Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Ads
Réduire
cac daily et weekly gann et les autres..
Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • on a bien fait les 4210 hier ,on reste sv,cycle 6j,si la b est finie sur les 4097,on serait en c haussiere depuis 4097,la possibilté d'une b tjrs pas finie est cependant encore possible vers 4070 si MH cede 4150 en cloture horaire.
    flat hier sur 4205,suis rerentré long leger sur MH zone des 4152 spot.la c encours si ZZ doit depasser le top des 4356 vers mm126d ,si triangle on resterait sous mm44d ou MD.
    scenario suivi c haussiere depuis 4097 ,stop MH en close horaire 4150 spot.
    MT une fois finie la vague commencée depuis 3927 manquerait pour bottom MT 28j environ une derniere vague possible vers gann 3856 ou pire MY 3400 fin oct nov.@+

    Commentaire


    • MH 13h00 reste haussiere 4153 spot,je garde@+

      Commentaire


      • attention, sur 2 j la fig graphique serait une été d'où retour sur 3990 spot la semaine prochaine ...

        Commentaire




        • c'est probablement le gap à 4075 qui est visé ... quant au reste .

          Commentaire




          • mauvais chiffre à venir ? 14 H 30 , 16 H 00 ?

            Commentaire


            • renfort 4120,on peut finir vert

              Commentaire


              • Citation de : CCI (au 26-09-2008 14:40:48)

                renfort 4120,on peut finir vert




                je pense que l'on peut finir à - 4% en course de journée et d'ailleurs c'est inquiétant de tels écarts c'est symptomatique d'un marché qui a peur , donc krachy à terme ...

                Commentaire


                • Citation de : CCI (au 26-09-2008 14:40:48)

                  renfort 4120,on peut finir vert


                  daccord avec toi je pense que cela doit remonter mais dela a finir vert ce soir ...........
                  oupsss bonjour cci

                  Commentaire


                  • allegé mm126 en 5mn 4180.@+

                    Commentaire


                    • une ABC presque parfaite depuis 4231
                      4231-4140 91 A
                      4140-4190 =50 B
                      4190-4106 =84 c

                      Commentaire


                      • bonjour,
                        Pour mon info, le 4190 était ce matin vers 11h ?

                        Cordialement

                        HM
                        Citation de : nard (au 26-09-2008 17:24:15)

                        une ABC presque parfaite depuis 4231
                        4231-4140 91 A
                        4140-4190 =50 B
                        4190-4106 =84 c


                        Commentaire


                        • Citation de : vdecours (au 26-09-2008 18:21:08)

                          bonjour,
                          Pour mon info, le 4190 était ce matin vers 11h ?

                          Cordialement

                          HM
                          Citation de : nard (au 26-09-2008 17:24:15)

                          une ABC presque parfaite depuis 4231
                          4231-4140 91 A
                          4140-4190 =50 B
                          4190-4106 =84 c





                          oui 10h58 4190.15

                          Commentaire


                          • le decompte vague c suit sa route,cycle 7j lundi;on reste sv daily weekly hourly,au dessus de MD 4235 mm44d 4329 mm65d 4312 en mire ct.@+

                            Commentaire




                            • j'avais pas vu la faillite de wamu tout de suite ... ceci explique cela le marché est descendu en 5 v en intra avec remontée sup à 50 % à chaque fois , c'est haussier comme descente .Le support à 4100 tient nous avons un quadruple bottom , qui est testé comme très fort support car + forte faillite aux States de l'histoire et que nenni aucun effet par rapport à 4100 , c'était anticipé dés mardi d'où énorme chute en début de semaine .Ce quadruple botto (confirmé aussi aux States étéi sur 4 derniers jours me semble t'il ),
                              est à gap intra (donc type de correction complexe en abc*abc) qui est généralement suivie d'une ACCELERATION haussière violente (c'est ce que l'on devrait avoir dés lundi en début de semaine, un des 2 camps va tout lacher) .
                              Et on devrait remonter vers 4400 spot .
                              Le marché est très fort , la psychologie semble être redevenue haussière , car très mauvaise nouvelle et non événement (futs ne bougentuasi pas à 22 h).

                              Or si la psychologie est redevenue haussière la baisse serait terminée définitivement sur le marché .
                              On saura bientôt si la baisse est finie ou pas, le niveau fin octobre conditionnera la fin de baisse ou pas ...

                              J'ai tjs dit que la baisse se terminerait en 2008 , c'est possible .Si le marché monte (fort probable en début de semaine) , on se dirigera vers mm 100 , donc vers 4450 et là difficile de revenir vers 3900 (surtout si le marché est résistant à la baisse donc haussier de psycho) .

