pas négligeable, si le crime n'était pas loin d'être presque parfait. Alors le faire, si c'est idiot?

                        "Mais laissez-moi donc tous les stranguler!"

                        "On y viendra!"

                        "Oui, enfin, tous, ce n'était pas obligé!"

                        "Trop tard, nous n'avons plus le temps de trier, le poulailler est infecté!"

                        "Et si seul, je m'échappais?"

                        "Pour aller où? Un tsunami viendrait finalement te pister!"

                        "Même dans ma grotte, là-haut, perdue?"

                        "Les grottes les plus hautes savent descendre, si leur en prend l'envie! Si ce n'est la grande vague, ce sera l'oeil! Tu en as entendu parler, de l'Oeil?"

                        "Mince alors, ça existe vraiment?"

                        "Je te laisse à le trouver, le voir, si tu préfères ce sort!"

                        "Minute, puis-je résilier ce contrat?"

                        "Il est bien tard, T'sun, ami, l'encre se fait rare, et la patience aussi!"

                        ""

                        "QUE LA BÊTE FONDE, LANCE-LA, AZRAËL!"

                        "Brrrrrrh!"

                        Il n'y a jamais assez d'émoticons, c'est moins bien que "Mes singes errent", au moins, dans leur monde, il y a de chaudes larmes, c'est déjà ça!

                        "Que sam'dimanche vous laisse entier, au sortir de son bois!"





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                        • #13
                          citation :
                          Citation de scrutateur

                          "Que sam'dimanche vous laisse entier, au sortir de son bois!"




                          Ouaip! d'ailleurs avec Sophie on va à la messe allumer un cierge.
                          On aura une pensée pour tous ceux qui font de leur mieux pour se sortir du pétrin où tous ensemble on est fourré:
                          Simplement pour avoir le plaisir de se lire et de se taper la discute, en s'empoignant par analyses interposées sur ce forum bien sympa (merci crock).
                          ça au moins ça fait pas de mal.

                          A+
                          Stè.F

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