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Divorce des français avec la Bourse.
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  • Divorce des français avec la Bourse.

    Une récente étude TNS réalisée pour la Banque Postale et Les Echos a interviewé 2006 français du 26 avril au 05 Mai 2011.

    Consulter l’étude complète en cliquant ici

    Quelques slides …




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  • #2
    un résumé

    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/financ...

    Les particuliers se détournent de plus en plus de la Bourse


    En France, la frilosité du grand public -et en particulier des actionnaires -à l'égard des marchés n'a cessé de progresser, selon le baromètre semestriel TNS Sofres pour la Banque Postale et « Les Echos ». La Bourse a perdu plus de 2 millions d'actionnaires en un peu plus de deux ans.
    Ecrit par
    Marina ALCARAZ



    Les Français, l'épargne et la retraite : l'enquête de TNS Sofres
    Les Français et la Bourse : une grande histoire de désamour. Avec le récent repli des marchés boursiers ces dernières semaines, sur fond d'inquiétudes -entre autres -sur les dettes européennes et la vigueur de la reprise mondiale, les particuliers se détournent massivement des marchés d'actions.

    Le niveau de détention des valeurs mobilières n'a jamais été aussi bas, d'après le baromètre semestriel TNS Sofres pour la Banque Postale et « Les Echos », réalisé depuis 2004. Seulement 11 % des sondés indiquent posséder au sein de leur foyer des actions en direct -soit quatre points de moins qu'en octobre dernier -et 7 % des Sicav/FCP alors qu'ils sont 83 % à avoir des comptes ou livrets d'épargne.

    Moins de 10 % des particuliers français sont actionnaires
    D'après une autre étude de l'institut de sondage auprès d'un échantillon plus large (1), la population des actionnaires individuels (hors actionnariat salarié) est passée au printemps sous la barre symbolique des 10 % -contre 13,8 % en décembre 2008.

    Ce qui signifie concrètement que la France a perdu en un peu plus de deux ans 2,2 millions de petits porteurs. On compte actuellement environ 4,2 millions de personnes.

    Les différents indicateurs de l'étude montrent une frilosité grandissante envers la Bourse depuis fin 2009, après la belle ascension des indices initiée à partir du point bas de mars 2009. « Même la population plus avertie des investisseurs particuliers, comparativement au grand public, est devenue plus prudente, avec probablement la montée en puissance des inquiétudes sur la Grèce et les pays périphériques », souligne Michaël Pergament, directeur d'études chez TNS Sofres.

    UNE MAJORITÉ DU GRAND PUBLIC JUGE LES ACTIONS ET LES OBLIGATIONS « RISQUÉES » MARINA ALCARAZ
    Seulement 31 % des détenteurs d'actions estiment que le moment est opportun pour placer une partie de son épargne en Bourse, soit un repli de 7 points sur environ un an et de 21 points depuis le sommet de l'automne 2009. La tendance est similaire sur les questions relatives à l'appétit personnel : moins d'un cinquième des actionnaires (contre 29 % il y a un an) a été incité à investir sur le marché, au vu de l'évolution des places financières ces derniers mois.

    Parallèlement, seule une minorité du grand public (7 %) se dit prêt à acheter des titres, alors que le CAC 40 oscille autour du cap psychologique des 4.000 points.

    Pis encore, la finance est perçue comme dangereuse : 87 % jugent les actions « risquées ». 74 % ont la même opinion sur les obligations.

    Rien d'étonnant donc à ce que les livrets restent le placement préférés des Français (à 73 %, en hausse de 6 points sur plus d'un an), suivi par l'assurance-vie (54 %), largement devant les valeurs mobilières (33 %). Plus de 8 Français sur 10 (84 %) préféreraient placer une somme importante dans des livrets ou assurance-vie en€avec un capital garanti, plutôt qu?en Bourse, malgré un rendement plus élevé (9 %). « Une grande majorité joue la prudence », appuie Michaël Pergament.

    Un contexte peu propice pour acheter une résidence principale
    Cette frilosité s'observe aussi dans d'autres projets d'investissements lourds dans différents domaines : 55 % disent que le contexte est peu propice pour acquérir une résidence principale ou secondaire (contre 46 % en octobre dernier), 62 % pour acheter un nouveau véhicule.