                              Commentaire


                              • BILAN
                                Un été mouvementé en perspective sur les marchés actions

                                Par Franck Joselin le 04/07/2008



                                Les marchés d’actions européens ont perdu près de 20 % depuis le début de l’année, après un second semestre 2007 déjà difficile Tous les indicateurs sont au rouge et de nombreux gérants attendent l’été et la publication des résultats avant de se repositionner sur les actifs risqués



                                GRAPHIQUE




                                Cet article est extrait d' agefi


                                Alors que les indices boursiers n’affichent pas des positions bien inférieures à celles observées au mois de mars dernier, l’ambiance sur les marchés s’est pourtant nettement dégradée depuis quelques semaines. Certains investisseurs commencent à se lasser : les actions ont beau être un placement de long terme, et les années 2003 à 2006 avoir été plus que satisfaisantes pour ces actifs, le CAC 40 est encore retombé pendant ces dernières séances à des niveaux qu’il tutoyait déjà en 1998, il y a tout juste 10 ans (voir le graphique).

                                Aujourd’hui, tous les signaux sont au rouge : le ralentissement économique s’est confirmé, les bénéfices des entreprises sont attendus à la baisse, les tensions inflationnistes se sont accentuées et personne n’est certain que les mauvaises nouvelles liées à la crise qui a touché les valeurs financières ont toutes fait surface. Heureusement, les bilans des entreprises restent sains et la faible valorisation des marchés peut paraître rassurante. Cependant, même ce dernier facteur de soutien est largement remis en cause par certains gérants.

                                Une valorisation attractive… A en croire les ratios de valorisation, les marchés européens apparaissent aujourd’hui comme étant sous-évalués. Ainsi, le PER moyen du CAC 40 (ratio calculé en divisant le cours d’une action par les bénéfices attendus de la société) oscille aux alentours de 10, alors que sa moyenne de long terme se situe au-dessus de 13. « Le marché anticipe une chute des profits de 30 % par rapport aux bénéfices actuels. Or, lors de la récession de 2002 - qui touchait directement les entreprises - ils n’avaient baissé que de 20 %. Cela revient à dire que nous anticipons aujourd’hui un recul des profits plus important que durant la période entre 2001 à 2003, ce qui paraît peu probable », note François Chevalier, stratégiste chez

                                VP Finance.

                                Il est vrai qu’à ces niveaux de valorisation, la prime de risque des actions (mesurant l’attractivité relative des actions par rapport aux obligations) apparaît élevée. « Beaucoup de mauvaises nouvelles sont intégrées dans les cours. Les primes de risque des marchés européens restent plus basses qu’en 2003, mais se révèlent tout de même très attractives pour les actions, confirme Jean-Luc Buchalet, responsable de la stratégie chez


                                FactSetet directeur général de Pythagore Investissement. Tous les éléments semblent confirmer que nous avons atteint un point bas sur les marchés. »

                                … mais en trompe-l’œil. Cet avis est cependant loin de faire l’unanimité car ces chiffres, aussi rassurants soient-ils, sont à relativiser. « Les PER sont certainement plus élevés que l’on ne le pense. Si les résultats continuent d’être revus à la baisse, les PER actuels, aux alentours de 11 pour le CAC 40, seraient, en réalité, plus proches de 13 ou 14 », met en garde Dominique Villeroy de Galhau, directeur général de la


                                Financière de Tiepolo. Du côté de la prime de risque, les différentes hypothèses prises en compte par le marché sont également mises à mal par certains professionnels : « Les primes de risque sont calculées en prenant en compte des taux longs aux niveaux d’aujourd’hui. Or, en cas de tension sur les taux, la prime de risque serait dégradée et les obligations deviendraient bien plus attractives que les actions », explique l’un d’eux.

                                Enfin, le niveau extrêmement élevé des marges des entreprises depuis plusieurs années commence à préoccuper des gestionnaires. « Nous avons, sans aucun doute, un problème sur les marges. Les augmentations de coûts des matières premières ne peuvent pas se transmettre sur toute la chaîne de production et les marges joueront donc naturellement un rôle d’amortisseur. Elles ne peuvent maintenant que baisser et, d’ailleurs, depuis plusieurs mois, les discours des entreprises vont dans ce sens », regrette Catherine Garrigues, responsable de la gestion des actions européennes chez


                                Allianz Global Investors France. Aujourd’hui, ces inquiétudes prennent le pas sur l’attractivité théorique des marchés. « Ce n’est pas la valorisation qui dicte la tendance, continue-t-elle, c’est avant tout la dynamique des profits. Or, actuellement, nous n’attendons que des mauvaises nouvelles de la part des entreprises. »

                                Prise de conscience. Cette tendance à la baisse des résultats des sociétés n’est pas nouvelle. Déjà, au début de l’année, les marchés avaient accusé un repli à des niveaux comparables à ceux d’aujourd’hui. Cependant, la baisse des actions s’était alors accompagnée d’une appréciation des emprunts d’Etat. « Au mois de mars dernier, la progression de la prime de risque engendrée par la baisse des taux des emprunts d’Etat avait incité les investisseurs à revenir sur les actions lorsque la Réserve fédérale était venue au secours de la banque Bear Stearns. D’autant qu’à cette période, nous étions encore sur la lancée des bonnes nouvelles des années passées », explique Yves Maillot, directeur de la gestion actions de


                                Robeco.

