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Vieme République : Les raisons de...
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  • Vieme République : Les raisons de...


    Les raisons de passer en version VI :

    DEPENSE PUBLIQUE - Sous le signe de la performance

    Le Gouvernement ne s’y prendrait pas autrement s’il considérait que le Parlement est incapable de faire son travail d’évaluation et de contrôle de la dépense publique. Voilà un nouveau site "performance-publique.gouv.fr" - émanation du ministère des Finances - qui se donne pour vocation d’expliquer la dépense publique, sur lequel il est possible de consulter les audits de tous les ministères orchestrés par leurs inspections générales et de consulter les exemples de ce qui se passe à l’étranger dans le domaine du contrôle de la dépense publique.

    Là ! Franchement ! C’est la cerise sur le gâteau : alors même que les défenseurs de la Veme chose publique n’exploitent même pas (aucunes actions correctrices) les multiples rapports de la cour des comptes, ils créent un nouveau « patch » pour expliquer que leurs erreurs n’en sont pas…

    Votre vieux système public en version V (Respublica V) est trop gourmand ?
    Demandez aux politiques une release majeure et optez pour la sixième démocratie !


    Amélioration de la version VI :
    - Moins de « bidules » inutiles ou servant à patcher les erreurs de la version V présidentielle
    - Plus de fonctionnel parlementaire et de pouvoir à l’assemblée
    - Une gestion des ressources améliorée
    - Une gestion des flux migratoires orientée qualité et non clientélisme électoral
    - Une véritable stratégie de Business Angels ( http://www.ifrap.org/iFRAP-en-action/deux-milliards.htm ) en remplacement l’ancien système cancéreux des subventions à visées « clientélisme électoral ».
    - Et bien plus encore…


    Plus d’info :
    www.ifrap.org


  • #2
    Même si au début, cette histoire de VIeme peut faire sourire, une simple recherche sur un moteur avec les mots clefs " VI eme république " fait remonter à la surface des milliers de discussions à ce sujet où toutes les colorations politiques sont présentes...

    ...Un aspect de la partie cachée de l'iceberg concernant la prise de recul des Français par rapport à l'enamanklatura ?

    Exemple:
    http://www.google.fr/search?hl=fr&q=VI+eme+r%C3%A9...
    (copier puis coller le lien s'il ne fonctionne pas en cliquant dessus)

    Commentaire


    • #3
      Plusieurs émissions télévisuelles relancent ce débat concernant la compatibilité de cette VIeme république avec elle même, et notamment sur LCP, La Chaîne Parlementaire, et plus précisément par Monsieur Fillon, « interviewé » à une heure de très grande écoute (20:30 - 21:00 ) durant l’émission « Question d’info ».

      Ce haut fonctionnaire en fonction élective indique notamment, en prenant la défense de Monsieur Sarkozy, que « Le métier de Premier Ministre n’est pas possible au sein de la Vieme République ».

      Certes, comme nous l’avons vu au travers des « posts » précédents, beaucoup de citoyens pensent la même chose : une simple recherche sur le Net rapporte des milliers d’articles à ce sujet.

      Que certains se plaignent de la Vieme chose publique, cela pourrait passer inaperçu, comme cela est le cas pour les contribuables de l’opposition représentés par qui nous savons au deuxième tour de l’élection présidentielle que nous avons tous vécu avec attention, surtout si l’ENAmenklatura, le grand parti de la pensée unique, inique et duplique plus connue sous le cigle « PSUDFUMP » étouffe l’affaire avec la complicité des média…

      …Mais indépendamment du fait que l’on soit de son bord ou non, que cela soit un très haut fonctionnaire, en fonction élective, membre du PSUDFUMP, qui porte une attaque au modèle français de cette si triste Vième chose publique, cela porte à réfléchir!

      En disant cela, ces hauts fonctionnaires qui vivent de la Veme chose publique, seraient un peu comme des Imams qui se moqueraient de la Zakat, de l'investissement social, ou bien encore, pour être compris par tous, comme l’hôpital se moquant de la charité et du retour que nous en avons…

      En effet, essayez de parler retour sur investissement au sujet du prix du pain et du panier de la ménagère, du niveau d'industrialisation de la France en chute libre, de la fuite des capitaux et des cervaux qui en découle, à un fonctionnaire: il éludera médiatiquement la question !

      La franchement ! C’est vraiment prendre les enfants de l’Abbè Pierre pour des canards sauvages avièrisés, surtout au regard des émoluments et salaires des hauts fonctionnaires rapportés aux résultats qu’ils obtiennent (niveau de service) depuis 25 années par la pseudo alternance PSUDFUMP ENAmenklarque.

      En vérité, nous pourrions ENFIN essayer de nous sentir ENFIN européens en prenant pour référence les résultats des meilleurs de nos voisins qui tutoient les 5% de chômage ou bien d’autres encore, dont nous tairons le nom de leur fédération de peur qu’elle soit soudain victime d’une nouvelle kabbale médiatique du type « grippe du gruyère » cette fois ci…

      Mais pourquoi donc nos élus (à plus de 80% si nous en croyons la précédente élection présidentielle) s’en prendraient ils eux-mêmes à cette Vième chose publique qui les fait vivre ?

      Voici une question intéressante pour le moins !

      D’un autre coté, que les membres du PSUDFUMP s’associent tous, comme à leur accoutumée, pour vendre l’UE aux Français qui l’ont refusée –et pour cause, au vue de l’inflation, du prix du pain, du chaumage des jeunes et des moins jeunes, de la désindustrialisation du pays, de la fuite des capitaux et des cerveaux(…)- cela ne nous choque plus : leurs erreurs d’analyses répétées les ont même amenés à proposer la construction d’un nouveau « machin » administratif à Brussel alors même qu’ils ne savaient pas déjà comment faire pour financer l’administration que nous possédons dans chaque pays d’Europe…


      Au niveau de la France (et non de l’Europe) y aurait il un début de réponse ici peut être :
      http://www.pro-at.com/forums/topic.asp?TOPIC_ID=18433 ?