    Conséquence probable ou l'un des facteurs explicatifs de la défiance des Français vis à vis de la Bourse, l'attrait qu'elle exerce reste très faible. Moins d'un quart s'intéressent à la finance et à l'actualité des sociétés cotées, une proportion quasi stable depuis l'automne 2009. En témoigne, les questions de ce sondage relatives au courtage en ligne : près de 9 Français sur 10 (86 %) ne sont pas capables de citer spontanément un seul site. La quasi-totalité (95 %) n'a jamais utilisé Internet à des fins boursières. Lorsqu'on leur propose des noms, peu de marques sont relativement bien connues, à l'exception de Boursorama et Fortuneo.

    (1) Etude Sofia de mars 2011. 12 000 Français interrogés tous les trimestres. Extrapolation sur la base d'une population de 15 ans et plus.

    Je ne raisonne pas le marché ; c'est la marché qui déraisonne

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    • #3
      coulous
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      • #4
        J'ai cru lire divorce des francais à cause de la bourse et me suis senti visé lol

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        • #5
          Bonjour f.taby

          Cette désaffection des français pour la Bourse fait que les traders sont relativement marginalisé.
          D'expérience, j'ai le sentiment que le taux de divorce parmi cette population est élevé, ce serait intéressant de disposer d'une étude sur le sujet, mais pas facile à faire un panel
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          • #6
            Explication : Les Français en ont marre d'être cocus :

            http://www.2424actu.fr/actualite-economique/265661...

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            • #7
              Bonjour, sur le site de la banque de france

              "OPCVM non monétaires : la poursuite de la décollecte (- 11,3 Mds d’euros, soit - 1,2 % des encours) affecte au premier trimestre 2011 toutes les catégories de fonds. Les encours d’actions en portefeuille (40 % des placements des fonds) diminuent de 5,2 Mds d’euros avant effet positif de valorisation. "




              source : http://www.banque-france.fr/fr/statistiques/titres...

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              • #8
                c est certain que quand tu as ete cocufie par carrere groupe t as plus envie
                deja 3 ans que c est plus cote et l affaire encore en justice pour au moins autant ca donne a reflechir au petits porteurs!!!!!

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                • #9
                  et la taxation des plus values n'est pas la pour arranger les choses . 30.3% plus les frais achats ventes .
                  Eliminer le stress en respirant profondément TWITTER https://twitter.com\mipsofacto

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                  • #10
                    ce que je retiens c'est que le grand public ne bouge pratiquement pas depuis 2002, par conséquent il semble très averti du grand marché baissier que nous vivons. Ceux qui sont revenus semblent être repartis....

                    plus ''moins de pouvoir d'achat'' plus''marre de se faire tondre'' plus ''marre de la fiscalité'' => marre de la finance et des politiques.

                    à qd le grand chambardement !

                    finalement on aurait du laisser les banques faire faillite, cela aurait été moins coûteux pour le contribuable qui dans tous les cas paiera la facture à l'état et aux banques.


                    pour les banques je suis sérieux cela doit se gérer comme une entreprise qui ne peut pas appeler l'état au secours.

                    Dernier point, démographiquement c'est aussi logique, la population vieillit par conséquent les besoins ne sont pas les mêmes et le niveau de protection du patrimoine est plus sélectif.

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                    • #11
                      http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/financ...

                      Bourse : l'exode des investisseurs individuels


                      La Bourse a perdu 2,3 millions d'actionnaires individuels depuis fin 2008. Seuls un Français sur dix estiment qu'il s'agit d'un «bon moment» pour investir en actions. 23% des actionnaires ont la même opinion, du jamais-vu selon le baromètre TNS Sofres pour La Banque Postale et «Les Echos».




                      Où sont passés les actionnaires individuels ? Les particuliers risquent bientôt de devenir une espèce en voie de disparition en Bourse alors que rien ne semble pouvoir arrêter leur exode, sur fond de crises financières successives.