                                A la fin du mois de mai, les tensions inflationnistes sont venues s’ajouter aux difficultés déjà présentes sur les marchés. « C’est une des raisons pour lesquelles le refuge des emprunts d’Etat n’a pas fonctionné. Les taux se sont tendus et il y a aujourd’hui une prise de conscience que la crise de surendettement ne s’est pas focalisée sur l’immobilier résidentiel. Les échéances de fin de semestre pourraient révéler que la crise financière n’est peut-être pas terminée », poursuit Yves Maillot.

                                L’inflation au cœur des allocations. Les bénéfices des sociétés n’étant pas attendus en progression, ce sont certainement des évolutions de l’inflation qui détermineront le sens des marchés ces prochains mois. « Si le pétrole n’évolue pas à la hausse, le pic d’inflation sera atteint dès cet automne. Nous pouvons, dans ce cas, assister à un rallye sur les marchés obligataires, ce qui provoquerait mécaniquement une hausse des marchés d’actions de 15 %, estime Catherine Garrigues. En revanche, si les tensions inflationnistes se vérifient, nous connaîtrons des phases de hausse et de baisse, mais nous ne retrouverons pas les plus hauts avant très longtemps. D’ailleurs, si l’on tente un parallèle avec ce qui s’est produit entre 1960 et 1980 sur le marché américain, qui correspond à une période de croissance s’accompagnant d’inflation, force est de constater que le marché d'actions a fait du sur place. »

                                Dans ce cas, vers quelles classes d’actifs ou quels secteurs faut-il se retourner ? « Dans les phases de forte inflation, il y a davantage de sociétés qui souffrent que de sociétés qui en profitent. Ce qui n’empêche que dans ces périodes, les opportunités sont plus nombreuses sur les marchés d’actions que sur les placements obligataires », répond Yves Maillot.

                                Les secteurs privilégiés par les gérants sont donc souvent ceux liés à l’énergie ou aux matériaux de base - qui profitent d’une hausse des matières premières et du développement des émergents -, ou encore les secteurs en mesure de répercuter les tensions inflationnistes sur leurs prix finaux, comme le luxe. Les financières sont, quant à elles, laissées de côté en attendant les résultats semestriels des banques au mois d’août. Peu de choses également à attendre de l’immobilier, pourtant traditionnellement porté par l’inflation. « Ceux qui investissent leurs liquidités aujourd’hui seront les rois de demain. Après une baisse de 30 % du marché depuis le mois de juin 2007, les rendements à 5 ans sur les actions seront élevés. Il est dommage que les ménages français gardent une appétence toujours aussi importante pour l’immobilier alors que ces actifs sont certainement plus risqués qu’on ne le croit », remarque Dominique Villeroy de Galhau.

                                Les détenteurs de liquidités feraient cependant tout de même mieux d’attendre la rentrée, après avoir examiné les résultats semestriels des entreprises et constaté les évolutions du pétrole après l’été, quitte à rater un rebond technique. « Ce qui se joue aujourd’hui, résume un gérant, c’est une stabilisation des marchés plutôt qu’une véritable impulsion à la hausse. Pour qu’il y ait une reprise durable, il faudrait une inversion du climat des affaires, dont nous sommes encore très loin ». On a vu période plus faste.



                                Mon avis c'est que le pétrole n'est pas à l'origine de la chute du marché , les profits pas trop (donc les sociétés),
                                mais le pb financier (j'écarte la faillite du système du fait des prêteurs en dernier ressort) avec la concurrence des obligations et des actions donc anticipation d'un crédit crunch (en cours d'alleurs malgré les oeillères de certains nous sommes en phase de crédit crunch) , ce qui est rare est cher d'où montée des taux d'intérêt long terme bien évidemment (vers 7 % possible ), chute de l'immo dans les 4 ans à venir , concurrence d'un actif à risque les actions contre les obligs qui rapporte plus sans risque (tx d'intérêt élevé) .C'est ce qui s'est passé avec la faillite des caisses d'épargne , remontée des taux .Toute l'argent est utilisée à reboucher les trous financiers au lieu d'être investie dans les sociétés (l'argent n'est jamais gratuite que je sache , tout cela a un coût) .
                                On a de fortes similitudes avec les années 70 .
                                Guerre du Vietnam avec enlisement , chute du dollar (71 explosion du gold exchange standard, bretton woods) , inflation par le pétrole et in fine à la fin des années 70 remontée drastique des taux d'intérêts .
                                Parallèle en 2003 guerre en Irak et Afghanistan avec enlisement chute du dollar inflation par le pétrole et remontée des taux in fine ?

                                En conclusion la bourse n'aurait pas peur d'un chute des profits drastique , mais d'une remontée des taux à terme .
                                On ne fait pas boire une âne qui n'a pas soif au début des années 80 personne ne voulait des actions car taux d'intérêts élevés sur les obligs .Les actions étaient moins chères qu'en 2003 c'est dire ...c'est uniquement une question d'arbitrage entre actif .
                                Il est tout à fait normal que la crise actuelle aboutisse sur un crédit crunch car des banques vont encore faire faillite après la dizaine de grosses "faillites" depuis le
                                début de l'année (un rachat par un gros est une faillite) .
                                "Toute" l'argent disponible va servir à colmater le système .

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X