      Au plaisir de vous lire,



      Commentaire


      • #4
        Bonsoir à toutes et à tous,

        Ce soir, lors du journal télévisé sur France 2, c'est Monsieur François Bayrou qui relance le débat abordé par cette file et qui parle de passer "en VIème république" (dixit).

        Malheureusement il n'a rien indiqué concernant la responsabilité de l'enamenklatura dans cet état de faits et de ratés: Normal, dans un tel régime, il craint peut être pour sa vie (politique s'entend, quoi que sous le règne de dieu (François Mitterand), certains suicides douteux pourraient porter à reflexion).

        Sur ce thème, comment un premier ministre de la Veme république, fils d'ouvrier et respecté a t il été amené a se suicider ?

        Au plaisir de vous lire,

        Commentaire


        • #5
          Bonjour.

          On gagnerait du temps à passer directement à la septième, au cours actuariel de l'astuce politicienne.

          Ils sont à peu près tous d'accord pour constater l'impraticabilité de la chose, mais ce qui les intéresse manifestement, c'est de trouver de nouvelles méthodes pour verrouiller davantage l'accès de la concurrence citoyenne à la prise de décision, un peu comme les compagnies distributrices de moyens de communication quand elles refusent de communiquer avec leurs clients.

          La presse s'éloigne de ses lecteurs, l'administration est au service des ministères et non plus des administrés, cas de l'ASSEDIC co ANPE au service des statistiques et des non-embaucheurs, pour ne prendre qu'un exemple de détournement de vocation.

          L'Europe, elle, s'est délocalisée vers l'Est, il faut lui causer en anglais, sur un numéro azur à répondeur automatique-gare de triage chargé de ne fournir que des réponses prédigérées, de manière à atteindre un taux de satisfaction zéro échec à retracement automatique de qualité. (pas d'interlocuteurs, pas de risque d'erreur)

          Est-ce que la structure actuelle serait à même de permettre sa propre réforme snas heurt? On peut en douter sans risquer de se tromper d'une virgule, puisqu'au contraire l'accès électif est rendu sans cesse plus difficile, qu'il n'y a pas moyen d'empêcher les équipes gouvernantes de modifier, d'adapter la loi électorale pour échapper aux mouvements d'humeur de plus en plus pressants, réguliers, inévitables, face à cette négation de l'expression populaire.

          Des référendums qui consistent en des réponses-impasses-à-sens-unique ne sont pas non plus suceptibles d'ouvrir à la réforme, puisque malgré les échecs quasi obligatoires, il n'en est tiré aucun constat d'ineptie, de non-validité du système de consultation en vigueur, qu'au contraire l'on cherche systématiquement à en faire porter l'échec à ceux qu'on prive de moyens d'une expression autre que celle que les apprentis pédagogues leur prédigèrent soigneusement.

          Ce qui n'empêche nullement ces instances "à courant alternatif", inamovibles, de s'épouvanter du manque d'intérêt ou "d'esprit de responsabilité" des masses abêtifiées.

          L'avènement d'une VIeme dans de telles conditions athmosphériques, c'est à dire qui serait fabriquée par des spécialistes en mirages mouvants, en vide floconneux, relèverait selon moi d'un chienlisme élevé au rang d'art, à tel point qu'il deviendrait urgentissime de passer à la suivante.

          S'il y a des gens capables de rédiger une nouvelle Constitution, ils sont bien planqués. Qu'ils puissent les rédiger, c'est une chose, et ces textes pourraientt toujours figurer dans un Musée des Constitutions. Mais ne seraient pas d'une grande utilité pour les équipes désireuses et en capacité d'accèder à la direction du pays et de s'y maintenir à tout prix, priorité des priorités en matière de projet, à mentionner dans une "Constitution Pour Qu'On Reste Et Qu'on Commande Encore Plus".

          Des révisions de l'actuelle pour pallier à ses dysfonctionnements avérés, ce serait souhaitable, mais je rappelle que les assemblées formant le Congrès ne sont pas représentatives de la nation et de ses citoyens, ce qui fait que tout texte adopté dans ces conditions le sera de façon anti-démocratique, ne pourra qu'être contestable et contesté, accentuant le malaise latent.

          Qui peut imaginer que les sénateurs puissent signer leur propre disparition, par exemple?

          Il y a des prises de conscience qui se font, qui mettent parfois des décennies à percer un peu au jour, à se traduire par de minuscules pas en avant, mais la résistance au changement des corps constitués, des groupes d'influence, qu'ils l'affichent ou qu'ils la dissimulent l'emporte largement sur l'intérêt général, la volonté étant pour eux de se maintenir, de la faire croître aux dépens de celle des autres, à commencer par celle légitime, égalitaire du citoyen.

          Les réseaux ne figurent pas expressément dans la Constitution, mais question d'être là, aucun doute, je vous rassure sur leur belle santé.

          Des centaines de réseaux s'interpénètrant, floconneux, mirages mouvants mais ô combien actifs, en place de ceux qui sont censés être garantis constitutionnellement pour ce qui est de l'Egalité.

          Qui les délogera, va savoir? On peut toujours rêver.

          Béret a au moins eu la possibilité de les rencontrer, il ne devrait pas se plaindre, c'est toujours enrichissant, surtout pour, non pas pour un fils d'ouvrier seulement, mais un ouvrier tout court, je crois bien. (il a eu tort de monter à la grand-ville, le vent des avenues sans cache-nez t'y saoule plus vite que dans la vallée du mistral)



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