                      Et ce n'est sans doute pas le recul récent du CAC 40 qui va inciter le grand public à venir sur les marchés : l'indice vedette est passé la semaine dernière sous le seuil symbolique des 3.000 points, proche de ses plus bas depuis six mois. La baisse de la Bourse de Paris est ancienne : il y a presque cinq ans jour pour jour, le CAC 40 approchait les 6.200 points...


                      La vague de départ des investisseurs a été massive. La Bourse de Paris a perdu environ 2,3 millions d'actionnaires individuels en trois ans et demi - peu après la faillite de Lehman Brothers -, selon TNS Sofres (1). Leur proportion est passée de 13,8% des Français fin 2008 à 8,5% en mars 2012, soit un total de 4,1 millions d'investisseurs individuels (hors actionnariat salarié).


                      La décrue s'est poursuivie, même quand les marchés relevaient la tête, comme au premier trimestre 2012. «Il y a tellement d'incertitudes depuis la crise des "subprimes" puis la crise de la zone euro que les particuliers ne croient plus vraiment à la Bourse. D'autant qu'une grande partie d'entre eux n'avaient que quelques lignes de titres, faciles à vendre», explique Michaël Pergament, directeur d'études chez TNS Sofres.

                      Les actions, jugées « risquées »


                      Les indicateurs d'appétit pour les marchés atteignent des points bas depuis le lancement du baromètre sur l'épargne TNS Sofres pour La Banque Postale et «Les Echos», en 2004. Seulement 5% des Français se disent «incités à acheter des actions», au vu de «l'évolution de la Bourse». Et, malgré les valorisations extrêmement basses, à peine un sondé sur dix estime qu'il s'agit d'un «bon moment» pour placer une partie de son épargne en Bourse (contre 16% il y a un an).


                      Pis, cette frilosité est partagée par les actionnaires réputés plus avertis : 23% jugent le moment opportun pour investir, un chiffre en chute de 8 points par rapport à mai 2011. Cette proportion est la plus faible depuis huit ans ! Par comparaison, au plus haut, à l'automne 2009, ils étaient 52% à vouloir miser sur les marchés.


                      Le divorce entre la Bourse et les Français s'explique pour beaucoup par la perception de ses «dangers» : les actions sont considérées comme des placements risqués par 9 sondés sur 10 (91 %). Voire «très risqués» pour 56%, contre 48% il y a un an et 33% en juin 2007. L'opinion à l'égard des obligations a aussi évolué avec la crise de la dette : 81% les jugent «risquées», alors qu'ils n'étaient que 74% à la même période en 2011 et 63% il y a cinq ans.


                      Conséquence directe : la Bourse est très peu utilisée pour préparer sa retraite : sur les 31% de Français qui mettent de l'argent de côté pour leurs vieux jours - une proportion relativement stable depuis 2010 -, ils ne sont que 15% à le faire via des sicav, FCP ou PEA. Un chiffre faible et en recul au regard de l'assurance-vie (56%) ou même des contrats type PERP (29%).


                      La tendance est encore plus nette pour la majorité des sondés qui ne préparent pas leur retraite : seulement 6% prendraient des placements boursiers à cette fin. «Plus généralement, pour épargner, les Français ont une nette préférence pour les produits liquides type comptes ou livrets - 81% les choisiraient s'ils avaient à placer de l'argent -devant l'assurance-vie (50%). 13% privilégieraient les actions, contre 18% il y a un an», conclut le spécialiste.


                      (1) Etude SoFia. Extrapolation sur la base de la population française de 15 ans et plus.

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                      • #12
                        http://www.banque-france.fr/economie-et-statistiqu...

                        Indicateurs conjoncturels France et zone euro N°115 15/06/2012

                        vient de paraitre

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                        • #13
                          File de discussion créé le 08/06/2011 sur Pro-AT puis transférée sur Univers-Bourse et toujours d'actualité en 2013
                          Souhaitons qu'Univers-Bourse réconcillie une partie des français avec la Bourse ...
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                          • #14
                            quand ils retomberont amoureux de la bourse, il conviendra de se méfier!
                            un céréalier est un trader qui s'ignore souvent!!!
                            visitez mon blog: vendresonble http://vendresonble.wordpress.com/

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                            • #15
                              salut

                              trop tard on est deja là !!
                              Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé,
                              alors seulement vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas.
                              Proverbe Amérindien

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